Ce qui nous emmènerait à la semaine Sainte…
C’est en tout cas ce qu’il a demandé, sans le dire avec
sa déclaration de politique générale d’avant-hier. Au cœur de son discours, le
budget et les retraites, qui ont fait l’objet d’intenses négociations avec la « gôche-Gauloisienne-autiste ».
Et un objectif en toile de fond : Éviter la censure immédiate par les trisomiques.
Pas idiot…
Et c’est aujourd’hui qu’on va savoir si le « Air-Haine » se joint à la motion de censure proposée par le NFP, hors les « soces », et si ces derniers décident ou non de faire exploser le Nouveau-Front-Populaire, cet oxymore politique grotesque qui explosera dès que les couteaux, haches, sabres, rasoirs et coupecoupes s’éloigneront des jugulaires des uns et des autres.
Mais pour ça, il faudrait de nouvelles élections législatives… véritablement libres et non « forcées »…
Globalement, le « premier-sinistre » a
proposé plusieurs réformes institutionnelles, dont l’introduction d’une dose de
proportionnelle justement aux élections législatives (une façon de déminer le problème de carrière des « têtes
de listes) et une possible révision du cumul des mandats.
Dans les autres domaines, il a notamment annoncé vouloir alléger les contrôles environnementaux pour les agriculteurs, confirmer le remboursement intégral des fauteuils roulants en 2025, et poursuivre les négociations sur l’avenir institutionnel de la « Nouvelle-Kanakie » et de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi ».
Bref, un saupoudrage pour à peu près tout le monde, rappelant les urgences des réformes laissées en suspens…
Et le tout devant un hémicycle qui n’a pas hésité à le chahuter, il a appelé à « retrouver de la stabilité ».
Mais le gros du sujet, pour obtenir ce sursis, c’était
attendu et faisait l’objet de négociations avec une partie de la gôche-autiste :
Il a évoqué la réforme des retraites de 2023, très décriée !
Et il a expliqué qu’il allait « demander à la Cour des comptes une mission flash de quelques semaines » afin d’établir « un constat » sur les finances du système de retraites, qui ne sera pas bien différent que tous ceux qui ont été fait jusque-là depuis 30 ans.
Ensuite, à l’automne, lors de la prochaine loi de financement de la Sécurité sociale, « une réforme nouvelle » pourrait venir amender le projet actuel.
« Nous pouvons, j’en ai la conviction, rechercher une voie de réforme nouvelle, sans aucun totem et sans aucun tabou, pas même l’âge de la retraite, à condition qu’elle réponde à l’exigence fixée », c’est-à-dire ne pas dégrader l’équilibre financier du système.
Et il a surtout annoncé la création d’une « délégation permanente », composée des « représentants de chaque organisation », qui se réunira pour la première fois dès demain puis sera chargée de travailler « autour de la même table, dans les mêmes bureaux, pendant trois mois à dater du rapport de la Cour des comptes ».
« Si au cours de ce « conclave », cette délégation trouve un accord d’équilibre et de meilleure justice, nous l’adopterons » (dans l’euphorie du moment), assure-t-il.
En revanche, faute d’accord, la réforme actuelle, celle de « Lili-Bête-Borgne » perdurera telle quelle.
Ce qui garantit automatiquement la faillite du système à terme, si aucune réforme même paramétrique (une fois de plus) n’est finalement prise par son successeur.
Voilà : Une carotte et un bâton, avec une date butoir… autour de la semaine Sainte.
Globalement un peu plus de 90 jours… de répit !
D’ici là, et conscient de la crise politique du pays, il
a fait quelques propositions concernant les institutions et la vie publique. Il
a notamment proposé d’« avancer (…) sur la réforme du mode de scrutin
législatif », qui introduirait « un principe de proportionnelle »
qui lui tient à cœur, même s’il n’est pas le seul et qui ne fera que graver
dans le marbre l’actuel bordel tel qu’on le connait, généré par l’absence de majorité.
Mais assurera une « carrière » aux barons des micro-partis…
D’ailleurs, c’est également le cas en « Ritalie » et en « Teutonnie », en « Österreich » et encore ailleurs, mais bon, passons… car eux savent faire des compromis, même contre-nature !
