Procurer's
Management Information System
Au départ, il s’agit d’un programme informatique inventé par la NSA, pour
le Département de la Justice.
En 1970, Bill Hamilton, ancien ingénieur et programmeur de la NSA, (National
Security Agency), invente un logiciel informatique appelé « PROMIS »
(Système d'information et de gestion du Procureur) en vue de faciliter les
poursuites judiciaires.
C’était, pour l'époque, une considérable avancée dans le monde de
l'informatique.
Tel que ce logiciel se retrouve installé sur des systèmes informatiques en
réseau, ou sur des ordinateurs personnels, il était en mesure de faire ce qu’aucun
programme ne sait faire avant lui, ou n'avait été capable de faire.
« Promis » était capable de lire et d'intégrer simultanément,
n'importe quels chiffres issus de différents systèmes informatiques ou bases de
données, et ce, quel que soit le langage dans lequel le programme initial ou le
système d'exploitation avait été écrit : Un truc fabuleux qui permettait à
l’ère de l’informatique de croiser toutes les données imaginables en vie de
traquer les voyous.
Dans les années quatre-vingt, ça commence à déraper, et c’est comme ça
qu’on découvre, par petits-bouts la puissance du « bidule ».
Sous le mandat du président Reagan, Ed Meese, confident du président et
superviseur des affaires intérieures (de 1981 à 1985), sera littéralement
subjugué, par une série de démonstrations du logiciel « Promis ». Ce
dernier pouvait être très facilement installé sur n'importe quel ordinateur, de
n'importe quel bureau de Procureurs aux États-Unis et était en effet capable de
gérer n'importe quelles données, qu'elles soient chiffrées ou en langage écrit,
qu'il s'agisse de mouvements financiers, de volumineux documents écrits, ou
encore des données permettant de suivre les déplacements d'un individu, par
recoupement et analyse des horaires de vols d'avions, de trains, de cars, voire
encore par l'étude des appels téléphoniques et de leur provenance.
S’il devait, au début, servir uniquement aux Bureaux des Procureurs, pour
les aider dans leur travail d'enquête, le Département de la Justice, très
intéressé, ordonna que le logiciel entre en service sous une licence, aussi
sévèrement contrôlée que limitée.
Et c’est « Inslaw Inc. », une société de Washington, qui
s'occupera de la vente du logiciel, à partir des années quatre-vingt.
À partir de ce moment-là, les choses prennent une tournure qui changera
radicalement le rôle premier de Promis et surtout la raison pour laquelle il
est extrêmement redoutable pour tout utilisateur qui l'aurait installé sur son
ordinateur personnel ou un réseau informatique.
Ed Meese, avec la complicité de D. Lowell Jensen et Earl Brian, organise
ce qu'il faut bien appeler une trahison, pour ne pas dire un complot.
Les trois hommes voulurent voler une version du logiciel « Promis »,
le modifier, en y incluant une « trappe », une « porte dérobée »,
par laquelle ceux qui en connaitraient l'existence, pourraient avoir accès à
d'autres ordinateurs, par le biais du logiciel. Et par la suite, de vendre
cette version trafiquée, à des agences de renseignements.
Ce qui arriva, non sans éveiller des soupçons de Bill Hamilton. Il avait remarqué
que des pays inhabituels, comme le Canada, cherchait à acquérir un service
informatique d'assistance francophone, alors que Hamilton n'avait jamais rien
vendu au Canada.
Était-ce une simple coïncidence, ou le fait que certains étaient bien en
train de manœuvrer dans son dos, pour se débarrasser de lui ? Cela
avait-il un rapport avec les soupçons qu'avaient Hamilton sur un détournement
de son logiciel ?
Toujours est-il que Hamilton subira des attaques de la part
du Département de la Justice, de Regean et de « Boubouche ». Il y aura plusieurs
décisions de justice, qui visaient ostensiblement, à le pousser à la faillite
et le faire se retirer des affaires.
