Félicitations tonitruantes !
Bé oui, la fille et son 95 C « flottant », à
peine arrivée à la tête du ministère du travail, elle est capable d’annoncer un
recul du chômage, chiffres à l’appui !
Vraiment extraordinaire, non ?
Vous avez tous pu le constater…
Personnellement, je ne me souviens déjà plus du chiffre
exact de la chute : Autour de 25.000, c’est ça ?
Une chose qui ne s’était pas vue depuis 2011.
Magnifique vous dis-je !
On a enfin touché une ministre compétente !
On n’en demandait pas plus, n’est-ce pas…
Sauf qu’elle se maquille moins : Ce n’est pas
parce qu’on est ministre d’un ministère majeur, surtout en temps de crise
économique et sociale « dure », qu’il faut se maquiller à la « Barbie ».
Ça ne lui va pas du tout : Elle n’est même pas
blonde, c’est dire !
Et puis moi qui la connais de l’époque où elle faisait
énième couteau de « Sœur-âne » en rivalisant de charme avec elle, « sœur-âne »,
me faisant chavirer avec son parfum de quinqua assumée, et « My-ri-ham »
avec sa poitrine « flottante » – il faudrait que je vous repasse mes
posts anciens sur les qualifications des « attraits-féminins » – et
sa jeunesse rayonnante, toutes deux au sourire fédérateur et me bisant comme du
pain béni, j’avais l’œil qui divergeait quand elles apparaissaient dans mon
horizon à l’occasion de mes ex-activités bénévoles, je peux vous dire que même
sans noircir ses yeux à la « Belle-qu’à-s’aime », elle reste sublime
avec un maquillage « léger ».
Car oui, le bénévolat, c’est du « vol de benêt »,
c’est sûr, mais ça vaut quelques compensations pour mon unique neurone (celui
du nerf-honteux…) qui paye le reste.
Un temps seulement, notez bien : « My-ri-ham »,
de toute façon, elle est trop jeune pour apprécier mes exploits sensuels à leur
juste valeur…
Et elle pourrait être ma fille… d’ailleurs, si je me
souviens bien de sa mère… enfin passons : J’étais jeune, j’ai commencé tôt
et c’était il y a longtemps !
Parce qu’en plus, comme ses prédécesseurs, elle n’a
pas manqué de faire usage de la langue de bois traditionnelle : Tout va
bien !
Elle a appris vite et ouvre enfin la voie à « Flanby-à-la-fraise-des-bois »
pour se représenter pour un second mandat : Il était temps !
Quel talent.
Parce que si on compte bien, après avoir épluché le
rapport de « Paul-en-ploie », puis celui de « Lyne-sait »
tout et de la Dares, ce n’est pas tout-à-fait ce qu’on peut lire, même si le
ton général reste à l’optimisme béat.
En fait, il faut compter non pas avec une baisse du
chômage, comme chacun a pu le dire sans réfléchir, mais bien à 166.800
personnes de plus inscrites sur les listes en septembre 2015 comparativement au
mois précédent, août 2015 …
Une paille !
Soit quelques 323.200 personnes de plus qu'à la même
époque en 2014 …
Rythme se confortant !
Ce qui explique, à un million en trois ans de
catastrophe sociale, le niveau stratosphérique atteint par les
autistes-trisomiques gouvernementaux…
Je ne sais même pas s’ils se rendent compte des dégâts
qu’ils ont pu infliger en moins de quatre ans…
Parce que bon, plus d’impôts, de taxes et de
cotisations divers, c’est moins pour le pouvoir d’achat, moins pour la
croissance finale, donc moins pour l’emploi local, redistribution ou pas, qu’elle
que soit la forme.
La finance publique, ce n’est pas comme le courant
électrique, mais bien plus comme un réseau de distribution d’eau : Plus tu
allonges les circuits déviants et dérivants, plus tu craches de la « fuite
en ligne » et rallonge le temps de l’arrivée au robinet de la maison…
Aussi kon que ça !
Bien sûr, pour bien saisir la situation, il faut
comparer ce qui est comparable et en l’occurrence les chiffres établis par la
Dares, organisme public rattaché au Ministère de l'Emploi, concernant toute la « Gauloisie du
labeur », y compris les Départements d'Outre-Mer et toutes les catégories
statistiques d'inscription qui sont au nombre de 5 (A, B, C, D, E).
Ces chiffres sont des chiffres bruts, avant toute
forme de « corrections », notamment :
1 - Les corrections pour variations saisonnières.
