Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 28 février 2017

Vous en savez enfin un peu plus :


« MacRond » se déclare !

Dans son interview aux Échos-du-matin, où il détaille pour la première fois son projet économique, il propose un cocktail de mesures d’économies sur les dépenses de l’État et certaines dans la sphère sociale (60 milliards au total), combinées à une relance de l’investissement public dans quelques secteurs (50 milliards pour la formation, la santé, la numérisation, l’agriculture, l’environnement, les transports locaux… mais rien pour les coïts-féconds).
L’ex-ministre de l’économie annonce aussi, s’il est élu, une réforme ambitieuse de l’assurance-chômage, qui serait étatisée, disons « nationalisée », mais aussi généralisée, donc obligatoire à toutes les catégories de travailleurs, tout en étant rendue plus contraignante en matière de recherche d’emploi.
En outre, il confirme sa réforme de l’impôt sur la fortune, cantonné aux seuls biens immobiliers, l’abaissement des cotisations payées par les salariés en échange d’une hausse de la CSG (qu’on imagine à « balance-nulle ») fixant comme objectif la création d’un prélèvement forfaitaire unique au taux de l’ordre de 30 %, « tout compris », sur le capital : Une sorte de bouclier-fiscal sur les patrimoines (y compris « professionnels » ou un minimum-minimorum, on ne saura pas ?).
D’autant qu’il garde dans sa manche une ultime « gâterie » pour les contribuables modestes et moyens, qu’il a révélée vendredi dernier sur « Rocher-Monte-et-Carlo » : L’exonération de la taxe d’habitation pour 80 % des ménages, qui coûtera à l’État une dizaine de milliards et qui fait déjà rugir les maires des communes-municipales : « Dès 2019, 4 Français sur 5 ne paieront plus la taxe d'habitation » précisaient dans la foulée les experts « d’En marche ! ».
Ce que d’aucun considère comme un geste pour le pouvoir d’achat qui montre que, s’il tient par-dessus tout à respecter nos engagements européens sur les 3 % de déficit, il estime qu’il ne pourra pas gagner l’élection sans apporter quelques remèdes à l’allergie fiscale développée dans les classe moyennes par le quinquennat de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » dit aussi « Gras-nul-laid », là où moi je traduis une seconde « nationalisation », celle des finances municipales…

Mais il va plus loin encore : « Je veux rendre nos dépenses publiques plus efficaces tout en finançant la transformation de notre modèle de croissance. Cela passe par trois grandes idées (…) le respect de nos engagements européens en restant dans l’épure des 3 % de déficit (…). Je ne prendrai pas de mesures additionnelles à l'été : Ni cadeau, ni rigueur supplémentaire. »
Voilà « Angèle-A-Mère-Quelle » rassurée…
Et pour enfoncer le clou, il vous indique que le poids de la dépense publique devra être progressivement ramené vers la moyenne de la zone euro. « Je prévois donc une baisse de 3 points de la part des dépenses dans la richesse nationale. Cela représente 60 milliards d’économies par rapport au tendanciel. »
Ah oui, le encore « économies par rapport à ce que j’aurai pu faire si je ne me retenais pas », on connaît : Ils nous l’ont servi depuis plus de 5 ans, à peu près tous les jours…
Et il en rajoute : « Je construirai un nouveau modèle de croissance avec un plan d’investissement public de 50 milliards d'euros durant le quinquennat, en plus du soutien fiscal à l’investissement privé. »
Ce qui revient à dire, je t’en retire 60, mais pas chien pour deux sous, je t’en rajoute 50 en direction… des entreprises privées.
Comme le « tendanciel » est de l’ordre de 2 à 3 milliards/an, vous avez donc compris que la baisse des dotations publiques n’est pas encore pour demain : On va gaver « la finance » d’emprunts nouveaux, faut pas dékonner avec le grisbi, le pognon « pas à moi » mais à celui de l’électeur-kon-tribuable !

Sur ces 50 milliards, « 15 milliards seront consacrés aux compétences et qualifications des Français avec un plan de formation ambitieux des jeunes et des demandeurs d’emploi. 15 milliards seront consacrés à la transition écologique et énergétique (…) »
En voilà déjà 30 qui vont partir en fumée dans le tonneau des danaïdes-locales, comme si les nombreuses dizaines de milliards déjà claquées dans la formation primaire et jusqu’à la permanente ne suffisaient pas avec les résultats que l’on connaît d’une descente aux enfers régulière mais persistantes aux classements, Pisa y compris…  
Quant à la fameuse « transition énergétique », plus personne ne sait de quoi il s’agit vraiment. En revanche, c’est un beau et grand ministère aux moyens renforcés promis à « Ségololo » qui correspond à ses canons de beauté et risque de rater son entrée dans des organismes internationaux…
Autres priorités : « La modernisation des administrations publiques (numérisation), l’agriculture, les transports locaux, et la santé. ».
Bien sûr, bien sûr…
C’est sûr que les vaches seront mieux traites par des ordinateurs connectés wifi.
On en cause depuis combien de temps au juste ?
Déjà une priorité du « Chi », me semble-t-il, avec sa « réduction de la fracture-sociale » et la lutte contre le cancer…
J’adore les résultats acquis par tous ceux-là !