Dans l'histoire de « Promis », la CIA ne restera pas de marbre
très longtemps. Par le biais de la société GE Aerospace de Herndon, en Virginie
(contrat n° 82F624620 du GAO, pour « Government Accounting Office »),
fera grandement modifier le logiciel. La NSA ne restera pas inactive à son tour
et le modifiera tout comme d'ailleurs le
FBI.
Le changement le plus notable, en dehors du fait d'y ajouter des « portes
dérobées », sera réalisé par la CIA. Elle fera ajouter une AI, pour
« Artificial Intelligence », au logiciel. La plupart des
développements qui touchèrent la mise au point de l'AI ont été réalisés au Los
Alamos National Laboratory et aux Laboratoire Sandia, à partir de recherches
menées par plusieurs universités Américaines, dont Harvard, le California
Technology et l'université de Californie.
Et c'est bien-là le changement radical – l'ajout d'une Intelligence
Artificielle (des routines informatiques et automatiques) – qui fera de Promis un programme hors du commun : Ce dernier
se retrouve capable de « penser », de comprendre l'ensemble des
langues et des langages informatiques de la planète tout en pénétrant dans
n'importe quels autres systèmes informatiques, d’y entrer des données, de
modifier celles qui y sont déjà et aussi d'avoir une capacité, par une synthèse
et une étude de tous les renseignements recueillis, de prévoir ce que ferait
les gens, avant même qu'ils ne le fassent.
Depuis, d'autres informaticiens ont mis au point des logiciels similaires qui
existent toujours, comme le « Smart », « Self Managing
Artificial Reasoning Technology » ou « Technologie de Raisonnement
Artificiel Autogérée ».
Mais si et vous dormiez tranquillement sans le savoir, jusque-là ?
Les trois hommes les plus liés à « Promis » à cette époque,
étaient trois camarades de promotion de l'Académie Navale d'Indianapolis :
Jimmy Carter (Président des États-Unis), Stanfield Turner (le Directeur de la
CIA à l'époque) et Jackson Stenphens de l'Arkansas, un banquier milliardaire,
connu pour « faire et défaire les présidents » (avec lequel Carter
partageait la chambre à Indianapolis).
Après avoir été modifié par la CIA (en le perfectionnant avec des
capacités d’AI), le logiciel « Promis » aurait été couplé avec un
autre logiciel, de la société Systematics (aujourd'hui nommée Axciom), qui
appartenait à Jackson Stephens.
Entre la fin des années soixante-dix et le début des années quatre-vingt,
Systematics gérait 60 à 70 % des transactions électroniques aux États-Unis, en
ayant des liens avec la Worthen Bank, le Lippo Group, la BCCI (la fameuse
banque impliquée dans le blanchiment de l'argent de la drogue et différentes
agences de renseignements).
L'objectif était clair : Avoir la possibilité de pénétrer dans tous les
systèmes bancaires de la planète. Cela aurait ensuite permis à « Promis »,
de prévoir, surveiller et influencer les marchés financiers de la planète.
Il y aura également la trace d’un agent du FBI à la retraite (ancien « Special
Agent in Charge », « Agent Special Responsable »), du bureau de
Los Angeles et un ancien agent de la CIA, qui apporteront d'autres
informations.
Toutes les pistes poursuivies par des enquêteurs canadiens – dont le
gouvernement avait acheté une licence vérolée de la « porte
dérobée », remonteront vers Riconoscuito, un scientifique et aussi informaticien
qui sera lié aux modifications de « Promis ».
Les innovations qui donnèrent naissance à l'intelligence artificielle
ajoutée à « Promis », venaient en partie de l'université d'Harvard,
et la majorité de la recherche lié à la programmation informatique, sera
déplacée au Canada et concentrée à l'INSNA, « International Network for
Spécial Network Analysis » (« Réseau international d'analyse des
structures sociales »), à Toronto.
