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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 janvier 2025

Jean-Marc s’épanche…

Devant une bière !
 
À Jean-Paul :
« Quand je pense que Germaine aura dépensé 90 € chez le vétérinaire pour soigner notre lapin…
Alors qu’un pot de moutarde ne coûte même pas 3 euros…
Ça me rend malade ! »
 
Plus tard, au même…
« Tu sais, embrasser une femme sur le front, c’est de la protection.
Sur la joue, c’est de l’amitié.
Dans le cou, c’est du désir.
Sur la bouche, c’est du passionnel…
Devant son mari, c’est du courage ! »
 
Marie-Chantal à Germaine, furieuse…
« Ah ça, te tenir les cheveux pendant une fellation, tu trouves toujours du monde.
Mais quand tu vomis ta gueule de bois, il n’y a jamais personne ! »
 
Les deux mêmes :
«  Pourquoi les hommes qui ont un gros ventre ont-ils un petit pénis ?
 Bé, eux, je ne sais pas…
Probablement parce que rien ne pousse à l’ombre d’un gros truc… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
«  Tu savais, toi, que l’église catholique considérait que l’adultère passé 70 ans n’était plus un péché ?
 Ah bon ? Et pourquoi ?
 Parce que c’est plutôt un miracle ! »
 
Constats scientifiques :
«  La nourriture met 7 secondes pour passer de la bouche à l’estomac…
 Quand tu ne t’éfouffes pas au passage du mauvais tuyau…
 Un cheveu peut supporter 3 kilos…
 Quand il t’en reste !
 Le pénis d’un homme mesure trois fois la longueur son pouce !
 Tu crois ?
 Les femmes clignent deux fois plus des yeux que les hommes…
 M’étonne pas…
 La peau d’un homme pèse deux fois plus que son cerveau…
 Chez les crétins, c’est plus…
 Les femmes ont déjà fini de lire ce messsage !
 Ah ?
 Les hommes sont en train de mesurer leur pouce !
  »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
«  On a enfin la preuve que les femmes aiment plus leur mari que leurs enfants !
 Eh oh !!! Tu veux rire ?
 Non pas du tout…
 Explique alors !
 Une femme est capable de laisser ses gamins seuls chez la voisine, mais jamais son mari ! »
 
Jean-Paul se régale.
Sa conquête du soir :
«  Ce premier rendez-vous était épatant… Génial.
J’aimerai voir l’appartement où t’habites !
 Là, je vais d’abord te montrer mon appartement… »
 
Jean-Marc arrivé au bureau appelle sa secrétaire au téléphone…
«  Bonjour Marie-Françoise…
 Bonjour patron !
 Pas d’emmerdeur au téléphone, ce matin ?
 Non Monsieur le directeur ! Vous êtes le premier ! »
 
Jean-Paul, à l’occasion d’un pique-nique dans l’herbe avec sa dernière conquête potentielle :
« J’ai les fesses toutes mouillées ! » lui dit-elle…
«  Tu veux dire que je t’excite ?
 Non, c’est l’herbe !
 C’est l’herbe qui t’excite ?
 Non, c’est l’herbe qui est toute mouillée !
 Tu veux dire que j’excite l’herbe ?
 Merde ! Que tu peux être con… »
 
« Écrire sans faute ou écrire cent fautes, certains ont déjà du mal à ce stade.
Par exemple :
Un rat, des goûts !
Un cas, des colles !
Un pont, des râbles !
Une voiture, des marres !
Un évier, des bouchers !
Un scout, des brouillards !
Un bond, des buts !
Une dent, des chaussées !
Un air, des confits !
Un beau, des cors !
Un mur, des crépis !
Un vrai, des dalles !
Un valet, des curies !
Un drogué, des foncés !
Une jolie, des gaines !
Un crâne, des garnis !
Un frigo, des givrés !
Une moue, des goûters !
Un brusque, des luges !
Un ministre, des missionnaires !
Une grosse, des panses !
Un propos, des placés !
Une cinglante, des routes !
Un fâcheux, des agréments !
Un patron, des spots !
Un délicieux, des cerfs !
Une bande, des cinés !
Un sirop, des râbles !
Un argent, des tournées !
Et ne pas oublier, une bière, des altères ! »
Bon, je reconnais, il faut être francophone pour apprécier…
 
Jean-Marc et Germaine, au petit matin :
«  Chou, je me sens en forme ce matin…
J’aurais envie de faire des galipettes !
 Parfait !
File à la cuisine et prépare-nous le petit-déjeuner ! »
  
Lu pour vous par Marie-Francette dans les toilettes des dames une pancarte :
« Il y a des hommes parfaits au quatre coins du monde.
Malheureusement, la Terre est ronde ! »
 