« Je vise d’abord 25 milliards d'économies sur la sphère sociale. Cela passe par 15 milliards sur l’assurance-maladie (…) »
C’est du « Fifi-le-voyou » tout craché : La pilule de « Juppette » aurait été moins amère.
« Je ne supprimerai aucun poste dans la fonction publique hospitalière. La réorganisation du système de soins est de nature à faire ces économies et à conduire un vrai plan de modernisation de l’hôpital. »
Là encore, à peine crédible vu les résultats déjà promis et qu’on n’a jamais vus venir !
« Je réaliserai 10 milliards d’euros d'économies sur l'assurance-chômage grâce aux réformes structurelles. »
Gourgandine : La gestion du « bidule » coûterait encore 10 Md€/an après la fusion de l’Unedic et des Assedic de « Bling-bling » ?
Je ne le crois même pas…
« Je veux nouer avec les collectivités un pacte sur cinq ans, dans lequel je contractualiserai une baisse de 10 milliards d’euros de leurs dépenses. Cette baisse sera à leur main. Parallèlement, je leur donnerai des marges de manœuvre. (…) »
Faudrait savoir : On leur laisse la bride sur le cou ou on les met sous tutelle ?
« Ce sera à elles de décider désormais pour leurs agents. » Comme si ce n’était pas déjà le cas…
« Elles pourront (…) recourir plus largement à des recrutements de droit privé. Je leur demande (…) de respecter la durée annuelle légale du temps de travail. Autre liberté : les communes (…) pourront revenir sur la réforme des rythmes scolaires »…
Le type n’hésite même pas à rouvrir des chantiers qui ont laissé tant de plaies pas encore cicatrisées : J’admire.
Vraiment, j’admire ce 180° !

« L’effort (pour l’État) atteindra 25 milliards d'euros. Il reposera sur un mode de gouvernance totalement nouveau (…) » Ah oui ? Lequel ? On se passe du Parlement, par exemple ?
« Le statut des fonctionnaires ne sera pas remis en cause, mais il sera modernisé. Il s’agit de mieux reconnaître les plus engagés. (…) Un jour de carence (sera restauré) (…) ». Un seul ?
« Il est possible de ne pas renouveler 120.000 postes de fonctionnaires, 70.000 venant des collectivités et 50.000 de l’État (…) Ce sera aux ministres de faire des choix. »
Voilà qui devient plus conforme aux aspirations de la « technostructure » : Une dose homéopathique conditionnelle aux ministres mis sous la pression syndicale.
L’essentiel est donc sauf !

Pour les retraites, il botte en touche après un « renvoi aux 22 » : « Je détaillerai une proposition de réforme structurelle des retraites le 2 mars prochain : Elle ne sera pas guidée par une logique budgétaire mais par une logique d’équité. »
La belle ambition que voilà : Et c’est qui qui compte ?
Ou alors on ne compte plus rien du tout, je ne sais pas…
Sur la fiscalité : « Je propose (…) des baisses d'impôts réparties équitablement entre ménages et entreprises (…). »
Vous vous souvenez que les impôts et taxes que payent les entreprises, vous les retrouvez dans votre assiette, à travers le prix payé…
Lui, il l’a oublié.
« Sur le quinquennat, mon objectif est d’aboutir à une baisse nette des prélèvements obligatoires de 20 milliards, pour soutenir le pouvoir d’achat et l’investissement. (…) Les couples pourront choisir d’individualiser leur impôt sur le revenu (ou non : Le divorce-fiscal à la carte…). Je présenterai prochainement une autre mesure de réduction d'impôt, pour environ 10 milliards, (…) mise en œuvre au début du quinquennat, visera les classes populaires et les classes moyennes (…). »
Pour l’heure, on ne sait pas de quoi il s’agit.