Toutefois, il veut aussi que le scrutin et la fonction de député restent « enracinés dans les territoires ». Selon lui, cette réforme « obligera à reposer « en même temps® » la question de l’exercice simultané d’une responsabilité locale et nationale ».
C’est fort drôle : Plus de dix ans après la suppression du cumul des mandats lors de la présidence de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » suite à divers « effets pervers » de la situation d’alors, le maire de Pau fait savoir qu’il était favorable à un retour en arrière.
Parmi les autres propositions formulées, le « Premier
sinistre » veut « reprendre l’étude des cahiers de doléances » trop
vite enterrés.
Rappelez-vous, ces propositions avaient été récoltées après les manifestations des « gilets jaunes », un mouvement « négligé » selon le chef du gouvernement.
Il appelle aussi à la création d’une « banque de la démocratie » pour le financement des partis politiques.
Parce que les subventions actuelles ne suffiraient plus…
Et plus besoin d’aller lécher « les parties & autres épars » à « Poux-tine », « Or-Bahn » ou un autre « nationalpopuliste ».
Il a également balayé plusieurs champs d’action dans
la deuxième moitié de son discours. S’il n’a pas forcément formulé de mesures
concrètes dans chaque domaine, il a laissé entrevoir quelques grands axes :
Une charge contre les contrôles et les normes environnementales auxquels les
agriculteurs sont soumis juste avant leurs élections professionnelles, où il
admet souhaiter « remettre en question les pyramides de normes en donnant
l’initiative aux usagers ».
Ce qui est assez drôle, car à l’origine, ce sont les producteurs qui réclamaient des normes, notamment européennes, pour protéger leurs marchés avec leurs produits, exclusivement… Et l’UE a pondu des « normes » (les droits de douane qualitatifs) pour leur complaire…
Pour la santé, il confirme le remboursement intégral
des fauteuils roulants en 2025 (ce qui est passionnant mais probablement utile
et coûtatif) et l’abandon « du déremboursement de certains médicaments et de
consultations », envisagé lors du budget précédent.
Par ailleurs, son gouvernement invitera aussi les forces politiques de « Nouvelle-Kanakie » à des négociations en janvier (il reste 15 jours… et ils doivent installer un nouveau Président), et continuera la route vers une « évolution constitutionnelle » de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » pendant l’année pour calmer les esprits et rallier les députés îliens.
Bref, en 90 minutes de palabres « Bébé-roue-de-secours »
a donc essayé de satisfaire tout le monde. Les « Jupitériens » : Pas
de hausse d’impôts.
Les « LRd » : « Débureaucratisation »
plus « simplification économique ».
Le « P. Soce » avec une hausse « notable » des dépenses d’assurance maladie et surtout remise en chantier de la réforme des retraites.
À « Marinella-tchi-tchi » et à sa clique, il aura annoncé la création d’une « banque de la démocratie », « discussions » autour de « la proportionnelle » et naturellement plus de contrôle de l’immigration qui doit rester « une question de proportion », mais guère plus.
Moâ, ce que j’adore, c’est l’idée d’un conclave :
Comme à Rome, on confisque les portables et on enferme les participants dans
une salle où ils trouveront des « McDo » et des canettes de Coca-cola,
le temps qu’ils crament du papier qui fera une fumée blanche…
Cela dit, on peut retenir également quelques saillies
bien senties : « La France, dans son histoire, n’a jamais été aussi
endettée qu’elle l’est aujourd’hui. »
Or, son objectif immédiat, c’est de réaliser suffisamment de concessions pour convaincre le plus grand nombre de parlementaires de le suivre dans son projet de Budget 2025.
Ironie du sort, « Lili-Bête-Borgne », « ex-Première sinistre » et auteure de la réforme contestée des retraites – au cœur des négociations avec la « gôche-autiste » –, a lu en parallèle devant le Sénat exactement le même texte.
Synchrone… Elle devait boire du petit-lait !
