Torché à l’occasion…
Je ne sais pas ce qu’il lui a pris : Il pose une
question idiote à propos des conjoints.
À savoir quelle est la meilleure façon de passer son
temps avec.
L’un d’entre mes « petits-kamarades »,
voulant sans doute se faire bien voir répond : « Le temps que je passe avec ma femme est précieux car il me sert de
fondation à une relation qui durera dans le temps. »
Un autre réplique qu'il préfère « passer du temps avec ma maîtresse, à cause
de la passion et du mystère que je trouve avec elle ! »
La collègue-meuf présente dit alors :
« – Moi,
j'aime les deux, mon mari et mon amant.
– Les
deux ?
– Oui !
Si vous avez une femme et une maîtresse, ou un amant et un mari, chacun pensera
que vous êtes avec l'autre lorsque vous n'êtes pas avec lui ou elle et ça vous
permet de rester au bureau pour continuer à travailler ! »
Mouché…
« Comment
appelle-t-on un alcotest en terme culinaire ?
Un
soufflé aux amandes. »
Une jeune fille confie à son amie :
« – Mon
rêve, ce serait d'épouser un archéologue.
– Ah
bon ? Et pourquoi ?
– Parce
que plus on vieillit, plus il vous aime. »
Un exploitant agricole est réveillé en pleine nuit par
du chahut dans son étable.
Il s'y précipite et se rend compte qu'une des vaches
est en train de mettre bas.
Alors qu'il aide l'animal, l'homme s'aperçoit que son
fils âgé de quatre ans l'a rejoint et qu'il observe la scène avec une curiosité
évidente…
L'agriculteur hésite un instant et se dit finalement :
Je vais le laisser regarder et s'il a des questions, je lui répondrais.
Quand la mise-bas se termine enfin et que le petit
veau se redresse malhabilement sur ses pattes, l'homme interroge son fils :
« – Alors
Robert, tu as des questions ?
– Oui
j'en ai une papa »,
répond le fiston. « À quelle vitesse
il allait le veau quand il a percuté la vache ? »
Ça se passe encore à la campagne.
C'est le grand jour pour Robert devenu adulte, fils
aîné de sa famille de fermiers, qui va à la ville passer les examens pour
devenir gendarme.
Il revient tout fier le soir :
« Papa,
Papa j'ai été reçu, je suis gendarme ! »
Le père :
« – Milmiliarded'vindiou faut fêter ça !!! Mais qu'est-ce qu'ils t'ont
demandé ?
– Ils
m'ont demandé combien faisaient 3 x 7 et j'ai répondu 20.
– Mais
cré nom d'une pipe 3 x 7 ça fait 21 !
– Peut-être
papa, mais c'est moi qui étais le plus proche du bon résultat ! »
C'est Bernard qui est chez le coiffeur et à qui le
coiffeur demande quelle coupe il désire.
« – Je
voudrais être rasé sur le côté gauche, la banane mais juste à droite et de
travers, la brosse sur le dessus mais avec un trou au milieu, la nuque dégarnie
mais avec quelques touffes par-ci par-là.
– Mais,
mais… Ce n'est pas possible, ça ! Ce n'est pas une coupe.
– Ah
ouais ? Pourtant c'est ce que tu m'as fait la dernière fois… »
« – À
combien rouliez-vous ? » demande le gendarme.
« – À deux
seulement ! Mais si vous voulez monter, il reste de la place ! »
En mettant de l'ordre dans leurs papiers Robert et sa
femme tombent sur un billet d'un magasin de cordonnerie.
Ce billet datait de plus de dix ans !
Ils éclatèrent de rire et se demandèrent à qui de lui
ou d'elle, pouvaient être ces chaussures et, surtout, ce qu'il en était advenu
après plus d'une décennie !
Par curiosité, Robert se rend à la boutique, tend son
bon au cordonnier qui part dans son arrière-boutique et revient avec une paire
de chaussures aux talons décollés en disant :
« Revenez
jeudi, ce sera prêt … J'ai été débordé ces derniers temps ! »
Un gendarme fait stopper une automobile :
« – Vous
n'aviez pas vu le feu rouge ?
– Si,
si ! C'est vous que je n'avais pas vu ! »
Le commissaire de police questionne un jeune agent qui
vient d'être recruté :
« – Avez-vous déjà vu un détecteur de mensonges ?