Les choses deviennent plus complexes, quand on découvre que Winokur, était
le dirigeant de la société « Capricorn Investments », qui jouera dans
les années quatre-vingt un rôle essentiel dans la gestion d'un sous-traitant du
gouvernement et du renseignement, qu’est la méga-société « DynCorp »
de Reston, en Virginie. Et en 1980, Winokur avait été l'un des acteurs dans
l'évolution de « Promis », tout en étant membre du conseil
d'administration de l'université d'Harvard, et il occupa aussi le poste de
directeur général de la société « DynCorp » de 1989 à 1997.
Et là, et de plus, comme par hasard au cours des années quatre-vingt-dix,
la Fondation Harvard a bénéficiée – hors marché – de retours sur investissement
tout-à-fait inhabituels, et libres de tout impôt. Il faut savoir que
l'université d'Harvard, par le biais de sa Fondation, détient un fond
d'investissement d'un capital de dix-neuf milliards de dollars (dont certains
proviennent d'immeubles subventionnés par le HUD, « House Urban Department »
(le « Ministère du logement »). Et a fait plusieurs investissements
dans les technologies « High-Tech » de la Défense, et aussi dans « Herken
Energy », la société que détenait « Gorge-Boubouche ».
Notez qu’alors que la Fondation Harvard présentait en 1999 des bénéfices
records, dans le même temps, le HUD devra soumettre en cette même année 1999,
un « réajustement manuel » de 59 milliards de dollars, pour combler
une différence entre ses comptes et ceux du Trésor Américain (il n'y pas
d'erreur, ce sont bien 59 milliards qui ont disparu des comptes du HUD).
Ces fonds subtilisés l'ont été dans le cadre d'une opération réelle sur le
terrain orchestrée par la CIA, pour un test grandeur nature, de l'utilisation
de « Promis », pour par exemple s'accaparer de l'argent ou le
détourner, en allant le chercher durant plusieurs années, directement à
l'intérieur des comptes budgétaires ou bancaires.
À l’époque, la CIA prépare déjà une réponse à la « guerre
économique » (l'arrivée de l'Euro, présentée comme devant concurrencer le
dollar Américain, étant prévue en 2002).
Le 22 mars 2000, l'Inspectrice Générale du « Departement of Housing
and Urban Development » témoignera devant la commission parlementaire des
Réformes Gouvernementales pour répondre à des questions sur la disparition des
comptes du HUD de 17 milliards en 1998 et de 59 milliards en 1999.
Elle se dira incapable d'expliquer ce qu'il était advenu de cet argent.
Ce n’est pas le seul « trou » dans la comptabilité d'un
organisme gouvernemental.
Il s'en produit un peu partout sur différents « postes budgétaires »,
et assez régulièrement.
« Quelques exemples :
– Disparus des comptes du
Ministère de la Défense en 2000, source : conférence de presse de Donald
Rhum-sfeld le 10 septembre 2001 et CBS News du 29 septembre 2002 : 2.300 milliards
;
– Disparus des comptes du
Ministère du Logement en 1998 : 17 milliards ;
– Disparus des comptes du
Ministère du Logement en 1999 : 59 milliards ;
– Fonds gouvernementaux
Américains versés à des sociétés et des individus qui ne sont pas habilités à
les recevoir, source : Agence de presse Reuters : 20 milliards ;
– Capital d'actions perdu
suite à des fraudes financières, source : Fox News : 600 milliards.
Et encore, ce ne sont que
des montants connus sur des faits vérifiés », en dira « Harry Harrison junior n° 4 » à
« Charlotte » lancé sur la piste des milliards disparus du Koweït
dans les premiers jours de l’invasion irakienne d’août 1991.
Et comme en matière d’argent, rien ne se perd ni s’égare, tout est pisté,
tracé, identifié, notamment grâce à « Promis » et sa descendance,
dont « Prims » révélé par Edward Snowden, il y en a forcément qui
savent…
Une autre société Canadienne nommée « Geomatics », au cœur du
programme spatial de ce pays, est liée à ces technologies : Imagerie
satellitaire (utilisée pour développer des systèmes d'informations
géographiques) ; systèmes de positionnement universel (de type « géolocalisation »)
; la possible détection des ressources naturelles comme le pétrole ou les
métaux précieux, à partir de l'espace. Cette société offre ses services partout
dans le monde.
