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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 7 novembre 2025

Ce n’est plus une « revenue »…

C’est une « recuite » que nous sert Jean-Marc !
 
C’est l’histoire de ces deux copines qui arrivent en « même temps® » devant Saint-Pierre, aux portes du paradis après une vie tempêtueuse sur cette planète de « fous-cinglés » qu’on appelle « Terre ».
« — Comment tu es morte, toi ?
— Congelée, chérie…
— Aïe quelle horreur ! Ce doit être terrible de périr congelée !
— Oui, je ne te raconte pas… J’en ai encore des frissons.
Et toi, tu es comment es-tu morte, chérie ?
— Oh, moi, de façon banale…
— Raconte ! Tu es morte dans ton lit ?
— Non, non pas du tout… Dans l’escalier !
— Comment ça, tu as glissé ?
— Même pas ! Je suis rentrée plus tôt que prévu du travail ce jour-là et je l’ai trouvé nu sur notre lit devant la télé !
— Qui était nu devant la télé dans ton lit ?
— Mais mon mari, pardi !
— Il t’attendait ?
— Non, pas du tout… Alors j’ai couru partout pour la trouver.
— Qui ?
— Bé la femme qui était avec mon mari nu dans son lit…
Je suis allée dans la cuisine, j’ai ouvert tous les placards, dans le salon, j’ai regardé sous la table et dans le buffet, j’ai ensuite grimpé à l’étage pour ouvrir toutes les armoires des chambres d’ami, je suis allée au grenier quatre à quatre, j’ai fouillé dans toutes les malles j’ai ensuite cavalé à la cave et j’ai fouillé le cellier, le local de la chaudière, le garage et c’est quand je suis remontée que j’ai eu une attaque cardiaque et j’en suis morte…
— Espèce d’andouille…
— …
— Si tu avais regardé dans le congélateur, on serait toutes les deux encore vivantes ! »
 
Germaine est furieuse et s’épanche auprès de Marie-Chantal.
« Ça fait une semaine que je porte du noir…
— Pourquoi ? Tu es en deuil ? Jean-Marc est mort ?
— Ne sois pas idiote, chère amie ! Si je suis en noir c’est qu’on affirme que la couleur amincit.
— C’est vrai…
— Eh bien, non, je m’inscris en faux contre cette assertion… Je n’ai pas perdu un seul gramme ! »
 
Ce soir-là, Germaine face à Jean-Marc
« — Quand je te vois arriver de loin avec ton air lubrique et ton sourire en coin, j’ai l’impression d’avoir à faire à une mise à jour…
— Une mise-à-jour ?
— Oui, tu te désoles en pensant, « oh non ! Pas maintenant… » »
 
« — Tiens, à propos, bientôt, c’est la Saint-Valentin…
— Et alors ?
— L’occasion de faire la fête…
— Pourquoi ? Tu t’appelles Valentin ?
— Non ! Jean-Marc
— Bon bé alors ?
— … »
 
Dans le même genre :
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Et alors, tu souhaiteras la Saint Valentin à ton épouse le 14 février prochain ?
— T’es con ou quoi ? Elle s’appelle Germaine… »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, un matin devant la bière matinale sur le chemin de l’usine :
« — Tu savais, toi, que quand il te manque un sens, par exemple la vue, tu développais plus fortement les autres …, l’ouïe, le goût, le toucher…
— Tout le monde sait ça. Regarde mon chef d’atelier : Il n’a aucun sens de l’humour, eh bien il est vachement plus con que les autres… »
 
Les deux mêmes à la pause syndicale, devant une autre bière :
« — Bé tu sais, les femmes sont pires que les énigmes mathématiques…
— Ah bon…
— Quand tu crois trouver la solution, eh bien elles sont encore capables de te surprendre avec une nouvelle variable !
— … »
 
« Si le ski alpin…
Qui a le beurre et la confiture ? »
 
Germaine et Marie-Chantal, devant une tasse de thé :
« — Et toi, tu feras quoi cette année pour la saint Valentin ?
— Qu’est-ce que j’en sais… Ça tombe quel jour ?
— Un mercredi !
— Des spaghettis ! »
 
Jean-Paul, à la pose méridienne, à Jean-Marc :
«  Tu savais que Durex lançait de nouveau préservatifs ?
Ah non… Et qu’est-ce qu’ils ont de particuliers ?
— Eh bien tu auras le choix entre le goût mayonnaise, pour baiser les thons ;
Le goût marron pour fourrer les dindes ;
Le goût pomme pour baiser les boudins ;
Le goût frolic pour les chiennes affamées ;
Et le goût wiskas pour les chattes difficiles… »
 
Les mêmes à l’heure du digestif :
« — Tu sais, on peut dire beaucoup de choses sur l’humeur d’une femme rien qu’en regardant ses mains…
— Ah bon ?
— Oui ! Quand par exemple, elle tient un fusil de chasse, on peut dire qu’elle est vraiment énervée… »
 
« Jean-Marc ?
Il sepermettait tout et n’importe quoi ! »
 