Mais dans le détail, il a pu préciser que vendredi dernier sur la « radio-périphérique » du Rocher que souhaiter que l’État « exonère les Françaises et Français de classe populaire et de classe moyenne sur leur taxe d'habitation ». Précisant que seraient exonérés « 80 % de celles et ceux qui la payent ».
La mesure ne « coûte(ra) rien aux collectivités locales », puisqu’elle sera à la charge de l’État, a-t-il précisé. « C’est la mesure la plus essentielle et la plus juste pour le pouvoir d’achat », a-t-il justifié.
Attend-là, coco : L’État, c’est qui ? Et qui donc le finance au juste ?
« (La hausse de la CSG) s’accompagnera d’une réforme globale, avec la création d’un prélèvement forfaitaire unique au taux de l’ordre de 30 %, prélèvements sociaux inclus, pour tous les revenus du capital : Intérêts, loyers, dividendes, plus-values, etc. (…) » Nous l’avons déjà dit, mais il s’est fait plus précis : « (Pour l’assurance-vie, les) conditions ne changeront pas pour les contrats et dépôts existants, mais seulement pour les flux à venir, les nouveaux versements. L’objectif est de réorienter massivement l’épargne vers l’économie productive. C’est la même logique qui prévaut pour la transformation de l’ISF en impôt sur la fortune immobilière. »
Et alors, qui va financer les déficits de l’État et des retraites, gourmands des collectes de l’assurance-vie ?
« (Pour les entreprise), la transformation du crédit d’impôt compétitivité emploi en allègement pérenne de cotisation s'opérera dès 2018 (…) le taux de l’impôt sur les sociétés sera ramené de 33,3 % à la moyenne européenne, c’est-à-dire 25 %, sur le quinquennat ».
Ne pouvait-on pas y penser plus tôt ?
« (Il y aura des hausses d’impôts) uniquement en matière de fiscalité écologique, avec l’alignement progressif de la fiscalité du diesel sur l’essence et la montée en charge de la taxe carbone (… c’est déjà en cours) les propriétaires de véhicules diesel anciens bénéficieront d’une prime de conversion pour l’achat d'un véhicule plus écologique, neuf ou d’occasion. »
Faut savoir : C’est une hausse ou une nouvelle « niche fiscale » ?

Précision pour le pouvoir d’achat des électeurs : « La suppression des cotisations salariales maladie et d’assurance-chômage, mesure qui sera entièrement financée par une hausse de la CSG sauf pour les petites retraites, (…) rapportera 250 euros de plus par an à une personne au SMIC. Une hausse de 50 % de la prime d'activité est aussi prévue. Et toute hausse de TVA est exclue. »
Là encore, je veux bien, mais c’est financé comment ? Par une hausse des cotisations patronales ?
Précision sur la lutte contre le chômage : « Ce sera vraiment le cœur de mon projet : Investissements, formation professionnelle, baisse des charges et réforme du marché du travail (…) Il y aura une décentralisation des négociations sociales : C’est la loi qui définira l’ordre public social, les entreprises et les branches pouvant y déroger par accords. Il faut assumer davantage de flexibilité, je n’ai pas peur du mot, pour adapter notre droit du travail aux mutations en cours. »
Il devrait prendre des cours de droit et ne pas réitérer la konnerie de la loi « El Konnerie » qu’il a manifestement inspirée : L’ordre public, même social, personne ne peut y déroger, ni une convention, ni un juge…
C’est dans son essence même, ou alors elle n’est plus d’ordre public, mais seulement normatif ou d’application.
« Une réforme de l’Unedic permettra d’aller vers une assurance-chômage universelle (…) Il faut que le système change vraiment. J’ai (…) proposé que le bénéfice des droits à l’indemnisation soit ouvert à tous ceux qui démissionnent de leur entreprise, ainsi qu’aux indépendants, aux professions libérales et aux entrepreneurs. »
Il ne sait pas et ne dit pas qu’une prestation n’est ouverte que sur un « risque » assuré, autrement dit une cotisation attachée à une souscription. Si la cotisation est obligatoire même « aux indépendants, professions libérales et entrepreneurs », y’en a qui vont faire la tête.
Perso, je n’en ai eu besoin que pendant 3 mois, une seule fois dans ma vie après avoir cotisé obligatoirement pendant 15 ans, sur tranche A et B, le reste c’est « cadeau », et je me suis toujours bien porté de ne pas avoir cotisé durant plus de 25 ans…

