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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 23 juillet 2018

Cacophonie !

Fabuleux : « Jupiter » a donc sa milice-privée…


Moâ, je ne sais pas, on te nous « triture » la Constitution en douce, on te vous prépare la « Gauloisie-de-demain » avec ses coupes franches dans les dépenses « distribuées » au lieu de s’attaquer fermement aux gâchis de l’action publique et au train de vie de la collectivité, aux coûts cachés des décisions gouvernementales, aux « effets pervers » qu’elles emportent, on persiste à démanteler le paysage social alors que de l’autre côté de l’atlantique il y a un grand malade-mental qui pisse sur ses alliés, qui chie l’Otan, qui rabroue les anglais, allemands, européens (et même les Monténégrins) mais fait copain-copain avec tous les dictateurs pas encore destitués et eux, tout ce qu’ils ont à fournir, ce sont des images d’une « petite-frappe » déguisé en CRS qui castagne en marge du 1er mai, on ne sait même pas pourquoi, le tout filmé par des militants « Insoumis » qui n’identifient même pas leur bonhomme !
Sans compter le film de pris par une autre qui montre bien la « sauvagerie » de quelques « mignons » dont la victime en dira : « Ce sont des malades » !
Bé oui : De grands-malades…


En réalité, il faut 79 jours (deux mois et demi) pour que la « presse aux ordres » vous balance le « bidule »…
C’est là le plus grand scandale de ces malades-là.


Remettons donc les choses à leur place : « Benne-Allah » n’était pas à sa place ce jour-là. Il n’avait pas non plus à intervenir. Mais les flics de la compagnie de CRS l’ont laissé faire sans intervenir sur la place Monge (Paris-sur-la-plage, 5ème arrondissement : je connais bien…), la trouille au ventre de se prendre une réprimande.
Que sont devenus le mek à terre et la meuf « enlevée » ?
Tout le monde s’en fout…
Ce qui compte, c’est de jeter le « mignon » des « milices-privées » de « Jupiter » aux enfers : Il n’aura été puni que « 15 jours sans salaire », mais ressort de son placard élyséen à toutes les occasions…
Bé c’est qu’il est indispensable au maître des lieux, pardi !
Imaginez un peu que « Juju-Gallet » (la celle qui sexualise « Tagada-à-la-fraise-des-bois ») se déguise en « Cat-woman » et aille bastonner en douce la gay-pride : Croyez-vous qu’elle aurait reçu plus qu’un blâme ?
La fessée peut-être, même si je ne suis pas sûr que « Gras-Nul-Laid » sache en donner : Il aurait encore eu des états d’âme entre lui et lui-même…
« Air-Do-Gan », le « poète turc » qui vient de lever l’état d’urgence dans son pays, aura licencié un flic pris en train de tabasser un homme à terre.
Mais lui, c’est un dictateur, qui fait la guerre, aux terroristes, aux kurdes, alors que chez nous, on est dans une « démocrature » tout ce qu’il y a de plus respectueuse de l’état de droit, n’est-ce pas !
Pas d’amalgame : Les faits parlent tous seuls…


Du coup, la justice aura annoncé jeudi dernier l’ouverture d’une enquête préliminaire. Personnellement, j’aurai déjà saisi un juge chargé d’instruire… C’est bien que « les gens du château » ont eu le bras assez long pour tenter d’étouffer l’affaire en amont…
La « sécurité » de « Jupiter » – jusque-là assumée par une pléiade de fonctionnaires assermentés – était renforcée par un « chargé de mission » ayant qualité d’adjoint au chef de cabinet du président, soutenu par les « fratries-trois-points » alors qu’il avait des « amitiés louches » (On l’a su copinant avec un proche d’un proche du « logeur de Daech »…).


Et de nous vous préciser que depuis il aura été muté à des « fonctions administratives », ayant reçu « la sanction la plus grave jamais prononcée contre un chargé de mission travaillant à l’Élysée », aura souligné le porte-la-parole de la présidence.
Le pôvre, il ne s’occupe plus des déplacements présidentiels : Il ne pourra plus le suivre partout où il va son cowboy « Jupiter » solitaire…
Luke « pas le chanceux »…
Une nouvelle ère s’amorce donc.


