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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 27 octobre 2016

Comme promis, je vais lui faire plaisir !


Je veux dire à « Jacques », mon conseiller omnipotent…

En fait j’aurai aimé aborder d’autres sujets, notamment les côtés « obscurs » des primaires d’une façon générale, celle des « droâte & du centre » (celles des écololos qui ne m’ont pas attendu pour virer « Sicile-Du-flot-vert » ; comme dit l’autre, ils ont eu peur de se retrouver à la rue, vue la façon dont elle a mis le boxon dans les fonciers avec sa loi Alur… voire sortez les sortants !), mais également celle de l’élection « d’Il-a-ri » : Il y a quand même quatre cadavres dans ses placards, pour l’heure inexpliqués, et l’arrivée des « aliens » dans son entourage direct.
Des trucs « charmants » s’il en est…
Et puis le profond malaise de vos flics : Là, tout devient danger pour vos (et leurs) miches.

Mais avant, justement, on va imaginer que « Jacques-mon-conseiller-omnipotent » ait raison et le pronostic juste.
Au le second tour de notre présidentielle de 2017, s’opposeraient « Marinella-tchi-tchi » à « Mes-Luches ».
J’en rigole parce que c’est assez drolatique d’imaginer à quoi pourrait ressembler le conflit des programmes dans ce cas de figure, et l’abime de perplexité dans lequel l’opinion « modérée » sera plongée.
Je vous le répète, moi, je m’en fous : Je suis fiscalement domicilié en « Ritalie », je ne suis donc pas concerné, bien à l’abri…
Comme prévu depuis juin 2014.

Premier chose, l’opinion a été préparée de longue date à une présence quasi-certaine de la patronne du FN au second tour de la présidentielle.
J’ai personnellement pris acte des résultats des régionales qui suffisent à expliquer la situation : Au premier tour, son parti est devenu le premier parti politique de « Gauloisie-républicaine », avec 6 millions de voix, soit 250.000 de plus que « Les Républicains-démocrates », et un million de plus que le Parti des Soces.
(Arf ! La belle faillite que voilà pour un parti au pouvoir seulement après deux années de son exercice d’alternance…)
Dans ces conditions, on peut facilement imaginer qu’elle se qualifiera pour le second tour, sachant qu’en 2012, elle avait déjà réuni 6,5 millions de voix sur son nom.
On peut même dire qu’avec 8 ou 9 millions de voix suite à quelques attentats bien saignants par exemple, quelques « sauvageons » de plus à tous les carrefours, ou un scandale de plus – comme par exemple un « Bling-bling » perdant ses propres primaires et qui se présente quand même – si l’abstention d’écœurement dépasse ses records habituels par pléthore d’offres, qu’il fait trop beau après un hiver pourri, elle passe même au premier tour.
Mais bon, on ne va pas être pessimiste dans cette hypothèse à étudier.

Rappelons que son paternelle de « Borgne de San-cloud », en 2002, s’était qualifié avec 4,8 millions de voix (1,2 millions de moins que le FN en 2015), et que « Le Chi », arrivé en tête, n’avait recueilli que 5,6 millions de voix…
Bref, il est fort probable que, face à l’éparpillement des candidats au premier tour, elle se trouve en ballotage très favorable…

Reste à savoir qui l’affrontera au second tour si elle se trouve qualifiée. Sur ce point, « Mes-Luches » pourrait créer une surprise à gôche, surtout si « Juppette » est le candidat de la droâte et qu’il morde fortement au centre, voire parmi les déçus du parti des soces.
Dans cette hypothèse, on peut penser qu’un certain nombre de supporters de « Bling-bling », s’il renonce démocratiquement à poursuivre, bouderont leur parti pour reporter leur voix sur le FN, et que « Juppette » se trouvera au coude-à-coude avec un candidat de gauche qui risque de le dépasser.
Or, « Mes-Luches », avait déjà réuni sur son nom, au premier tour de la présidentielle de 2012, près de 4 millions de voix, soit environ 600.000 de moins que « Tonton Yoyo » au soir du fatal premier tour de 2002.
En 2012, « François III » avait réuni 10 millions de suffrages sur son nom au premier tour.
Un déport des électeurs soces vers « Mes-Luches » pourrait donc créer un séisme puissant. Il suffirait que la moitié des électeurs soces du premier tour de 2012 vote pour lui en 2017 et que l’intéressé soit assuré de flirter avec les 8 ou 9 millions de voix.
Vous voyez que ce n’est pas si utopique que cela (sur le papier)…