Et à partir du moment où « Geomatics » apparaissait, émergeait
dans le même temps et son sillage, presque toujours, la société « Lockheed
Martin ».
Dans ce contexte, le logiciel « Promis », en plus de pouvoir
tout savoir, par l'infiltration dans les systèmes informatiques, de pouvoir
connaitre en profondeur les ressources disponibles de chaque pays, permettait
d’établir une base de données des ressources naturelles commercialisables.
Une version modifiée et améliorée du logiciel « Promis »,
pourrait rapporter des milliards de dollars, tout en surveillant et manipulant
la politique mondiale, pour pouvoir opérer des opérations de spéculations sur
n'importe quelles matières premières, agricoles, souterraines ou sousmarines.
Mais pas seulement : Pouvoir traquer n’importe qui, n’importe quel
financement, n’importe quel individu, avec l’apparition dans l’orbite de
« Promis » de société comme Sandia, Cal-Tech, Micron, Institut Universitaire
de Technologie de Graz, Oded Leventer et Massimo Grimaldi, l’emprise du
logiciel et de ses dérivés devient monstrueuse.
De plus, plusieurs ingénieurs spécifiques ont fait des recherches sur le
logiciel et qui travaillaient au sein pour des sociétés militaires et privées.
Des commissions parlementaires spécifiques avaient été infiltrées par des
versions « améliorées » du logiciel. Un logiciel qui a donné
naissance à quatre nouveaux langages informatiques qui apportèrent la
possibilité de positionner des satellites si loin dans l'espace, qu'ils étaient
désormais intouchables. Tout comme il y a eu une très nette amélioration,
jusqu’à l’extrême dans la performance vidéo de la vision par satellite et de
leur traitement en direct.
La version du logiciel vendu au Canada était trafiquée et munie d'une « trappe ».
Les Canadiens pensaient l'avoir neutralisée, en retouchant le logiciel, mais
leurs données étaient toujours accessibles par la puce « Elbit », qui
passait outre la trappe et transmettait toutes les données, alors que tout le
monde pensait que les ordinateurs étaient protégés, puisqu'ils étaient éteints.
Les puces « Elbit » avaient une caractéristique unique : Elles
s'alimentent sur la pile interne de l'ordinateur. En d'autres termes, elles
fonctionnaient aussi quand l'ordinateur était éteint. Et lorsqu'on les combinait
avec les puces « Petrie », des puces récemment développées (qui sont
capables de stocker l'équivalent de six mois de frappe sur un clavier), il
devenait alors possible de transmettre d'un seul coup et en plein milieu de la
nuit, toutes les données d'un ordinateur à un autre, par le biais d'un émetteur-récepteur,
d’un modem, par Bluetooth, ou par connexion « Wifi », ou bien encore sur
un récepteur présent dans un satellite de basse altitude.
Il est clair qu’en matière le piratage depuis que certains produits
Microsoft en ont été victime depuis les usines de « GE Aerospace » de
Herndon en Virginie, des répercussions importantes sont probables sur n'importe
quels produits qui utiliseraient Windows.
Et ce n'est certes pas un hasard si l'US-army, tout comme de nombreuses
agences de renseignements des États-Unis, utilisent encore aujourd'hui le
système d'exploitation « Unix »…
Selon Bill Hamilton, l'intelligence artificielle ajoutée au logiciel,
aurait aussi été développée pour les systèmes bancaires du monde entier, afin
de pouvoir suivre les mouvements d'argent, transactions boursières et autres
échanges financiers.
La société « Systematic », rachetée depuis par « Altell »
(une société technologique et financière de l'Arkansas, dirigée par le
milliardaire Jackson Stenphens) est considérée comme la première à avoir adapté
« Promis » pour le renseignement financier. Depuis, ses logiciels ont
évolué eux aussi.