Faut vous dire, « Messieurs-Dames », que ce gars-là n’est pas sorti de la cuisse de « Jupiter » (sans jeu de mots oiseux). Il aura commencé à travailler dans le cercle politique à 20 ans, a collaboré avec « Titine-Eau-Brie », « Le Capitaine-de-pédalo » et même avec « Hard-No-Monte-et-bourre-là ».
En 2010, il aura intégré le service d’ordre du « P.Soce », constitué de bénévoles. « C’est moi qui l’aie recruté et formé. Il fonctionnait bien, je n’avais aucun souci avec lui. Il avait des facilités concernant les techniques de protection rapprochée » en dit l’ancien chef du service d’ordre du parti.
En 2011, il est d’abord chargé de la protection de la maire de Lille avant d’être embauché dans le service d’ordre du candidat qui a été choisi comme canasson pour battre « Bling-bling » en 2012.
« Il a acquis à cette période (2011-2012) une grosse expérience de terrain qui est aussi enrichissante qu’une formation dispensée dans une école de sécurité ».
Après cette élection, le gaillard part travailler pour le « sinistre-du-dressement-national et industriel », qui l'embauche comme chauffeur. Mais l’ancien ministre décide de le virer « manu militari » : « Au bout d’une semaine après une faute professionnelle d’une première gravité ».
« Il avait provoqué un accident de voiture en ma présence et voulait prendre la fuite », a raconté l’ancien sinistre reconverti dans la « sensualisation » d’une ministre assez jeune pour lui pondre un marmot.
Cet épisode ne semble pas avoir affecté sa carrière. Il part dans « le privé » en 2015, puis sur arrêté d’« Air-Eau » alors « premier-sinistre » du pays, il intègre la session « jeunes » de l’Institut des hautes études de la sécurité et de la justice pour y suivre une semaine de formation de haut niveau à l’école des officiers de la gendarmerie à Melun.
Et fin 2016, il est nommé, responsable de la sécurité du candidat d’En marche (même-pas-en-rêve) ! Un poste qui pourrait sembler un peu surdimensionné pour lui. « Il est entré à En Marche ! dès l’origine et il est très consciencieux. Or, à ce type de poste on place des hommes de confiance », nous explique-t-on.
Les « MacronLeaks » le montrent même réalisant un devis pour commander deux pistolets à balles en caoutchouc, un Flash-Ball et des boucliers anti-émeutes pour son équipe !
Une demande refusée par le trésorier de campagne du candidat en marche-même-pas-en-rêve…

En avril 2017, le journal Midi Libre avait également rapporté une anecdote sur lui : Alors qu’il était chargé d’assurer la sécurité d’un meeting du candidat à l’AccorHotels Arena, il « avait imaginé un dispositif. Une trappe avait été sciée. En cas de tir, le pupitre devait basculer et Emmanuel Macron se retrouver dans la partie creuse de la scène où avait été placés un kit de secours et un gilet pare-balles », avait raconté le coordinateur des opérations de campagne du parti.
Un gamin qui fera joujou plus tard avec une bagnole de fonction digne d’un James Bond…
Du moment que c’est avec vos impôts et pas les miens… rien à dire !
Selon Le Monde, des témoins l’auraient vu « soulever de terre et évacuer manu militari un photographe local, qui s’était approché de trop près » de « son homme », mais aussi s’en prendre « à un commissaire de police en tenue, accusé de ne pas libérer assez vite le passage au président de la République ».
Permettez-moi d’en rire…


Ceci dit, l’agression du 1er mai pose également des questions : Vous filez par mégarde à 90 km/heure sur une ligne droite sans séparateur central, vous serez traqué comme un grand délinquant-routier, un malade dangereux qui évitera la prison faute de place mais n’échappera pas à une forte amende et quelques retraits de points sur votre permis.
Vous portez un casque de CRS, un brassard de flic, le tout usurpé, vous tabassez quelques citoyens de passage, vous vous retrouverez aux « questions administratives » des déplacements présidentiels.
Elle est si belle la République de mes aïeux !
Le « Monde d’après » a du mal à émerger, finalement…
Je me demande si avant de se laisser tabasser par un flic (en civil ou en tenue) on ne sera pas dans l’obligation de lui demander préalablement sa carte de police.
Et s’il ne la sort pas assez rapidement, de se considérer de facto comme en état de légitime défense face à une agression…


