Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 27 novembre 2025

Je ne serai pas très surpris que « Poux-tine » refuse la paix (1/2)…

Celle offerte sur un plateau par « Trompe »…
 
Pourtant « Trompe » met la pression sur « Zèle-en-ski » pour qu’il accepte ce qui ressemble à une capitulation sans condition, et les européens s’essayent à adoucir la pilule sans grand succès.
On en saura plus jeudi (alors que je travaille ce billet depuis dimanche dernier).
« Trompe » n’a qu’un credo : Faire la paix pour faire du business et transformer en or ce qui reste de sang à peine sec aux peuples de la planète…
La paix, la paix à tout prix, même celle d’une reddition sans condition…
Et « Poux-tine »… bé il suit un agenda un peu différent, car s’il avait voulu gagner cette guerre contre les Ukrainiens, cette ex-république soviétique, il y a longtemps que cela aurait dû être fait… ou alors… ou alors…
 
Et dans le « même temps® », j’entends tous ces citoyens « patriotes » qui, comme en 1938 à Munich, sont décidés à « sauver la paix » coûte que coûte.
Nous ne sommes pas en 38, il n’y a pas de paix à sauver, puisqu’on est en guerre qui fait des morts là-bas en Ukraine (et en Russie) et détruit ici jusqu’à notre cohésion sociale et quelques data au passage.
L’Histoire ne bégaye pas mais je reste scotché par tous ces krétins qui s’affolent à l’idée de devoir, peut-être (peut-être parce qu’on en est très loin, alors qu’on l’aura fait en Afrique Sahélienne et même en Afghanistan sans même se poser la question ni sourciller), peut-être « sacrifier » leurs enfants et leurs fils, parce qu’un autre krétin, mais étoilé celui-là, a cru bon de prévenir que la guerre, c’est de la diplomatie quand la diplomatie a échoué.
Une autre forme de dialogue, finalement.
Et ils sont prêts à tous les compromis et toutes les compromissions !
Ils n’ont rien appris de leurs livres d’Histoire, celle qu’ils célèbrent pourtant le 11 novembre et le 8 mai, tous les ans…
 
Je leur rappelle que nos arrière-grands-parents et nos grands-parents sont allés se faire massacrer en chantant qu’ils « n’auront pas l’Alsace et la Lorraine » (qu’on confond volontiers avec la Moselle…) et que ces territoires auront été rattachés au IIIème Reich en 1940…
Que diront les enfants de Kiev quand vous leur expliquerez que « dans le temps », la Crimée, le Donbass et les territoires bordant la rive occidentale de la Mer d’Azov n’étaient pas russes mais bien ukrainiens ?
Probablement la même chose que « nos poilus »…
 
D’autant qu’il ne s’agit pas d’aller tailler des croupières aux Popovs : HORS DE QUESTION, DANS MON ESPRIT, D’ALLER FAIRE LA GUERRE À MOSCOU !
Ce sont eux qui font la guerre, à nous par faux-nez interposés, mais ce sont mes amis, mes amis du genre humain et personne n’a le droit de mourir pour le Donbass et ces voyous d’Ukrainiens qui ont tout de même participé, pour une large partie, à soutenir des nazillons d’une autre époque. Il faut savoir se rappeler qui sont les successeurs de qui…
Ils en restent les héritiers, même si on doit pouvoir leur tendre la main au nom du genre humain, justement…
Bon d’accord, ce sont des orthodoxes, tous autant qu’ils sont… pas de mon clocher, quoi. Mais je sais redevenir « papiste » pour le peu de religion qui me reste à avoir vu tant de konneries à l’occasion de mon court passage sur cette planète-là.
 
Et puis il ne faut pas oublier que « mon cousin », celui qui dort dans son septuple cercueil aux Invalides entouré de ses maréchaux, s’y est essayé il y a un autre siècle et ça n’a pas été très brillant…
Moâ, son « petit-cousin », je ne refais pas la même erreur, même si entre temps les empires austro-hongrois auront été éparpillés, dispersés façon puzzle, par l’Histoire sous l’impulsion des « Gauloisiens-franchouillards » de l’armée des sans-culotte et que tous y compris le britannique, sont tous devenus des alliés (hors les épisodes de Fachoda et de Mers-el-Kébir… restés en travers de ma gorge ! Mais vous ne pouvez pas savoir : Vous n’étiez pas nés).
Je vois la « Sainte-Russie » comme d’un futur allié qui nous garantira des futures hordes chinoises venus d’Orient, si nous savons nous garder des barbares mahométans du Moyen-Orient et sahéliens du Grand-Sud, et si nous savons prendre soins de notre façade océanique…
C’est de la géopolitique… et on n’y peut rien de plus ni de moins.
 