Mais ce qui est bien que d’avoir un prof’ agrégé des
bahuts comme « premier sinistre », c’est d’avoir eu un long propos
liminaire faisant notamment appel à des références historiques et
géopolitiques, de « Mythe-errant » à la puissance économique chinoise
en passant par la libération des otages « Gauloisiens-internationaux »
retenus dans le monde – et un flottement de plusieurs secondes durant lequel il
s’est perdu dans ses feuilles – il sera entré dans le vif du sujet seulement
ensuite : La dette de la « Gauloisie-ruinée » par des années de
gabegies est « une épée de Damoclès ».
« L’injonction que le pays nous assigne », c’est « retrouver la stabilité ».
Rigolo, va !
Et c’est après ça qu’il aura remis le couvert que je viens de vous résumer.
Les retraites, le budget, où le pays doit abaisser sa
prévision de croissance pour 2025 à 0,9 %, contre 1,1 % précédemment et viser
désormais un déficit public à 5,4 % du PIB.
Il annonce également la création d’un fonds spécial dédié à la réforme de l’État, financé en partie avec ses actifs immobiliers pour investir dans l’effort de réorganisation et dans l’IA au sein du service public.
La « ripoux-blique » vend ses « bijoux de famille » et là il ne s’agit plus des licences de bandes passantes pour vos téléphones portables (qui d’ailleurs devaient déjà équilibrer la Cades qui équilibrait les régimes sociaux : Vous payez cher vos forfaits pour payer les pensions des « tardifs à la crémation »…)
Tout le pognon qu’on y a mis depuis des années, le plan de « rilance » de « Dévide-gens » (27 milliards qu’avec les « effets de levier » keynésien estimés à « fois trois » c’est comme si on en avait pour 100 milliards), les trois Plans d’Investissement pour l’Avenir (pour plus de 54 milliards de fonds « venus de nulle part[1] »), n’auront donc servi à rien !
Pour ce « Premier sinistre » là, le projet de loi de simplification de la vie publique doit également être adopté rapidement, pour lutter contre les normes et la bureaucratie, nous l’avons déjà dit, mais avec une place centrale donnée aux collectivités locales, ce qui est nouveau…
Pêle-mêle et de manière désordonnée, il a multiplié diverses annonces : Il veut ainsi que la réforme de l’audiovisuel public soit « conduite à son terme ».
Alors que l’ancienne « Première sinistre »
avait terminé sa propre lecture du discours au Sénat, lui a continué d’égrainer
les annonces.
Parfois abstraites, le Premier ministre voulant « remettre en question » les normes et contrôles des agriculteurs (mais pas des restaurateurs) voire de repenser complètement « une politique du logement de grande ampleur ».
Parfois concrètes, comme l’abandon du « déremboursement de certains médicaments et consultations » médicales ainsi que le remboursement intégral des fameux fauteuils roulants dès 2025.
Bref, si vous l’avez compris, c’est qu’il s’est
finalement mal exprimé, pour parodier la phrase célèbre de l’ancien patron de
la Banque centrale « ricaine », Alan Greenspan.
En fait plus personne ne sait vraiment sur quel pied danser, notamment sur le problème central qui a fait échouer « Barre-Niée », celui des retraites. Ni une suspension, ni une abrogation, mais la « recherche d’une voie de réforme nouvelle », ce qui semble pourtant dire que l’ancienne va être enterrée…
Bref, c’est reparti pour un tour.
Et moâ de vous rappeler que 67 ans c’est l’âge minimum de départ à la retraite dont nous avons besoin pour ramener à l’équilibre les régimes. Âge qui ne sera jamais arrêté clairement : C’était toute l’astuce proposée par « Jupiter » dans sa première mouture de la réforme puisque tu partais dès que tu estimais que tu avais acquis assez de « points » (des droits à rente) pour assurer ton train de vie sans rien faire, acquis avec tes cotisations (obligatoires ou volontaires) en fonction de ton espérance de vie (qui dépend pour partie de ton ancienne activité professionnelle).
Un truc simple qui s’autoéquilibre…
Or, pour avoir raté cette réforme-là, l’allongement de
la durée de travail devra s’accompagner d’une hausse des cotisations et d’une
baisse des retraites, sauf pour les plus défavorisés. Bref, grâce à la « Gauche-trisomique »,
on aura tout raté.
