Complotisme ou vérités à venir ?
C’est ma « petite-sœur » qui m’envoie cette
compilation de « révélations » qui sortent actuellement sur Notre-Dame.
Et chacun de donner son avis sur le problème.
Personnellement, je me suis déjà exprimé à deux reprises sur l’incendie qui a ravagé la cathédrale parigote à travers deux romans qu’évidemment, vous n’avez pas lu.
En constatant qu’une poutre de chêne, pour quelle brûle comme un feu de paille, il faut drôlement la chauffer au préalable, durant un long moment… Déjà que les bûches dans le feu de cheminée de mon grand-père s’éteignaient fréquemment sans tout se consumer si on n’entretenait pas le foyer…
Que même le barbecue de « mon papa-à-moâ » (celui qui me fait toujours frémir quand je l’évoque…), bé ils ne prenaient pas nécessairement si facilement que ça.
Ensuite parce que j’aurai miré une vidéo prise depuis une caméra de surveillance de la Tour Montparnasse où, en zoomant fort, on peut voir une silhouette apparaître, disparaître et revenir sur l’échafaudage au pied de la flèche jusqu’à ce qui ressemble à une explosion soit repérable.
Pas bien grave, ça aurait pu être un reflet du soleil sur un pièce ou un outil métallique. Sauf que cette séquence aura disparu sur internet… Introuvable, comme si elle n’avait jamais existé… Et pourtant je l’ai vue et revue.
Dans mes romans (ceux que vous ne lisez pas + les deux chapitres suivants), bien entendu, je donne une explication, mais une explication « exogène » : Vous n’êtes pas obligé d’y souscrire, puisque c’est du roman, une pure création (affligeante), de « jus de neurone 100 % bio ».
Et puis des témoignages ressortent. C’est d’ailleurs « Ricardo
et sa minute » qui s’en fait une synthèse rapide : Ricardo
est un « journaleux qui sait tout, connait tout le monde » et qui est
le seul à vous dire ce que les autres ne peuvent pas dire…
Typique du « fumeux » qui se fait mousser à tout bout de champ…
Mais bon, ça au moins le mérite d’exister (même s’il m’énerve, à force de regarder autour de lui comme si on allait lui tirer dessus : C’est une sorte de « Bé-Hache-Aile » mais en moins sioniste et plus « artisan-persécuté »).
Ainsi, il rapporte le dire de Morgane Dumoulin,
parlant de l’incendie : « Je pense que ce n’est pas un accident : ancienne
étudiante de L’École du Louvre, diplômée en Histoire de l’art, j’ai visité la
charpente de Notre-Dame avec des architectes des Bâtiments de France, il y a
plusieurs années. Cette charpente de bois, du Xllème siècle, était
protégée comme jamais.
Chaque intervention est toujours accompagnée par des
architectes, des experts, des historiens… Aucun début de travaux n’est
envisagé, sans une prudence extrême : pas de source de chaleur, aucun
chalumeau, ni appareil électrique ; un système d’alarme performant et une
surveillance très stricte. Je pense que nous finirons par apprendre qu’il
s’agit d’un incendie criminel. »
De même Philippe Villeneuve, présenté comme un architecte
en chef des Monuments Historiques et le responsable de la restauration de la
flèche : « Suite à différentes questions et témoignages, il m’apparait utile
d’apporter cette info : les travaux de restauration proprement dits
n’avaient pas encore débuté ; seuls les échafaudages étaient en cours de
montage. Aucune soudure ni aucun point chaud possibles, donc. »
Également Maxime Morlon : « Je partage cette
analyse. Pour travailler souvent en milieu dangereux avec des ATEX
(Réglementation européenne relative à l’usage de certains matériels en
atmosphère explosive), je confirme que toutes les précautions sont prises
sur ce genre du bâtiment, outre des mesures de prévention, drastiques. On
demande d’enlever tous les matériels électriques et de travail par point chaud,
comme les chalumeaux, dès la fin de la journée de travail. Tout est stocké dans
des endroits appropriés.
L’ascenseur, installé avec l’échafaudage servait aussi
à cela. Le travail par point chaud est soumis à autorisation journalière ; il
est supervisé par des spécialistes qui mesurent le taux de poussière dans l’air
et la présence éventuelle de gaz pour éviter tout départ de feu ou explosion.
La couleur des flammes et le dégagement de fumée sont aussi très suspects : Personnellement, je n’ai jamais vu du bois sec produire des flammes aussi blanches à leur base et autant de chaleur. Il suffit de regarder les incendies de vieilles maisons, où l’on constate que les poutres sont les dernières choses qui restent, avec les murs porteurs, même après plusieurs heures de combustion.
La charpente de Notre-Dame s’est vaporisée en moins d’une heure, comme si on avait utilisé un accélérateur de combustion du bois.
