C’est une « recuite » que nous sert Jean-Marc !
C’est l’histoire de ces deux copines qui arrivent en « même temps® »
devant Saint-Pierre, aux portes du paradis après une vie tempêtueuse sur cette
planète de « fous-cinglés » qu’on appelle « Terre ».
« — Comment tu es morte, toi ?
— Congelée, chérie…
— Aïe quelle horreur ! Ce doit être terrible de périr congelée !
— Oui, je ne te raconte pas… J’en ai encore des frissons.
Et toi, tu es comment es-tu morte, chérie ?
— Oh, moi, de façon banale…
— Raconte ! Tu es morte dans ton lit ?
— Non, non pas du tout… Dans l’escalier !
— Comment ça, tu as glissé ?
— Même pas ! Je suis rentrée plus tôt que prévu du travail ce jour-là et je l’ai trouvé nu sur notre lit devant la télé !
— Qui était nu devant la télé dans ton lit ?
— Mais mon mari, pardi !
— Il t’attendait ?
— Non, pas du tout… Alors j’ai couru partout pour la trouver.
— Qui ?
— Bé la femme qui était avec mon mari nu dans son lit…
Je suis allée dans la cuisine, j’ai ouvert tous les placards, dans le salon, j’ai regardé sous la table et dans le buffet, j’ai ensuite grimpé à l’étage pour ouvrir toutes les armoires des chambres d’ami, je suis allée au grenier quatre à quatre, j’ai fouillé dans toutes les malles j’ai ensuite cavalé à la cave et j’ai fouillé le cellier, le local de la chaudière, le garage et c’est quand je suis remontée que j’ai eu une attaque cardiaque et j’en suis morte…
— Espèce d’andouille…
— …
— Si tu avais regardé dans le congélateur, on serait toutes les deux encore vivantes ! »
Germaine est furieuse et s’épanche auprès de Marie-Chantal.
« — Ça fait une semaine que je porte du noir…
— Pourquoi ? Tu es en deuil ? Jean-Marc est
mort ?
— Ne sois pas idiote, chère amie ! Si je suis en noir c’est qu’on affirme que la couleur amincit.
— C’est vrai…
— Eh bien, non, je m’inscris en faux contre cette assertion… Je n’ai pas perdu un seul gramme ! »
Ce soir-là, Germaine face à Jean-Marc…
« — Quand je te vois arriver de loin avec ton air lubrique et ton sourire en coin, j’ai l’impression d’avoir à faire à une mise à jour…
— Une mise-à-jour ?
— Oui, tu te désoles en pensant, « oh non ! Pas maintenant… »… »
« — Tiens, à propos, bientôt, c’est la Saint-Valentin…
— Et alors ?
— L’occasion de faire la fête…
— Pourquoi ? Tu t’appelles Valentin ?
— Non ! Jean-Marc…
— Bon bé alors ?
— … »
Dans le même genre :
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Et alors, tu souhaiteras la Saint Valentin à ton épouse le 14 février prochain ?
— T’es con ou quoi ? Elle s’appelle Germaine… »
Jean-Marc à Jean-Paul, un matin devant la bière matinale sur le chemin de l’usine :
« — Tu savais, toi, que quand il te manque un sens, par exemple la
vue, tu développais plus fortement les autres …, l’ouïe, le goût, le toucher…
— Tout le monde sait ça. Regarde mon chef d’atelier :
Il n’a aucun sens de l’humour, eh bien il est vachement plus con que les autres… »
Les deux mêmes à la pause syndicale, devant une autre bière :
« — Bé tu sais, les femmes sont pires que les énigmes mathématiques…
— Ah bon…
— Quand tu crois trouver la solution, eh bien elles sont encore capables de te surprendre avec une nouvelle variable !
— … »
« Si le ski alpin…
Qui a le beurre et la confiture ? »
Germaine et Marie-Chantal, devant une tasse de thé :
« — Et toi, tu feras quoi cette année pour la saint Valentin ?
— Qu’est-ce que j’en sais… Ça tombe quel jour ?
— Un mercredi !
— Des spaghettis ! »
Jean-Paul, à la pose méridienne, à Jean-Marc :
« — Tu savais que Durex lançait de nouveau préservatifs ?
« — Comment tu es morte, toi ?
— Aïe quelle horreur ! Ce doit être terrible de périr congelée !
— Oui, je ne te raconte pas… J’en ai encore des frissons.
Et toi, tu es comment es-tu morte, chérie ?
— Oh, moi, de façon banale…
— Raconte ! Tu es morte dans ton lit ?
— Non, non pas du tout… Dans l’escalier !
— Comment ça, tu as glissé ?
— Même pas ! Je suis rentrée plus tôt que prévu du travail ce jour-là et je l’ai trouvé nu sur notre lit devant la télé !
— Qui était nu devant la télé dans ton lit ?
— Mais mon mari, pardi !
— Il t’attendait ?
— Non, pas du tout… Alors j’ai couru partout pour la trouver.
— Qui ?
