Au début, ça t’excite…
… Et très vite ça t’énerve !
Germaine au marché, devant l’étal d’un marchand de fruits et légumes :
« — Mais dites donc, mon brave, vos pommes elles sont françaises ou étrangères ?
— Qu’est-ce que ça peut vous foutre, ma p’tite-dame ?
Vous voulez leur faire la conversation ? »
Germaine, furax, raconte à Jean-Marc son altercation
avec le marchand des quatre saisons :
« — C’est fini !
— Quoi donc ? La bière ?
— Non ! Je n’irai
plus chez ce malortru !
— Aaaah ! Tu m’as
fait peur… »
Marie-Chantal, au salon de thé avec Germaine…
« — Les hommes, décidément, c’est comme la neige…
— Ah bon ? Pourquoi ?
— On ne sait jamais combien de
centimètres on va avoir ni combien de temps ça va tenir !
— … »
C’est une « revenue » qui me fait penser à
une autre :
C’est Marie-Chantal qui rentre d’un séjour de 8 jours en Guyane…
Et évoquant le GO de son club devenu son amant elle sort : « J’ai passé huit jours divins avec 20 cm de Neige ! » (le prénom dudit GO…)
Jean-Marc philosophe avec Jean-Paul devant leur première Picon-bière matinale,
celle pour se donner le courage d’aller jusqu’au boulot :
« Dis-toi bien que derrière chaque gonzesse qui te paraît cinglée,
il y a un mec qui l’a rendu comme ça ! »
Les mêmes derrière leur seconde Picon-bière matinale pour le coup de l’étrier :
« — Ouais bé lui » en parlant de Jean-Luc, « c’est pas un gars qui aura inventé la poudre…
— Oui, sans doute… Mais quand elle a pété, il ne devait pas
être très loin… »
Jean-Paul à la drague :
« — Salut ma beauté !!! Et si on allait prendre un verre ensemble ?
— Désolé, mais je suis mariée !
— Oui, très bien… Mais si tu ne l’étais pas ?
— J’inventerais une autre excuse ! »
Jean-Paul :
« En Suède, ils ont du fer et ils ne savent pas quoi en foutre…
Au Vatican, c’est l’inverse ! »
Jean-Marc à Germaine :
« Tu es de bonne humeur ce
matin…
Tu ne t’es pas pesée ? »
Jean-Paul à Jean-Marc, à l’occasion de la première
bière méridienne :
« — Sais-tu ce qu’il y a dans le slip d’un petit-vieux ?
— On va passer à table…
— Un ancien combattant et deux chômeuses…
— Ah oui, bien vu !
— Et dans la culotte d’une petite vieille ?
— Arrête, on va passer à table, je te dis !
— Une tranchée abandonnée par les anglais et
un vieux poilu qui monte la garde… »
L’autre vieille « revenue » du
moment :
Deux jeunes hommes commencent à rénover le magasin qu’ils viennent d’acquérir.
Ils se sont assis pour se désaltérer d’une canette de bière.
Tout est vide à l’intérieur, il n’y a que des devantures et des présentoirs sans aucune marchandise.
Jean-Michel dit alors à Jean-Richard :
« Je te parie que d’ici quelques minutes, il y a un con qui va mettre le nez à la vitrine et qui va nous demander ce qu’on vend ! »
Jean-Richard n’a pas le temps de réagir que, comme prévu, Germaine passe devant le magasin vide, met le nez à la vitrine et passe la la tête par porte pour demander :
« — Que vendez-vous ici ?
— Des trous du cul ! » répond Jean-Michel.
Et Germaine, de répondre du tac au tac :
« Ça a l’air de bien marché ! Il n’en reste plus que deux ! »
Jean-Marc à Jean-Paul, devant leurs assiettes vides
et sirotant une dernière bière méridienne :
« — Moi, je te dis, si on ne donnait plus souvent la parole
qu’aux muets…
— Oui ?
— Eh bien on entendrait moins de conneries ! »
Jean-Étienne, qui passe par là, interpelle notre duo au
moment de finir leur café !
« — Ah vous êtes là, les deux futés…
— Oui, mais on s’en va…
— Je ne vous ai pas dit, je me suis remarié
avec une minette de 30 ans plus jeune que moi… Ce n’est pas à vous que ça
arriverait…
— Non : On ne drague pas encore à la
sortie des écoles primaires…
— T’exagères, je suis plus âgés que vous deux
réunis…
— Elle doit avoir été attiré par ta fortune…
— Même pas ! Il faut que je vous la
présente… Vous verrez elle est sincère dans son amour et elle est très croyante !
