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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 10 juillet 2018

Brexit, ça chauffe pour « Théière-Mais »

On apprenait ce week-end que,


Alors qu’on retenait son souffle en attendant les déclarations de « Jupiter » devant le congrès, le prochain « twist » incendiaire de « McDo-Trompe », qu’on digérait l’info ayant fuité selon laquelle il aurait proposé à votre président de quitter l’UE, que lui-même « se touche » à quitter l’Otan, que « Mère-Quelle » ne se remet pas des dissensions au sein de son gouvernement à propos des « migrants », que le foot c’est bientôt la fin (mais que la grande boucle prend le relai pour bien vous tenir en haleine jusqu’au 22 juillet), que des gamins sont en danger de mort dans une grotte, que des japonais, ayant exécuté leur « trompe-la-mort » du sarin, se noient sous un déluge tel que la visite de leur premier ministre en Gauloisie est annulée et que deux citoyens britanniques de plus ont été empoisonnés au Novichok, la première ministre britannique aura réuni son gouvernement à Chequers au nord-ouest de Londres, le 6 juillet, pour accorder les violons.
Inutile de vous dire que ce fut un « large soulagement » à la lecture du communiqué final…
C’est qu’ils commencent enfin à compter, à imaginer qu’ils vont se prendre un « gros-ralentissement » de leur croissance, une hausse de l’inflation, du chômage – les industriels n’investissent plus et même Airbus commence à taper du pied – une perte de pouvoir d’achat, etc.


Et coucou, voilà le « soft-Brexit » qui fait son retour !
Non mais, je te vous demande un peu : Ils se veulent « Norvégiens », imaginent une usine à gaz pour leurs droits de douane et ne pas mettre de vrai frontière entre eux, l’Irlande et le reste du continent, reconnaîtront l’autorité de la Cour de Justice Européenne et resteraient dans l’espace Schengen pour les migrants européens.
De doux rêveurs, finalement.
Vous connaissez mon point de vue : Le « Brexit », c’est la meilleure chose qui soit arrivé à l’UE depuis des années, même si je le regrette profondément (je suis né européen depuis la bataille d’Alésia, époque où l’UE était romaine et allait s’étendre jusqu’en Écosse !) : En effet, ça va mettre du plomb dans la cervelle de tous les « exiters », pseudos « patriotes » et absolument « nationalistes », avec pour chef de file… « Trompe » soi-même (mais aussi « Poux-Tine », l’empereur « Xi » et quelques autres), dans un monde qui « éclate » et entraîner dans la ruine des milliards de personnes.
Passons : Ils ont l’habitude, finalement…


On avait cru samedi que la messe avait été dite. Eh bien, pas du tout : Dimanche « Da-Vide-Coupe-Des-vices » démissionne et son collègue des affaires étrangères également dès hier !
Et avec eux, les secrétaires d’État dédiés.
Les sinistres en charge de piloter leur « Brexit ».
Je te vous jure : Qui qui va donner la réplique à « Barre-Niée », le négociateur « Gauloisien » de l’UE pour cette petite-affaire-là, qui n’aura eu que 4 heures d'entretien avec ses homologues anglais ?
« Théière-Mais » proposait un large alignement sur les règles de l’Union européenne (UE), une quasi-union douanière, la mobilité facilitée pour les Européens et le respect partiel des décisions de la Cour de Justice Européenne. Alors que les industriels s’alarmaient des ravages sur l’emploi que produirait un échec des négociations avec Bruxelles, elle abandonnait le « Brexit dur » qu’elle prônait depuis deux ans, maintenant elle a une majorité cohérente au sein du gouvernement et même au Parlement !
Douze heures de séminaire avec ses vingt-neuf ministres, elle avait pu annoncer avec satisfaction que le gouvernement s’était « mis d’accord sur une position commune pour l’avenir de nos négociations avec l’UE ».
La veille, alors que le contenu du compromis concocté par Downing Street avait commencé à s’étaler dans la presse, deux piliers de l’exécutif, le chargé des affaires étrangères et le chargé du Brexit, avaient, une fois encore, menacé de démissionner.
L’organisation du séminaire semblait les en avoir dissuadés : Les démissionnaires ne pourraient pas rentrer à Londres dans leur voiture ministérielle, avait prévenu Downing Street alors que Chequers est à 70 km de la capitale… Quant aux téléphones portables, ils ont dû être déposés au vestiaire pour empêcher les rebelles de diffuser leurs critiques avant la déclaration finale…
Les meks, pas kons, ils sont rentrés avec leur voiture de fonction & téléphones et ont démissionné ensuite !


