Récente fournée
Robert retrouve son copain Bernard affalé sur le zinc
de leur bar habituel, dans un état d’ébriété avancé et les yeux rougis par les
larmes.
« Qu’est-ce
qui se passe mon pote ? » lui demande-t-il en lui donnant une tape
amicale dans le dos.
« C’est à cause d’une femme, » répond
Bernard.
« Une femme
? Il ne faut pas se mettre dans des états pareils pour une femme. Et puis
d’abord, quelle femme ? » s’enquiert Robert.
« – C’est
TA femme.
– Ma
femme ? Qu’est-ce qu’elle t’a fait ?
– Eh
bien, je crois bien qu’elle nous fait cocus… »
Rentré chez lui Robert a une explication houleuse avec
son épouse.
Qui se termine en violente dispute.
Robert y met un terme avec ce jugement sans appel :
« Et puis ta
mère elle est tellement conne que même le perroquet ne répète pas ce qu’elle
dit ! »
Le garde-champêtre à Robert :
« – Je suis
désolé, mais il vous faut un permis pour pécher ici.
– Non,
merci, ça va très bien avec un ver. »
Pendant un cours d’archéologie à l’université,
l’éminent professeur Robert présente à ses élèves une très vieille lampe à
huile découverte en Asie Mineure.
Au moment où il saisit la lampe, un génie en sort et d’une voix grave et assurée il dit :
Au moment où il saisit la lampe, un génie en sort et d’une voix grave et assurée il dit :
« Professeur
Robert ! Je t’apparais ici et maintenant pour te récompenser de ton
comportement désintéressé et exemplaire. Je vais t’accorder un vœu parmi trois
propositions. Tu choisiras sans pouvoir revenir en arrière, et ensuite je
disparaîtrais à jamais. Les trois souhaits que je te propose sont une richesse
infinie, une sagesse infinie, ou une beauté infinie. »
Le génie laisse au professeur quelques secondes pour
réfléchir puis il lui demande :
« Voilà, je
t’écoute, quel est ton choix ? »
Sûr de lui et sans l’ombre d’une hésitation, Robert
répond :
« – Je choisis l’infinie sagesse !
– Eh bien c’est fait ! » répond le génie en s’évanouissant dans un nuage de fumée et de lumière.
– Eh bien c’est fait ! » répond le génie en s’évanouissant dans un nuage de fumée et de lumière.
Maintenant, toutes les têtes des étudiants de l’amphi
se tournent vers le professeur.
Les élèves sont médusés.
Ils attendent que leur prof dont le visage apparaît
auréolé d’un halo de lumière leur parle.
« Professeur,
dites quelque chose » lance quelqu’un.
Et le professeur Robert répond :
« J’aurais dû
choisir l’argent. »
C’est une jeune fille qui vient prendre place dans le
confessionnal.
Elle se penche à la grille du parloir et commence :
« – Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai pêché.
– Allez-y mon enfant, parlez, quel pêché avez-vous
commis ?
– Mon père, j’ai commis le pêché de vanité. Deux fois par
jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique. »
À ce moment-là, le curé se penche à la grille et
observe longuement la jeune fille, puis il lui dit :
« Mon
enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : Ce n’est pas un pêché, c’est
simplement une erreur. »
C’est dimanche, il fait beau, et c’est aussi le jour
du Prix d’Amérique.
Monsieur Robert, pour faire plaisir à sa femme avec
qui il s’est réconcilié, lui propose de l’emmener à l’hippodrome.
Une fois sur place, les deux époux Robert rencontrent Bernard.
« – Hé, mais c’est Bernard ! Alors qu’est-ce que
tu fais là ?
– Ben, comme tu vois, je suis venu pour jouer…
– Alors tu vas m’expliquer, » répond Robert, « parce que je n’y connais rien du tout !
– Mais
moi non plus, je n’y connais rien ! Je joue simplement des combinaisons au
hasard, et ça marche quasiment à tous les coups. Tiens, je vais t’aider à
remplir ton quarté, tu es marié depuis combien d’années ?
– 15
ans.
– Et
vous faites l’amour combien de fois par semaine ?
– 7
fois.
– Vous
avez des enfants ? Quel âge a votre aîné ?