Sur un an, 12 mois, elles se répètent, on peut donc
les soustraire, s’en passer sans risque de se tromper, puisque les saisons se
répètent années après année.
Les « corrections des variations saisonnières »
visent à « lisser » les effets saisonniers pour avoir une « tendance
économique » jugée par les « sachants » plus intéressante.
Pourquoi pas, mais ça n’a aucune importance sur 12
mois…
2 – Les corrections pour jours ouvrés : Même raisonnement,
ils apportent des corrections pour tenir compte qu'il y a moins de jours ouvrés,
c'est à dire travaillés en février ou en mai qu'en juin.
Résultats implacables, 6.459.200 personnes inscrites à
« Paul-en-ploie ».
En août dernier, il y en avait 6.292.400 soit 166.800
de moins.
L'année dernière, en septembre 2014, il y en avait
6.136.000 soit 323.200 de moins !
Tout est dit des « fruits d’une politique »
économique avec ces quatre chiffres, même si on pourrait remonter comme ça
jusqu’au début du quinquennat de « Gras-nul-laid » : Sa priorité
absolue, aura été de faire augmenter le nombre des chômeurs comme jamais…
Là, c’est vraiment un champion cosmique des « temps
de paix » !
Rajoutons que techniquement et probablement, si seule
la catégorie A (sans aucun emploi) diminue alors que toutes les autres
augmentent (travail à temps partiel, formation, intérim, radiation, etc.) c’est
que nous assistons à un déclassement des catégories l’une vers l’autre, de A à
B, puis à C, etc.
En fait, dans le parcours d’un chômeur ayant perdu un
emploi à temps-plein – ou inactif cherchant à travailler (un étudiant, un
incapable médical qui veut reprendre une activité « d’esclave-laborieux »),
il en passe d’abord par la catégorie A, puis il est sorti par la catégorie E
(radiation, fin de droits) en espérant passer par la B (travail à temps
partiel) ou quelques-unes d’autres intermédiaires…
Mais il finit par être évincé du monde du labeur,
surtout les chômeurs de plus de 50 ans qui se comptent en une petite armée de
dizaines de divisions…
Ceux-là n’ont plus qu’une issue : Perdre leurs
dernières économies (de précaution : Le livret A et quelques autres qui
décongestionnent comme jamais) en créant ou reprenant une entreprise et passer
au RSI pour éviter le RSA…
Ceux qui se retrouveront au RSA, vont d’ailleurs être touchés
de plein fouet avec le « malus » à instaurer sur leur retraite
complémentaire, conditionné par le fait qu’ils n’ont pas assez œuvré à la
plénitude économique du pays…
Double peine, SVP : Merci qui ?
C’est un fait : La « Gauloisie rayonnante » ne crée plus
suffisamment de richesse pour se payer son modèle social, alors il faut le
dégrader pour le sauver encore quelques temps.
Et on peut aussi dire, mais pas « El Konnerie »,
elle est encore « trop jeune » pour comprendre ça tout de go, que le
déterminant principal de la richesse disponible dans un pays est en effet le
nombre global d’heures travaillées par habitant, et cet indicateur est sans
appel : Lorsqu’un Gaulois
travaille 100 heures, un Allemand travaille 110 heures, un Britannique 124
heures, un Suédois 129 heures, un Américain 131 heures et un
Canadien 139 heures.
Ce décalage explique pourquoi mon pays n’en finit pas
de dégringoler dans la hiérarchie des pays en termes de revenu par habitant, entré
en récession-déguisée il y a 35 ans, alors même que notre productivité élevée
ne permet pas de compenser de tels écarts.
Notre retard de croissance reflète le recul très net
des heures travaillées par habitant, 20 % en moins par rapport à 1975, tandis
que leur volume est resté plutôt stable dans la plupart des autres pays.
Y’a pas photo au poteau d’arrivée…
Si la population travaille moins que celle des autres
pays développés, c’est parce que la durée annuelle moyenne du travail et
la part des actifs dans la population est des plus faible. Autrement dit, il y
a moins de personnes qui participent au marché du travail, et celles qui le
font y passent moins d’heures, donc moins de « grain à moudre » pour
faire tourner la machine économique.
La différence est financée par les déficits et l’endettement
public, qui enflent, qui enflent…
Mais ces derniers sont insuffisants pour créer un « choc
de croissance » qui de toute façon sera phagocyté par l’étranger, comme
dans les années 80 s’il est fait « par la demande ».
