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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 21 novembre 2025

C’est l’histoire de Jean-Marc…

 Qui téléphone à une compagnie aérienne…
 
« Bonjour, j’aimerais savoir quelle est la durée du vol Paris – New York ? »
L’employé, qui est occupé sur une autre ligne, lui répond :
« Une minute, monsieur… »
Il remercie et il raccroche.
 
Une petite fille est en train de feuilleter l’album de famille.
Tout à coup, elle demande à sa mère :
« — Maman ! Qui c’est le beau brun en maillot de bain, avec des pectoraux terribles, qui est à côté de toi sur la plage ?
— C’est ton papa quand je l’ai connu », répond la mère d’un ton mélancolique.
« Ah bon ! C’est mon papa ? Ben alors, qui c’est le gros type chauve qui vit à la maison ? »
 
Jean-Paul veut vendre sa vieille voiture, mais sa voiture a 450.000 kilomètres et personne n’en veut.
Il décide alors de demander conseil à son copain Jean-Charles, lequel lui dit :
« — Accepterais-tu de faire quelque chose d’illégal ?
— Oui, je veux vendre ma voiture à tout prix.
— Bon ! Dans ce cas, tu vas voir mon ami Jean-Antonio qui est mécanicien, et il va mettre ton compteur à 45.000 kilomètres. »
Jean-Paul va donc voir Jean-Antonio, qui lui remet le compteur à 45.000 kilomètres, moyennant quelques billets.
Quelques jours plus tard Jean-Paul revoit Jean-Charles, qui lui demande :
« — As-tu vendu ta voiture ?
— Ça ne va pas, non ! Maintenant qu’elle a 45.000 kilomètres, je la garde ! »
 
C’est Jean-Marc et Jean-Paul, plus jeunes, qui sont dans un bal.
Ils se demandent comment ils pourraient bien faire pour aller draguer une jeune fille.
Alors Jean-Marc explique à son ami :
« — Tu vas voir, moi, je connais un jeu ! C’est très facile, regarde bien ! Tu dis à la fille : « Dites un chiffre entre un et dix ! ». Alors mettons, au hasard, elle va te dire cinq. Tu diras : « Formidable ! Vous avez gagné une soirée avec moi… » Et puis hop, tu l’invites à danser !
— Ah, épatant ! » répond le second. « Essaie un peu pour voir… »
Jean-Marc y va et dit à la première venue un peu aguicheuse :
« — Bonjour mademoiselle ! Dites un chiffre entre un et dix !
— Cinq !
— C’est formidable ! Vous avez gagné une soirée avec moi ! »
Jean-Paul se dit « c’est extraordinaire, je vais essayer ! », il avise une seconde jeune-fille, s’approche et lui dit :
« — Mademoiselle, dites un chiffre entre un et dix !
— Sept !
— Sept ? Dommage, vous avez perdu ! » répond-il déçu en faisant la moue…
 
Bien plus tard, les deux mêmes, mais devant une bière au bar du coin de la rue :
« — Il y a quatre âges dans la vie d’un homme…
— Ah ? J’en étais resté à trois…
— Trois ? Lesquels ?
— Une quand il marche à 4 pattes, puis une autre quand il se sert de ses deux jambes et enfin la troisième quand utilise une canne pour tenir sur ses deux jambes…
— Oui, elle est connue celle-là, mais pas seulement…
Il y a aussi l’âge où il croit au Père Noël…
Celui où il ne croit plus au Père Noël,
Celui où il est le Père Noël.
Et enfin celui où il ressemble au Père Noël. »
 
C’est l’histoire d’un homme qui est assis dans un stade de rugby. C’est la finale de la coupe du monde et toutes les places sont vendues depuis des mois.
À côté de lui, une place est vide…
Visiblement très irrité, Jean-Marc assis de l’autre côté de la place vide lui demande à qui appartient la place, car c’est quand même honteux de laisser une place vide le jour de la finale.
Effectivement l’homme lui répond que c’était la place de sa femme et qu’ils allaient à chaque match depuis qu’ils étaient mariés mais elle vient de décéder…
Jean-Marc très gêné s’excuse et lui présente ses condoléances.
Puis il lui demande :
« — Personne de votre famille n’a voulu vous accompagner ?
— Ben non, ils sont tous à l’enterrement… ».
 
