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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 14 novembre 2025

Jean-Marc se désole…

« C’est dingue…
 
… Toutes les femmes souhaitent ardemment avoir un champion expert au lit,
Mais elles refusent toutes de les laisser aller aux entrainements ! »
 
Marie-Chantal croisant Marie-Jeanne, une vielle connaissance du quartier :
« — Dites donc, chère voisine, je vous ai vu hier sucer le pénis de Jean-Eustache, votre mari…
— Mais dites donc, chère Marie-Chantal… il n’y a pas de honte à ça… Moi j’aime bien et lui aussi !
— Oui, peut-être, sauf que le problème est que sa bite aurait dû être incinérée comme le reste de ses restes, non ? »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, devant leur bière matinale :
« — Tu savais, toi, que le calendrier chrétien est facétieux ?
— Comment ça ?
— Tu sais que le 14 février, on fête la Saint Valentin… la fête des amoureux.
— Oui, ça je savais…
— Et que fête-t-on le lendemain ?
— Bé, euh… un autre saint, je suppose…
— La saint Claude, comme les pipes…
— Comme quoi ça fait une semaine bien engagée ! »
 
Les mêmes, plus tard, au milieu d’un gueuleton méridien :
« — Tu sais, je ne dis pas que les normandes sont des filles faciles…
Mais tout de même…
Le trou normand est connu dans le monde entier !
— On s’en fait un pour aider à la digestion ? »
 
Question du soir :
« — Ça grandit jusqu’à quel âge un réservoir d’essence de voiture ?
— Pourquoi tu me demandes ça ?
— Parce que l’année dernière, je faisais un plein pour 60 euros et que cette année il en faut 80 ! »
 
Toujours Jean-Paul avec Jean-Marc, mais un autre jour et devant une autre bière…
« — Dis-moi, toi qui sais tout…
— Oh…
— Quand Francis Cabrel chante « De l’amour comme s’il en pleuvait ! », on est bien d’accord qu’il s’agit d’une apologie déguisée du sexe facial ? »
 
Jean-Éric à Jean-Marc :
« — Oh, moi, tu sais, j’évite de me masturber tous les jours…
— Ah oui ? Tu crains la panne ?
— Non, pas du tout… Mais on pourrait croire que je ne suis avec moi-même juste que pour le sexe… »
 
Jean-Paul la ramène à ce moment-là, une chope de bière à la main :
« — Oh tu sais, le sexe, c’est comme le billard, après tout…
— Comment ça ?
— Une queue, des boules et des trous… »
 
Les trois gaillards sifflent leur bière et Jean-Éric veut faire le drôle :
« — Vous saviez que les habitants de la ville de Meaux se nomment les Meldois…
— Oui, je savais ! » répond Jean-Marc. « Et ceux de Château-Thierry des Castelthéodoriciens…
— Peut-être, si tu le dis, mais maintenant, imagine qu’un Meldois aille visiter non pas Château-Thierry mais le village de Montcuq…
— Un Meldois dans mon kul ? » se marre Jean-Paul…
« — Oui, un Meldois qui rencontre seulement un Montcuquois, en somme !
— Ah non, c’est dans le lot… Meaux en Seine-et-Marne et Château-Thierry dans l’Aisne…
— Un lot de laine, quoi…
— Ouais mais il paraît que la circulation automobile est difficile à Montcuq…
— Ah bon ? Et pourquoi donc ? C’est pourtant dans le persil…
— Dans le Quercy, pas le persil ! Parce que les voies sont étroites…
— Alors peu de chance d’y voir passer un Meldois… »
 
« — 12 bouteilles bière à 2 euros l’unité, ça fait combien ?
— 2 jours à la maison… »
 
Jean-Paul, un autre jour, à Jean-Marc :
« — Tu te rends compte ? Hier, mon proprio m’a téléphoné pour que je lui paye son loyer en retard !
— Ah ?
— Je lui ai répondu que j’avais déjà du mal à payer le mien…
— Y’en a qui ne doute de rien ! »
 
Lue pour vous cette petite annonce dans un journal de rue :
« Cherche associé pour ouvrir un magasin en ville.
J’ai déjà le pied de biche et les cagoules. »
 
« — Non mais il faut arrêter de mentir aux gens comme ça…
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce qu’on leur dit que « Kayak » à l’envers, ça fait « Kayak » !
— Bé… heu ?
— Eh bien pas du tout ! Ça fait glouglou en réalité ! Tu bois la tasse ! »
 
Jean-Paul s’insurge auprès de Jean-Marc :
« — Tu crois vraiment que notre génération est plus intelligente que celle de nos parents ?
— Je ne sais pas…
— Alors explique-moi pourquoi il y 50 ans, le manuel d’utilisation d’une voiture t’expliquait comment changer une tête de Delco, comment roder des soupapes, alors qu’aujourd’hui il se résume à te prévenir de ne pas boire le contenu de la batterie ! »
 
« — Tu sais, je crois que les problèmes de déficit public seraient immédiatement réglés si on mettait en place un impôt sur la connerie…
— L’État s’autofinancerait effectivement tout seul ! »
 
Plus tard, un autre jour de la semaine :
« — Tu sais, le vrai problème avec les retraites…
— Oui ?
— C’est qu’on n’a jamais un jour de congé ! »
 
