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du « droit d’en rire » !
PS : La petite blague « feuj » pour Jacques, « mon conseiller omnipotent » :
William River, alias « Johnnie Walker », comme la marque de
Whisky compte tenu de sa fabuleuse descente, telle une fougueuse rivière, vous
ne connaissez pas !
C’est un des personnages de fiction du prochain roman que vous lirez
peut-être sur ce blog l’été prochain.
J’en ai plusieurs à vous faire découvrir…
Il fait journaliste au « WP » (Washington Post : « Tu sais, le Watergate ! Tu as entendu
parler, au moins ») et « Charlotte » le rencontre une
première fois, de nos jours (septembre 2015), à San Francisco et une seconde
fois à Koweït-city fin juillet … 1990 !
Bé oui, je fais dans le « bizarre-paradoxal » temporel depuis
quelques temps : J’aime bien, finalement depuis l’essai de l’été dernier.
Et je l’ai inventé tel qu’il a la particularité de raconter à tout bout de
champ des « blagues foireuses », pas toujours du meilleur goût,
archinulles quoi, qu’il croit très drôles et qui le font rire bruyamment quand
il les raconte.
Extraits en « avance d’hoiri(r)e » :
« – Mon nom est William, William
sans «T».
– Enchanté, moi c’est
Martin Dupont. William comment ?
– William, sans «T».
– Mais, il n'y a pas de
«T» à William !
– Ça fait deux fois que
je vous le dis ! »
« Fu, Bu, Chu sont 3
ressortissants Chinois qui ont décidé de tenter leur chance aux États-Unis.
Afin de devenir des
citoyens américains à part entière, ils veulent adapter légèrement leur nom :
Bu s'est fait appeler
Buck.
Chu s'est fait appeler
Chuck.
Fu a dû retourner en
Chine… »
« Un jour, j’entre dans une
bibliothèque et demande à la préposée :
– Madame, pouvez-vous
m'aider à trouver un livre ?
– Certainement, Monsieur,
lequel ?
– "L'homme, le sexe
fort", écrit par Gerald Huther.
– Les livres de science-fiction
sont au sous-sol, Monsieur. »
C'est un couple qui arrive dans un village de vacances.
L'hôtesse : « Je vous rappelle
le règlement que vous avez signé : Vous devez faire votre lit vous-même… »
Le couple : « OK, pas de
problème ! »
L'hôtesse : « Alors voilà des
planches, des clous et un marteau. »
Un dompteur de lion au cirque fait un numéro d'un grand courage.
Il met tout d'abord le bras dans la gueule du lion et lui tabasse la tête
tant qu'il peut.
Le lion ne bronche pas.
Ensuite il met la tête dans la gueule du lion et le tabasse idem.
Le lion ne bronche toujours pas.
Enfin il met carrément son service 3 pièces dans la gueule du lion et lui
tape sur la tronche encore pire qu'au début.
Le lion lui laisse les roubignolles intactes !
Le public est en délire.
Le dompteur pose la question à l'assistance : « Qui aurait le courage d'essayer ? »
Grand silence dans le public… puis une petite mémé se lève et dit : « Moi, j'veux bien essayer mais à condition
que vous ne me tapiez pas sur la tête. »
Deux jeunes adolescents se font prendre par la police alors qu'ils fument
de l'herbe.
Ils passent dans la journée devant le juge qui leur dit :
« Vous me semblez être de bons
garçons et j'aimerai vous donner une seconde chance avant de vous expédier en prison.
Je veux que passiez cette fin de semaine à convaincre le plus de personnes
possible des méfaits liés à la drogue, et si vous rencontrez des personnes qui
se droguent, tentez de les convaincre d'arrêter. Je vous reverrai ici même
lundi pour faire le bilan. »
Lundi arrive et nos deux p'tits gars sont de retour devant le juge.
Le juge demande au premier: « Alors,
qu'avez-vous fait cette fin de semaine ? ».
