Plus de 120 scrutins nationaux en 2024 à travers le monde…
Je vous fais un petit tour d’Europe, histoire de vous mettre l’eau à la bouche, car les « trolls » vont s’en donner à cœur-joie pour toucher au but : L’avènement du « national-populisme ».
Même « Élan-Must » en rêve d’après notre « Jupiter national » qui craint les effets d’une internationale des nationalismes, rien de moins !
Ce que tout le monde sait du patron de « Xxxl » et autres plaisanteries « matheuses », c’est qu’il est – et le dit de lui-même – autiste-Asperger, un peu comme « Poux-tine » d’après la CIA, et qu’il a une sainte horreur du « wokisme » et de toute autre « idéologie » disruptive depuis qu’un de ses fils a changé de sexe…
Un vrai deuil pour lui, et c’est tout le monde qui va assumer sa rancœur sans borne…
2025 risquent donc de secouer l’UE.
En commençant pas la « Teutonnie-aux-abois » qui aspire à un retour dans le jeu politique européen.
Après le vote de défiance du Bundestag à l’encontre du chancelier « Groβ-Baf-Tout-Schuss » le 16 décembre, des élections anticipées sont donc prévues pour le 23 février prochain.
Une campagne électorale éclair plus tard, qui a été profondément marquée par l’attaque meurtrière du marché de Noël de Magdebourg le 20 décembre dernier perpétrée par un médecin originaire d’Arabie Saoudite.
Et un agresseur bien connu pour ses opinions islamophobes et pour son soutien au parti Alternative für Deutschland (AFD).
Rarement un « soce » aura fait progresser son pays, souvent il l’aura ruiné et le vrai problème c’est qu’ils ignorent tous leur niveau d’incompétence à mener les affaires publiques et défendre l’intérêt général…
Mais ce n’est jamais que mon opinion, qui en vaut toute autre, naturellement.
Friedrich Merz a connu une ascension fulgurante sous l’ère d’Helmut et s’est déjà engagé en faveur d’une Europe plus intégrée.
Il souhaite aussi relancer les relations avec la « Gauloisie-impériale » et la « Polakie », l’axe Paris/Berlin/Varsovie chère à mon pote « Zac », critique la trop forte dépendance de l’Europe à l’égard des États-Unis et appelle à l’envoi de missiles de croisière Taurus en Ukraine.
Si le « Premier sinistre » (Plateforme civique) exerce une influence considérable sur la gouvernance quotidienne, le président joue toujours un rôle crucial.
Le président actuel, Andrzej Duda, du parti d’opposition Droât et Justice (PiS), qui a occupé ce poste pendant huit ans avant le retour de « TuTusk », a utilisé son droit de veto pour bloquer de nombreuses politiques du gouvernement.
La course à la présidence est désormais une épreuve de force entre les candidats des deux principaux partis : Rafał Trzaskowski, le maire de Varsovie pour la Plateforme civique (PO), et Karol Nawrocki, un historien, qui représentera le PiS.
Bien que les résultats seront serrés, les sondages d’opinion (qui ne veulent rien dire là-bas non plus) suggèrent que la Plate-forme civique pourrait sortir victorieuse.
La décision de la Cour faisait suite à des préoccupations concernant l’ingérence étrangère dans une élection où le candidat d’extrême droâte et pro-russe Călin Georgescu, parfaitement inconnu jusqu’à ce jour-là et la candidate centriste et pro-UE, Elena Lasconi avaient accédé au second tour…
Les preuves d'ingérence russe dans l’élection ont émergé, en particulier le coup de pouce artificiel que Călin Georgescu aurait reçu sur les plateformes de médias sociaux, notamment « Tik-Tak-Tok-Toé », favorisant son ascension inattendue alors que le candidat était relativement inconnu du public.
Entre-temps, les élections législatives, qui n’ont pas été annulées, ont vu la victoire des sociaux-démocrates.