Et en plus, sauf chez les « autistes », tout le monde sait que c’est désormais la seule solution.
Une solution qu’adoptent progressivement toutes les grandes économies mondiales.
Et pourtant on s’évertue à croire que la « Gauloisie-ruinée » peut être le village gaulois qui va encore résister alors que nos finances sont déjà dans un état de délabrement avancé.
L’autre solution qui tombe sous le sens, reste de « nationaliser »
ces régimes, abattre la gestion paritaire qui aura failli et s’en remettre à l’État
pour gérer le problème d’autorité comme ça existe déjà dans quelques pays
européens.
Aujourd’hui, c’est l’État qui paye en s’endettant. Demain ce sera l’État qui payera en levant impôts et cotisations… et on épuise la dette mortifère.
C’est d’ailleurs ce que veulent LFI et les « staliniens », prendre l’argent « là où elle est », dans les entreprises qui gavent leurs actionnaires, bien sûr, et les grandes fortunes du pays en attente d’exil, qui volent le pains de la bouche des « prolétaires »…
Mais ça, ça ne convient absolument pas aux Vanguard, BlackRock & Cie, tous ces fonds de pension « ricains » qui comptaient sur les cotisations « Gauloisiennes-écœurées » pour assurer le paiement des pensions des « prolos-ricains ».
Bé finalement ça ne se fera pas.
En tout cas, pas tout de suite, notamment si « Bébé-roue-de-secours », ou plutôt ses successeurs parviennent à composer une recette équilibrée et durable.
Pour l’heure, on regardera qui vote et qui ne vote pas
la motion de censure du jour.
C’est important, parce que derrière, apparaîtront les lignes de fissures, pour ne pas dire de « fractures », du paysage politique et la capacité de « Jupiter » à maîtriser ou non son propre agenda…
Je le répète, il lui faut un nouveau blocage avant l’été pour passer à « la vitesse supérieure »…
Après, l’avenir du pays sera soumis au sort des urnes pour des élections anticipées à prévoir en septembre prochain…
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Mais vous vous savez d’où : I-Cube (l'exilé): Opération Juliette-Siéra (00/33), mais vous êtes bien les seuls…
Pas idiot…
Et c’est aujourd’hui qu’on va savoir si le « Air-Haine » se joint à la motion de censure proposée par le NFP, hors les « soces », et si ces derniers décident ou non de faire exploser le Nouveau-Front-Populaire, cet oxymore politique grotesque qui explosera dès que les couteaux, haches, sabres, rasoirs et coupecoupes s’éloigneront des jugulaires des uns et des autres.
Mais pour ça, il faudrait de nouvelles élections législatives… véritablement libres et non « forcées »…
Dans les autres domaines, il a notamment annoncé vouloir alléger les contrôles environnementaux pour les agriculteurs, confirmer le remboursement intégral des fauteuils roulants en 2025, et poursuivre les négociations sur l’avenir institutionnel de la « Nouvelle-Kanakie » et de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi ».
Bref, un saupoudrage pour à peu près tout le monde, rappelant les urgences des réformes laissées en suspens…
Et le tout devant un hémicycle qui n’a pas hésité à le chahuter, il a appelé à « retrouver de la stabilité ».
Et il a expliqué qu’il allait « demander à la Cour des comptes une mission flash de quelques semaines » afin d’établir « un constat » sur les finances du système de retraites, qui ne sera pas bien différent que tous ceux qui ont été fait jusque-là depuis 30 ans.
Ensuite, à l’automne, lors de la prochaine loi de financement de la Sécurité sociale, « une réforme nouvelle » pourrait venir amender le projet actuel.
« Nous pouvons, j’en ai la conviction, rechercher une voie de réforme nouvelle, sans aucun totem et sans aucun tabou, pas même l’âge de la retraite, à condition qu’elle réponde à l’exigence fixée », c’est-à-dire ne pas dégrader l’équilibre financier du système.