— Ah bon ?
— Elle n’arrête pas de me parler de nouveau
testament ! »
Des effets du wokisme :
« Le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres cotés d’un triangle-retangle ! »
Tohu-bohu dans l’ampithéatre !
« — C’est archi-faux !
— Vous êtes payés par « big maths » !
— Pithagore était pédophile !
— Faites vos propres recherches !
— Vous croyez les mathématiques mainstream !
— C’est juste une théorie !
— À chacun son opinion !
— C’est ce qu’ils veulent nous faire croire !
— C’est un complot de l’angle droit !
— Les triangles ça n’existe pas !
— Un prix Nobel a dit que c’était faux sur
Internet !
— … »
À la pause vespérale, Jean-Marc et Jean-Paul :
« — Pour les 50 ans de Germaine, je compte lui offrir un voyage au pôle Nord !
— Ah oui, bien… Et pour ses 60 ans, tu l’emmènes
au pôle sud ?
— Non ! J’irai la chercher… »
C’était une « revenue », mais les
âges indiqués ont pris 10 ans de plus…
Jean-Paul,
devant une bière pour se remettre d’un journée de labeur avant de rentrer, à Jean-Marc
dans la même situation…
« Qu’est-ce qu’ils peuvent être chiants, ces gens qui ne veulent jamais admettre leurs défauts !
Moi, je
le ferai volontiers, si j’en avais… »
Encore une « revenue » de loin, mais pimentée de
détails supplémentaires :
Deux jeunes, au pas de la porte de l’immeuble de la jeune-fille…
Lui s’appuie contre le mur et se penche vers elle et lui dit :
« — J’ai envie d’un baiser.
— Pas ici devant chez moi ! On pourrait nous voir.
— S’il te plait !
— Non !
— Tu étais excellente ce soir au lit, bébé…
— Wouah ! Toi aussi ! Tu étais plein d’énergie. J’ai
bien aimé la position où tu prenais ma jambe sur le côté.
— Aller bébé, laisse-moi te faire un dernier bisou.
— Non ! Quelqu’un pourrait nous voir. Ici, à la maison,
tout le monde croit que je suis encore vierge ! »
Quelques minutes plus tard, le petit-frère de la fille apparaît à la
fenêtre et dit :
« Papa me dit de te dire que l’embrasser ou pas, c’est ton problème, mais dis à ce bâtard d’enlever sa main sur le bouton de l’interphone : Toute la maison écoute votre conversation ! »
Accident de parcours pour Jean-Marc avec la conquête de ce soir-là :
« — C’est la première fois que ça m’arrive, je suis désolé…
— Ce n’est pas grave…
À la base, je proposais juste un apéritif. J’ai eu aussi le droit
de voir une saucisse cocktail et deux noisettes ! »
« Gaby-le-magnifique », plus jeune « premier-sinistre »
de « Gauloisie-internationale » à « Jupiter », son
Président :
« — J’ai sauté une classe.
— Pas grave ! Moi j’ai sauté une prof’ ! »
Germaine à Marie-Chantal :
« — J’ai dit à Jean-Marc que je préférais une naissance…
— Mon Dieu ! Et il n’a pas eu peur ?
— Pourquoi ? Nos âges ?
— Non, il préfère les diesels si je me souviens bien ! »
Jean-Richard à Jean-Paul :
« Quelle déveine.
Ma pizza est brûlée.
Ma bière est congelée.
Et ma femme est enceinte !
Bref, je ne la sors jamais à temps ! »
Rapportée par Marie-Chantal à l’occasion d’un entretien d’embauche d’une
secrétaire dans son entreprise :
«— … Et vous êtes mariée ?
— Non, mais j’ai un concubin.
— Ah-ah-ah ! Bé moi aussi, dans le temps… Mais il était
français ! »
La voisine de Jean-Paul :
« — J’ai envie de m’éclater la chatte ce soir, de picoler toute la nuit et de baiser comme une chienne déchaînée… Tu fais quoi ce soir ?
— Euh, je n’ai rien de prévu !
— Parfait, tu vas pouvoir garder mon gosse ! »
Le soir venu, devant la dernière bière vespérale, Jean-Paul et Jean-Marc
font sentencieusement le bilan de la journée :
« — Décidément, il existe trois choses, trois seulement, qui ne connaîtront jamais de pénurie.