Le nouveau scrutin présidentiel devrait donc avoir lieu au premier semestre 2025.
La procédure officielle lancée par la Commission européenne contre « Tik-Tak-Tok-Toé », en vertu de la loi sur les services numériques, permettra peut-être de mieux comprendre le fonctionnement des algorithmes de la plateforme lors des élections.
Ces élections donneront alors un aperçu de l’opinion publique ritalienne sur le gouvernement, relativement stable, du moins selon les critères historiques locaux. En novembre dernier, les partis de la coalition ont été devancés par la coalition de centre-gôche lors des élections régionales en Émilie-Romagne et en Ombrie – un revers pour « Giorgina ».
La région de la Vénétie fera l’objet d’une attention toute particulière, compte tenu de sa population importante et de sa longue histoire de gouvernement par la Ligue nationale-populiste, un acteur clé de la coalition au pouvoir.
Dans les Pouilles, l’eurodéputé Antonio Decaro, président de la commission de l’environnement et du Parti démocrate, pourrait d’ailleurs se présenter comme gouverneur.
Mené par le national-populiste Andrej Babiš, l’ANO dispose à ce stade de 34,5 % des intentions de vote, loin devant le Parti démocratique civique (ODS) qui siège dans le groupe ECR au Parlement européen mené par le « Premier sinistre » conservateur Petr Fiala, qui est crédité de seulement 13,7 % des voix, suivi par le parti de centre-droât STAN (PPE) avec 11 %.
C’est dire si on connaît jusqu’à Paris-plage se type de situation…
La victoire de M. « Bar-bis » renforcerait l’axe europhobe de droâte natuionaliste en Europe centrale, qui comprend aussi le Hongrois « Vic-tort-Or-Bahn » et le Slovaque « Robert Frico ».
L’ancien « Premier sinistre » tchèque et milliardaire qui a été surnommé le « Trompe-tchèque » est typique pour être un « anti-élites » et « anti-migrants », également opposé à une plus grande intégration de l’Union européenne et fait preuve d’une grande complaisance à l’égard de la « Russie-Poux-tinienne ». Beaucoup craignent des attaques contre la démocratie en Tchéquie s’il revient au pouvoir. Et ce sera probablement le cas jusqu’à ce que les européistes s’animent de la volonté de faire aimer l’Europe par les populations autochtones…
Il faudrait que les gens s’interrogent sur les raisons pour lesquels les peuples d’Asie centrale, depuis l’Ukraine et jusqu’aux frontière de l’Iran, veulent rejoindre à tout prix l’UE…
Et les suppôts de « Poux-tine » devraient réfléchir à leur sort quand celui-ci disparaîtra… Ou aller prendre des leçons auprès « d’Assad-le-chimique » jusque dans son exil.
Il a surpris tout le monde lors des élections législatives d’avril dernier en décidant de se présenter comme tête de liste du SDP à Zagreb. Mais sa candidature a été rejetée par la Cour constitutionnelle.
Il se définit lui-même comme un « nationaliste » (populiste). Il s’oppose au soutien du gouvernement à l’Ukraine et à la participation des soldats croates à la mission dirigée par l’OTAN pour former les soldats ukrainiens.
Il est en tête des sondages avec 37,4 %, devant Andrej Plenkovic (20,8 %), le candidat soutenu par le parti du « Premier sinistre » en poste, l’Union démocratique croate (HDZ) – qui siège avec le Parti populaire européen (PPE) au Parlement européen – et qui prône le renforcement des liens de la Croatie avec ses alliés occidentaux.
Ce vote pour les conseils de comté en Angleterre constituera un test clé pour le parti travailliste, car il révélera si sa victoire de l’année dernière marque le début d’un soutien durable pour le parti.
Ce que je pense… Chez leurs opposants, il n’y a plus de leader crédible tellement ils en ont usé en une seule législature…
Selon Sky News, les sondages (qui ne veulent toujours pas dire grand-chose) suggèrent que les travaillistes et les conservateurs sont actuellement au coude à coude dans une fourchette de 20 % – un niveau de soutien historiquement bas pour les deux partis – et que Reform UK, le parti « nationalpopuliste » de Nigel Farage, n’est distancé que de cinq points.