« – Votre honneur, j'ai réussi
à convaincre 17 personnes d'arrêter totalement d'utiliser de la drogue.
– 17 personnes ? C'est
très, très bien. Comment êtes-vous arrivé à cela ?
– Je leur ai montré un
petit dessin, votre honneur. J'ai dessiné deux cercles comme cela : Un petit et
un grand. Puis je leur ai dit : Ceci (le grand cercle) c'est votre
cerveau avant la drogue et ceci (le petit cercle) c'est votre cerveau après la drogue.
– Excellente
démonstration » dit le juge.
« – Et vous (au deuxième
garçon), quel est votre bilan ?
– Votre honneur, j'ai
persuadé 156 personnes d'abandonner la drogue à jamais.
– 156 personnes ?
Mais c'est incroyable ! Comment avez-vous réussi cela ?
– Et bien j'ai utilisé la
même approche. (Il dessine les 2 mêmes
cercles)…
Je leur ai dit (pointant le petit cercle) : Ça, c'est votre trou du cul avant la
prison… »
C'est un couple qui visite un zoo et qui se trouve devant la cage d'un
gorille en pleine déprime.
Le mari : « Chérie, montre-lui
tes cuisses ça va le requinquer. »
Le gorille voyant la paire de cuisses commence à s'agiter, à courir de
long en large dans sa cage.
Le mari : « Chérie, montre-lui
tes seins ».
Là le gorille se met à gémir, à hurler, à sauter dans tous les sens.
Le mari ouvre alors la porte de la cage, pousse sa femme dedans et lui dit
: « Maintenant explique-lui, comme
tu sais si bien le faire, que tu as la migraine ! ».
Dans un sex-shop belge, une femme rapporte un vibromasseur défectueux : Il
ne fonctionne pas correctement !
Le vendeur le branche et inexplicablement, l'appareil semble fonctionner.
« – Qu'est-ce qui ne va pas
Madame ? Tout a l'air normal.
– Oui, mais la dernière
fois que je l'ai utilisé, je me suis cassé deux dents ! »
C’est un 747 est au-dessus de l'Atlantique lorsqu'un pirate de l'air fait
irruption dans la cabine de pilotage et pointe un pistolet contre la tempe du pilote
:
« Menez cet avion jusqu'à Cuba
ou je vous éclate la cervelle ! »
Le copilote lui répond calmement :
« Si j'étais vous, j'éviterais
de pointer mon arme sur le pilote : Il a le cœur fragile. Et quant à moi, je
serais bien incapable de vous mener là où vous le souhaitez si il meurt… »
Le pirate de l'air réfléchit alors deux secondes, puis il pointe son arme
sur le mécanicien et dit :
« OK ! Maintenant, faites
comme j'ai dit, sinon c'est sa cervelle qui explose ! »
Mais le mécanicien répond tout de suite :
« Je ne ferai pas ça si j'étais
vous : Le pilote et le copilote ne sauront pas atteindre Cuba sans mon aide. Si
vous me tuez, cet avion ira directement dans l'océan et c'est tout ! »
Alors le pirate réfléchit à nouveau deux secondes, puis il pointe son arme
vers l'hôtesse de l'air qui passe par là et dit :
« Bon maintenant, vous allez
détourner l'avion vers Cuba ou je lui éclate la cervelle ! »
Personne ne répond quoi que ce soit… mais l'hôtesse chuchote alors quelque
chose à l'oreille du pirate de l'air qui ne tarde pas à rougir, puis il laisse
tomber son arme et quitte le cockpit en courant, complètement affolé !
L'équipage se met alors à sa poursuite et ils finissent par le bloquer
dans un coin de l'avion.
Une fois le terroriste maîtrisé, le pilote demande alors à l'hôtesse ce
qu'elle lui a raconté pour lui faire perdre tous ses moyens :
« Je lui ai dit que si il me
tuait, c'est LUI qui serait obligé de tailler des pipes à vous trois… »
C'est en Pologne il y a quelques années, à 4 heures du matin, une file de
300 mètres est déjà présente à l'entrée d'un magasin de chaussures.