Ceci dit, je n’ai pas été le premier à en faire la remarque : Immédiatement le « brûlot » sorti des rotatives, vous avez pu assister à une levée de boucliers unanime : Le son de l’hallali avent celui de la curée ?
Presque pire que pour « Trompe » dont la langue « fourche »…
Lui, quand il dit « un truc », ce n’est même plus ce qu’il veut dire : C’est dire s’il doit être « chargé » en permanence.
Au moins « Jupiter » a eu le « mot juste » : « La République est inaltérable ! »
Et l’acier inoxydable…
« Après la pluie, le beau temps », « le jour succède à la nuit », je peux vous en sortir un paquet, des lapalissades comme ça…
Tout autant « jupitériennes » !


« Scandaleux », « sidérant », « grave », les condamnations s’enchaînent dès mercredi soir. La « Gauloisie-insoumise » (LFI) aura été la première à réagir : « Que tout cela ait pu avoir lieu est absolument sidérant, c’est grave, c’est un délit », un autre s’interrogeait sur la gestion de cette affaire, en se demandant « pourquoi les policiers l’ont laissé faire et pourquoi la justice n’a pas été saisie » au moins pour usurpation de fonction sinon violences-gratuites.
Les « Soces » et membres des « Républicains-démocrates » ont également pris part à la condamnation collective : Le premier secrétaire du « P.Soce » s’est inquiété de ce que l’article 40 du Code de procédure pénale n’a pas été respecté par le directeur de cabinet de « Jupiter » et de dénoncer le « sentiment qu’il y a deux républiques. (…) Deux poids, deux mesures ».
Hein comme si c’était nouveau…
« Veau-Qui-Est » a lui aussi dénoncé le comportement du bonhomme : « À l’Élysée, on se croit au-dessus de tout. (…) Quand on est à l’Élysée, on doit montrer l’exemple ».
Rigolo comme tout, n’est-ce pas…


Et côté des suppôts de « Jupiter » on tentait encore d’apaiser les tensions.
Le secrétaire d’État chargé de la Cohésion des territoires a rappelé que « des sanctions ont été prises immédiatement » et d’insister sur la rapidité à laquelle les sanctions disciplinaires ont été prises par la hiérarchie.
La « Garde-des-sots » et néanmoins « sinistre de la justice » s’est quand même payé le luxe de s’emmêler les pinceaux : Évoquant des « gestes absolument inadaptés » elle en a appelé, « si cela paraît nécessaire », au procureur pour prendre « les décisions qui s’imposent ».
Pas frileuse du kul, celle-là…
« Évidemment, j’ai vu comme vous les faits qui sont advenus au courant du mois de mai. La personne qui a commis ces faits était sur cette manifestation sans autorisation, ce qui évidemment pose une difficulté », a-t-elle répondu à l’Assemblée Nationale. Par malchance, il était « autorisé »…
« Les agressions, je ne sais pas si c’est le mot juste, mais en tout cas les éléments qui ont été révélés par les films qui ont été diffusés témoignent effectivement de gestes absolument inadaptés, d’autant que la personne en question avait usurpé ou en tout cas portait si j’ai bien vu une identification qui l’assimilait aux forces de police et tel n’était pas le cas », a-t-elle poursuivi.
Non, il n’y a pas eu d’agression : L’arbitre-vidéo n’a rien vu… !
Des propos qui viennent contredire la version donnée par le directeur de cabinet de « Jupiter » auprès du Monde : « Alexandre Benalla m’avait prévenu deux jours plus tôt qu’il souhaitait participer à une intervention auprès de la Préfecture de police pour voir comment se gérait une grande manifestation, à l’occasion du 1er Mai. Il m’en a demandé l’autorisation, je la lui ai donnée, mais en précisant bien qu’il y allait en observateur ».