D’ailleurs, pour « Les Républicains-démocrates », cette hypothèse constitue en fait un vrai risque. Le discours de « Juppette » se place en effet sur un positionnement « entre deux » qui risque de lui jouer un tour à la présidentielle, même s’il lui permet d’espérer gagner la primaire.
Tactiquement, en effet, il promet une baisse des dépenses publiques qui peut séduire l’aile droite du PSoce et des centristes-mous, mais qui ne mobilisera pas ceux qui avaient voté parce qu’il se présentait comme « l’ennemi de la finance ».
Ceux-là trouveront plus d’atomes crochus avec « Mes-Luches » et préféreront peut-être voter pour lui dès le premier tour.
Pour « Juppette », la situation pourrait être d’autant plus délicate si une candidature de « Menuet-Valse », en remplacement du « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » mordra sur ses terres et ne comblera pas le vide à la gôche du PSoce. Il est très probable que, là encore, « Mes-Luches » apparaisse comme un recours satisfaisant, pendant que « Menuet-Valse » privera « Juppette » d’une base centriste-molle.
Bref, dans ces conditions, le jeu des vases communicants est extraordinairement favorable à « Mes-Luches », et il peut créer la surprise.
Je vous rassure, on n’en est pas encore là, mais qui sait ?

Si, donc, se réalisait cette hypothèse plausible d’un second tour « Mes-Luches »/« Marinella-tchi-tchi », la situation politique du pays deviendrait extrêmement compliquée !
Les électeurs auraient en effet le choix entre deux programmes de rupture forte avec la situation actuelle, et les ruptures proposées seraient très loin de représenter la complexité de l’opinion : On causera même de « délégitimation » de ce suffrage, de déni de démocratie.
Mon kul, oui : Un vote, c’est un vote, point-barre !
Disons même qu’entre le FN et la « France Insoumise », les points communs sont nombreux et les différences très limitées.
Ces points communs se concentrent tout particulièrement autour du rôle de l’État et de son intervention dans la vie économique, options à rebours des attentes fortes exprimées par les forces vives du pays.

Sans surprise, « Mes-Luches » déploiera un projet fondé essentiellement sur la vertu de l’impôt et de la pression fiscale. Personne ni aucun entrepreneur ne nourrit la moindre illusion sur la sauce « très épicée » à laquelle il sera mangé par ce programme qui suinte la haine de la liberté et prépare une soviétisation en bonne et due forme de l’économie gauloisienne.
Je vous l’ai déjà dit : Le choléra des chemises rouges du marxisme-léninisme à teinte stalinienne !
Pas pour rien qu’il a été soutenu en 2012 par le PCF dans le « Front-de-Gôche ».
Au PCF, ça fait des décennies qu’ils ne savent plus parler « au prolo » (d’ailleurs on se demande si ça existe encore vu les élections professionnelles syndicales) et de toute façon, ils sont tous largement débordés par de nouveaux-entrants même sur ce plan syndical.
En fait, ils ont commencé à perdre leur électorat, par usure et obsolescence, dès que « Georges-Mare-Chai » leur a fait abandonner leur côté « révolution-du-prolétariat » au profit de 4 ministres d’Union de la gôche.
Depuis, ils se sont tous cassés au FN et seul « Mes-Luches » a pu en retenir depuis 2012.

Et sur le fond, on ne fera pas le reproche à l’intéressé d’avoir caché ses intentions sur ce sujet, ni même son attachement à un changement de régime et de constitution (la VIème République), et encore moins son admiration pour des révolutions socialistes qui bouleversent l’ordre connu, et convenu jusqu’ici des économies taxées de l’infamant, à ses yeux, qualificatif de « libérales ».
Sauf que lui est « pro-européen », mais à condition que l’Europe soit d’abord sociale (et pas financière, technocratique, mercantile et spéculative) : C’est dire s’il a du boulot à remonter les vents et courants contraires…
Passons !

