De Dumè et de Marcel !
Un avion de ligne tombe dans l'eau au milieu de l’océan
indien.
Trois survivants seulement : Le pilote, un steward et
une hôtesse.
Ils s'accrochent aux débris qui flottent.
Après avoir dérivé pendant une semaine, ils arrivent
sur une île totalement déserte.
Au bout de quelques jours, ils commencent à comprendre
qu'ils ne seront jamais secourus.
La vie s'organise.
Ils se construisent une cabane.
La nature généreuse leur fournit viande, poissons, fruits,
eau fraîche.
Ils sont beaux, ils sont jeunes…
Après 1 mois, l'hôtesse se décide à parler aux deux
autres :
« Écoutez,
nous sommes seuls… peut-être pour toujours. Nous nous sommes toujours
respectés, nous avons notre intimité, tout est très chouette…
Mais je
sens que nous souffrons d'un certain manque. Je sais que vous n'osez pas en
parler, alors je le dis moi-même : Je suis d'accord ! Il suffit de
s'arranger, par exemple, toi les jours pairs, et toi les jours impairs. Et s'il
y a le moindre problème, on en parle. »
Enchantés d'avoir pu en parler et de s'être organisés,
ils passent des semaines fabuleuses.
Chacun à son tour, dans un respect mutuel et une
attente exemplaire, l'un les jours pairs, l'autre les jours impairs.
Malheureusement, après deux mois, la fille attrape un
virus foudroyant et en meurt…
Les deux autres sont vraiment tristes, mais la vie se
réorganise entre eux deux…
Au bout d'un mois, l'un des deux s'adresse à l'autre :
« Écoute
vieux, le temps passe, c'est dur pour toi comme pour moi. Alors autant en
parler. Je suis jeune, je suis en manque, ça ne peut pas durer comme ça.
Qu'est-ce que tu en penses ? »
L'autre le remercie d'avoir osé en parler et tout de
suite le rassure en lui disant que c'est la même chose pour lui.
« – Tu
penses comme moi alors ?
– Oui,
je suis d'accord, et si ça ne va pas on en parle.
– D'accord,
comment on fait ? C'est toi les jours pairs et moi qui les jours impairs ?
– D'accord,
on essaie comme ça. »
Ils passent des semaines formidables, mais un soir, l'un
des deux dit à l'autre :
« – Écoute,
on a dit que si ça n'allait pas, on en parlerait. Eh bien je trouve que ça ne
va plus. On est seuls, on est jeunes d'accord, mais ce qu'on fait me gêne,
c'est contre-nature.
– Tu me
rassures »
dit l'autre. « J'allais aussi t'en
parler. J'aimerais qu'on arrête. De toutes façons les sensations ne sont pas
les mêmes qu'avant…
– Tu es
d'accord alors ?
– Oui
et toi ?
– Oui…
– Bon… On
l'enterre où, alors ? »
Une belle-mère tombe dans un puits.
Son gendre arrive et lui lance une bouteille de whisky
en criant :
« Tenez
buvez ça, ça vous remontera ! »
Conseil d’une mère à sa fille :
« Ma
chérie, si un garçon te dit qu'il est très attiré par toi, qu'il est fou de
toi, qu'il a envie de toi, baisse les yeux… Pour voir si c'est vrai ! »
Un couple se balade sur les Champs Élysée quand tout à
coup la femme s'arrête net devant une vitrine de robes.
Elle est émerveillée par une robe et le fait
comprendre à son mari !
Marcel lui demande :
« – Elle te
plait tant que ça ?
– Oh
oui, elle est magnifique !
– Si tu
veux demain on revient et tu pourras encore la regarder. »
Un garçon parle à son père et lui dit :
« – Ça veut
dire quoi "I don't know" ?
– Je ne
sais pas.
– Tu ne
sais jamais rien de toute façon ! Et ça veut dire quoi "What" ?
– Quoi.
– Ça
veut dire quoi "What" ?
– Quoi !
– Oh
laisse tomber, va ! »
Le professeur demande à la classe de rendre les devoirs-maison
et passe dans les rangs pour les ramasser.
Il arrive devant Marcel
qui ne lui présente rien. Alors il lui demande :
« – Mais
pourquoi tu ne me rends rien, Marcel ?
– Ben,
je l'ai pas fait m'sieur !
– Et
pourquoi cela, Marcel ?