Florilège de suestions de bon sens de Jean-Paul à Jean-Marc :
Lorsqu’un homme vient d'être embauché aux pompes funèbres, doit-il d’abord faire une période décès ?
Un prêtre qui déménage a-t-il le droit d'utiliser un diable ?
Si Gibraltar est un détroit, qui sont les deux autres ?
Les moulins, c’était mieux à vent ?
Quand on voit beaucoup de glands à la télé, faut-il changer de chêne ?
Je m’acier ou je métal ? Que fer ?
Est-ce que personne ne trouve étrange qu’aujourd’hui des ordinateurs demandent à des humains de prouver qu’ils ne sont pas des robots ?
Est-ce qu'à force de rater son bus on peut devenir ceinture noire de car raté ?
Est-ce qu’un psychopathe peut être embauché comme psychologue chez Lustucru ?
Est-ce que l’on peut demander à une femme battue si son mari est un bon coup ?
Et puis les « redites » :
« Je n'ai jamais compris pourquoi le 31 mai est la journée sans tabac, alors que le lendemain c’est le premier joint ! »
« Si le ski alpin, qui a le beurre et la confiture ? »
 
Jean-Paul raconte :
« Hier, je suis allé chez le caviste à vélo et j’ai acheté une bouteille de whisky.
Spontanément, j’ai mis la bouteille dans le panier porte-bagage du vélo.
Alors que je m’apprêtais à partir, je me suis rendu compte que si jamais je tombais, la bouteille se casserait.
Alors, j’ai bu toute la bouteille de whisky d’une traite et je suis rentré.
Tu ne vas pas me croire mais cette magnifique idée de boire tout mon whisky s’est avérée providentielle car je suis tombé sept fois sur le chemin de retour !
Imagine un seul instant ce qui serait arrivé à la bouteille si je n’avais pas été aussi bien inspiré. »
 
Jean-Marc se confie :
« Je suis toujours épaté par la puissance de la pensée !
Dans une exposition de peintures, un cadre était totalement vide.
L’auteur était à côté. Alors je lui ai demandé :
« — Qu’est-ce que cela représente ?
— Des vaches dans un pré.
— Mais, je ne comprends pas, on ne voit pas de pré.
— Bien sûr, les vaches ont mangé toute l’herbe.
— Et les vaches ? On ne les voit pas non plus ?
— Vous ne croyez tout de même pas qu’elles vont rester dans un pré où il n’y a plus d’herbe ? »
 
Les vacances de la Toussaint sont terminées, il est temps de reprendre le chemin de l’école.
Ce matin, une mère entre dans la chambre de son fiston :
« — Jean-Jacques, réveilles toi !
— Non maman.
— Il faut que tu te réveilles pour aller au lycée.
— J’veux pas y aller.
— Allons ! Ne fais pas l’enfant. Réveille-toi !
— Nan. Ils sont tous méchants là-bas. Je veux pas y aller.
— Allons ! Réveille-toi ! C’est quand même toi le proviseur ! »
C’est une revenue de Dumè : Son épouse occupe la fonction de CPE en Balagne…
 
