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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 3 janvier 2025

C’est Germaine…

Au marché.
 
« Bonjour ! Je voudrais 3 kilos de patates s’il vous plait ! » fait-elle en s’adressant au marchand derrière son étal.
« — Des grosses ou des petites ?
— Des petites, s’il vous plait… Ce sera moins lourd à porter ! »
Bon d’accord, c’est une « revenue ». Dans l’originale, c’est une dame qui commande une pizza à emporter et le pizzaïolo lui demande en combien de part il la lui découpe, 6 ou 12 ? « 6 ! 12, je n’arriverai jamais à tout manger ! »
 
Jean-Paul offre le restaurant à une nouvelle conquête et espère « conclure » dans la soirée :
Elle : « Merci pour le restaurant. C’était très sympa ! »
Lui : « — Merci à toi… Tu me plais beaucoup, déjà en photo, tu étais très belle, mais en vrai, encore plus…
— Merci, c’est gentil ! Ça me fait plaisir.
— Et toi, comment me trouves-tu ? Je veux dire, physiquement, que penses-tu de moi ?
— Oh, tu sais, le plus important, c’est d’être en bonne santé ! »
 
« Je te drague et tu me fais savoir que je ne suis pas beau, peut-être même laid !
Mais enfin, Marie-Cécilia, si j’étais beau, tu penses bien que ce n’est pas toi que je draguerai ! »
 
Marie-Lucia partage un thé avec Germaine :
« — Pourquoi tu es en fauteuil roulant, ma chérie.
— J’ai eu un accident… Mais ça va passer.
— Quel genre d’accident ? Un accident de la route.
— Non même pas, Chérie. Ce serait d’un banal… Un accident d’escalade !
— Ah oui » répond Germaine. « … Tout de même…
Mais admet qu’il faut être un peu conne pour faire de l’escalade en fauteuil roulant ! »
 
Le même avec une autre « candidate » :
« Est-ce que quelqu’un t’as déjà dit que tu étais magnifique ?
Euh… non pourquoi ?
Eh bien au moins, tu ne fréquentes pas des hypocrites… »
 
Jean-Marc, sortant d’une salle de sport, croise une jeune fille qui s’arrête pour lui dire :
« Salut toi, le beau mec. Tu sais que je suis la blonde explosive qui fait parfois ses étirements devant toi à la salle…
Oui, oui, je vois ce que tu veux dire. Mais là j’ai été retardé.
Tu sais que tu me plais beaucoup et que j’aimerai bien avoir ton numéro de téléphone…
Mais enfin ! Je t’ai dit au moins 0623644567 fois que j’étais marié ! »
 
Jean-Paul, à la peine, dans la même salle de sport…
« Je te trouve tellement belle, drôle et gentille…
Toi, tu dis ça parce que tu veux uniquement coucher avec moi !
Et tellement intelligente en plus… »
 
À l’hôpital, un patient mal en point et son médecin…
« Vous qui êtes un homme de science, est-ce que vous avez une idée de ce qui se passe après la mort ?
Oui… Nous nettoyons et désinfectons la chambre et nous accueillons un nouveau patient ! »
 
Jean-Paul use d’une arme anti-démarchage téléhonique…
« Quand je suis dérangé par un téléopérateur, je lui dis systématiquement que je suis en train de me masturber, mais qu’il peut continuer son boniment parce que ça ne me dérange pas du tout… »
 
Réaction de Jean-Marc :
« Vraiment tu es infect.
On dirait une coquille sans son Q, et tu te comportes parfois comme une carrote sans son A !
Et ça n’a pas la même saveur, tu dois t’en rendre compte ! »
 
Plus tard… les deux compères devant une bière au comptoir de leur bar favori.
« Je ne comprendrai jamais ces changements d’heure…
Pourquoi avancer ou reculer d’une heure selon la saison ?
Et tu aurais voulu quoi ?
Reculer de 40 ans pour retourner dans les années 80 ! »
 
Jean-Marc a « une panne » ce soir-là avec Germaine.
« Qu’est-ce qu’il y a ? » demande-t-elle…
« J’ai eu une journée infernale… J’ai besoin de ton soutien oral !
Tu veux dire moral ?
Non, j’ai bien dit oral ! »
 
Marie-Chantal fait une confidence à Germaine…
« J’ai remarqué que plus le pénis d’un type est petit, plus il a une grande gueule !
Tu crois ?
J’en suis sûre… d’expérience ! C’est quand même bien fait, la nature, tout de même… »
 
Les mêmes, un peu plus tard, devant une autre tasse de thé :
« Avant-hier, on m’a volé mon sac !!!
Ah merde !
— Non, mon sac à main ! »
 
Jean-Marc et Germaine, dans une séance de sensualité naissante :
« Chéri, ça te dit de détacher mon soutien-gorge ?
Eh oh ! Je ne suis pas ta bonne ! Le K2R est sous l’évier ! »
C’est probablement une revenue, mais de je ne sais plus quand…
 
Jean-Paul à Jean-Marc, devant une énième bière matinale :
« — Tu sais…
— Non !
— Si j’avais été chirurgien, juste après l’injection de l’anesthésie, je dirais au patient au moment où il s’endort ‘‘ Toujours d’accord prur changer de sexe ?’’ juste pour voir combien de temps il lutte.
— T’es vraiment con toi ! »
 
C’est Jean-Marc et Germaine, un matin banal.
Madame à peine vêtue, en nuisette et sans culotte, s’affaire à préparer les œufs à la coque pour le petit déjeuner.
Jean-Marc passe tout près d’elle et l’effleure à peine, affairé à nouer sa cravate.
Tout d’un coup, elle se retourne : 
« Fais-moi l’amour, là tout de suite et sans t’arrêter ! »
Jean-Marc n’en revient pas et il se dit que c’est une journée sûrement spéciale.
Ravi, il embrasse Germaine, la retourne sur la table et fait son affaire…
À peine terminé, Germaine remet un peu d’ordre dans sa tenue et ses cheveux et retourne à ses œufs sur le feu.
Jean-Marc, toujours surpris et encore sous le charme, prend Germaine dans ses bras pour l’enlacer tendrement et lui murmurer à l’oreille :
« — Qu’est-ce qui t’a pris, là comme ça, tout d’un coup ?
— Oh rien, chéri : Le minuteur est cassé ! »
 
« Chérie, je t’aime tant que si on me demandait de choisir entre un long voyage et toi, je penserai à toi durant tout le voyage ! »
Oui, elle est kon…  
 
Germaine à Jean-Marc :
« — Ce soir il y a un match à la télé… J’ai acheté de la bière et tu peux appeler tes copains pour qu’ils viennent passer la soirée à la maison : Je vous ferai à manger…
— C’est grave ?
— Le parechoc, la portière, l’aile et le phare… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« J’ai une copine sur « fesse-bouc » qui écrit sur son mur à chaque rupture « Tourner la page et grandir »…
Elle doit bien faire trois mètres aujourd’hui… »
 
« — À propos, tu sais la racine historique du mot copain ?
— Euh… non ?
— Au moyen-âge, on n’avait pas d’assiette mais des écuelles et on partageait souvent le pain en tranche sur lesquelles on mettait de la viande, du fromage ou des légumes avec ses amis…
Les « camardes » étaient donc des « co-pains »…
— Ah oui, je vois… Et c’est pareil pour les « co-pines » ? Ils se partageaient leur femme ?
— Très certainement… Mais c’est peut-être les femmes qui se partageaient les meilleures pines…
— Peut-être… »
 
Séance d’éducation de Germaine à ses enfants, un soir à table :
« On ne crache pas dans la nourriture !
On finit ce qu’on a commencé !
Et si c’est dans la bouche, on l’avale ! »
Puis se tournant vers Jean-Marc :
« Et toi, ta gueule ! »
 
Jean-Paul et Jean-Marc, devant leur dernière bière vespérale :
« On est toujours le con de quelqu’un.
Le tout, c’est de ne pas être le con de tout le monde… »
 
Germaine à Jean-Marc :
« — Chéri, est-ce que tu m’aimeras toujours quand je serai toute vieille et ridée ?
— Toi, tu es en train de me dire que tu vas empirer… »
 
Germaine avec Marie-Chantal, au salon de thé…
« — Avec Jean-Marc, mon mari c’est au moins trois fois par semaine…
— Ah, moi, c’est au minimum une fois par semaine !
— Mais… tu n’es pas mariée !
— Je croyais qu’on parlait de ton mari… »
 
Germaine au téléphone :
« — Mais tu es passé où espèce d’alcoolique ? Encore dans un bar à te souler avec ce crétin de Jean-Paul ?
Tu es où que je vienne te botter les fesses ?
— Mais calme-toi, chérie… Tu te souviens de cette bijouterie où tu étais restée en extase devant un bracelet étincelant que je t’avais dit qu’un jour il serait à toi…
— Oh oui chéri… Je me souviens… C’est si gentil de ta part…
— Eh bien, je suis dans le petit bar d’à côté ! »
 
Jean-Paul, un midi avec Jean-Marc, devant une côtelette et une chope de bière :
« — Mon projet de vie du jour, c’est de quitter mon travail et de partir faire un grand tour à la découverte du monde !
— Non ??? Tu vas vraiment faire ça aujourd’hui ?
— Oui… Et je reviens quand je n’aurai plus d’argent pour aller plus loin…
— Ah…
— En étant optimiste, je prévois d’être de retour ce soir vers 20 heures ! »
 
« C’est curieux les statistiques…
Il paraît que les femmes qui ont un petit peu de surcharge pondérale vivent plus longtemps que les hommes qui leur en font la remarque… »
 
Scène de ménage chez Jean-Marc :
« — Mais puisque je te dis que pour moi, tu es la seule femme qui compte dans ma vie !
C’est clair !
— Et c’est qui cette Claire ? »
 
Petite semaine de Jean-Marc, j’en conviens… Mais c’était la première de l’année…
Alors bon week-end à toutes et à tous tout de même !

I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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