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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 31 janvier 2025

Les femmes, c’est comme le café…

Au début, ça t’excite…
 
… Et très vite ça t’énerve !
 
Germaine au marché, devant l’étal d’un marchand de fruits et légumes :
« Mais dites donc, mon brave, vos pommes elles sont françaises ou étrangères ?
Qu’est-ce que ça peut vous foutre, ma p’tite-dame ? Vous voulez leur faire la conversation ? »
 
Germaine, furax, raconte à Jean-Marc son altercation avec le marchand des quatre saisons :
« — C’est fini !
— Quoi donc ? La bière ?
— Non ! Je n’irai plus chez ce malortru !
— Aaaah ! Tu m’as fait peur… »
 
Marie-Chantal, au salon de thé avec Germaine…
« — Les hommes, décidément, c’est comme la neige…
— Ah bon ? Pourquoi ?
— On ne sait jamais combien de centimètres on va avoir ni combien de temps ça va tenir !
—  »
C’est une « revenue » qui me fait penser à une autre :
C’est Marie-Chantal qui rentre d’un séjour de 8 jours en Guyane…
Et évoquant le GO de son club devenu son amant elle sort : « J’ai passé huit jours divins avec 20 cm de Neige ! » (le prénom dudit GO…)
 
Jean-Marc philosophe avec Jean-Paul devant leur première Picon-bière matinale, celle pour se donner le courage d’aller jusqu’au boulot :
« Dis-toi bien que derrière chaque gonzesse qui te paraît cinglée, il y a un mec qui l’a rendu comme ça ! »
 
Les mêmes derrière leur seconde Picon-bière matinale pour le coup de l’étrier :
« Ouais bé lui » en parlant de Jean-Luc, « c’est pas un gars qui aura inventé la poudre…
Oui, sans doute… Mais quand elle a pété, il ne devait pas être très loin… »
 
Jean-Paul à la drague :
« Salut ma beauté !!! Et si on allait prendre un verre ensemble ?
Désolé, mais je suis mariée !
Oui, très bien… Mais si tu ne l’étais pas ?
J’inventerais une autre excuse ! »
 
Jean-Paul :
« En Suède, ils ont du fer et ils ne savent pas quoi en foutre…
Au Vatican, c’est l’inverse ! »
 
Jean-Marc à Germaine :
« Tu es de bonne humeur ce matin…
Tu ne t’es pas pesée ? »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, à l’occasion de la première bière méridienne :
« Sais-tu ce qu’il y a dans le slip d’un petit-vieux ?
On va passer à table…
Un ancien combattant et deux chômeuses…
Ah oui, bien vu !
Et dans la culotte d’une petite vieille ?
Arrête, on va passer à table, je te dis !
Une tranchée abandonnée par les anglais et un vieux poilu qui monte la garde… »
 
L’autre vieille « revenue » du moment :
Deux jeunes hommes commencent à rénover le magasin qu’ils viennent d’acquérir.
Ils se sont assis pour se désaltérer d’une canette de bière.
Tout est vide à l’intérieur, il n’y a que des devantures et des présentoirs sans aucune marchandise.
Jean-Michel dit alors à Jean-Richard :
« Je te parie que d’ici quelques minutes, il y a un con qui va mettre le nez à la vitrine et qui va nous demander ce qu’on vend ! »
Jean-Richard n’a pas le temps de réagir que, comme prévu, Germaine passe devant le magasin vide, met le nez à la vitrine et passe la la tête par porte pour demander :
« Que vendez-vous ici ?
Des trous du cul ! » répond Jean-Michel.
Et Germaine, de répondre du tac au tac :
« Ça a l’air de bien marché ! Il n’en reste plus que deux ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, devant leurs assiettes vides et sirotant une dernière bière méridienne :
« Moi, je te dis, si on ne donnait plus souvent la parole qu’aux muets…
Oui ?
Eh bien on entendrait moins de conneries ! »
 
Jean-Étienne, qui passe par là, interpelle notre duo au moment de finir leur café !
« Ah vous êtes là, les deux futés…
Oui, mais on s’en va…
Je ne vous ai pas dit, je me suis remarié avec une minette de 30 ans plus jeune que moi… Ce n’est pas à vous que ça arriverait…
Non : On ne drague pas encore à la sortie des écoles primaires…
T’exagères, je suis plus âgés que vous deux réunis…
Elle doit avoir été attiré par ta fortune…
Même pas ! Il faut que je vous la présente… Vous verrez elle est sincère dans son amour et elle est très croyante !
Ah bon ?
Elle n’arrête pas de me parler de nouveau testament ! »
 
Des effets du wokisme :
« Le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres cotés d’un triangle-retangle ! »
Tohu-bohu dans l’ampithéatre !
« C’est archi-faux !
Vous êtes payés par « big maths » !
Pithagore était pédophile !
Faites vos propres recherches !
Vous croyez les mathématiques mainstream !
C’est juste une théorie !
À chacun son opinion !
C’est ce qu’ils veulent nous faire croire !
C’est un complot de l’angle droit !
Les triangles ça n’existe pas !
Un prix Nobel a dit que c’était faux sur Internet !
 »
 