– 12
ans.
– Et
pour terminer, vous habitez à quel étage ?
– Au
quatrième.
– Parfait ! » termine Bernard. « Je vais cocher pour toi dans l’ordre le 15, le 7, le 12 et le 4. »
– Parfait ! » termine Bernard. « Je vais cocher pour toi dans l’ordre le 15, le 7, le 12 et le 4. »
La course a lieu, mais à l’arrivée, la combinaison
gagnante est : 15-1-12-4.
Alors Madame Robert attrape son mari par le col, elle
le secoue comme un prunier et lui dit :
« Quel
idiot tu fais ! Mais quel idiot ! Si tu avais dit la vérité, nous serions
riches maintenant ! »
Le docteur vient de procéder à toute une batterie de
tests et examens.
C’est le moment où il va rendre son diagnostic à
Robert.
« – J’ai
une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. Je vous dis la mauvaise nouvelle
d’abord : Vous avez une maladie extrêmement grave. En moyenne, seule une personne
sur dix peut y survivre !
– Oh
c’est terrible docteur. Mais dites-moi, quelle est la bonne nouvelle alors ?
– Mes
neuf derniers patients sont morts. »
Robert, de nouveau chez son toubib :
« – Docteur,
il faut que vous m’aidiez… Ma femme n’aime plus faire l’amour.
Vous
n’auriez pas quelque chose, un médicament, des comprimés que je pourrais lui
donner ?
– Écoutez
non, je ne peux vraiment pas…
– Docteur,
on se connaît depuis quoi, 15 ans maintenant ? Est-ce que vous m’avez déjà vu
dans cet état-là ? Non bien sûr ! Je suis désespéré. Je n’arrive plus à me
concentrer, ma vie est devenue un enfer. »
Alors le Docteur se lève, va jusqu’à une étagère et
prend une boite de comprimés. Puis il donne la boite à Robert en disant :
« – Normalement,
je ne fais jamais ça. Ces pilules n’ont pas d’AMM et tout cela est
expérimental.
Les
premiers tests effectués montrent déjà qu’elles sont très, très puissantes…
Alors
vous allez en donner UNE à votre femme. C’est bien compris, hein : UNE SEULE.
– Docteur,
elle est vraiment devenue TRES, TRES froide vous savez. Vous pensez qu’une
seule pilule suffira ?
– Une
seule. Vous n’aurez qu’à la mettre dans son café par exemple : Elle ne sentira
pas le goût.
– D’accord
docteur. »
Robert paie la consultation et rentre chez lui plein
d’allégresse.
Lorsque le dîner est terminé, il profite de ce que sa
femme est repartie à la cuisine pour mettre une pilule dans le café de sa femme…
Puis, après avoir hésité, il met une deuxième pilule
dans le café…
Et à ce moment, il commence à être pris de remords en
repensant à ce que lui a dit le médecin : Les pilules sont très, très
puissantes…
Alors il trouve la solution à son dilemme : Il se
verse lui aussi une pilule dans son café.
Sa femme revient alors prendre le café à la table.
Puis ils passent dans le salon, et là, après quelques
minutes, sa femme commence à se caresser doucement en soupirant, et puis d’une
voix langoureuse elle murmure :
« Je veux
un homme… »
Et Robert répond les yeux brillants :
« Moi aussi ! »
Robert et Bernard sont deux des plus grands fans de
base-ball Américain.
Pendant toute leur vie d’adulte, Robert et Bernard ont
discuté de base-ball en hiver.
Ils regardaient jusqu’à 60 parties par an à la télé.
Ils ont même consenti que quiconque mourrait en
premier essaierait de revenir et pour dire à l’autre s’il y avait du base-ball au
ciel.
Une nuit d’été, Bernard décède dans son sommeil après
avoir regardé la victoire des Yankees plus tôt en soirée.
Il est mort heureux.
Quelques nuits plus tard, son copain Robert se réveille
au son de la voix de Bernard tombant de l’au-delà.
« Bernard,
est-ce que c’est toi ? » dit Robert.
« Bien sûr
que c’est moi, » répond Bernard.
« – C’est incroyable ! Alors dis-moi, est-ce qu’il
y a du base-ball au ciel ?