– Parce
que c'était un devoir-maison et j'habite en appartement, moi ! »
Dumè et Marcel viennent d'engager une très jeune
et très jolie secrétaire dans leur entreprise.
Aussitôt, ils se montent un challenge pour déterminer
lequel des deux couchera avec elle en premier, et ceci, bien qu'ils soient déjà
mariés tous les deux.
Finalement, Marcel décroche la timbale et Dumè vient
aux nouvelles :
« – Alors,
dis-moi comment ça s'est passé ? Elle est bonne ?
– Bof… Ma
femme est bien meilleure ! »
Quelques jours plus tard, Dumè parvient lui aussi à
coucher avec la nouvelle secrétaire.
Marcel vient lui demander son évaluation de la
nouvelle recrue :
« – Alors ?
Quel est ton avis sur la nouvelle ?
– Ouais,
t'avais raison ! Ta femme est bien meilleure ! »
« – Pourquoi
n'y a-t-il que des jolies filles en Corse ?
– Ce
sont des bombes… »
« – Pourquoi
le Parti Socialiste est le parti du fromage ?
– Parce
qu’au PS, ils ont la mimolette de Hollande, les tartines au brie et le vieux
Lille ! »
Dumè s'apprête à
entrer à l'hôtel des impôts de Bastia, lorsqu'il est arrêté par l'huissier de
service.
« Où allez-vous
? » lui demande-t-il. « Il
n'y a personne dans les bureaux.
– Ah
bon ! Ils ne travaillent pas l'après-midi ?
– Non,
non ! C'est le matin qu'ils ne travaillent pas. L'après-midi ils ne viennent
pas. »
Pendant une conférence de presse de François Hollande
quelqu'un éternue.
Hollande cherche pendant quelques minutes en regardant
qui aurait pu éternuer.
Quelqu'un se dénonce, et Hollande dit :
« Ha bah
enfin ! À vos souhaits. »
« – Camarade,
si tu avais deux maisons, tu en donnerais une à la révolution ?
– Oui !
– Et si
tu avais deux voitures de luxe, tu en donnerais une à la révolution ?
– Oui !
– Et si
tu avais un million sur ton compte en banque, tu en donnerais la moitié à la
révolution ?
– Bien
sûr que je la donnerais !
– Et si
tu avais deux poules, tu en donnerais une à la révolution ?
– Non !
Jamais…
– Mais …
Pourquoi tu donnerais une maison si tu en avais deux, une voiture si tu en
avais deux, 500.000 si tu avais un million … et que tu ne donnerais pas une
poule si tu en avais deux ?
– Mais
parce que les deux poules, je les ai ! »
Et pour conclure cette coutre revue, une « revenue » :
C’est Dumè qui habite Marseille. L’été il retourne en
Corse voir son père.
Celui-ci se faisant vieux, il lui conseille de venir
passer l'hiver prochain sur le continent, et pour le motiver, il lui dit :
« Viens ! Tu
verras, les marseillais sont si fadas qu’ils jettent l'argent par les fenêtres !
Il n’y a qu’à se baisser pour le ramasser. »
Le vieux accepte donc de venir pour voir ça avant de
mourir.
La fin de l'automne arrive et le père de Dumè descend
prendre le bateau à Bastia.
Il arrive à Marseille et se balade sur la Canebière.
D'un coup, il voit un billet de 500 euros par terre…
Il va pour commencer à se baisser et puis il se ravise
et se dit
« Oh, je
vais tout de même pas me fatiguer dès le premier jour… »
Dans l’originale, la scène finale se passe gare de
Lyon à Paris et le vieux se relève en disant : « Ayo ! Aujourd’hui c’est dimanche… Je ne vais quand même pas commencer
à travailler un dimanche ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
La « Baronne » a été choquée par la "chute" de l’histoire sur le pilote de ligne, l’hôtesse et le steward !...
RépondreSupprimerElle devait se faire des illusions sur les pilotes de ligne…
Une chute tellement inattendue que je ne pouvais pas ne pas relayer depuis que je l'ai entendue !
SupprimerD'ailleurs, elle me fait encore rire...
Mais je suis bon public, même avec moi-même !
Vous nous excuserez auprès de la "Baronne"...
On recommencera dès que possible, à l'occasion !
Désolé, Magret : Commentaire hors sujet !
RépondreSupprimerBonne journée tout de même !
I-Cube