D’autant mieux que l’ersatz de « Grand-Russie » impériale ex-soviétique est incapable de balayer devant sa propre porte et de soumettre une peuplade de rebelles à sa frontière Sud après plus de trois ans d’âpres combats (ou ne le veut-elle seulement pas ?) : Comment pourrait-elle venir siroter une petite mousse sur les Champs-Élysées, autrement que comme une invitée de marque par quelques « socio-traites » qui pétocheraient à la vue d’un flingue de bazar posé sous leur nez ?
Cette seule idée les fait faire sur eux sans retenue et ils s’énervent même contre quelques « militareux » (très) maladroits (qui jouent avec les nerfs de l’opinion publique qui les paye en fin de mois) ou même un « Jupiter » qui évoque notre droit patriotique à défendre « nos sillons » alors qu’il n’a jamais porté un fusil ni l’ombre d’un uniforme.
 
Nous on sait que ce genre de perte de sang-froid, d’affolement du peuple et de ses élus, aura valu deux guerres mondiales à l’humanité, plus d’innombrables horreurs infligées au « genre humain ».
Or, en Russie, qui se pense déjà vainqueur par KO du prochain round, les choses ne sont pas si évidentes quand on y regarde de plus près.
Tout part en vrille tel que les perspectives de paix elles-mêmes s’éloignent, après et avant de revenir, car de toute façon et clairement, il y aura une fin à ce conflit, tôt ou tard : La guerre éternelle n’existe pas, même chez les impérialistes « ricains ».
La dernière fois que les Russes ont fait la paix, c’était en l’imposant par le fait de leurs armes, et ça aura été réalisé en quelques semaines, mais en Géorgie.
Ça aura été plus long en Tchétchénie et ça aura été une catastrophe en Afghanistan : L’empire soviétique ne s’en sera jamais remis…
Là, il faut bien reconnaître que les autorités moscovites reprennent exactement le même chemin.
 
Pour être plus précis, je reste étonné que bien que les prévisions officielles prévoient encore une croissance au moins modérée de l’économie russe cette année telle que tout un chacun s’émerveille ou s’étonne seulement de la résilience du peuple russe qui fait face à la fois à une guerre qui accapare toutes les ressources disponibles et plusieurs séries de sanctions qui mettent à mal jusqu’à la vie quotidienne.
Mais, on m’a fait remarquer qu’il ressort un tableau bien plus révélateur émergeant, par exemple, de l’examen des statistiques ferroviaires russes, qui montrent que les volumes de fret ont atteint des niveaux historiquement bas.
 
Un effondrement révélant une crise déjà en cours dans des secteurs civils tels que l’extraction du charbon, la métallurgie, la fabrication automobile et mécanique, ainsi que la construction de logements.
Ces données indiquent un déclin simultané et spectaculaire dans 20 des 24 secteurs économiques clés.
Pourtant la Banque de Russie continue d’insister sur le fait qu’il n’y a aucun signe de récession, affirmant plutôt que l’économie est simplement surchauffée, vus les taux de refinancement qui auraient asphyxié toute espérance de reprise économique dans nos pays à la croissance atone…
 
Chemins de fer au ralenti : Il ne reste plus rien à charger. Le boom de la construction est terminé. Les raffineries sont en réparation. La production d’acier s’est effondrée. L’extraction de charbon dégringole. Quant aux produits pétroliers, ils cherchent des débouchés, même à prix discount alors qu’une flotte fantôme n’arrêterait pas de circuler sur tous les océans, sauf l’antarctique…
La Russie c’est pourtant un PIB de 2.136 Mds$ en 2024, au 9ème rang mondial, moins que la « Gauloisie-ruinée » (7ème rang), pour plus de deux fois plus d’habitant, étalés sur 11 fuseaux horaires… et des ressources naturelles qui permettrait de vivre confortablement en autarcie pour des siècles et des siècles…
Systémiquement, il y a déjà un problème. Mais c’est pire que ça depuis récemment.
 
Ainsi, le volume de marchandises transportées par les chemins de fer russes diminue clairement. Au cours des neuf premiers mois de 2025, le chargement de marchandises a chuté de près de – 7 %, soit tout de même 60 millions de tonnes.
Étant donné qu’un wagon de fret moyen peut contenir un peu moins de 100 tonnes, cela signifie qu’environ 600.000 wagons ont été libérés.
D’environ 14 mètres chacun, ces wagons vides formeraient un train s’étendant sur 8.400 kilomètres — de Moscou à l’océan Pacifique, pour donner une idée.
 
L’année civile 2024 a déjà enregistré les plus faibles chiffres de cargaison de fret en Russie depuis la crise financière 2009. Si, d’ici la fin 2025, les volumes diminuent d’un total annuel de – 6,2 % ou plus, le volume de marchandises transporté par les chemins de fer russes sera alors le plus bas depuis 2003. Retour vers un futur de 22 ans…
Même les expéditions en conteneurs — qui « ont continué à croître année après année malgré tout » — n’ont pas pu résister au ralenti.
L’année dernière, le transport de conteneurs a augmenté de + 6 %, mais au cours des trois premiers trimestres de 2025, les Chemins de fer russes ont enregistré une baisse de – 4 %.
Les expéditions intérieures ont chuté de 5,1 %, tandis que les exportations ont augmenté de + 7,8 %. Le transport de conteneurs, comme le fret ferroviaire en général, est en effet de plus en plus orienté vers l’exportation.
Pour deux conteneurs domestiques, il y en a désormais un peu plus d’un destiné à l’exportation.
Et la part des exportations augmente également dans d’autres catégories de fret.
 