Les Allemands ont encensé « Mythe-errant »,
figurez-vous, qui leur a redonné des marges de progression sur le dos des « Gaulois »
et de leurs déficits, grâce à sa politique de relance à une époque où l’Allemagne
était le « boulet de l’Europe »…
Ce n’est pas pour rien.
Depuis les chinois et les tigres asiatiques ont pu
remercier le RPR et même « Bling-bling » quand ils en ont fait autant
et n’attendent qu’une chose, c’est qu’ils reviennent au pouvoir !
Mais bon, ils ont d’autres débouchés, eux.
Quand on décompose la différence d’heures travaillées
en « Gauloisie-triomphante » par rapport à d’autres pays, on
s’aperçoit ainsi que le chômage n’explique qu’une faible part de cette
différence : Moins de 10 % en général. L’essentiel s’explique par
la durée annuelle du travail et la longueur de la vie active,
en général de façon équilibrée.
Seule l’Allemagne occupe une position singulière dans
ce tableau général depuis quelques années : Le temps de travail annuel y
est plus faible qu’en Gauloisie, du fait d’un recours toujours plus important
au temps partiel, qui a permis de diminuer fortement le taux de chômage.
Et ils profitent encore de l’effet Euro et de leur
lancée antérieure.
Pour combien de temps au juste ?
Et au total, de toute façon, leur montant d’heures
travaillées est plus important que chez nous.
Le déficit d’heures travaillées dans l’hexagone vient d’abord
des choix malthusiens, « déclinistes » de la puissance publique : Le mythe du
partage du travail comme solution au chômage s’est traduit par une réduction du
temps de travail d’abord sur la semaine et sur l’année, puis sur la vie active.
Nous avons fait le choix collectif de l’inactivité, et
non du chômage, comme il est devenu courant de le dire.
La réduction du temps de travail est une perte de
production et de revenu.
In fine, davantage de
ressources sont consacrées au loisir, à la « chose publique », moins
à l’activité économique.
Il ne peut pas y avoir de miracle : Le partage
du travail fait baisser le revenu moyen dans l’économie par
rapport à son potentiel de croissance. Ce qui crée même un
surcroît de chômage.
Nos « sachants-soces » ont fait le choix de
l’inactivité en voulant éviter à tout prix le chômage.
Résultat, nous avons finalement récolté des deux !
Magnifique vous dis-je : La ministre et l’autisme
de sa caste politique !
Dommage, j’aurai été plus jeune, je lui aurais volontiers
appris les choses de « la vie des autres »…
Mais à mon âge avancé, je fais comme mon grand-père :
« Ah si jeunesse savait et
si vieillesse pouvait… »
Elle fait du 95 C? Vous en êtes sûr? Perso, à "l'estime", j'aurais dit 95 D, voire 95 E ... mais, bon, C, D ou E, c'est bien! C'est mieux que 80 A ... Il parait que Marie Antoinette faisait du 110! (Du moins quand elle était à Versailles; à la Conciergerie, je ne sais pas; il se peut qu'elle ait maigri de partout.) Et ce con de Louis XVI qui n'a pas su en profiter pendant plusieurs années! (Je raconte n'importe quoi : Louis XVI n'avait évidemment pas de con!).
RépondreSupprimerBlague à part, je constate que vous êtes cohérent dans vos convictions et que ... nous ne sommes pas d'accord sur la question du "partage du temps de travail" ... que vous appelez - à tort - partage du travail.
Contrairement à vous, je pense que le travail n'est pas le but de la vie. Au fond, je suis plus Corse que vous! Moins on en fait, mieux on se porte ... Je me suis mis à rédiger ce commentaire parce que ça a titillé mes papilles intellectuelles. Si je veux, je peux arrêter à tout moment. Si c'était un travail, il faudrait que je continue ... surtout si mon patron était sur mon dos!
Partager le temps de travail, c'est donc faire en sorte, quel qu'en soit le "prix", que toutes les personnes qui souhaitent travailler (pour gagner de l'argent, évidemment, sinon ce n'est pas du travail!) puissent le faire. Une période de chômage ne devrait pas excéder deux mois, à la rigueur trois mois ... C'est beaucoup plus sain pour l'équilibre social du pays! Moins de stress, moins d'ulcères, moins de mal être provoqué par la peur de rester longtemps sur le carreau, sans ressources. Moins de peur d'être définitivement déclassé, etc. Tout le monde est gagnant ... d'autant que la productivité en serait considérablement améliorée!
(Ca y est! J'ai fini de prendre mon pied ... Je n'ai pas gagné un centime et c'est très bien comme ça.