Ce qui est terrible c’est qu’il n’existe pas de majorité parlementaire en faveur d’un « hard Brexit ».
Affaiblis, les deux sinistres étaient priés de se taire ou de prendre la porte.
Et d’annoncer un texte qui doit être développé dans un « livre blanc de 120 pages » à paraître cette semaine, qui prévoit de « créer une zone de libre-échange entre le Royaume-Uni et l’UE avec un ensemble de règles communes pour les biens industriels et les produits agricoles ». En théorie, le Parlement de Westminster pourrait y déroger. Mais dans ce cas, l’UE pourrait répliquer en bloquant l’accès à son marché intérieur.
En matière de services, les Britanniques souhaitaient un alignement moins étroit leur permettant d’être plus compétitifs que l’UE dans ce secteur clé pour eux. Ils veulent fixer librement leurs droits de douane, mais proposaient de prélever les taxes européennes si elles sont plus élevées, et de les rétrocéder à l’UE lorsque les marchandises sont destinées aux Vingt-Sept. Une façon d’éviter le retour d’une frontière physique en Irlande.
Londres s’engageait même à respecter les décisions de la Cour de justice de l’UE « dans les domaines où les règles communes s’appliquent », le principe de libre-circulation des personnes laissant la place à un « schéma de mobilité ».
La nouvelle base de négociation avec les Vingt-Sept, nullement une promesse d’accord de leur part.
En effet, la césure entre marchandise et services contrevient au principe d’unicité du marché intérieur et le compromis réclamé sur les droits de douane bouscule le principe d’autonomie de l’UE.
Le système de collecte des droits de douane inciterait à la fraude et repose sur une technologie encore inconnue à ce jour. Quant à la compatibilité entre des liens si proches et la capacité revendiquée par Londres de négocier des traités commerciaux avec le reste du monde, elle reste plus qu’hypothétique.
Et puis voilà que l’avion explose en plein vol !
Démission de son négociateur à elle…
Un camouflet de plus entre les gencives !


Lui, l’eurosceptique convaincu, a estimé dans sa lettre de démission publiée par Downing Street que la voie suivie ne permettrait pas de délivrer ce pour quoi les Britanniques avaient voté. « Au mieux, nous serons dans une position de faiblesse pour négocier » avec Bruxelles.
À mon sens l’emploi du « futur » n’est pas adéquat : C’est déjà acté…
« L’intérêt national exige un ministre du Brexit qui croie fermement en votre approche, et pas seulement un conscrit réticent », a-t-il ajouté. Et sa démission a été suivie de celle des secrétaires d’État au Brexit : Y’a plus personne !
Un député conservateur a salué cette décision jugeant que les propositions de la « cheffe » n’avaient de Brexit « que le nom » et n’étaient tout simplement « pas acceptables ».
Un autre aura dénoncé le « défaitisme » du gouvernement, affirmant qu’il voterait contre son plan et qu’il ne serait pas le seul. « Il y a beaucoup d’interrogations, beaucoup de mécontentement, beaucoup d’inquiétudes », aura déploré un autre de ses  collègues : « La question est ‘‘Est-ce que cela permettra un véritable Brexit ?’’ ».


Le monde économique a quant à lui fermement rejeté le plan. Dans une lettre ouverte, le fondateur de la marque de boissons Innocent, Richard Reed, rejoint par une centaine d’entrepreneurs et dirigeants d’entreprise, dont ceux de Pret, Domino’s ou Yo!Sushi (agro-alimentaire), Zoopla (immobilier) ou Net-a-porter (distribution de vêtements), ont dénoncé la proposition : « Le coût, la complexité et la bureaucratie engendrés par la sortie de l’union douanière et l’adoption d’arrangements alternatifs sont la dernière chose dont nos entreprises ont besoin », ont-ils affirmé. « Cela revient à une tentative, par le gouvernement, de lier les mains des entreprises britanniques », ont-ils déploré, exigeant le maintien du Royaume-Uni dans l’union douanière de l’UE.
Le groupe Philips, qui emploie 1.500 personnes au Royaume-Uni, aura annoncé étudier une possible fermeture de son usine de Glemsford (sud-est de l’Angleterre) et encore avant, les groupes Airbus, BMW ou Jaguar ont déjà mis en garde les autorités britanniques ces derniers jours sur les conséquences économiques que pourrait avoir une sortie du marché unique, alors que la City déménage « pour de vrai ».