Et « Systematic » est restée pendant des années le premier
fournisseur de logiciel de transferts d'argent interbancaire de pays à pays. Or,
parmi ceux qui ont été en lien avec la société « Systematic » et « Promis »,
on trouve Webster Hubbel, « Hilare-riz Pinton » lorsqu'elle était
avocate et Vince Forster (ce dernier étant décédé depuis).
Une excellente enquête du Washington Times (en plusieurs articles),
démontrera que le logiciel « Promis » avait aussi été vendu à
plusieurs pays étrangers, dont le Royaume-Uni, l'Allemagne et Israël. Et que
Robert Hanssen, un agent du FBI qui sera plus tard reconnu coupable
d'espionnage, était celui qui était chargé de la maintenance et des « mise-à-jour »
du logiciel, pour les utilisateurs étrangers.
De plus, Hanssen avait aussi fourni le logiciel à des personnalités du
crime organisé Russe.
Pour cette raison, les institutions Américaines arrêteront tout-de-suite
d'utiliser « Promis », mais pas les agences de renseignement, qui œuvrent
encore seulement sur leurs modèles les plus évolués d’IA ou en utilisant « Prims »,
le descendant de la NSA.
En effet, le 17 octobre 2001, un mois après le 11 septembre, deux porte-la-parole
du bureau des affaires publiques du FBI, annoncèrent que « le FBI avait arrêté d'utiliser le logiciel
Promis ».
Le 24 octobre, le porte-parole du Département de la Justice, interrogé sur
le sujet, refusera de répondre à la moindre question sur, où, quand et comment,
ils avaient utilisé le logiciel « Promis ». Il se contentera de
déclarer : « Je peux seulement
confirmer que le DoJ a arrêté d'utiliser ce logiciel » Ils en utilisent d'autres bien plus performants.
Tout ce que l'on sait, c'est que ce logiciel a en effet et depuis été remplacé par les
Américains et leurs alliés, par un autre programme, plus puissant, mieux
sécurisé.
Et « qu’Inslaw Inc.» n'était pas la seule société de production
de logiciels équipant les organismes de l'appareil d'État des États-Unis.
D’ailleurs cette dernière continue de produire et de vendre des logiciels
de gestion et de fournir des solutions informatiques au secteur public et privé
aux États-Unis et en Europe.
Pour des tribunaux, des services juridiques d'entreprises et du
gouvernement, des cabinets d'avocats, des compagnies d'assurance des bureaux de
réclamations des litiges et des unités spéciales d'enquête, et des organismes pénaux,
sans doute équipés des « portes dérobées » d’origine voire améliorées.
« Promis » a aussi fait des petits avec une version grand
public, pour la gestion des ressources et le management des systèmes
d'informations, dans les milieux associatifs, sportifs et éducatifs :
C’est le « Program Ressouces and Outcomes Management Informations System »,
baptisé également « Promis »… pour son effet de notoriété.
En bref, il existe quantité de solutions pour mettre sur fiches, fichiers
serait plus exact, n’importe qui à partir de n’importe quelle base de données,
privées ou publiques, des fichiers de sécurité sociale, des comptes bancaires,
des images de caméras de surveillance installées dans tous les lieux publics,
du passage des frontières, des gares et transport en commun (même les bus en
sont équipés) et « fesses-book » regorge de selfies, de vidéos prises
depuis des caméras « go-pro », des puces géo-localisatrices de vos « aïe-phone »,
des bornes de caisses de supermarché, avec le détail de vos achats, tel que l’IA
installée dans ces logiciels alimentés par toutes ces sortes de données
recoupent instantanément toutes les informations, en continu ou sur requête,
vous concernant jusque dans le moindre détail et dans une profondeur
insoupçonnée par quiconque.
’est l’heure de « Big-Data » qui ressemble à s’y méprendre à « Big-Brother »
que vous ne pouvez déjà même plus vous insurger.
D’ailleurs, qui aurait cette idée aussi « sotte que grenue »,
puisque c’est pour le bonheur et la sécurité de chacun et du plus grand nombre,
organisé en « Gauloisie-des-libertés » par les lois Hadopi,
renseignements, sécurité et même l’état d’urgence, SVP ?
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