Et il a surtout annoncé la création d’une « délégation permanente », composée des « représentants de chaque organisation », qui se réunira pour la première fois dès demain puis sera chargée de travailler « autour de la même table, dans les mêmes bureaux, pendant trois mois à dater du rapport de la Cour des comptes ».
« Si au cours de ce « conclave », cette délégation trouve un accord d’équilibre et de meilleure justice, nous l’adopterons » (dans l’euphorie du moment), assure-t-il.
En revanche, faute d’accord, la réforme actuelle, celle de « Lili-Bête-Borgne » perdurera telle quelle.
Ce qui garantit automatiquement la faillite du système à terme, si aucune réforme même paramétrique (une fois de plus) n’est finalement prise par son successeur.
Voilà : Une carotte et un bâton, avec une date butoir… autour de la semaine Sainte.
Globalement un peu plus de 90 jours… de répit !
Mais assurera une « carrière » aux barons des micro-partis…
D’ailleurs, c’est également le cas en « Ritalie » et en « Teutonnie », en « Österreich » et encore ailleurs, mais bon, passons… car eux savent faire des compromis, même contre-nature !
Toutefois, il veut aussi que le scrutin et la fonction de député restent « enracinés dans les territoires ». Selon lui, cette réforme « obligera à reposer « en même temps® » la question de l’exercice simultané d’une responsabilité locale et nationale ».
C’est fort drôle : Plus de dix ans après la suppression du cumul des mandats lors de la présidence de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » suite à divers « effets pervers » de la situation d’alors, le maire de Pau fait savoir qu’il était favorable à un retour en arrière.
Rappelez-vous, ces propositions avaient été récoltées après les manifestations des « gilets jaunes », un mouvement « négligé » selon le chef du gouvernement.
Il appelle aussi à la création d’une « banque de la démocratie » pour le financement des partis politiques.
Parce que les subventions actuelles ne suffiraient plus…
Et plus besoin d’aller lécher « les parties & autres épars » à « Poux-tine », « Or-Bahn » ou un autre « nationalpopuliste ».
Ce qui est assez drôle, car à l’origine, ce sont les producteurs qui réclamaient des normes, notamment européennes, pour protéger leurs marchés avec leurs produits, exclusivement… Et l’UE a pondu des « normes » (les droits de douane qualitatifs) pour leur complaire…
Par ailleurs, son gouvernement invitera aussi les forces politiques de « Nouvelle-Kanakie » à des négociations en janvier (il reste 15 jours… et ils doivent installer un nouveau Président), et continuera la route vers une « évolution constitutionnelle » de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » pendant l’année pour calmer les esprits et rallier les députés îliens.
Les « LR
Le « P. Soce » avec une hausse « notable » des dépenses d’assurance maladie et surtout remise en chantier de la réforme des retraites.
À « Marinella-tchi-tchi » et à sa clique, il aura annoncé la création d’une « banque de la démocratie », « discussions » autour de « la proportionnelle » et naturellement plus de contrôle de l’immigration qui doit rester « une question de proportion », mais guère plus.
Or, son objectif immédiat, c’est de réaliser suffisamment de concessions pour convaincre le plus grand nombre de parlementaires de le suivre dans son projet de Budget 2025.
Ironie du sort, « Lili-Bête-Borgne », « ex-Première sinistre » et auteure de la réforme contestée des retraites – au cœur des négociations avec la « gôche-autiste » –, a lu en parallèle devant le Sénat exactement le même texte.
Synchrone… Elle devait boire du petit-lait !
« L’injonction que le pays nous assigne », c’est « retrouver la stabilité ».
Rigolo, va !
Et c’est après ça qu’il aura remis le couvert que je viens de vous résumer.
Il annonce également la création d’un fonds spécial dédié à la réforme de l’État, financé en partie avec ses actifs immobiliers pour investir dans l’effort de réorganisation et dans l’IA au sein du service public.
La « ripoux-blique » vend ses « bijoux de famille » et là il ne s’agit plus des licences de bandes passantes pour vos téléphones portables (qui d’ailleurs devaient déjà équilibrer la Cades qui équilibrait les régimes sociaux : Vous payez cher vos forfaits pour payer les pensions des « tardifs à la crémation »…)
Tout le pognon qu’on y a mis depuis des années, le plan de « rilance » de « Dévide-gens » (27 milliards qu’avec les « effets de levier » keynésien estimés à « fois trois » c’est comme si on en avait pour 100 milliards), les trois Plans d’Investissement pour l’Avenir (pour plus de 54 milliards de fonds « venus de nulle part[1] »), n’auront donc servi à rien !
Pour ce « Premier sinistre » là, le projet de loi de simplification de la vie publique doit également être adopté rapidement, pour lutter contre les normes et la bureaucratie, nous l’avons déjà dit, mais avec une place centrale donnée aux collectivités locales, ce qui est nouveau…
Pêle-mêle et de manière désordonnée, il a multiplié diverses annonces : Il veut ainsi que la réforme de l’audiovisuel public soit « conduite à son terme ».
Parfois abstraites, le Premier ministre voulant « remettre en question » les normes et contrôles des agriculteurs (mais pas des restaurateurs) voire de repenser complètement « une politique du logement de grande ampleur ».
Parfois concrètes, comme l’abandon du « déremboursement de certains médicaments et consultations » médicales ainsi que le remboursement intégral des fameux fauteuils roulants dès 2025.
En fait plus personne ne sait vraiment sur quel pied danser, notamment sur le problème central qui a fait échouer « Barre-Niée », celui des retraites. Ni une suspension, ni une abrogation, mais la « recherche d’une voie de réforme nouvelle », ce qui semble pourtant dire que l’ancienne va être enterrée…
Bref, c’est reparti pour un tour.
Et moâ de vous rappeler que 67 ans c’est l’âge minimum de départ à la retraite dont nous avons besoin pour ramener à l’équilibre les régimes. Âge qui ne sera jamais arrêté clairement : C’était toute l’astuce proposée par « Jupiter » dans sa première mouture de la réforme puisque tu partais dès que tu estimais que tu avais acquis assez de « points » (des droits à rente) pour assurer ton train de vie sans rien faire, acquis avec tes cotisations (obligatoires ou volontaires) en fonction de ton espérance de vie (qui dépend pour partie de ton ancienne activité professionnelle).
Un truc simple qui s’autoéquilibre…
Et en plus, sauf chez les « autistes », tout le monde sait que c’est désormais la seule solution.
Une solution qu’adoptent progressivement toutes les grandes économies mondiales.
Et pourtant on s’évertue à croire que la « Gauloisie-ruinée » peut être le village gaulois qui va encore résister alors que nos finances sont déjà dans un état de délabrement avancé.
Aujourd’hui, c’est l’État qui paye en s’endettant. Demain ce sera l’État qui payera en levant impôts et cotisations… et on épuise la dette mortifère.
C’est d’ailleurs ce que veulent LFI et les « staliniens », prendre l’argent « là où elle est », dans les entreprises qui gavent leurs actionnaires, bien sûr, et les grandes fortunes du pays en attente d’exil, qui volent le pains de la bouche des « prolétaires »…
Mais ça, ça ne convient absolument pas aux Vanguard, BlackRock & Cie, tous ces fonds de pension « ricains » qui comptaient sur les cotisations « Gauloisiennes-écœurées » pour assurer le paiement des pensions des « prolos-ricains ».
Bé finalement ça ne se fera pas.
En tout cas, pas tout de suite, notamment si « Bébé-roue-de-secours », ou plutôt ses successeurs parviennent à composer une recette équilibrée et durable.
C’est important, parce que derrière, apparaîtront les lignes de fissures, pour ne pas dire de « fractures », du paysage politique et la capacité de « Jupiter » à maîtriser ou non son propre agenda…
Je le répète, il lui faut un nouveau blocage avant l’été pour passer à « la vitesse supérieure »…
Après, l’avenir du pays sera soumis au sort des urnes pour des élections anticipées à prévoir en septembre prochain…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Mais vous vous savez d’où : I-Cube (l'exilé): Opération Juliette-Siéra (00/33), mais vous êtes bien les seuls…
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