Du côté du « FN », les désagréments ne devraient pas être moins grands. « Marinella-tchi-tchi » ne cache absolument pas son hostilité au même « libéralisme » (elle surfe avec succès sur ces notions depuis des années) et ses mesures risquent d’en défriser plus d’un.
Elle ne fait par exemple pas mystère de son intention d’instaurer une préférence nationale dans les entreprises. Les employeurs ont haï jusqu’ici l’hyperinflation réglementaire du Code du Travail. Ils risquent de comprendre rapidement que le FN, loin d’inverser la tendance, va l’accroître, et de façon ubuesque…
En particulier, l’intention affichée de son parti de réglementer le marché du travail devrait produire des résultats analogues à ceux du programme « Mes-Luchénien ». On imagine d’ici l’angoisse de l’employeur obligé de sacrifier de bons salariés étrangers « taillables et corvéables à merci » au bénéfice de salariés gauloisiens moins motivés et premier bénéficiaires d’une « niche » nouvellement créée de rentier de situation.
La belle catastrophe qui se prépare là !

Là encore, il n’y a pas de secret : Visant les mêmes classes-sociales que l’ex-PCF qu’elle a vidé de ses bases au fil du temps (les jeunes révolutionnaires de mai 68 sont devenus des papys-retraités, rancis, survivant mal avec leur retraite médiocre et le poids de l’échec de leurs idéaux d’antan), elle rassemble forcément tous les « déclassés » ou en voie de l’être à la vitesse d’un TGV-soce.

C’est que les « sans-dents », ils sont devenus très nombreux, dans ce pays, notamment depuis l’avènement de « Tagada-la-fraise-des-bois ».
La seule différence majeure d’avec « Mes-Luches », outre la couleur de la chemise (brune en l’occurrence, celle de la peste) ce n’est évidemment pas la revalorisation du SMIC, des allocs’ et des retraites, ni de s’abstenir de « faire payer les riches » et les entreprises (là, c’est copier/coller), ni encore moins la « préférence Gauloise », mais seulement sur l’Europe.
Elle, elle a pigé qu’on ne fera pas bouger le mastodonte et en tire les conséquences : Donc « Frexit » d’emblée, sortie de l’Euro, contrôle des changes, fermeture des frontières et dévaluation-compétitive, là dès l’été et la planche à billets de la Banque-des-Gaules de prier de re-fonctionner.
Pas la peine de perdre son temps en négociations imbéciles, c’est comme ça et pas autrement, point-barre.
C’est du « Mes-Luches », mais en mode « express », à la schlag !
Marche ou crève, les lendemains qui chantent sont à portée de main.
Ça vaut bien quelques efforts et sacrifices, non ?

Ce faisant, sachant tout cela, pour qui voterez-vous à ce second tour là ?
La rupture, c’est de toute façon acquis dans cette hypothèse retenue.
Le choix n’est même plus entre modéré et excité, ni entre « soce-libéralisme » même édulcoré et étatisme à tout crin : C’est déjà fait (au premier tour et en douce).
Mais entre rupture avec étatisme accru soit de « gôche » soit de « droâte », sur quoi va se porter le choix des électeurs de mai ?
C’est là toute la question intéressante, finalement, de cette hypothèse retenue.

Car le pire, c’est que « Tagada-à-la-fraise-des-bois » aura, pour tous les deux, déjà mis en place les lois sécuritaires nécessaires pour favoriser le mouvement : Il n’y aura plus qu’à appuyer sur le champignon.
Début mai, vous avez un nouveau président de cette trempe-là (toujours selon l’hypothèse qui plaît tant à mon « Conseiller-omnipotent ») et on entre en campagne pour les législatives après avoir encaissé le choc (si jamais vous l’encaissez tous).
Vu les désordres dans la vie publique qu’il en ressortira nécessairement, moi je serai « Mes-Luches » ou « Marinella-tchi-tchi », je fais le coup de la Révolution-nationale par voie d’ordonnances, quitte à user des pouvoirs offerts par la Constitution (l’article 16, l’état d’urgence, l’état de siège, la loi martiale, etc.)