Le secrétaire général délégué du syndicat Alliance (de la police), précise ce qui l’étonne plus, c’est le positionnement inhabituel pour un observateur de manifestation : « D’habitude, les observateurs restent dans les salles vidéos où ils peuvent très bien voir ce qui se passe lors de la manifestation. Et quand ils vont sur le terrain, ils sont cantonnés au deuxième rideau, c’est-à-dire aux rues adjacentes dans lesquelles se tiennent les CRS susceptibles de venir en renfort à leurs collègues du premier rideau. Un observateur ne va jamais tout seul au contact des manifestants », insiste-t-il.
Le fait qu’il ait été équipé d’un casque à visière des forces de l’ordre alors qu’il n’est pas policier est aussi étrange, selon lui.
Autre règle pour les observateurs de manifestation : « Ils sont toujours accompagnés d’un tuteur haut gradé. Mais sur les images, on ne le perçoit pas, où était-il ? ».
Le porte-la-parole lui apporte la réponse : Il était « accompagné ce jour-là de Monsieur Vincent Crase, un gendarme réserviste, par ailleurs employé de la République en marche, très ponctuellement mobilisé, comme d’autres réservistes, par le commandement militaire de la présidence de la République ».
Et d’ajouter : « Ayant outrepassé son autorisation de la même manière qu’Alexandre Benalla, il a été sanctionné, comme lui, par une mise à pied de 15 jours avec suspension de salaire. Il a été également mis fin à toute collaboration entre lui et la présidence de la République. »
Mais non, il n’y a pas de « milice-privée » organisée à l’Élysée.


Sur les images, on le voit pourtant traîner violemment le manifestant par le cou, le frapper derrière la tête, puis lui assener plusieurs coups de pied au sol. Et les CRS autour de lui ne le stoppent pas. Une absence de réaction que syndicaliste explique par plusieurs raisons : « Premièrement, les CRS ne savaient pas forcément qu’il s’agissait d’un observateur, puisqu’il portait un casque de policier. Par ailleurs, lors d’une manifestation de la sorte, ils sont susceptibles de prendre des pavés et ont beaucoup à faire pour sécuriser les lieux ».
En fait pas du tout : Il y avait RDV post-manifestation entre amis. Ce sont les CRS qui ont bloqué le quartier après coup. Et ça a dégénéré…
Mais ce qui passe mal auprès des policiers c’est  que : « Il s’est pris pour un policier alors qu’il n’en était pas un. Il n’a fait preuve d’aucun sang-froid lors de la manifestation. Il a jeté l’opprobre sur les forces de sécurité. Et il a bénéficié d’une certaine clémence, ce qui n’est jamais le cas pour les policiers. Nous ne comprenons donc pas que dans une République qui se veut exemplaire, des sanctions à deux vitesses puissent exister ».
Le syndicat Alternative Police CFDT va dans le même sens : « Si ces faits avaient été perpétrés par un policier, faits qui n’en auraient pas moins été inexcusables, il aurait fait immédiatement l’objet d’une procédure judiciaire et placé en garde à vue, d’une procédure administrative avec une suspension ou un changement de service. Il aurait également été présumé coupable avant même la fin de l’enquête. »
Bé oui, tout le monde n’a pas la chance d’être « au contact » quotidien avec « Jupiter ».


Morale de cette histoire si rigolote :
– Quand vous faites agresser par un uniforme ou un brassard casqué, vous lui demandez sa carte de police et la copie de son diplôme de flic. S’il ne vous les présente pas, vous pouvez décamper ou l’abattre l’ignorez, au choix !
– Si vous n’avez pas été foutu de passer les concours idoines parce que vous êtes trop nul, vous n’avez qu’à devenir « un intime du Château » : Ça va vous permettre tout un tas de passe-droits inhabituels.
Juste une confirmation de ce qu’on savait déjà.
Pour le reste, et nous y reviendrons tellement les conséquences à venir vont nous surprendre, car il est temps que tout le monde prenne des vacances : Si le Parlement n’avait pas été en session extraordinaire (pour cause de lois urgentes à voter, dont celles de la révision constitutionnelle), on en serait resté à un épisode de presse rubrique « chien écrasé » vite oublié.
Là, « Jupiter », à force d’en faire faire trop, il vous bousille l’effet « coupe du monde », alors que justement le reste du monde bascule.
Et pas seulement lui : Le champ magnétique du globe également.
Mais plus lentement, lui : Ils en perdent tous la boule !

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