— Bé la femme qui était avec mon mari nu dans son lit…
Je suis allée dans la cuisine, j’ai ouvert tous les placards, dans le salon, j’ai regardé sous la table et dans le buffet, j’ai ensuite grimpé à l’étage pour ouvrir toutes les armoires des chambres d’ami, je suis allée au grenier quatre à quatre, j’ai fouillé dans toutes les malles j’ai ensuite cavalé à la cave et j’ai fouillé le cellier, le local de la chaudière, le garage et c’est quand je suis remontée que j’ai eu une attaque cardiaque et j’en suis morte…
— Espèce d’andouille…
— …
— Si tu avais regardé dans le congélateur, on serait toutes les deux encore vivantes ! »
« — Ça fait une semaine que je porte du noir…
— Ne sois pas idiote, chère amie ! Si je suis en noir c’est qu’on affirme que la couleur amincit.
— C’est vrai…
— Eh bien, non, je m’inscris en faux contre cette assertion… Je n’ai pas perdu un seul gramme ! »
« — Quand je te vois arriver de loin avec ton air lubrique et ton sourire en coin, j’ai l’impression d’avoir à faire à une mise à jour…
— Oui, tu te désoles en pensant, « oh non ! Pas maintenant… »… »
— L’occasion de faire la fête…
— Pourquoi ? Tu t’appelles Valentin ?
— Non ! Jean-Marc…
— Bon bé alors ?
— … »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Et alors, tu souhaiteras la Saint Valentin à ton épouse le 14 février prochain ?
« — Bé tu sais, les femmes sont pires que les énigmes mathématiques…
— Quand tu crois trouver la solution, eh bien elles sont encore capables de te surprendre avec une nouvelle variable !
— … »
« — Et toi, tu feras quoi cette année pour la saint Valentin ?
— Un mercredi !
— Des spaghettis ! »
« — Tu savais que Durex lançait de nouveau préservatifs ?
— Eh bien tu auras le choix entre le goût mayonnaise, pour baiser les thons ;
Le goût marron pour fourrer les dindes ;
Le goût pomme pour baiser les boudins ;
Le goût frolic pour les chiennes affamées ;
Et le goût wiskas pour les chattes difficiles… »
« — Tu sais, on peut dire beaucoup de choses sur l’humeur d’une femme rien qu’en regardant ses mains…
— Oui ! Quand par exemple, elle tient un fusil de chasse, on peut dire qu’elle est vraiment énervée… »
Une mamie à sa petite-fille :
« — Tu sais, moi à ton âge, je travaillais déjà…
« Sais-tu, toi, pourquoi on dit qu’il y a un embarras de voiture quand il y en a trop et un embarras d’argent quand il n’y en a pas assez ? »
— Eh bien il est question de supprimer la formulation « ph », comme dans « pharmacie » par la lettre « f » pour faire farmacie…
— Pourquoi pas, en effet ?
— Le problème c’est que du coup, un analphabète deviendra un « analfabête »…
— Oui, peut-être…
— Analphabète vient du grec Alpha et Bêta, les deux premières lettres de l’alphabet grec, précédé du préfixe privatif « a » qui donne tout son sens à ce mot.
Qui veut dire privé des lettres, autrement dit qui désigne celui qui ne sait ni lire ni écrire…
— Oui…
— Si on transforme ce mot en analfabète, on aura une étymologie « d’anal » qui désigne l’anus, suivi de « fa », qui est la quatrième note de la gamme de musique, pour se terminer par « bête » qui désigne une personne un peu sotte, voire complètement idiote…
— Oui…
— Donc « anal-fa-bête » désigne un con qui fait de la musique avec son trou de balle…
— Ah…
— À ne pas confondre avec les « trous du cul » qui pondent des réformes à la con, bien sûr !
— Bien sûr… »
C’est son mari, sur son lit de mort…
« — Marie-Chantal. Je vais mourir…
— Il faut que tu me laisses te dire…
— Mon amour, reste calme, tu n’as pas besoin de te confesser…
— Mais je veux partir la conscience claire et lavée, reposée…
— Mais ce n’est pas la peine : Reste calme ! Tu n’en as plus pour longtemps…
— Justement, il faut absolument que je t’avoue tout…
— Ce n’est pas la peine : Repose-toi !
— Si, il faut que tu saches que depuis que nous nous sommes mariés, je t’ai trompée avec tout le monde…
— Ta sœur, ta belle-sœur, ta mère, nos voisines, tes cousines, ta tante, trois de tes meilleures amies, toutes mes secrétaires, la concierge, la baby-sitter, la femme de ménage…
— Oui, oui, d’accord mon amour : Je sais tout ça depuis hier…
Maintenant laisse donc le poison agir tranquillement… »
« — C’est agaçant de vivre avec toi !
— Déjà que tu es moche…
— …
— Mais en plus tu ne sers à rien ! »
« — Madame, bonjour ! Police nationale…Dites donc, je ne vous ai pas vu stopper au feu rouge, là…
— Oh, Monsieur l’agent… Vous devriez éviter de boire pendant votre service ! »
« À mon enterrement, j’aimerai bien que quelqu’un se saisisse d’une couronne et la jette en arrière à l’aveugle pour savoir qui sera le prochain… »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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