« Mes-Luches » pourrait hésiter. Pas sa concurrente.
Reste à savoir comment vous arbitrez ce choix : Dictature de « Droâte » ou de « Gôche ».
La peste ou le choléra ?
Front ou union-républicaine ?
Vue la façon dont vient de traiter les « Gauloisiens » la « « Gôche-soce », je parierai plutôt que « Marinella-tchi-tchi » deviendra votre future « Vénérée-Présidente », pire que sa pâle copie de « Bling-bling » Buissonnière, car quant à sauter le pas, autant jeter le bébé avec l’eau du bain à la mer et qu’on en parle plus !

Tant pis, hein, une flambée des ruptures produirait de tels profonds clivages dont on voit mal comment le pays se relèverait, s’il ne se vautre pas dans la guerre civile (comme il semble qu’on y prépare l’opinion publique).
Avec sécessions diverses à la clé, le Pas-de-Calais, la « Francilie-parigote », l’Alsace voulant rester européens, la « Corsica-Bella-Tchi-tchi », la « Septimanie », la Bretagne, le pays-basque, voire le Duché-de-bourgogne, voulant retrouver leur autonomie « nationale » d’antan.
Quant à la Normandie, peut-être qu’elle exigerait d’être rattachée aux Îles-Anglo-normandes, et donc sous suzeraineté britannique, alors que le Comté de Savoie le serait avec les Helvètes et celui de Nice avec la « Ritalie », je ne sais pas. 

Et à la fin des fins, les livres d’Histoire même sans tomber dans ces excès excessifs, retiendront peut-être là une démonstration qu’un étatisme de « gôche » n’a rien à envier à un étatisme de « droâte », et inversement…
En attendant, ce que j’en retiens, c’est qu’il faut être assez nul pour envisager de telles hypothèses.
Au mieux, ça démontre la haine qu’on peut avoir pour son propre pays, sa patrie…
Imaginez-vous bien que voilà une horreur que je ne veux évidemment pas pour mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal !)

8 commentaires:

  1. De quelles hypothèses parlez-vous? L'élection de Marine-est-là-qui-chie-qui-chie dès le premier tour ou bien son élection seulement au deuxième tour ou bien encore l'élection de Jean Luc Mélenchon au deuxième tour après son placement victorieux dans le duo de tête du premier tour? Pour ma modeste part, c'est le souhait que je formule : Jean Luc Mélenchon Président! Quant à ceux qui hésiteraient à voter Mélenchon au deuxième tour face à Marine Le Pen, leur choix est signé : "Plutôt Hitler que le Front Populaire!" selon la formule de Schueller (je crois), père de Liliane Bettencourt, ardent promoteur de la solution autoritaire pour garantir son positionnement social fricqué!
    Il va pourtant falloir choisir! Au soir du deuxième tour de l'élection présidentielle, nous aurons un ou une Présidente ...

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    1. Il vous manque des binocles quand vous lisez...

      En l'occurrence, dans ce post, je mets de côté - c'est marqué comme ça - l'hypothèse d'un premier tour direct pour "Marinella-tchi-tchi".
      Peut-être même qu'elle échouera, finalement, si une "dynamique-Juppette" se met en place après la primaire de "droâte".
      On verra.

      Pour me placer dans votre hypothèse-chérie d'un second tour "Elf-Haine" contre "FdG-Mes-Luches"...
      Autrement dit, Hitler contre Staline, pour être précis.
      La peste ou le choléra...

      Bref, de toute façon, comme vous pouvez le constater le seul point clivant reste de, soit faire un "frexit" d'emblée, soit donner encore une chance à l'UE (un peu comme les Wallons semblent l'envisager ce jour et à titre provisoire).

      Pour le reste, c'est "copier/coller" et ça coulera encore plus bas notre pays.
      Pas vraiment un choix "bandant".
      Le chemin tout tracé pour finir comme la Grèce en passant par l'étape Chypre (ou Malte, je ne me souviens plus).

      Figurez-vous que dans aucun des cas je ne rentre pour aller coller les affiches pour "sortir les sortants" à la mairie des parigots : Tant pis.

      Bien à vous !

      I-Cube

      PS : C'était juste de la politique-fiction pour vous faire plaisir, et à vous seul...