Oui, "C", parce qu'elle avait l'habitude de laisser ses bretelles dégouliner, façon "à rallonge".
SupprimerCe qui permettait à son "attirail" de "flotter" : Super-sexy.
Et j'ai l'œil affûté...
Je pense qu'elles les a resserrées depuis qu'elle est ministre et le profil s'est du coup "aplati" ce qui correspond bien à du "C"...
Passons, ce ne sont que des détails sans importance pour ce qu'elle a à en dire.
Je suis né "partisan du moindre effort" : C'est comme ça et parfois, il faut y mettre beaucoup de génie ou d'intelligence.
Mais il se trouve que notre civilisation de la "production/consommation" fait du "travail", la pierre fondamentale de notre société : Il vaut mieux que les gens produisent pour consommer, plutôt que de faire les poches aux vielles pour survivre.
Une évidence.
Maintenant on appelle "travail", à peu près n'importe quoi, du moment qu'il s'agit d'une période de la journée "sous lien de subordination", sous contrôle.
Le paiement, ça devient presque un accessoire, même pas forcément obligatoire : Quantité d'associations, par exemple, embauche si elles encaissent les subventions correspondantes de l'autorité compétente qui disposent de budget payé par le kon-tribuable, pris lui-même sur leurs efforts au travail...
Un gag perpétuel !
Je sais, j'ai vu faire et en plus, il y en a toujours plus que ça fait râler tout le monde et même la cour des comptes.
D'ailleurs, en "Corsica-Bella-Tchi-tchi", quand je me suis mis en tête de faire des "crèches associatives", j'avais a priori budget ouvert à fond les grelots, si j'embauchais !
C'était d'ailleurs la première question des maires approchés : Combien d'emplois ?
Quand j'expliquais qu'il me fallait un adulte pour 8 gamins et 40 % de diplômés et que ça valait 5.000 €/an de subvention par gamins, ils faisaient la gueule...
Quant à partager le travail, Mon cher Conseiller spécial, encore faudrait-il qu'il y en ait. Par malchance, nous sommes tombés en récession depuis des années sans le dire, parce qu'on a délocalisé à mort.
Et que demain, le mouvement, même en cas de réimpatriation, sera amplifié par le partage du travail avec ... des machines, des robots...
On n'arrivera jamais, dans ces conditions, à réduire le temps de chômage à 3 ou 4 mois...
Au contraire, il me semble qu'on a fait le choix de ne plus travailler.
Vous qui êtes dans cette situation (de retraité), vous savez bien que c'est quand même plus facile, même en faisant quelques sacrifices sur votre train de vie : Il faut dire que si vous vous remettez à travailler/payé, il vous en restera si peu pour la fatigue générée, après les cotisations et impôts en plus, que vous serez le premier à vous arrêter...
C'est exactement ce qui est recherché : La ruine du prolétaire programmée.
Un truc qui me fait m'insurger quant à moi : J'adore au contraire trouver des gens à qui je peux confier "mon boulot", à condition d'en rester le maître, le donneur d'ordre (et le contrôleur final avant livraison).
C'est d'ailleurs la seule façon de s'enrichir en bas-monde (pour faire grailler "ma nichée", bien sûr, rien de plus) : Faire bosser autrui !
Et là, on peut se dire que même les rentiers ont du souci à se faire, parce que bientôt, ils n'y arriveront plus.
Autrement dit, en paupérisant le prolo, on ne fait ni plus ni moins que détruire, à terme, la société "bourgeoise".
C'est un objectif avoué des "soces" pour lesquels vous avez voté et de tous les "déclinistes", verts, rouges, roses et même de certains "maîtres du monde".
Totalement suicidaire pour nos gosses, mais ceux-ci sont considérés comme, au mieux, inutiles, au pire comme nocifs, pour la planète et l'humanité toute entière.
Qu'y puis-je au juste ?
El-Konnerie...comme toujours le pseudo est vraiment bien choisi : https://www.dailymotion.com/video/x3ciowb_myriam-el-khomri-admet-ne-pas-connaitre-le-nombre-de-renouvellements-possibles-de-cdd_news
RépondreSupprimerDéprimant....
Il paraît qu'elle en a rajouté encore, depuis !
SupprimerHilarante la gamine !!!
Une erreur de casting, c'est sûr, sauf qu'il n'y avait personne d'autre à vouloir de ce poste-là...
En attendant, elle devrait revoir son look : Je la préférais "avant"... Mais ça, "c'était avant" !
Encore une de plus totalement gâchée : Quel dommage !
Bien à vous !
I-Cube