Réforme des retraites suspendue ?
Une mamie à sa petite-fille :
« — Tu sais, moi à ton âge, je travaillais déjà…
— Et moi à ton âge, je travaillerai encore ! »
 
Jean-Paul questionne son ami Jean-Marc (qui reste de marbre) :
« Sais-tu, toi, pourquoi on dit qu’il y a un embarras de voiture quand il y en a trop et un embarras d’argent quand il n’y en a pas assez ? »
 
« Pourquoi quand un homme meurt on dit qu’il s’éteint alors que quand il est mort on l’appelle « feu » ? »
 
« Tu peux me dire pourquoi on appelle « coup de grâce » le coup qui tue ? »
 
« De même, pour qu’elle raison on remercie un salarié quand on n’est pas content de son travail à le virer ? »
 
« On dit également d’un homme ruiné qui n’a plus rien à manger ni de quoi s’habiller, qui vit à la rue sans pouvoir dormir dans un lit qu’il est dans de beaux draps… »
 
« Comment fait-on pour distinguer un propriétaire d’un local et son locataire quand tous les deux disent ‘‘Je viens de louer un appartement’’ ? »
 
« Pourquoi, quand on veut mettre un peu d’argent devant soi, on dit qu’on le met de côté ? »
 
« Pourquoi un bruit transpire avant même d’avoir couru ? »
 
« As-tu remarqué qu’on passe souvent des nuits blanches quand on a des idées noires ? »
 
« Pourquoi lave-t-on une injure alors qu’on essuie un affront ? »
 
« Sais-tu pourquoi, lorsqu’on ne partage pas l’avis de quelqu’un on dit justement que les avis sont partagés ? »
 
« — Pourquoi dit-on aux quatre coins de la Terre alors que celle-ci est ronde et n’a pas de coins ?
— On dit bien aux quatre coins de l’hexagone… »
 
« — Tu sais, Jean-Paul, mon ami, c’est un peu comme tous ces trous du cul qui veulent simplifier l’orthographe de la langue…
— Ah oui ? Comment ça ?
— Eh bien il est question de supprimer la formulation « ph », comme dans « pharmacie » par la lettre « f » pour faire farmacie…
— Pourquoi pas, en effet ?
— Le problème c’est que du coup, un analphabète deviendra un « analfabête »…
— Oui, peut-être…
— Analphabète vient du grec Alpha et Bêta, les deux premières lettres de l’alphabet grec, précédé du préfixe privatif « a » qui donne tout son sens à ce mot.
Qui veut dire privé des lettres, autrement dit qui désigne celui qui ne sait ni lire ni écrire…
— Oui…
— Si on transforme ce mot en analfabète, on aura une étymologie « d’anal » qui désigne l’anus, suivi de « fa », qui est la quatrième note de la gamme de musique, pour se terminer par « bête » qui désigne une personne un peu sotte, voire complètement idiote…
— Oui…
— Donc « anal-fa-bête » désigne un con qui fait de la musique avec son trou de balle…
— Ah…
— À ne pas confondre avec les « trous du cul » qui pondent des réformes à la con, bien sûr !
— Bien sûr… »
 
Toute l’histoire de Marie-Chantal :
C’est son mari, sur son lit de mort…
« — Marie-Chantal. Je vais mourir…
— Oui !
— Il faut que tu me laisses te dire…
— Mon amour, reste calme, tu n’as pas besoin de te confesser…
— Mais je veux partir la conscience claire et lavée, reposée…
— Mais ce n’est pas la peine : Reste calme ! Tu n’en as plus pour longtemps…
— Justement, il faut absolument que je t’avoue tout…
— Ce n’est pas la peine : Repose-toi !
— Si, il faut que tu saches que depuis que nous nous sommes mariés, je t’ai trompée avec tout le monde…
— Ta sœur, ta belle-sœur, ta mère, nos voisines, tes cousines, ta tante, trois de tes meilleures amies, toutes mes secrétaires, la concierge, la baby-sitter, la femme de ménage…
— Oui, oui, d’accord mon amour : Je sais tout ça depuis hier…
Maintenant laisse donc le poison agir tranquillement… »
 
Germaine à Jean-Marc, à l’improviste :
« — C’est agaçant de vivre avec toi !
— …
— Déjà que tu es moche…
— …
— Mais en plus tu ne sers à rien ! »
 
« — Dis donc Maman, elle fait quoi la cigogne après avoir livré les bébés ?
— Elle se vautre dans le canapé, regarde la télé, s’enfile des bières, rote et pète ! »
 
Germaine, arrêtée par un policier, au volant de sa voiture :
« — Madame, bonjour ! Police nationale…Dites donc, je ne vous ai pas vu stopper au feu rouge, là…
Ce doit être l’effet de l’alcool, je suppose…
— Oh, Monsieur l’agent… Vous devriez éviter de boire pendant votre service ! »
 
Un stage gratuit est organisé au Congo dans les mines de cobalt pour tous les « écololos » qui veulent rouler électrique…
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« À mon enterrement, j’aimerai bien que quelqu’un se saisisse d’une couronne et la jette en arrière à l’aveugle pour savoir qui sera le prochain… »
 
Bon début de week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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