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  2. Autrement dit, entre Marine-est-là-qui-chie-qui-chie et Jean Luc Mélenchon, aucune différence qui justifierait votre déplacement?

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    1. Mon retour d'exil, effectivement.

      Je viens d'arriver par le ferry du soir à Portoferraio où il fait un peu frais (et nuit), en Italie. Un pays où les banquiers sont au bord de la ruine généralisée.
      Alors certes, ils ont un peu les foins et nombre d'entre eux votaient pour Forza Italia et désormais, dans un même mouvement, pour le "mouvement 5 étoiles". Mais eux au moins ils en reviennent, conscient que ce n'est pas la solution et ne sont pas au bord de la panique.

      Une étape pas encore franchie par les "gauloisiens" où presque 50 % des électeurs seraient devenus des frondeurs "antisystème" telle que la réunion des deux branches pris comme hypothèse dans ce post "pour vous plaire" (Elfe-Haine/FdG au second tour).

      Comprenez donc qu'on y prend naturellement moins de risque politique, qui ce concentrent là, en ce moment, sur le prochain référendum de "Mattéo Rhin-z'y".
      Vous voyez, ce n'est pas la même planète...

      Bien à vous et bon week-end !

      I-Cube

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  3. Attendons de voir ce que va donner ce référendum ... Je trouve effectivement curieux que PERSONNE, en France, n'en parle!

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    1. Ah ?
      Ici, c'est dans toutes les conversations alors même que la campagne n'est pas lancée.
      C'est qu'il fait la même erreur que De Gaulle en 1969 : Si sa réforme ne passe pas (et elle est d'envergure notamment sur le sénat, mais pas que ça), il démissionne !
      C'est donc l'occasion de le sortir.
      Du coup, avec passion (les "ritaux" sont au moins aussi passionnés de "politique" que les gauloisiens) y'a des "pour" (le sortir) et il y a des "pour" (la réforme)...
      Très "rital", finalement.
      Notez que là, je ne suis pas appelé à voter alors j'en rigole un peu (sans me moquer ... de mes "accueillants").

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. On parle un peu de ce référendum. Renzi veut débloquer l'Italie. Il a peur de rien. S' il réussit, il entre dans l'Histoire.

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    3. Certes, Vlad !

      Mais de ce que j'ai compris de ce référendum-là (donc sous toutes réserves) c'est qu'il s'agit de modifier les institutions : Ils ont comme en gauloisie trois chambre, les députes, les sénateurs qui font les lois et une sorte de conseil économique et social, mais non pas de l'environnement, mais "du travail" qui est consulté et rend des avis.
      Par ailleurs, le pays est très décentralisé : des régions, des communautés urbaines, des municipalités avec chacune un parlement élu, un gouvernement et un président, mais surtout des périmètres de compétences relativement précises inscrites dans la constitution.

      Ceci dit, les députés et sénateurs sont élus au suffrage universel direct et selon le mode des proportionnelles, en principe aux mêmes échéances et sont toutes les deux des chambres dissolubles, hors les "sénateurs à vie".
      La réforme consiste à supprimer le conseil économique et du travail et à rendre le sénat plus "accroché" aux régions qu'il ne l'est actuellement (puisque le scrutin et la répartition des sénateurs en nombre est déterminé par la constitution.
      Par ailleurs, il est question de réduire le nombre de députés et de sénateur, un "truc" qui ne plait pas trop au personnel politique mais qui a voté cette réforme-là, soumise à référendum...

      Donc à suivre.
      De toute façon le président du conseil est déjà entré dans l'Histoire avec ses mesures de redressement des comptes du pays : Il a présenté un budget à 2,7 % de déficit (mais sans compter les mesures exceptionnelles liée à la migration et aux séismes...)

      Maintenant, il y a effectivement reprise, il y a le sauvetage des banques, il y a un peu moins de chômage, surtout chez les jeunes où il est élevé, mais tout le monde en a marre des mesures d'austérité...
      Le poids du fisc en revanche, sur le papier, il atteint le niveau gaulois, mais comme tout le monde triche (comme en Grèce), ça reste supportable.

      Voilà un peu la situation, juste pour résumer !

      Bien à toi !

      I-Cube

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