Justement sur les paramètres d’indemnisation, « ni la durée ni les montants » (ne seront changés), « en revanche, je veux un vrai dispositif de droits et de devoirs. Mon nouveau système crée un filet de sécurité pour tout le monde, mais avec de vraies exigences. Quand vous perdez votre emploi, vous êtes indemnisé, un bilan de compétences est fait et les prestations seront strictement conditionnées à vos efforts de recherche, avec un contrôle drastique. (…)
C’est là où j’ai craqué et me suis mis à mon compte personnel sans rien demander à personne. 90 jours de chômage, 60 RDV d’embauche et « mon conseiller » trouvais que je n’en faisais pas assez…
Il voulait absolument me vendre une formation inutile qui m’aurait été chronophage, alors que j’étais « le meilleur » sur le marché. Trop meilleur, même : Ça faisait peur !
« Je veux créer une vraie sécurité professionnelle. On vous trouvera une formation vraiment qualifiante. Le service public vous donnera accès à une nouvelle formation, et le demandeur d’emploi, une fois formé, devra accepter les offres qui lui sont proposées ».
Quitte à le délocaliser ?
Soyons sérieux : Y’a rien de tel pour la vie de famille épanouie…

Sur son gouvernement : Un gouvernement resserré « autour d’une petite quinzaine de ministres. Et extrêmement solidaire (…) Je donnerai aux ministres une vraie latitude politique. Je ne les garderai pas s’ils ne mettent pas en œuvre les économies. (…) »
On a déjà donné…
« Je propose aussi une réduction massive des effectifs des cabinets, de l’ordre de cinq personnes afin que les ministres s’appuient davantage sur leurs administrations ». Et leurs nombreux secrétaires d’État, c’est ça ?
Ils ont tous fait comme ça pour se retrouver à plusieurs dizaines en Conseil des ministres les mercredis.

Et pour résumer : « Je veux construire un nouveau modèle de société et une nouvelle économie. » Du « Chat-ban-d'elle-Masse » tout craché !
« Contrairement à François Fillon, je ne crois pas dans la purge et le rétablissement du pays contre lui-même. Je pense plutôt au changement du pays en responsabilisant chacun des acteurs. Et contrairement à Benoît Hamon, je n’accepte pas la défaite quant au travail. La bataille du travail est gagnable si on invente ce nouveau modèle de croissance. »
Reste qu’il n’en dit rien, finalement.

Ceci dit, il est le seul candidat à s’engager à respecter, dès l'an 1, l’objectif européen de 3 % de déficit budgétaire. Et ses hypothèses de croissance sont raisonnables : 1,4 en 2017, 1,7 en moyenne sur le quinquennat…
On est assez loin de « Mes-Luches » et même de « Fifi-l’enchanteur » qui croit encore pouvoir se qualifier au second tour et passer devant « Marinella-tchi-tchi ».
J’en conclus qu’il confirme lui-même qu’il est cinglé…

Là, je n’insiste pas : C’est un affreuse rumeur qui circule jusqu’en « Ritalie ».
Une « bulle de savon » gonflée à l’hélium, finalement ?

lundi 27 février 2017

Le scoop de la semaine dernière…

Un plan « B » comme « Bébé-roux » 
 
Un véritable carnage : Ce n’est plus une campagne présidentielle, c’est un plan-cauchemar !
Entre le nouveau binôme « antisystème » « Bébé-Roux/MacRond », auquel souscrit déjà « Ségololo » sans le dire vraiment, le prochain binôme révolutionnaire « Mes-Luches/Âme-mont » (« Ya-dos-Yoda » s’étant déjà rallié), « Marinella-tchi-tchi », « Fifi-le-voyou » devenus complètement inaudibles, comme la plupart des autres candidats, même que « Dupont-gnangnan » s’en plaint ouvertement, j’ai quand même deux bonnes nouvelles à vous annoncer et une mauvaise :
– Le « plan-C », « C » comme « Cheminable » semble fonctionner : Il aurait déjà ses 500 signatures !
– « Poux-toux », lui ne les aurait pas : C’est dire où vont les choses.
– Quant à la mauvaise, c’est que nous avons perdu 5 ans avec « Tagada-à-la-fraise-des-bois », 5 ans où toutes les planètes s’étaient alignées pour un vrai sursaut de croissance.
Eh bien on va perdre les 5 prochaines années où les planètes vont commencer à diverger…
Affreux : Comment voulez-vous vous en sortir sans rivières de sang et montagnes du ruines ?
 
Plan « B » comme Boulet… Ce gars-là, « Bébé-Roux », aura vraiment tout fait.
De « Tagada » à « MacRond » en passant par « Juppette »…
Fortiche la girouette.
Et droit dans ses bottes avec ça, sans même réclamer Matignon (paraît-il), peut-être seulement un sous-secrétariat pour lui-même et quelques circonscriptions pour « ses » fidèles qui l’auront suivi jusque-là.
Pas nombreuses, les circonscriptions, puisque ses fidèles se comptent sur les doigts d’une seule main… et encore, en étant optimiste.
C’est marrant : Il aura passé son temps à dynamiter la droâte mieux que « Mythe-errant », mais il aura aussi dynamité son propre parti : Après moâ, le désert !
Et dire qu’il adoube « MacRond » après l’avoir qualifié, d’hologramme – façon de vous expliquer qu’il s’agit d’un ectoplasme – derrière lequel se cachaient les grands intérêts financiers…
D’ailleurs, « les marchés » ne s’y sont pas « trumpés »…
À peine annoncé le ralliement du « boulet », ils ont applaudi en boostant le CACa40 et en faisant baisser les taux d’emprunt gauloisiens à 10 ans.
Oh, pas longtemps : En fait les anglo-saxons ne connaissent que « Marinella-tchi-tchi » et « MacRond ». Et pour eux ce sera l’une, et là les taux déraperont, ou l’autre, et là les taux se détendront.
 