« – Avez-vous déjà vu un détecteur de mensonges ?
– Mieux
que ça, chef, j'en ai épousé un ! »
Un homme et une femme se rencontrent dans un bar.
Ils discutent un peu et puis comme cela arrive dans la
vie, ils décident d'aller chez madame.
Après quelques verres, l'homme enlève sa chemise et se
lave les mains.
Ensuite il enlève son pantalon et à nouveau il se lave
les mains.
La femme qui regarde tout ce rituel lui dit :
« Je parie
que tu es dentiste. »
Lui, très étonné, répond :
« – Oui…
mais comment as-tu deviné ?
– C'est
simple »,
répond-elle, « tu ne fais que te
laver les mains. »
Au bout de quelques temps, ils commencent à faire
l'amour et lorsqu'ils ont terminé, elle dit :
« Tu dois
être un sacrement bon dentiste ! »
Lui, rayonnant après un tel compliment a son ego,
répond :
« Bien sûr
que je suis un excellent dentiste, comment sais-tu cela ? »
Elle, avec un visage imperturbable :
« Je n'ai
rien senti ! »
Définitions du mariage entendues pour vous :
– Un acte religieux qui consiste à créer un crucifié
de plus et une vierge de moins.
– Une sentence dont le « condamné à perpétuité »
est libéré uniquement pour mauvaise conduite.
– Un faux-espoir : Aucune femme n'a jamais ce qu'elle
espérait et aucun homme n’a jamais espéré ce qu'il a.
– D’un point de vue mathématique, c’est une somme
d'emmerdements, une soustraction de libertés, une multiplication de responsabilités
et une division des biens.
– La méthode la plus rapide pour grossir.
– C'est la seule guerre où l'on dort avec l'ennemi.
– Accessoirement, ça sert à résoudre des problèmes que
l'on aurait jamais eu en restant célibataire.
Un lundi matin le facteur fait sa tournée et il
remarque que les deux voitures de Robert sont toujours dans le parking.
À ce moment-là, justement Robert sort de chez lui avec
un paquet de bouteilles de bière et d'alcool vides.
« – Wow !
Vous avez dû avoir une méchante party hier soir !
– Oui,
nous étions 15 couples des environs et aux alentours de minuit, nous étions
assez saouls pour commencer à jouer à « Qui suis-je ? ».
– Ah !
Et comment ça se joue ?
– Ben !
Tous les gars entrent dans la chambre à coucher, se déshabillent et ensuite reviennent
dans le salon, couvert d'un drap de lit, avec juste le zizi qui dépasse à
travers un trou dans le drap.
Alors les
femmes devaient deviner qui se cache sous le drap. »
Le facteur éclate de rire.
« – Dommage !
J’ai manqué ça !
– C'est
une bonne chose, car votre nom est sorti quatre ou cinq fois ! »
Étude scientifique rapportée par Bernard : Tout
ce que vous ignoriez sur le pet !
– Des physiologistes Hollandais ont déterminé que les
nouveaux-nés produisent leur premier pet 30 minutes après la naissance.
– Manger trop rapidement, mâcher du chewing-gum,
respirer anormalement, augmentent le volume des pets par 3 ou 4.
– La moyenne quotidienne des pets d'un individu adulte
en parfaite santé est de 14 pets par jours.
– Les femmes pètent 5 fois moins que les hommes.
– La quantité de gaz produit quotidiennement par un
individu adulte en parfaite santé est de 13 à 15 litres.
– Une altitude de 7.000 m augmente par trois ou quatre
la production de pets d'un individu.
– 12 % des Américains avouent avoir été tenté de
mettre le feu à leurs pets mais seuls 3 % se sont brulés le kul.
– 71 % des personnes avouent trouver du plaisir à
péter en nageant.
– 67 % déclarent lâcher leurs vents dans leur voiture
ou les transports en commun, bus, métro et train.
– 21 % des Américains avouent avoir pété dans leurs
mains et la moitié reconnaissent qu'il s'agit d'un comportement anormal.
– 96 % des enfants Hollandais avouent aimer péter à
l'école pendant les cours.
– 52 % des Américains et 49 % des Hollandais avouent
ne pas revendiquer leurs pets et accusent une tierce personne.