C’est l’histoire de Jean-Yves, un gars vivant seul, qui décide un jour que sa vie serait moins monotone avec une bestiole quelconque pour lui tenir compagnie.
Il se rend dans un magasin pour animaux et demande ce qu’il y a comme animal peu commun.
Après un certain temps, il décide que l’idéal serait un mille-pattes.
C’est vrai, une bestiole avec 1.000 pieds, c’est vraiment peu commun, non ?
Donc, il emporte son mille-pattes dans une petite boite blanche avec des feuilles et du coton, qu’il prend soin de placer dans un coin tranquille, à l’abri de la chaleur.
Il se dit alors que la meilleure chose à faire pour fêter son arrivée serait de l’emmener dans un bar pour boire une petite mousse.
Il demande à son mille-pattes :
« Tu veux venir chez Jeannette avec moi, pour prendre une bière avec Jean-Marc et Jean-Paul ? ».
Mais pas de réponse… ce qui l’énerve un peu.
Il attend, puis réitère sa demande :
« Bon alors tu viens avec moi prendre une bière chez Jeannette ? ».
Mais toujours aucune réponse…
Il attend encore un peu, se demandant pourquoi son petit mille-pattes ne répond pas.
Déjà bien agacé il le relance : « Alors tu viens boire une mousse, oui ou non ?!! ».
Et soudain une petite voix sortant de la boîte se fait entendre et lui dit : « Mais ferme là ! J'ai compris… Tu ne vois pas que je mets mes godasses !!! »
 
À 21 heures, le téléphone sonne au domicile d’un chirurgien reconnu d’un service de l’Hôpital George Pompidou, à « Paris-sur-la-plage ».
Il décroche.
Un collègue lui dit :
« — On a besoin d'un quatrième pour un poker !
— J’arrive dans 10 minutes.
— C'est grave ? » demande sa femme.
« C’est très grave ! Il y a déjà trois collègues sur place ! »
 
C’est l’histoire d’un jeune policier débutant fais sa première ronde avec un collègue expérimenté.
« Nous allons aller dans une cité sensible », dit l’autre. « Alors dès que tu vois un attroupement, tu les disperses pour éviter que ça dégénère. D’accord ? »
Cinq minutes plus tard, le jeune policier s’écrie :
« Arrête la voiture ! »
Il descend en coup de vent, et fonce vers un groupe.
« Allez, allez, on ne reste pas là, on rentre chez soi ! »
Les autres ne bougent pas.
« J’ai dit : On rentre chez soi ! Vous préférez qu’on vous embarque ? »
Tout le monde s’en va.
Fier de lui, le jeune flic remonte dans la voiture et dit à son collègue :
«  Tu as vu comment je les ai dispersés, vite fait bien fait ?
— Oui. Et toi, tu as vu que c’était un arrêt d’autobus ? »
 
Une machine tombe en panne dans une grande usine.
Les ingénieurs s’y cassent la tête pendant des heures.
Rien à faire : Elle ne veut pas redémarrer.
On appelle un ancien expert. Il observe calmement, écoute, puis donne un petit coup de marteau bien placé… Et la machine redémarre instantanément.
Le lendemain, le directeur reçoit la facture : 1.000 €.
Surpris, il demande un détail.
Voici la réponse :
« Coup de marteau : 1 €
Savoir où frapper : 999 € »
Moralité ?
Ce n’est pas le geste qui compte, c’est l’expertise, l’expérience, le diagnostic précis…
 
Lors de l’inauguration de la bibliothèque d’une université ricaine qu’il a entièrement financée, un milliardaire s’adresse aux étudiants :
« Jeunes gens, je vais vous raconter comment j’ai débuté.
À dix-sept ans, j’ai trouvé une pomme dans le caniveau.
Je l’ai essuyée, lustrée pour qu’elle soit bien brillante, je l’ai vendue et avec l’argent j’ai acheté deux pommes.
Je les ai lustrées, revendues, et j’ai acheté quatre pommes.
Au bout de quinze jours j’avais un cageot.
Six semaines plus tard, je pouvais m’acheter une petite voiture de livraison.
C’est à ce moment-là que mon grand-père est mort en me laissant cent millions de dollars… »
 
Monsieur le curé fait la causette avec le fiston de Jean-Marc à la sortie du catéchisme :
« — Alors, comme ça ta maman dit une prière pour toi tous les soirs avant de se coucher. C’est très bien. Et qu’est-ce qu’elle dit ?
— Ouf, merci mon Dieu, il est enfin au lit ! » répond le gamin.
 
Bon début de week-end à toutes et à tous !
 
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Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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