Dans la cage d’escalier du HLM où habite Jean-Paul, lu pour vous deux affichettes :
L’une manuscrite : « Si je trouve l’enculé qui a chié devant ma porte, je le tue ! »
L’autre dactylographiée : « Cher voisin,
C’est moi qui ai « chié » sur votre paillasson !
Étant donné que vous prenez l’escalier pour une décharge publique et la cour de l’immeuble pour un cendrier géant, j’ai pensé qu’il s’agissait là, de votre part, d’une sorte de coutume.
J’ai cru bon d’essayer de m’adapter et de vous montrer que, moi aussi, je pouvais découvrir et partager d’autres cultures. J’avais aussi envisagé d’uriner dans votre boîte aux lettres, mais je me suis dit qu’il fallait montrer un enthousiasme modeste à la découverte de votre mode de vie.
Au cas où vous souhaiteriez, vous aussi, rejoindre, notre civilisation, je vous indique que le local à ordures se trouve juste en bas des escaliers et qu’une simple boîte de conserve vide peut recevoir des mégots de cigarette. Quant aux crachats de vos amis, ils devraient essayer de les garder pour eux et ainsi profiter de leur goût, qui, vu le nombre de boissons absorbées, devrait être magnifiquement relevé.
Un voisin du XXIème siècle !
(ça ne se lit pas croix, croix, bâton !) »
 
J’avais un prof’ d’histoire du droit en première année de faculté qui était une terreur parmi mes potes qui redoutaient les examens oraux de fin d’année. Un misogyne notoire à la voix qui portait fort dans le grand amphi.
Il se racontait des horreurs sur son compte, du style, à un étudiant qui rame pour répondre à la question bête de savoir ce que c’était que le « pouvoir banal » au moyen-âge, il l’interrompt dans sa réponse en gueulant tout haut : « Appariteur, appariteur ! Apportez une boîte de foin à ce jeune-homme : Il a faim ! »
Et l’étudiant, furieux et pas dégonflé, de reprendre sur le même ton : « Appariteur ! Apportez-en deux ! Monsieur déjeune avec moi ! »
C’est probablement une légende, comme cette autre concernant le même prof’ qui interroge une femme enceinte au moins jusqu’aux dents et à qui il fait : « J’ai pour coutume de ne jamais interroger deux personnes à la fois ! Merci madame… » et de lui coller 10/20 d’autorité sans l’avoir entendue…
Il en est encore une autre :
C’est un étudiant qui foire son oral et qui tente de se rattraper : 
«  Monsieur G… Je fais droit parce que j’ai une question qui concerne les droits qui me pose un problème depuis longtemps. Pouvez-vous y répondre ?
 Naturellement, c’est mon métier ! » lui répond le prof’.
« Euh… et si vous ne pouvez pas me répondre, est-ce que vous ne mettrez pas une note éliminatoire pour que je poursuive mes études à la recherche de la bonne réponse ? »
Le prof’ hésite et répond : « Bien sûr, pourquoi pas ? »
« La question est la suivante, Monsieur : Qu’est-ce qui est légal mais pas logique, en même temps que logique mais pas légal et n’est ni logique ni légal ? »
Là, le prof sèche…
Et malgré ses connaissances en la matière, il doit reconnaitre en bon joueur qu’il ne connaît pas la réponse.
L’étudiant non plus semble-t-il : « Il faut que je poursuive mes recherches en droit pour savoir… » et ne lui donne pas de réponse…
Le prof’ lui met un 15 sur 20, ce qui est une excellente chez lui : J’ai dû avoir 5/20.
(Moâ, je mettais 8,5/20 au minimum – quand c’est moâ qui faisais la réponse, que je partageais en deux – et 16 au maximum.
Pourquoi 16 ? Parce que 20, c’est « parfait », or, la perfection n’existe pas – même les filles parfaites ont de jolis défauts, ou c’est Dieu et son existence est contestée. 19 c’était mon Pape à moâ [Maurice Cozian, fiscaliste 10ème Dan devant l’éternel], 18, c’était mon directeur et 17 c’était ma moyenne en fiscalité appliquée. Donc on commençait à 16 !…)
Le même prof, bien plus tard aura demandé à un de ses brillants étudiants (ça existe, j’en ai rencontré) la réponse à cette énigme.
Et le gars aurait répondu : « C’est facile… Si vous avez 75 ans et une épouse de 25 ans, c’est légal mais pas logique.
Si elle a un amant qui a 20 ans, ce qui est parfaitement logique, c’est illégal et pas moral du tout.
En revanche ce qui n’est ni légal ni logique, c’est que vous ayez mis une bonne note à l’amant de votre femme pour lui permettre de poursuivre ses études de droit ! »
 
Déjà une revenue ?
« Devine ce que je vais te préparer pour le dîner ? » demande Germaine à Jean-Marc
« Ouh là ! Déjà que je suis incapable de deviner ce que c’est quand c’est servi et avalé, alors avant encore moins ! »
 
Germaine, épuisée, au matin :
«  La nuit a été torride !
Mon chéri, tu vas chercher des croissants ?
 Ok ! J’en prends combien ?
 Autant que nous avons fait l’amour cette nuit !!!
 Trois croissants, deux pains au chocolat et une brioche alors ? »
 
Germaine avec Marie-Chantal, au salon de thé voisin :
«  … Je lui ai répondu que je m’appelais Sonia, que j’étais blonde avec une grosse poitrine et que j’avais 22 ans !
 Tu exagères, Germaine !
 Du coup, il va faire 2.000 km aller-retour pour me voir !
 Il va être drôlement surpris ! Tu es vraiment impayable !
 À nos âges, on s’amuse comme on peut ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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