Rappelons qu’avec la désignation de leurs députés aux scrutin majoritaire à un seul tour et par circonscription qui, comme aux USA, amène mécaniquement à un « bipartisme », Reform UK est exclu de la chambre des Communes pour ne détenir actuellement aucun siège. Et c’est également dans les conseils locaux.
Le dictateur au pouvoir depuis 30 ans a déjà prévenu qu’il pourrait couper totalement l’accès à Internet pendant la campagne si des manifestations semblables à celles de 2020 éclataient.
On se rappelle que l’élection de 2020 avait été marquée par une fraude électorale généralisée, une répression violente de l’opposition et une répression brutale des manifestants qui contestaient les résultats.
Alexandre Loukachenko avait remporté le scrutin avec 80 % des voix mais sa réélection avait été largement condamnée par l’Union européenne et d’autres pays refusant de reconnaître le résultat.
Depuis lors, l’association bélarusse de défense des droits de l’Homme, Viasna, a rapporté que plus de 50.000 personnes avaient été arrêtées pour des motifs politiques.
Toutefois, l’équité de ces élections suscite de plus en plus d’inquiétudes.
La liberté des médias reste très limitée et les opposants politiques continuent de faire l’objet d’une répression sévère, illustrée par la mort du leader de l’opposition Alexeï Navalny.
Jonas Gahr Støre, chef du parti travailliste de centre-gôche, occupe actuellement ce poste.
Mais comme dans toute l’Europe, les derniers sondages (qui ne…) suggèrent un glissement vers les partis de droâte.
Le
Le Parti conservateur de centre-droât, dirigé par l’ancien Premier ministre Erna Solberg, le talonne de près.
Adieu un pan supplémentaire de la « sociale-démocrature » scandinave ?
Bien que largement protocolaire, le rôle du président comporte d’importantes responsabilités constitutionnelles, telles que la signature de projets de loi et la représentation de l’Irlande sur la scène internationale.
Aucun candidat ne s’est officiellement lancé dans la course à la présidence, le média irlandais « The Journal » spécule sur les prétendants potentiels. Parmi les noms cités figurent des visages familiers de Bruxelles : L’ancienne commissaire européenne Mairead McGuinness (un patronyme moussant…) et l'ancienne députée européenne Frances Fitzgerald, toutes deux issues du parti de centre-droât Fine Gael.
La chambre haute du Parlement irlandais, le Seanad, sera également renouvelée, mais par le biais d’un processus indirect : Quarante-neuf sénateurs seront élus par les diplômés universitaires, tandis que 11 seront nommés par le Premier ministre et des groupes professionnels.
Les résultats définitifs sont attendus à partir du 30 janvier.
Ces élections font suite à la dissolution de la chambre basse, le Dáil, le 8 novembre.
Le pays est le théâtre d’une lutte d’influence entre la Russie et l’Occident, alors que les troupes russes occupent 20 % du territoire géorgien depuis 2008.
La décision du nouveau gouvernement, le 28 novembre, de reporter le processus d’adhésion du pays à l’UE jusqu’en 2028 a provoqué une vague de manifestations à Tbilissi et dans d’autres villes du pays.
La Géorgie a obtenu le statut de candidat à l’UE en décembre 2023, mais le processus a été interrompu par l’UE, qui a invoqué l’instabilité démocratique du pays.
Le 29 décembre a marqué la fin du mandat du président pro-européen Salomé Zourabichvili, qui a été remplacé par l’ancien footballeur pro-russe Mikheil Kavelashvili. Ce dernier a été élu le 14 décembre par le parlement où Rêve géorgien est majoritaire, lors d’un vote boycotté par l’opposition.