Une « revenue » :
Germaine fait son marché au marché des quatre saisons et interroge le marchand de fruits et légumes derrière son étal :
« — Dites donc, Monsieur le commerçant, est-ce bien légal de ne pas indiquer de quel pays viennent ces fraises ?
— Pourquoi ?
— On ne sait pas si elles sont françaises, espagnoles ou encore marocaines…
— Pourquoi ? Qu’est-ce que vous avez à en foutre ? Vous voulez leur faire la conversation ? »
 
Germaine est persuadée que Jean-Marc la trompe avec la bonne…
Alors, diabolique comme pas deux, sur les conseils de Marie-Chantal, un jour elle donne congé à la bonne sans rien dire à personne…
Le soir, Jean-Marc rentre tard du boulot, imbibé des bières partagées avec Jean-Paul, et va se coucher en se plaignant d’avoir mal au ventre.
Profitant de ses malaises intestinaux, probablement feints pour justifier d’aller aux toilettes en pleine nuit, Germaine se rend dans la chambre de la bonne et s’installe dans son lit.
Elle n’attend pas longtemps : Une personne se glisse entre les draps de la bonne et lui fait l’amour comme jamais depuis longtemps…
Une fois l’affaire faite, Germaine veut confondre Jean-Marc et allume la lampe de chevet :
« — Surpris de me voir ici, salopard !
— Oh oui madame ! » répond le gardien…
 
Jean-Jacques en déplacement, Jean-Paul et Jean-Marc, partagent une « bière-comptoir » quand Jean-Jacques entame la conversation :
« — Habituellement, j’habite dans la Mayenne…
— Mais qu’est-ce que tu veux que ça me fasse que ta bite soit dans la moyenne ?
— Non mais arrêtez tous les deux… »
 
C’est Mohamed qui explique à ses petits-enfants que dans le temps, il allait faire les courses avec 10 francs.
« Dans le temps, avec 10 francs, ti pouvais aller à l’ipicerie du coin et revenir avec un kilo di beurre, un litre di lait, trois kilos di patates, un kilo di froumage, un kilo di soucre, un kilo di farine, di pain, di bonbons, deux kilos di saucisses di mouton, di œufs et di chiwingum.
Maintenant, tu n’as plus rien avec di euros : Il y a des caméras partout… »
C’est probablement une revenue… mais « revenue » de loin alors…
 
Marie-Chantal demande à Germaine, tout en dégustant une tasse de thé si :
« — Ton mec, Jean-Marc
— Oui ?
— Il te fait des préliminaires avant de te faire l’amour ?
— Oui bien sûr…
— Il te fait quoi ?
— Il me supplie pendant une bonne heure ! »
 
Jean-Paul, furieux…
« Il faudra m’expliquer un jour pourquoi l’animalerie refuse que j’achète un lapin avec un ticket restau de la boîte ! »
 
Le fils de Jean-Marc :
« — Dis papa…
— Oui, fiston ?
— Qui m’a donné mon intelligence ?
— Ce doit être ta mère. Moi, j’ai gardé la mienne ! »
 
Jean-Paul fait une confidence à Jean-Marc, un matin, devant une chope de bière :
« — Je suis arrivé à l’âge où on a envie d’avoir des enfants …
— Il n’est jamais trop tard, pour un homme…
— Oui, alors j’ai acheté des bonbons et je fais la sortie des maternelles ! »
 
Les deux mêmes :
« — Il faudrait dire aux mecs qu’ils cessent de demander aux femmes qui vont sur des sites de rencontres ce qu’elles cherchent…
— Ah bon ?
— Ça m’étonnerait qu’elles répondent qu’elles cherchent un embrayage de moto ! »
 
Les deux mêmes (pour une probable « revenue ») :
« — Toi, tu crois que la vie est plus belle après la mort ?
— Ça dépend de la mort de qui… »
 
Question bête d’une internaute :
« Y’a-t-il encore des hommes qui ouvrent les portières des voitures ? »
Réponse tout aussi farfelue d’un internaute ;
« Tu penses qu’on rentre comment ? »
 
Jean-Marc, ne se retenant pas de roter après avoir avalé sa bière matinale :
« — Ne jamais retenir un pet… surtout le matin !
— Ah bon ? Et pour quelle raison ?
— Bé si tu le retiens, il traverse tout le corps et monte au cerveau !
Et après tu as des idées de merde toute la journée ! »
 
Le même à Jean-Paul :
« — Tu savais, toi, que madame Pipi est chef de cabinet ?
— Mais qu’est-ce que tu crois : Elle est même diplômée de sciences pots ! »
 
« — Tout de même, ce sont des génies…
— Qui donc ?
— Messieurs Évian, Vittel, madame Cristalline et quelques autres ?
— Pourquoi tu dis ça, mon Jean-Paul ?
— Parce que parvenir à faire rentrer de l’eau plate dans des bouteilles rondes, il faut le faire…
— Laisse tomber et reste à la bière, mon Jean-Paul… »
 
Le même à son copain, après la dernière bière de la journée :
« — En ce moment, je suis sentimentalement épipurien ?
— Ah oui ? Très bien ! Tu veux dire épicurien ?
— Non, non, j’ai bien dit épipurien…
— Euh, mais c’est quoi ça ?
— Eh bien je rencontre des femmes, je drague, je discute et puis plus rien… »  
 
Bon début de week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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