Alors évidemment ils bichent quand ils entendent du « Boulet » : Il « est brillant, ses intuitions et son approche lui ont permis de réaliser une importante percée dans les sondages. Peut-être enfin le projet de dépassement des clivages que j’ai porté depuis quinze est à portée de main »…
Mais si !
« Qui est Emmanuel Macron ? », s’interrogeait-il pourtant le 1er février. Un candidat, qui, rappelait-il durant l’émission Dimanche politique en septembre 2016, « a été l’inspirateur de la politique économique de François Hollande… Une politique catastrophique ».
J’en suis d’accord.
« La première mesure annoncée par Emmanuel Macron est de proposer que les jeunes travaillent plus pour gagner moins », disait-il encore en décembre 2016 sur « Transe-Inter ».
Mais la critique la plus sévère intervient sur BFMTV, quand, en septembre 2016, il estime que « MacRond » est un candidat « des intérêts financiers » à l’instar de « Bling-bling » et « Déesse-Khâ ».
Et là encore, j’en suis d’accord, avec toutefois quelques nuances.
« Je suis absolument sceptique sur cette affaire (« MacRond »), et quand je dis sceptique, c’est le mot le plus modéré que je puisse choisir. Ça ne marchera pas, parce que les Français vont voir ce que cette démarche signifie, ce qu’il y a derrière tout ça, derrière cet hologramme. Il y a une tentative qui a déjà été faite plusieurs fois de très grands intérêts financiers et autres, qui ne se contentent plus d’avoir le pouvoir économique, ils veulent avoir le pouvoir politique ».
Pas bien sûr, mais c’est à suivre.
Et d’ajouter : « On a déjà essayé en 2007 avec Nicolas Sarkozy (…) en 2012 avec Dominique Strauss-Kahn… Et ce sont les mêmes forces qui veulent réussir avec Macron ce qu’elles ont raté avec Strauss-Kahn. Or pour moi, c’est absolument central, je ne suis pas pour que le pouvoir de l’argent prenne le pas sur la politique. ».
Ah oui ?
Pour tout dire, il lui trouvait des airs de « bulle de savon », d’un « homme sans densité ».
 
Et puis tout d’un coup, telle Jeanne-d’Arc entendant des voix, il résume son choix : « Ce n’est pas une volte-face, c’est une garantie obtenue… »
Ah bon ? Et pour qui ?
Le rien au milieu du néant décide de rejoindre le vide propulsé par un feu d’artifice : Le bel attelage que voilà !
En renonçant à ce qui aurait été une quatrième candidature de saut à l’élastique sans élastique à l’élection présidentielle après 2002, 2007 et 2012, il s’est « offert », donné, dans une proposition dont les exigences sont suffisamment ridicules pour ne pas être prises en compte : Il réclame ainsi une « véritable alternance » et que le programme du candidat « comporte en priorité une loi de moralisation de la vie publique, en particulier de lutte déterminée contre les conflits d’intérêts ».
La corruption, la prise illégale d’intérêts, la concussion, lui il s’en contre-cogne les roubignoles sans même se faire souffrir…
Tu m’étonnes, il n’en a peut-être pas !
 
Auquel il rajoutera, détail important, la mise en place de la proportionnelle…
Arf : Une pute au moins, quand elle se donne elle se fait payer… et ne se contente pas d’une vague « non-promesse ».
« Tout est en place pour qu’on obtienne un changement de la politique française », tout est dit : Jamais avant ça n’avait été le cas, suppose-t-on de son propos…
Et je peux vous prédire que ce ne sera pas le cas par la suite.
En fait, le jeune loup vient de bouffer le vieux roublard en saisissant l’occasion sans même lui donner un coup de griffe.
C’est que le maire de Pau a fait ses comptes : Pas sûr qu’il atteigne le score de 5 % des suffrages exprimés pour pouvoir se faire rembourser ses frais de campagne, et là, ç’aurait été sa faillite personnelle (et partisane).
Alors que désormais, il a un espoir de poursuivre sa carrière.
Avec « Juppette », il était assuré d’avoir un ministère et des circonscriptions « réservées » pour ses proches, puisque, nous l’avons déjà dit, le gagnant des primaires devient ipso-facto patron du parti…
Paf : Le looser-national aura-t-il entraîné la chute de « Juppette » ?
En tout cas il se replie sur des positions pas préparées à l’avance et va polluer la campagne de « MacRond » ?
C’est à suivre : On ne peut pas être perdant tout le temps, mais de là à penser qu’il traine une scoumoune pas croyable, y’a pas loin…
D’ici à ce qu’il ait le mauvais-œil…
 