Alors que la mainmise sur les forces pro-européennes s’intensifie, les manifestants ont dû faire face à une réponse musclée de la part des autorités. Pendant ce temps, Salomé Zourabichvili refuse de reconnaître le nouveau président et de démissionner de son poste.
Le référendum sur l’adhésion à l’Union européenne à l'automne 2024 s’est soldé par un vote en faveur du « oui » mais de justesse (50,35 %) tandis que la présidente sortante pro-européenne, Maia Sandu, a été réélue au second tour.
Pour les élections législatives de 2025, le parti de la présidente joue son va-tout.
S’il n'obtient pas la majorité, il devra faire face à d’autres forces politiques qui n’ont pas toutes soutenu le « oui » au référendum. Pour Maia Sandu, ces élections seront « une dernière bataille » sur le chemin de l’adhésion de la Moldavie à l’UE, dans un pays où l’opposition politique pro-russe reste très forte.
Or, leur « Parti soce » est celui de leur « Premier sinistre » Edi Rama et le PD jouent des enjeux importants dans cette élection : Le PD tentera de mettre fin aux trois mandats successifs du « P.soce ». Car le pays traverse aussi une grave crise politique depuis plusieurs années, le débat politique étant très polarisé entre le PD et les « soces », héritiers du régime stalinien du Parti du travail d’Enver Hoxha.
L’opposition a accusé le gouvernement d’envoyer des personnalités de l’opposition en prison pour des raisons politiques.
Ce manque de pluralité politique, associé à la résistance nationale à la lutte contre la corruption, rend les négociations d’adhésion à l’UE difficiles, les négociations d’adhésion à l'UE ayant officiellement commencé en 2022.
Depuis sa victoire écrasante à la super-majorité en 2021, l’opposition aura manqué de leaders charismatiques capables de défier Kurti.
Après le scrutin de février, la question sera de savoir si son parti sera en mesure d'obtenir une majorité ou s’il devra inclure des partis d’opposition ou des représentants de la communauté serbe dans le gouvernement pour pouvoir gouverner le pays.
Srpska Lista, le parti ethnique serbe, entretient par ailleurs des liens étroits avec la Serbie, qui ne reconnaît pas l’indépendance du Kosovo, déclarée en 2008 et soutenue par les principales puissances occidentales.
Après s’être vu refuser le droit de se présenter aux élections législatives par la commission électorale, Srpska Lista s’est finalement vu accorder, le 25 décembre, le droit de concourir par une instance d’appel.
À suivre…
« Mes-Luches » prévoit, tout comme « Marinella-tchi-tchi » (et même « Kung-Fu-Panda ») d’être près avant l’été en cas de démission anticipées de notre Président…
Que j’en serai bien surpris…
Lui n’attend qu’une chose, c’est qu’une motion de censure fasse tomber le gouvernement de « Bébé-roue-de-secours » qui fournit tous les efforts pour ne pas trébucher.
Le plan de « Jupiter », je vous le rappelle, c’est de finir son mandat avec tous les pouvoirs en application de l’article 16. Mais pour y parvenir, il lui faut des émeutes dans les rues et les campagnes, sans gouvernement pour réagir. Tous les ingrédients d’une situation insurrectionnelle et son meilleur allié dans cette stratégie, ça reste « Mes-Luches » et « Marinella-tchi-tchi », le premier tombant sur une barricade, la seconde et ses lieutenants enfermés dans les geôles secrètes de la République, avant d’être exécutés dans les fossés du château de Vincennes, comme il est de tradition.
Là, soit l’électeur lui ouvre un boulevard, une autoroute avec une forte majorité et il fait comme il veut pour modifier à son goût la constitution, soit c’est de nouveau un blocage et on repart pour un tour de gouvernement Fantômas… qui lui donnera tous les pouvoirs…
C’est gagnant à tous les coups : Soit c’est De Gaulle (68), soit c’est Pétain (40), mais au bout du bout, c’est du Napoléon III !
Vous êtes prévenus !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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