— Ah ! Lesquelles ?
— Les problèmes, les impôts et les cons ! »
C’est l’histoire de gamins qui jouent dans une école.
« — Et si on jouait aux romains ?
— Oh oui ! Oh oui ! Moi, je serai Marcus, parce que
je m’appelle Jean-Marc.
— Super ! Moi c’est Jean-Charles donc je m’appellerai Charlus !
— Moi je serai Angélus ! » s’enthousiasme Marie-Angèle…
« Ben, pourquoi tu t’en vas Marie-Anne ? Tu ne veux pas jouer
avec nous ? »
Plus loin, dans la même école, Jean-Marc :
« — Marie-Jeanne ! Je suis amoureux de toi.
Tu es la première fille avec laquelle je veux faire l’amour,
quand je serai plus grand !
— Punaise ! La poisse, quoi ! Je tombe toujours sur des puceaux ! »
Après la dernière bière de la journée…
« — On vit tout de même une époque formidable…
Il y a des cerveaux super intelligents qui pensent sauver la
planète en interdisant les couverts en plastique…
— Oui, pourquoi pas…
— Bé maintenant, la planète est sauvée : On a des
couverts en bois emballés dans du plastique ! »
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
« — Mais dites donc, mon brave, vos pommes elles sont françaises ou étrangères ?
« — C’est fini !
« — Les hommes, décidément, c’est comme la neige…
C’est Marie-Chantal qui rentre d’un séjour de 8 jours en Guyane…
Et évoquant le GO de son club devenu son amant elle sort : « J’ai passé huit jours divins avec 20 cm de Neige ! » (le prénom dudit GO…)
« — Ouais bé lui » en parlant de Jean-Luc, « c’est pas un gars qui aura inventé la poudre…
« — Salut ma beauté !!! Et si on allait prendre un verre ensemble ?
« En Suède, ils ont du fer et ils ne savent pas quoi en foutre…
« — Sais-tu ce qu’il y a dans le slip d’un petit-vieux ?
Deux jeunes hommes commencent à rénover le magasin qu’ils viennent d’acquérir.
Ils se sont assis pour se désaltérer d’une canette de bière.
Tout est vide à l’intérieur, il n’y a que des devantures et des présentoirs sans aucune marchandise.
Jean-Michel dit alors à Jean-Richard :
« Je te parie que d’ici quelques minutes, il y a un con qui va mettre le nez à la vitrine et qui va nous demander ce qu’on vend ! »
Jean-Richard n’a pas le temps de réagir que, comme prévu, Germaine passe devant le magasin vide, met le nez à la vitrine et passe la la tête par porte pour demander :
« — Que vendez-vous ici ?
— Des trous du cul ! » répond Jean-Michel.
« Ça a l’air de bien marché ! Il n’en reste plus que deux ! »
« — Ah vous êtes là, les deux futés…
« Le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres cotés d’un triangle-retangle ! »
Tohu-bohu dans l’ampithéatre !
« — C’est archi-faux !
« — Pour les 50 ans de Germaine, je compte lui offrir un voyage au pôle Nord !
« Qu’est-ce qu’ils peuvent être chiants, ces gens qui ne veulent jamais admettre leurs défauts !
Deux jeunes, au pas de la porte de l’immeuble de la jeune-fille…
Lui s’appuie contre le mur et se penche vers elle et lui dit :
« — J’ai envie d’un baiser.
« Papa me dit de te dire que l’embrasser ou pas, c’est ton problème, mais dis à ce bâtard d’enlever sa main sur le bouton de l’interphone : Toute la maison écoute votre conversation ! »
« — C’est la première fois que ça m’arrive, je suis désolé…
« — J’ai sauté une classe.
« — J’ai dit à Jean-Marc que je préférais une naissance…
« Quelle déveine.
Ma bière est congelée.
Et ma femme est enceinte !
Bref, je ne la sors jamais à temps ! »
«— … Et vous êtes mariée ?
« — J’ai envie de m’éclater la chatte ce soir, de picoler toute la nuit et de baiser comme une chienne déchaînée… Tu fais quoi ce soir ?
« — Décidément, il existe trois choses, trois seulement, qui ne connaîtront jamais de pénurie.
« — Et si on jouait aux romains ?
« — Marie-Jeanne ! Je suis amoureux de toi.
— Punaise ! La poisse, quoi ! Je tombe toujours sur des puceaux ! »
« — On vit tout de même une époque formidable…
— Oui, pourquoi pas…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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