Bon tout ça est quasiment parfait pour les « europhiles » : Vous vous rendez compte, même les Grecs, les Ritaliens, les Catalans, les « Natio-Corsi » et quelques autres n’envisagent même plus une « sortie » de l’Eurozone (même « Marinella-tchi-tchi » du « Air-Haine », qui va se retrouver en état de cessation de paiement avec 2 M€ bloqués par la justice en vue de rembourser 0,5 M€ au Parlement de Strasbourg…)
Et pendant ce temps-là, on a appris que la douane « Gauloisienne » se préparait ardemment à un retour brutal des frontières le 29 mars 2019 à minuit !
Grosse rigolade, n’est-ce pas ?
Même que votre ministre de l’Action et des comptes publics, « Gégé-Dard-à-la-main », se rendait hier à Dunkerque pour rencontrer les équipes sur place. Et évoquer les travaux et besoins indispensables à la mise en place de frontières douanières.
C’est qu’ils sont bien obligés d’anticiper, notamment près des côtes de la Manche. Déjà, 700 postes supplémentaires ont été actés d’ici 2020 (250 sont déjà en formation), dont une grande partie seront déployés aux frontières avec le Royaume-Uni : « Nous nous préparons à un éventuel échec des discussions qui nous empêcherait alors de nous profiter d’une période transitoire allant du 30 mars 2019 au 31 décembre 2020 », expliquait une chargée de mission en charge d’une mission Brexit auprès de la douane.
Car sans période transitoire, il faudra être prêt dès le 29 mars 2019 à minuit.


Mais prêt à quoi, au juste ? À pouvoir contrôler les personnes et les marchandises. Concrètement, il faudra être capable, à la descente des ferrys à Calais et Dunkerque ou bien à celle de l’Eurostar, de contrôler les marchandises des passagers, notamment concernant les franchises de cigarettes et d’alcool.
Je signale, pour en être un utilisateur assidu, que la « barrière douanière » du GetLink (ex-Eurotunnel), elle existe déjà : Gare du Nord à l’étage supérieur et à Saint-Pancras (étage inférieur). Tu sors du pays, tu es contrôlé par la douane dudit pays ; puis tu passes la douane du pays « entrant » une seconde fois avant de monter dans ton train…
Mais il paraît qu’il va falloir prévoir des zones sous douane, des bornes de détaxe, des zones tampons pour les camions, comme dans les aéroports.
(Et des boutiques de King-burger et autres pissotières pour les routiers…)


« Ce n’est pas tout : par exemple, le tunnel sous la Manche n’a pas été dimensionné pour un trafic hors UE. Il va donc falloir créer des zones de sous douanes avec un parking tampon, des zones de stockage et d’entreposage… » et le retour des « TIR » (Transit-International-Routier). Car avant d’autoriser de la marchandise à entrer sur notre territoire, il faudra bien faire patienter les camions dans des zones tampons sous l’abrupt soleil des « Hauts-de-France »…
Combien cela va-t-il coûter ? Aucun chiffre n’est communiqué du côté de la douane où l’on précise toutefois que les ports, gares et tunnel pourraient être invités à mettre la main au portefeuille : « La Commission européenne réfléchit également à mettre des fonds à disposition des régions les plus impactées par le Brexit ».


Moâ, je vous le dis : S’ils persistent à s’isoler comme ça, ça va vraiment devenir compliqué de faire du business avec eux.
Y’aura beau y avoir des accords bilatéraux avec le reste du monde (en commençant par les USA, le Canada et les Commonwealth et y compris la Chine… C’est moins certain avec la Russie), ça n’aura aucun intérêt puisque l’accès au continent européen sera définitivement entravé, retardé, compliqué…
Et puis rappelons-nous que Soros et ses acolytes-spéculateurs veillent : D’ici à ce qu’ils fassent sauter une deuxième fois la Banque d’Angleterre, ce n’est plus un scénario absurde…
Ce d’autant que la « Britannie », ce n’est plus la priorité de l’UE : Elle a des soucis « politiques » avec ces migrants, vous le savez bien…

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