Et voilà-voilà : « MacRond », c’est un petit gars qui fait 20 % dans les sondages, qui attire des micros et des caméras : Il faut donc que « nous dépassions nos intérêts personnels et partisans pour construire l’avenir que la France mérite », n’est-ce pas.
On pourrait trouver triste cette perte de mémoire pour le pauvre « Bébé-Roux ».
Mais le plus drôle c’est qu’il touche aussi « Manu-MacRond » puisque ce dernier, en septembre, répondait aux saillies de celui qui vient tout juste de le rejoindre : Pour lui il n’était que « le clapotis de la décadence ».
Pas faux…
Et encore pour en rajouter, le premier persiste à dire l’inverse de ce qu’il fait : Il se défend d’avoir réclamé des circonscriptions pour ses proches certes, ou une place à la tête du gouvernement en cas d’arrivée de « Manu-MacRond » à la place du Calife, mais n’en pense pas moins : « Je n’ai jamais discuté de circonscriptions pour mes proches… »
C’est assez salaud pour tous ses fidèles grognards…
« Il se trouve que je ne regarde pas la situation du pays à l’aune de mon intérêt personnel. Je ne suis candidat à rien. Je suis maire de Pau et je sais que je vais apporter tout mon effort et tout ce que je suis à l’édification d’un monde politique nouveau qui lui permettra d’entrer dans une époque où on peut s’estimer même si on n’a pas les mêmes opinions. »
Que c’est beau cette abnégation « pour le pays ».
Mais ça sonne si creux pour un mek qui aura tenté de bouffer à tous les râteliers, et même de se faire éconduire par « Ségololo » en 2002.
Ministre sous « Ballamou » puis sous « Le Chi », on n’en connait pas beaucoup des comme ça qui voient l’intérêt du pays par-dessus tout : Une vraie rigolade, finalement.
 
« Ce qui me frappe en écoutant les diverses réactions et en recevant des messages très nombreux, c’est qu’au fond les Français attendaient qu’il y ait un espoir, que quelque chose apparaisse dans cette campagne », a-t-il déclaré.
« On avait l’impression d’être dans un marécage dans lequel tous les Français s’enfonçaient. »
Qui les y avait mis au juste ?…
Pour sortir de cette situation, « il fallait que ça soit dans les actes, pas des paroles mais des actes. Cet acte a atteint, touché, un grand nombre de Français », a-t-il estimé, optimiste de lui-même.
Ah oui ? Jusqu’à provoquer un raz-de-marée ou un arrêt cardiaque de la faune-centriste ?
Qui se débat part ailleurs entre « valoisien », PRG, « Rad-soce », UDI et quelques autres pour exister.
En fait le « Mac-Momo-dem » n’a jamais pu faire d’OPA sur « les centres », même pas du temps de l’UDF, une création sui generis de « Giskard-A-la-Barre » pour dire qu’il existait lui aussi…
« Mac-Momo-Dem » démissionne face à « MacRond » : Que de la « malbouffe » qui se bouffe entre-elle… Ça va faire de la place pour d’autres.
Et il en rajoute : « L’enjeu de cette alliance, c’est de rendre l’espoir à des Français déboussolés », a-t-il expliqué. « Je crois que cette alliance peut faire entrer dans la réalité ce qui apparaissait impossible. Si nous y parvenons, nous pouvons faire de grandes choses ensemble. »
Encore faut-il y parvenir…
 
Or, force est de constater que de toute façon, y’en a une qui ne dit rien mais n’en pense pas moins.
« Fifi-le-voyou » étrillé, la « gôche » divisée comme jamais, le « centre-mou » qui a ses vapeurs éthérées, un coup sur sa droâte, un coup sur sa « gôche » pour espérer survivre, même si ça prend la forme d’un suicide politique avéré, elle a vraiment toutes ses chances de passer dès le premier tour.
Et ça deviendra possible dès qu’elle entrera en campagne, au lieu d’aller faire le guignol en terres mahométantes.
Là, déjà, son refus du voile devant le mufti local au Liban, elle donne des leçons à tout le monde…
Personnellement, j’aimerai la voir devant le pape-François : Le port du voile y est une marque de respect.
Passons.
Car là, c’est plutôt une mauvaise nouvelle.
Notez que le bon côté des choses, c’est que je pourrai retrouver un bulletin « Cheminable » du « plan C » pour les deux prochains tours si on en fait deux…
Comme prévu depuis juin 2014, date de création de ce blog, justement pour cette exacte raison.

dimanche 26 février 2017

Passionnant !