– 1 % des péteurs attendent que leur partenaire pète
pour en faire autant.
– 8 % des péteurs pètent devant leur chien pour
s'amuser.
– 1 % des péteurs font des concours de pets avec leur
conjoint.
– 0,5 % des péteurs trouvent irrésistible de péter
dans les enterrements.
– 7 % des péteurs s'amusent à péter dans l'eau du bain
et un tiers de ceux-ci ont déjà tenté de récupérer le pet avec un verre placé à
l'envers pour tenter de l'enflammer…
Intéressant, n’est-ce pas.
Résultat d’un audit sur les appréciations des
collaborateurs : Une compilation de médisances qui en dit long sur la
performance de la « boutique » !
« – Travaille
bien, seulement quand il est sous surveillance constante et qu'il est coincé
comme un rat dans un piège.
– Je ne
permettrais pas à cet employé de se reproduire.
– Depuis
mon dernier rapport, il a atteint le fond et il a commencé à creuser.
– Elle
se fixe des niveaux de performance très bas et ne les atteint jamais.
– Cette
employée devrait aller loin, et plus tôt elle partira, mieux ce sera.
– Ce
collaborateur prive tout un village, quelque part, d'un idiot.
– Ce
n'est pas le couteau le plus tranchant du tiroir.
– Un
gros ignorant, cent fois pire qu'un ignorant ordinaire.
– A une
excellente mémoire photographique, mais avec le capuchon de la lentille collé
dessus.
– Aussi
clair que la banquise en Décembre.
– Un
organisme unicellulaire le bat sur les tests de Q.I.
– A
donné son cerveau à la Science, avant d'en avoir fini avec.
– Est
tombé de l'arbre généalogique.
– Les
barrières sont descendues, les lumières clignotent, mais le train n'arrive pas.
– A
deux cerveaux : Le premier est perdu et le second est parti à sa recherche.
– Si
les cerveaux étaient taxés, il obtiendrait un rabais.
– S'il
était plus stupide, il faudrait l'arroser deux fois par semaine.
– Si
vous lui donniez des centimes pour chacune de ses pensées, vous obtiendriez de
la monnaie.
– Si
vous vous placez assez proche de lui, vous pouvez entendre l'océan.
– Certains
boivent à la fontaine de la connaissance, lui ne fait que se gargariser.
– Le
plus dur, c’est de penser qu'il a battu plusieurs millions de spermatozoïdes. »
Merci à toutes et à tous : Bon week-end quand
même à vous !
I3
PS : Ô mon Dieu : Le carré de Jacques !
Deux vaches folles chrétiennes se retrouvent à une
réunion de prières.
Que se disent-elles ?
« Prion ! »
Un pasteur rencontre une de ses paroissiennes qu'il ne
voit jamais au temple.
Comme il s'en étonne, la dame lui déclare :
« – Oh je
suis croyante, Frère, mais je ne pratique pas.
– C'est
comme moi »,
répond le pasteur : « Je suis
nudiste, mais je ne pratique pas. »
« Un athée,
c'est un raté qui n'en a pas l'air »
(Pour ce qui n’ont pas les neurones en place : un
Raté sans R, quoi !)
À l’université libre, en cours de théologie…
Le professeur, doctement :
« En fait,
il n'y a pas eu de réel miracle lors de la traversée de la mer rouge, par Moïse
et le peuple d'Israël ; en effet, de nombreuses personnes s'accordent pour dire
qu'il est fort probable que des vents contraires aient balayé la mer de droite et
de gauche, la soulevant et laissant à nu le sable… Ce qui permit aux hébreux de
passer les pieds dans un maximum de 10 cm d'eau…
Donc,
il nous faut relativiser les choses.
Moïse,
qui habitait depuis des années dans la région, connaissait parfaitement le
phénomène et s'y attendait le jour où il est allé chercher le peuple hébreu en Égypte. »
Soudain dans la salle, Moshe, un étudiant équipé de papillotes et de kippa, se met à
sautiller de joie, et à crier :
« – Miracle
! Miracle !
– Mais calmez-vous,
taisez-vous, calmez-vous puisque je viens de vous dire qu'il n'y avait pas de
réel miracle, vous n'avez rien compris…
– Si,
Si, il y a eu miracle ! … Toute l'armée des Égyptiens s'est noyée dans 10
cm d'eau ! »
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