– Bien,
j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi. Laquelle est-ce que tu
désires entendre en premier ?
– Dis-moi
la bonne nouvelle en premier.
– Bien,
la bonne nouvelle est que « oui » il y a du base-ball au ciel, Robert.
– Oh,
que c’est formidable ! Alors que pourrait être la mauvaise nouvelle ?
– Tu
lances demain soir. »
Robert dirige les laboratoires d’archéologie de l’université.
Germaine est une de ses employées depuis plus de vingt
ans.
Un beau jour, elle entre très énervée dans le bureau
du patron :
« – Monsieur
le directeur ! Il faut que je vous parle. Ça fait trop longtemps que je garde
ça pour moi, et aujourd’hui, il faut que je vous le dise en face : Depuis vingt
ans que je travaille pour vous, je n’ai jamais eu d’augmentation de salaire,
alors que toutes les copines ont vu leur salaire progresser. Alors, est-ce que vous
allez enfin m’augmenter ?
– Mais
bien sûr Germaine »
lui répond le professeur Robert avec calme. « Vous serez augmenté dès que vous ferez un travail de qualité…
– Oh
zut alors… » se
dit Germaine. « Je me doutais bien
qu’il y avait un piège ! »
Paroles de sage :
« Notre
jeunesse (…) est mal élevée, elle se
moque de l’autorité et n’a aucune espèce de respect pour les anciens.
Nos
enfants d’aujourd’hui ne se lèvent pas quand un vieillard entre dans une pièce,
ils répondent à leurs parents et bavardent au lieu de travailler.
Ils
sont tout simplement mauvais. »
« Je n’ai
plus aucun espoir pour l’avenir de notre pays si la jeunesse d’aujourd’hui
prend le commandement demain, parce que cette jeunesse est insupportable, sans
retenue, simplement terrible. »
« Notre
monde a atteint un stade critique. Les enfants n’écoutent plus leurs parents.
La fin
du monde ne peut pas être très loin. »
« Cette
jeunesse est pourrie depuis le fond du cœur. Les jeunes gens sont malfaisants
et paresseux.
Ils ne
seront jamais comme la jeunesse d’autrefois.
Ceux
d’aujourd’hui ne seront pas capables de maintenir notre culture. »
De « Nagea-Belle-qu’a-sème », l’actuelle
ministre de « les-Ducs-à-Sion » ?
Ne rêvez pas, tout de même…
- La première citation est de Socrate (470-399 av.
JC),
- La deuxième est d’Hésiode (720 av. JC),
- La troisième est d’un prêtre de l’antique Égypte,
- La quatrième a été découverte sur une poterie
d’argile dans les ruines de Babylone.
Une dernière spécialement pour mon conseiller Jacques :
Un touriste américain visite l'Irlande du Nord. Alors
qu'il se balade dans Belfast au plus fort de la guerre civile, quelqu'un
s'approche de lui par derrière, lui colle le canon d'un pistolet dans le dos
et lui demande :
« Qu'est-ce
que tu es, Catholique ou Protestant ? »
L'américain réfléchit et se dit que si jamais il lui
dit qu'il est catholique, et que lui est protestant, il va se faire tuer… et
s'il dit qu'il est protestant, et que lui est catholique, il se fera tuer aussi…
Alors le touriste répond :
« En fait,
je ne suis ni l'un ni l'autre, je suis juif. »
Alors l'agresseur fait :
« Waow !
J'ai une sacrée chance, en ce moment ! Je dois être le palestinien le plus
heureux d'Irlande. »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Bonjour,
RépondreSupprimerOn pourrait croire que c'est une blague...mais non ! je vous recommande d'aller jeter un oeil à ça : http://www.les-crises.fr/le-ps-veut-sanctionner-le-buzz-mensonger-par-135-000-e/
le passage "de nature à ébranler la discipline ou le moral des armées ou à entraver l’effort de guerre de la Nation." me fait penser à votre Ami l'Ami-râle...
Bien cdlt
J'ai vu ça en direct depuis un site d'actualité publique...
SupprimerA me tâter pour un faire un post la semaine prochaine.
Merci à vous, même si c'est confirmé, il n'y a vraiment plus de quoi en rire...
Sacré époque !
Bien à vous !
I-Cube