Avis de recherche de la neuvième planète
 
Comme vous le savez, je suis depuis peu l’heureux propriétaire officiel d’une étoile située dans la constellation du Verseau…
Pour l’heure, si j’ai l’azimut et la hauteur qui me permettent de la situer, plus une carte précise, je n’ai aucune idée de sa distance et de ses autres caractéristiques (luminosité apparente et réelle, distance, type et nombre de planètes qui m’appartiennent).
Pas plus que j’ai la moindre idée de la façon de rejoindre « mes possessions », ni le premier radis pour financer un raid d’usucapion…
En revanche, la NASA m’ayant ainsi repéré, j’ai gentiment été invité à rechercher la neuvième planète de notre système solaire avec ma vue-basse de « presse-bite-myope-et-astigmate ».
Car il se trouve que des anomalies dans les orbites de certains objets célestes font penser qu’il existe, très loin dans notre système solaire, une planète glacée jusque-là non-détectée.
 
Notez que je ne suis pas le seul à être « sur les dents » (quoique les miennes ne soient pas très aiguisées).
Pour en retrouver la trace, la Nasa a lancé, mercredi 15 février, un site participatif.
C’est qu’en 2016, des astronomes américains ont observé que les orbites de certains objets très éloignés semblaient affectées par un phénomène inconnu. En guise d’explication, ils ont émis l’hypothèse qu’il existait une « neuvième planète », ou « planète X » dans le système solaire, dont la gravité modifierait la trajectoire des objets observés. Et ils sont allés jusqu’à lui donner quelques caractéristiques.
« Il y a un an, Mike Brown et Konstantin Batygin, planétologues de l’Institut de technologie de Californie, ont prédit, à partir de l’étude d’une poignée d’objets célestes très lointains, l’existence possible d’une planète géante, dix fois plus massive que la Terre, quelque part très au-delà de l’orbite de Neptune » préviennent les spécialistes.
Et pour l’heure, personne ne connaît son éventuelle position.
Or, cette hypothèse est prise au sérieux par des chercheurs loin d’être des plaisantins.
On cite ainsi Jacques Laskar, directeur de recherche au CNRS, ou encore Agnès Fienga, de l’Observatoire de la Côte d’Azur, qui se sont « investis dans cette traque de la planète X ».
 
Mais ils ne sont pas les seuls à se lancer à la recherche de « P9 ». Il y aurait au moins quatre équipes sur le coup. Et certains rêvent déjà d’une découverte dans les trois prochaines années, même si l’horizon 2022 est plus réaliste.
Pourquoi ces cinq ans d’attente ?
Mais parce que c’est la date d’installation, « dans les Andes chiliennes, du Large Synoptic Survey Telescope (LSST) : D’un diamètre de 8,4 mètres et équipé de la plus grande caméra numérique du monde, cet instrument international, capable de réaliser en trois nuits un balayage complet du ciel austral, sera (entre autres) en mesure de repérer, en un temps record, les objets les moins lumineux du Système solaire. »
Et donc « P9 », si elle existe.
 
Dans cette course à la neuvième planète, la Nasa recourt, elle, au travail « collaboratif » (et gratuit) des astronomes « benêt-voles » et autres amateurs, dont je suis présumé être. Pour résoudre l’énigme, l’agence spatiale américaine a en effet mis en ligne des images enregistrées par son télescope Wise (en anglais). Et demande à tous les passionnés du ciel, amateurs ou professionnels, de les passer au peigne fin pour détecter la présence de l’astre.
Le ciel est pédagogiquement découpé en courtes animations, qui montrent l’évolution d’une région sur plusieurs années. Si un participant repère un objet en mouvement, il peut le signaler aux chercheurs, qui se pencheront sur le cas.
« Un peu plus de quatre années-lumière séparent Neptune et Proxima du Centaure, l’étoile la plus proche, et une grande partie de ce vaste territoire est inexplorée », explique un astrophysicien de la Nasa. « La lumière du Soleil est faible, et même les grands objets sont difficiles à voir. Mais avec l’infrarouge, le télescope Wise a peut-être enregistré les images d’objets que nous aurions manqués sinon ».
 