À la pause vespérale, Jean-Marc et Jean-Paul :
« Pour les 50 ans de Germaine, je compte lui offrir un voyage au pôle Nord !
Ah oui, bien… Et pour ses 60 ans, tu l’emmènes au pôle sud ?
Non ! J’irai la chercher… »
C’était une « revenue », mais les âges indiqués ont pris 10 ans de plus…  
 
Jean-Paul, devant une bière pour se remettre d’un journée de labeur avant de rentrer, à Jean-Marc dans la même situation…
« Qu’est-ce qu’ils peuvent être chiants, ces gens qui ne veulent jamais admettre leurs défauts !
Moi, je le ferai volontiers, si j’en avais… »
 
Encore une « revenue » de loin, mais pimentée de détails supplémentaires :
Deux jeunes, au pas de la porte de l’immeuble de la jeune-fille…
Lui s’appuie contre le mur et se penche vers elle et lui dit :
« J’ai envie d’un baiser.
Pas ici devant chez moi ! On pourrait nous voir.
S’il te plait !
Non !
Tu étais excellente ce soir au lit, bébé…
Wouah ! Toi aussi ! Tu étais plein d’énergie. J’ai bien aimé la position où tu prenais ma jambe sur le côté.
Aller bébé, laisse-moi te faire un dernier bisou.
Non ! Quelqu’un pourrait nous voir. Ici, à la maison, tout le monde croit que je suis encore vierge ! »
Quelques minutes plus tard, le petit-frère de la fille apparaît à la fenêtre et dit :
« Papa me dit de te dire que l’embrasser ou pas, c’est ton problème, mais dis à ce bâtard d’enlever sa main sur le bouton de l’interphone : Toute la maison écoute votre conversation ! »
 
Accident de parcours pour Jean-Marc avec la conquête de ce soir-là :
« C’est la première fois que ça m’arrive, je suis désolé…
Ce n’est pas grave…
À la base, je proposais juste un apéritif. J’ai eu aussi le droit de voir une saucisse cocktail et deux noisettes ! »
 
« Gaby-le-magnifique », plus jeune « premier-sinistre » de « Gauloisie-internationale » à « Jupiter », son Président :
« J’ai sauté une classe.
Pas grave ! Moi j’ai sauté une prof’ ! »
 
Germaine à Marie-Chantal :
« J’ai dit à Jean-Marc que je préférais une naissance…
Mon Dieu ! Et il n’a pas eu peur ?
Pourquoi ? Nos âges ?
Non, il préfère les diesels si je me souviens bien ! »
 
Jean-Richard à Jean-Paul :
« Quelle déveine.
Ma pizza est brûlée.
Ma bière est congelée.
Et ma femme est enceinte !
Bref, je ne la sors jamais à temps ! »
 
Rapportée par Marie-Chantal à l’occasion d’un entretien d’embauche d’une secrétaire dans son entreprise :
« … Et vous êtes mariée ?
Non, mais j’ai un concubin.
Ah-ah-ah ! Bé moi aussi, dans le temps… Mais il était français ! »
 
La voisine de Jean-Paul :
« J’ai envie de m’éclater la chatte ce soir, de picoler toute la nuit et de baiser comme une chienne déchaînée… Tu fais quoi ce soir ?
Euh, je n’ai rien de prévu !
Parfait, tu vas pouvoir garder mon gosse ! »
 
Le soir venu, devant la dernière bière vespérale, Jean-Paul et Jean-Marc font sentencieusement le bilan de la journée :
« Décidément, il existe trois choses, trois seulement, qui ne connaîtront jamais de pénurie.
Ah ! Lesquelles ?
Les problèmes, les impôts et les cons ! »
 
C’est l’histoire de gamins qui jouent dans une école.
« Et si on jouait aux romains ?
Oh oui ! Oh oui ! Moi, je serai Marcus, parce que je m’appelle Jean-Marc.
Super ! Moi c’est Jean-Charles donc je m’appellerai Charlus !
Moi je serai Angélus ! » s’enthousiasme Marie-Angèle…
« Ben, pourquoi tu t’en vas Marie-Anne ? Tu ne veux pas jouer avec nous ? »
 
Plus loin, dans la même école, Jean-Marc :
« Marie-Jeanne ! Je suis amoureux de toi.
Tu es la première fille avec laquelle je veux faire l’amour, quand je serai plus grand !
Punaise ! La poisse, quoi ! Je tombe toujours sur des puceaux ! »
 
Après la dernière bière de la journée…
« On vit tout de même une époque formidable…
Il y a des cerveaux super intelligents qui pensent sauver la planète en interdisant les couverts en plastique…
Oui, pourquoi pas…
Bé maintenant, la planète est sauvée : On a des couverts en bois emballés dans du plastique ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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