Vers 8 heures, la file mesure près d'un kilomètre.
Alors, la police arrive et s'écrie : « Il
n'y aura pas assez de chaussures pour tout le monde, alors que tous les juifs rentrent
chez eux ! »
Et la file ne mesure plus que 50 mètres.
Vers midi, elle mesure de nouveau 500 mètres.
La police revient et dit : « Il n'y
aura pas assez de chaussures pour tout le monde, alors que tous les étrangers
rentrent chez eux ! »
Et la file mesure de nouveau moins de 100 mètres.
Vers 17 heures, elle mesure alors 400 mètres.
La police arrive et dit : « Il n'y
aura pas assez de chaussures pour tout le monde, alors que tous ceux qui n'ont
pas la carte du parti rentrent chez eux ! »
Et la file mesure de nouveau 50 mètres.
Vers 21 heures, la police vient pour la dernière fois et annonce : « Il n'y a plus de chaussures alors rentrez
tous chez vous ! »
Un homme sort de la file et s'écrie :
« Merde, il y en a marre, c'est
toujours les juifs qui sont prévenus les premiers ! »
« Tu sais Martin, il n’y a que quatre
types d'orgasme féminin :
L'orgasme positif, « oh
oui, oh oui » … ;
L’orgasme négatif, « oh
non, oh non » … ;
L’orgasme religieux, « oh
mon Dieu ! »… ;
Et l'orgasme simulé « Oh,
Martin ! Oh Martin ! ». »
William River, San Francisco – 2015, s’approche de Paul De Bréveuil :
« – Eh, Martin, qu'est-ce qui
s'est passé avec toi ? Ça fait vraiment longtemps que je ne t'ai pas vu ! Et regarde-toi
!
– Mais, je ne…
– C'est incroyable comme
tu n’as changé pas en 30 ans ! Avant tu étais grand comme une maison, d’allure
athlétique, comme moi à l’époque, maintenant je suis plus petit que toi ! Avant
tu étais beau et filiforme comme moi, bien bâti, et maintenant je suis devenu
adipeux et pas toi !
Comment fais-tu ?
– Non, mais je ne…
– Enfin, c'est si
bizarre ! Avant nous avions la même belle chevelure noire je suis presque
chauve et j’ai la barbe blanche ! Je me demande comment j'ai fait pour te
reconnaître ! Martin, qu'est-ce qui t'es arrivé ?
– C'est ce que j'essaie
de vous dire, Monsieur. Vous vous trompez certainement, je ne suis pas Martin.
– Oh, mais en plus tu as
même changé ton nom ! »
(Vous avez compris pourquoi ce personnage-là ?
Bravo !)
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : La petite blague « feuj » pour Jacques, « mon conseiller omnipotent » :
Une mère juive est sur la plage avec son fils.
Soudain, une vague plus forte que les autres emporte le pauvre petit.
La mère est en larmes : « Mon Dieu, Ô
mon Dieu, rendez-nous notre enfant ! »
Miracle, une nouvelle vague échoue sur la plage le rejeton, qui a bu un
gros bouillon, qui tousse mais est bien vivant.
« Merci mon Dieu pour ton immense
miséricorde… Mais dis-moi, le petit, il avait pas une casquette quand il a été
emporté ? »
Merci!
RépondreSupprimerCependant, je trouve la blague "juive" polonaise bien meilleure! Finalement, elle est beaucoup plus subtile ... J'apprécie particulièrement la puissante exclamation : "Merde, y en a marre ..."!
Mais la blague sur le pauvre gamin est quand même excellente! Encore merci ...
De rien !
RépondreSupprimerBien à vous !
I-Cube
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerDésolé l'anonymous, mais la rubrique, c'est celle du rendez-vous hebdomadaire humoristique !
SupprimerRien à voir avec les talents supposés du Dr "Ôdion" !
Obligé de censuré, désolé pour lui !
Bien à vous !
I-Cube