Les baisses les plus marquées ont eu lieu dans les expéditions de conteneurs de voitures (en baisse de – 42 %) et d’autres machines (en baisse de – 17 %).
Parallèlement, le transport des cargaisons de conteneurs principaux — produits chimiques, engrais, produits manufacturés et produits métalliques — est resté relativement stable, même si ceux-ci sont eux aussi légèrement en baisse.
Les expéditions de bois et de papier, en revanche, ont montré une légère augmentation.
 
Traditionnellement en « sainte-Russie », plus des trois quarts du chargement de marchandises des chemins de fer russes provient des « six grandes » catégories : Charbon, pétrole et produits pétroliers, minerai de fer et de manganèse, matériaux de construction, engrais et métaux ferreux.
Or, en 2025, un seul d’entre eux — les engrais — a montré une croissance modeste. Trois autres ont connu des déclins modérés, tandis que deux (matériaux de construction et métaux ferreux) ont subi un effondrement majeur.
Au total, sur les 15 catégories de fret suivies par les Chemins de fer russes, seules deux présentent une dynamique positive cette année : Les engrais, ainsi que les matières premières en minerai non ferreux et soufre.
 
Les baisses les plus marquées concernent le chargement de ferraille (en baisse de – 35 %), les métaux ferreux (en baisse de – 17 %), les céréales (en baisse de – 27 %) et les matières premières industrielles (en baisse de – 18 %) et le coke (en baisse de – 16 %). Les expéditions de ces biens, ainsi que le ciment (en baisse de – 13,8 %) et les matériaux de construction (également en baisse de – 13,1 %), ont si fortement chuté qu’il s’agit clairement d’une crise.
Dans les catégories charbon, pétrole et produits pétroliers, minerai de fer et manganèse, produits chimiques et bois, la baisse a été modérée — entre – 1 et – 6 % d’une année sur l’autre.
 
En termes absolus, plus de la moitié de la réduction totale du chargement de marchandises provient de quatre groupes : Matériaux de construction, pétrole et produits pétroliers, métaux ferreux et charbon.
Le charbon et les hydrocarbures représentent une part plus importante des expéditions totales, si bien qu’une baisse relativement modeste (– 2,8 % pour le charbon et – 5,4 % pour le pétrole et les produits pétroliers) a eu un impact majeur.
Les matériaux de construction et les métaux ferreux occupent une part moindre, mais l’activité dans ces secteurs a diminué beaucoup trop brusquement.
Ainsi, de janvier à septembre 2025, les Chemins de fer russes ont transporté 11,4 millions de tonnes de marchandises de construction en moins et 2,5 millions de tonnes de ciment en moins que pour la même période en 2024…
 
Quelles sont les raisons de cette baisse des volumes de fret ?
Les données de Rosstat indiquent une production réduite. Au cours des neuf premiers mois de l’année, la Russie a produit – 8,7 % de ciment en moins et – 5,6 % de béton en moins.
La production de différents types de briques a également chuté de – 6 à – 13 %, et celle de carreaux de céramique de – 5 à – 24 %.
 
Ce déclin est facile à expliquer : Il n’est pas nécessaire de produire autant de matériaux de construction qu’auparavant, étant donné que les constructions de logements cette année ont diminué de – 5,3 % et que les nouvelles mises en chantier ont diminué de – 16 %.
À Moscou et dans la région de Moscou, les chiffres sont encore pires, en baisse de – 31 % et – 32 %, respectivement.
Cela signifie que bientôt, les taux de construction de logements montreront une baisse tout aussi marquée.
 
La valeur totale des prêts hypothécaires délivrés a chuté de – 33 % d’une année sur l’autre, tandis que le nombre total de prêts a diminué de – 44 % (ce qui signifie que le montant moyen des prêts a augmenté). Le marché s’est contracté principalement en raison de la disparition des contrats à petit budget. Et parmi tous les prêts actuels, 74 % sont des prêts hypothécaires avec un soutien de l’État…
Au cours des quatre années de programmes hypothécaires préférentiels de masse, le gouvernement fédéral a dépensé plus de 2.500 Mds de roubles (67,6 Mds$) pour subventionner les taux d’intérêt.
Environ la moitié de ce montant est allée aux banques et aux promoteurs, tandis que l’autre moitié a été répartie aux quelque 3,5 millions de familles du pays bénéficiant de prêts subventionnés. À la suite de ce transfert, d’énormes sommes de capitaux ont été détournées de secteurs où ils auraient pu générer de réels rendements vers la construction de logements économiquement non compétitives.
 
Maintenant que les programmes hypothécaires préférentiels ont été en grande partie supprimés, la bulle immobilière se dégonfle lentement. En conséquence, le ralentissement du secteur de la construction devrait persister.
 
Mais ce n’est pas tout : Il est d’autres secteurs de l’économie Russe qui souffrent alors que le discours des autorités n’en laisse rien apparaître.
Et pourtant…
Mais nous verrons ça une autre fois.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire