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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 23 janvier 2025

Enfin on y vient !

4 ans un quart (17 trimestres pour les « matheux »)…
 
C’est le délai nécessaire pour qu’une simple « information partagée » sur ce blog-ci finisse par être reprise à l’occasion d’une commission d’enquête parlementaire et qu’on glisse enfin la réponse dans un rapport remis en catimini entre deux sessions parlementaires tourmentées.
Du coup, elle est passée un peu inaperçu, mais pas pour les lecteurs assidus que vous êtes.
Probablement qu’il faudra au moins autant de temps pour que quelques « pointures » cessent de piller illégalement le denier public.
Souvenez-vous de mon post du moment : I-Cube (l'exilé): L’information aura fait « pschitt ».
 
En effet, je traitais alors du sujet des « Sages » de l’institution gardienne de la Constitution (les membres du Conseil constitutionnel) qui perçoivent encore une rémunération « hors norme » – mais je n’ai jamais remis nulle part en question un niveau quelconque de rémunération dans les entreprises que j’ai conseillée ou dirigée, même quand le fisc estimait que c’était surabondant et injustifiée.
Sauf abus de biens sociaux, naturellement, puisqu’on entre alors dans le domaine du droit pénal, on change de dimension pour rentrer dans celui des voyous et des voleurs, et je fuis le pénal pour éviter comme la peste et le choléra réunis des repris de justice…
Car en revanche, je suis sans pitié pour tous ceux qui viole les lois de mon pays auxquels, moâ, je concoure et parfois m’enquiquine avec difficulté à strictement les respecter et les faire respecter, même quand elles sont stupides, trop respectueux de la volonté populaire exprimée démocratiquement.  
 
La « députacrouille » LFI, « Marie-Âne-Minimix » aura à son tour mis les pieds dans le plat et dénonce donc dans son rapport l’illégalité que je dénonçais moâ-même.
Et j’avoue regretter infiniment que ce ne fût pas l’initiative d’un des trop rares « députacrouilles » en exercice qui soit, même seulement sur les bords, un peu Gaulliste.
Il faut dire qu’il n’y en a plus beaucoup et même ceux-là ne sentent pas forcément bon !
 
La « brunette insoumise » (39 balais, le sourire ravageur), élue de la 1ère circonscription du Puy-de-Dôme, n’est pas Gaulliste (ce que je regrette également infiniment) mais, pour faire « genre et buzz », j’imagine, révèle l’indemnité astronomique versée à l’ancien président « Giskard-A-la-Barre » lorsqu’il siégeait à ce Conseil.
Bref, les effets ou la trace de l’intelligence d’une « Lilli-pute-cienne », qui s’en prend à un décédé, sachant pertinemment que c’est parfaitement inutile pour lui faire rendre gorge de quoique ce soit…
Fabuleux, les « gôchistes », alors qu’elle tenait là le « bout de ficelle » de la pelote qu’il aurait suffi de dérouler patiemment pour faire vaciller la Vème République à la racine, et la remplacer par celle de « Mes-Luches », son guide et néanmoins patron idéologique…
Dommage d’être née aussi kon, tout de même…
 
C’est donc un rapport de 80 pages, passé sous silence, publié en catimini sur le site de l’Assemblée nationale, le 17 décembre dernier (et je ne l’ai pas vu en première lecture des JO du pays à ce moment-là : Je préparais le Noël de « ma Nichée »).
Pourtant, il contient des informations inédites sur le Conseil constitutionnel. La « rapporteure spéciale des crédits « Pouvoirs Publics » » y détaille les fonds affectés aux grandes institutions de la République dans le budget 2025 (rejeté par l’Assemblée mais à nouveau examiné par le Sénat, à partir de la semaine dernière), fixés à 1,13 milliard d’euros.
L’Assemblée nationale recevrait 608 millions, le Sénat 353 millions, l’Élysée 123 millions et le Conseil constitutionnel 17 millions.
Jusque-là, rien à redire pour des missions typiquement régaliennes d’importance primordiale puisque ça touche directement la vie institutionnelle de mon pays.
Et c’est indispensable même en temps de guerre (contre notamment le « conard-virus » en attendant plus sérieux…)
Et la « députacrouille » s’attache aussi à évaluer la gestion et l’exécution du budget de ces institutions.
Jusque-là, très bien !
 
Mais c’est au Conseil constitutionnel, présidé par « Fafa-l’empoisonneur » – toujours aussi actif puisque le 8 janvier ce dernier a même mis en garde le Président sur le risque d’une « véritable crise démocratique » – qu’elle a déniché les pratiques les plus étranges, notamment sur les rémunérations.
Le premier poste de dépenses de l’institution du Palais Royal porte sur les charges de personnel (9,8 millions prévus en 2025) dont 2,16 millions pour les neuf Sages (« Jupette », « Mézard-liance », « Gourre-Haut » et quelques autres…).
« Une rémunération opaque », dénonce « Marie-Âne » : Elle souligne, en effet, que les Sages perçoivent « dans la pratique environ 15.000 euros bruts par mois, ce qui ne respecte pas les règles de rémunération fixées par le législateur organique. »
En clair, ce revenu n’a aucune base légale, une aberration pour ces gardiens de notre Constitution.
Ce qu’elle ne dit pas c’est que ça fait 60 ans qu’on le sait déjà…
 
Ainsi, la « députacrouille-insoumise » pointe « une différence de près de 8.500 euros entre ce que prévoit l’ordonnance organique et la réalité de la rémunération ».
L’explication ? Bé par une lettre de mars 2001 de la secrétaire d’État au budget, à cette époque « Floflo-Parly 3 », communiquée à la rapporteure mais qui n’a jamais été publiée, le Conseil a pu augmenter la rémunération de ses Sages afin de compenser la fin d’un étonnant avantage fiscal dont ils bénéficiaient : Une partie de leur indemnité était exonérée d’impôts (50 % pour frais professionnel, là où le commun des mortels se contente de 10 % et qu’on veut même retirer aux retraités, dont je suis désormais : Mais je vais passer aux frais réels pour compenser et déduire tous mes abonnements de soutien aux retraités…, plus les honoraires de mes potes avocats fiscalistes… Vu le montant de mes pensions parcimonieusement comptées, ça va être facile !).
 
Pour mettre fin à cette situation ubuesque, une députée « soce », « Cécilia-Sous-meilleur », avait présenté, en février 2021, une proposition de loi visant à donner une base légale à cette rémunération soulignant « qu’aucune disposition n’autorise le gouvernement à verser une indemnité secrète ».
Ce qui reste vrai, sauf pour ce qui est des aviseurs douaniers – quelques 1,83 M€ pour les cinq aviseurs sur la période 2017-2021 (et quelques agents secrets de puissances exogènes retournés au profit de la Patrie).
Je ne dis rien des indics de la police : Ils sont rémunérés en saisies de drogue, d’après ce que j’ai compris, mais pas tous, paraît-il…
Bref, une proposition restée lettre morte.
 
Dans ce rapport, la brunette s’intéresse aux rémunérations particulières des membres de droit du Conseil, les anciens présidents de la République. « VGE-A-la-Barre » est le dernier membre de droit à avoir siégé – et il est décédé le 2 décembre 2020 –, « Bling-bling » et « Tagada-à-lafraise-des-bois » ayant décidé de ne pas siéger au Conseil.
Pour le premier, un repris de justice, ça aurait trop fait « ripoux-blique ».
Pour le second, ça l’aurait empêché de retrouver un mandat public électif.
Et selon les réponses communiquées par l’institution à un questionnaire de la députée, « Giskard-A-la-Barre » a perçu 179.991 euros bruts en 2019 pour seulement 5 présences en réunion, soit l’équivalent de près de 36.000 euros par réunion.
Un job bien payé : J’ai vraiment tout loupé de ma vie professionnelle, finalement !
Et en 2020, l’ancien président a perçu la somme astronomique de 165.992 euros bruts pour une seule présence en réunion !
Quand je vous dis que j’ai tout loupé…
 
Ces rémunérations aberrantes irritent au plus haut point « Re-né-Dose-hyère », ex-député « soce » et président de l’Observatoire de l’Éthique Publique (son joujou à lui), qui fait son beurre des écarts des uns et des autres et dont l’un des membres avait révélé, il y a trois ans, l’illégalité de la rémunération des membres du Conseil Constitutionnel.
Encore une qui lit mon « petit-blog-sans-prétention » et qui ne s’en vante pas.
D’autant que les Sages continuent de percevoir, en plus de leurs indemnités le montant de leurs retraites, sans aucun plafond, contrairement aux présidents des Autorités administratives indépendantes. « Ils échappent aussi aux obligations déontologiques, les déclarations de patrimoine et d’intérêts, auxquelles sont tenus tous les hauts magistrats judiciaires et administratifs. Un comble ! », pointe « Dose-Hyères ».
 