Et alors, pourquoi une neuvième planète ? Parce que notre système solaire ne compte plus que huit planètes : Mercure, Vénus, la Terre (la nôtre), Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.
Jusqu’en 2006, Pluton était également considérée comme une planète avant d’être déclassée par l’assemblée générale de l’Union astronomique internationale en planète naine, malgré l’opposition des Américains.
La raison de cette déchéance ?
« Pluton est bien, comme les planètes, en orbite autour du Soleil et d’une masse telle que sa forme est à peu près ronde, mais un argument rédhibitoire selon la majorité des astronomes est qu’elle n’a pas encore « nettoyé » son environnement des corps qui sont sur une orbite voisine. En effet, sa force gravitationnelle n’est pas suffisante pour soit attirer (et agglomérer) les corps autour d’elle, soit les repousser au loin ».
Avec l’élimination de Pluton, si une nouvelle planète était découverte dans notre système solaire, elle serait donc la neuvième. D’où le nom de « P9 » qui lui est parfois donné avant qu’on ne la baptise officiellement « I-Cube » (pourquoi pas, hein ?). 
 
Cette quête est d’abord dans le plaisir de voir corroborer une intuition, que rien n’atteste pour l’instant. La découverte d’une nouvelle planète dans le système solaire est « un événement si rare qu’elle aurait une portée historique », affirme un chercheur de l’Observatoire de la Côte d’Azur.
Et pour cause…
La Nasa a également promis aux participants amateurs de les créditer avec les chercheurs, si la traque se conclut par une publication scientifique.
Et sinon ?
« Le projet Backyard Worlds Planet 9, potentiellement, peut donner lieu à des découvertes extraordinaires » commente un autre chercheur, celui-là de l’université de Californie. « En observant ce corps, on pourrait, par exemple, déterminer s’il est originaire de notre Système solaire ou venu d’ailleurs », explique-t-on.
« Soit sur la manière dont les planètes géantes se sont formées, soit sur les caractéristiques de l’amas stellaire dont est issu le Soleil. »
Et c’est là le plus intéressant, finalement.
 
Une quête plus facile à dire qu’à faire cependant, puisque la zone de recherche s’étale tout de même sur plus de 40.000 milliards de kilomètres, de Neptune à Proxima Centauri, l’étoile la plus proche de notre système solaire.
Si la « planète 9 » serait dix fois plus massive que la Terre, elle aurait un diamètre environ trois fois supérieur et serait probablement une planète gazeuse selon les calculs réalisés par les astronomes de l’université californienne Caltech.
Un physicien spécialisé dans le décryptage des images du télescope WISE a toutefois déclaré dans un récent communiqué les limites de l’imagerie : « La recherche automatique ne fonctionne pas dans certaines régions spatiales, comme la Voie lactée, car il y a trop d'étoiles, ce qui embrouille l’algorithme de recherche », autrement dit les « robots ».
Mais tout le monde mise sur « la formidable capacité du cerveau humain à repérer le mouvement. »
Il est né « chasseur », aucun robot encore…
Une méthode qui avait déjà fait ses preuves en 1930 pour la découverte de Pluton, rappelle-t-on.
 
Une véritable opportunité pour les amateurs du monde entier de faire une grande découverte. Et ils sont déjà nombreux à avoir témoigné sur le forum de l’expérience. Jerry de Chine écrit ainsi : « Je suis certain qu’on peut découvrir de nombreuses étoiles et planètes inconnues. Au travail ! ».
Heather au Canada est quant à lui « super excitée de faire partie de l’aventure ».
Nous, on ne va pas se casser le kul pour si peu, pour une planète qui restera inhabitable (comme toutes les autres autour de notre Soleil, hors la Terre… quoique…).
Je propose donc qu’on demande à quelques experts en (f)Ummisteries (dont mes « muets » et pourquoi pas notre « Ami-Râle » qui est en plus équipé d’une lunette astronomique dans son jardin) de demander aux Ummos (ces aliènes qui habiteraient la planète Umma, pas très loin de nous dans le cosmos, puisqu’ils nous visiteraient régulièrement et communiqueraient même par voie de « twists » avec quelques « humains-éclairés » depuis des décennies), où elle se trouve.
Et le tour sera joué.
 
Et puis là au moins, j’aurai une bonne raison d’admettre enfin, contrairement aux Kameulfs, que les Ummos ne sont pas si tarés que ça et que les plus crétins, ça reste encore les humains.
Notez qu’ils en donnent tous les jours la preuve à travers la campagne électorale en cours en « Gauloisie-des-Lumières » et encore ailleurs.
Mais bon, ça n’apparaît pas assez criant à tous ceux qui s’apprêtent à voter pour eux…