Je rappelle que ce dernier a mené pendant cinq ans une longue enquête qui a abouti à la publication d’un bouquin soumis à TVA réduite, « L’Argent caché de l'Élysée » (2007) où il y dénonce l’opacité du budget de la présidence, plusieurs mécanismes en dissimulant la dotation effective, et sa forte progression sous la présidence du « Chi »…
Mais je l’ai dit d’emblée, c’est un mauvais procès pour une institution régalienne centrale de la vie politique de mon pays, hors abus comme a pu en faire « Bling-bling » et « Jupiter », notamment autour des « enquêtes d’opinion » sans appel de marché public…
On a des procédures, il faut les respecter pour ne pas tomber dans le domaine pénal réservé aux « repris de justice »
 
Ainsi sous la présidence de « Bling-bling » il s’est également fait remarquer à la suite de l’attribution d’une carte bancaire à « Tchitchilia », la première dame du moment, rendue rapidement par l’intéressée, l’occasion de demander une clarification du statut du conjoint du chef de l’État (ce qui était hors sujet, puisqu’il n’y en a pas, et ça a été le problème du « cousin Jean » [Tiberi] quand Xavière touchait des subventions indues d’un conseil général pour une étude sur la francophonie Africaine qu’elle n’avait pas réalisée… Ils étaient mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, donc c’est lui qu’on a accusé de « forfaiture »).
 
Il s’est aussi interrogé sur le coût du séjour de vacances aux États-Unis (21.800 € par semaine pour la location de la résidence de Wolfeboro) du couple présidentiel, qui excédait la rémunération de « Bling-bling ».
Tout le monde sait que ce n’est pas lui qui payait, ensuite il avait emmené sa « poupée à galipette » (« Rachi-Dada-Mimi ») et néanmoins « garde-des-sots » du moment, parce que c’était l’époque où « Tchitchilia » faisait « kul-tourné ».
Et puis il lui fallait d’urgence rencontrer « Boubouche-Père-&-fils » pour des « affaires d’État » que « Dose-Hyères » n’a pas à connaitre.
Je vous ai raconté tout ça à l’époque, et vous l’ai repris plus récemment, depuis que les délais de prescriptions sont tombés…
I-Cube (l'exilé): Opération Juliette-Siéra (00/33)
Vous êtes donc déjà parfaitement informés.
 
Et puis « Dose-Hyères » s’est par ailleurs prononcé en faveur de l’augmentation du salaire du président de la République décidée par « Bling-bling » (fayot !) en novembre 2007, au motif que cette augmentation s’accompagnerait d’une diminution du budget global de l’Élysée et d’une plus grande transparence dans l’utilisation des fonds publics.
Mais mis en cause, en réaction, après l’audit de la Cour des comptes remis en 2008, qui signale que les dépenses de l’Assemblée nationale ont augmenté de 47 % en 10 ans, il a répondu en expliquant qu’« il faut faire la transparence sur les fonds publics et lutter contre l’opacité », mais qu’au contraire de l’Élysée, les comptes de l’Assemblée sont publics depuis 15 ans, effort de transparence auquel il précise avoir contribué.
En effet, candidat à la présidence de la commission de vérification et d’apurement des comptes de l’Assemblée, il avait déjà rédigé en 1997 une étude sur la gestion du Palais-Bourbon.
 
Et le 16 juin 2009, il rend public son nouveau rapport relatif à l’évolution, entre 2007 et 2008, du budget et des dépenses de l’Élysée. Dans ce document, le député « Soce » pointe une augmentation de 18,5 %, entre 2007 et 2008, du budget de la Présidence de la République, qui s’établit dorénavant à 113,182 millions d’euros. Outre cette augmentation, il dénonce des manipulations budgétaires. Mais l’Élysée a démenti ces informations, assurant que le budget de la Présidence est sincère, transparent et resté dans les limites de l’enveloppe budgétaire allouée par le Parlement.
Ses travaux conduisent l’Élysée à établir désormais un budget global incorporant la contribution des divers ministères et soumis au contrôle annuel de la Cour des comptes.
En juin 2010, après ses révélations sur les coûts élevés de la garden party du 14 juillet à l’Élysée (732.826 euros pour seulement 7.500 invités et je n’en faisais même pas parti), la présidence de la République décide de la supprimer.
 
Étendant ses investigations au fonctionnement du gouvernement, il publie en février 2012, « L’Argent de l'État, un député mène l’enquête » qui synthétise ses travaux sur le budget de l’exécutif : C’est histoire d’avoir quelques royalties pour compléter sa coquette retraite d’élu de la République…
Mais à aucun moment il ne s’est intéressé au Conseil constitutionnel : Il a fallu qu’on me « trace » pour qu’enfin une « insoumise » s’en inspire…
Reste à savoir si ce sujet tabou sera abordé lors du prochain renouvellement du tiers des membres du Conseil, et de son président « Fafa-l’empoisonneur », début mars 2025.
Pas sûr…
 
Mais vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas au courant, pas plus que « Mes-Luches » qui devrait rebondir sur le thème du « tous pourris » pour gagner mon estime (et la vôtre, au-delà de ses fans aveuglés et écervelés…) !
Il en a besoin pour survivre, parce que sa côte va s’effriter…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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