Je ne crois absolument pas à la thèse accidentelle. »
À chacun ses convictions : C’est peut-être une
intervention de l’Esprit-Saint qui aura enflammé le cœur des fidèles et le trop-plein
aura généré des flammes « aussi blanches »
Et puis Thierry Scootard : « Ancien pompier, je me
pose une question : jamais je n’ai vu un feu de charpente prendre sans
combustible. La première question qui me trotte en tête est de savoir quel
combustible aurait pu servir pour embraser ces poutres, de plus de 40 cm
d’épaisseur.
1ère solution : un faux contact électrique.
D’accord, mais quand on voit les combles, personnellement j’en doute. Surtout
qu’aucun combustible ne trainait.
2ème solution : un chalumeau dirigé vers une poutre pendant au moins 15 min., pour commencer à faire prendre une poutre ! Mais ensuite, pour la propagation, j’en doute aussi.
3ème solution : un effet backdraft, c’est-à-dire un feu dans un local, suivi d’une implosion à la suite d’une prise d’air. »
C’est ce qui s’est probablement passé, si on admet l’existence
de « mon visiteur » visible depuis la tour Montparnasse…
Loulou Luigi confirme à sa façon : « Ancien
charpentier boiseur, je puis assurer que ces pilastres multi-centenaires ne
peuvent brûler comme un vulgaire fétu de paille ! Le seul fait d’avoir été
protégés durant des siècles, les a rendus imputrescibles et ininflammables. Il
aurait fallu un feu couvant durant plusieurs jours, sans que personne ne puisse
le voir, ni en voir les fumerolles ! Impossible. »
Moâ, je me méfie du mek qui se dit toubib et vous invite à prolonger votre calvaire fiscal sur terre en prenant quelques précautions avec ce que vous ingérez…
Des « toubibs », j’en ai géré jusqu’à une demi-centaine, déchaînés et syndiqués, blouse blanche et stéthoscope autour du cou qui tentaient de me donner des leçons de « bonne gestion financière » tellement ils savaient tout mieux que personne…
Est-ce que moâ je leur donnais des leçons de médecine ?
Patricia Etout en rajoute : « Cet incendie
d’une rare violence et d’une rare intensité laisse sceptique sur le fait qu’il
ait démarré spontanément. Une telle puissance et une propagation aussi rapide,
suscite immanquablement des questions. »
Clair ! Il aurait fallu un enchaînement de circonstances absolument inconcevable normalement… Mais justement, ça a tout de même cramé un maximum…
Aline Aitaine en dit d’ailleurs que : « Sachant que matin et soir, il y a une inspection par les pompiers qui surveillent le site ; qu’il n’y avait aucun ouvrier sur le chantier ; qu’il y aurait eu deux départs de feu (selon LCI) ; que le feu s’est propagé à une vitesse exceptionnelle ; que la Basilique St Denis a fait l’objet d’un incendie volontaire ; etc., etc.
Mais « pas de conclusions hâtives, ni d’amalgames. Pour ma part, je pense en effet qu’il y a eu plus d’un départ, pour provoquer un tel embrasement. »
Elle « chemine » : « En effet,
vers 18 h 20, une première alarme incendie s’est déclenchée. Les agents ont
fait le tour sans rien constater d’anormal.
Donc, ils sont soit stupides, soit incompétents :
j’aurais été vérifier dans les combles, sachant que des travaux de rénovation
vont avoir lieu.
À 18 h 47, une deuxième alarme incendie se déclenche, ce qui veut dire que le feu s’est propagé en 27 min dans les combles ou qu’un autre départ de feu est survenu.
Bref beaucoup d’interrogations.
J’en ai vu, des feux de toitures, mais c’étaient des maisons isolées à la laine de verre et truffées de gaines électriques. Dans le cas de Notre-Dame, apparemment les combles en étaient vierges : il y avait juste des poutres, aux dimensions monstrueuses.
Pour rappel, la cathédrale de Nantes a subi le même incendie imputé à un chalumeau resté malencontreusement allumé. Dans le cas présent, les travaux en étaient au stade de la pose d’échafaudages. Il n’y avait pas encore de chalumeau (ni d’autre matériel). Bref, beaucoup de questions resteront sans réponse… »
On s’attaque à nos cathédrales et ensuite vous verrez
que ce sera aux bijoux de l’impératrice Eugénie, la marraine de mon
arrière-grand-mère (côté Corsu)…
Un anonyme précise de son côté : « Je peux vous
garantir que l’incendie est criminel : la sécurité et les mesures mises en
œuvre sont juste hallucinantes.
Chaque jour, en fin de chantier, des agents équipés de
caméras infrarouge, font le tour de chaque place où les ouvriers sont installés
pour travailler.
Chaque soudure est contrôlée et vérifiée ; interdiction de fumer à n’importe quel endroit : caméras dans tous les coins, sous les spots et sous chaque angle (pour les vols et les cigarettes), extincteurs tous les 5 mètres, dispositifs détecteurs de fumée, en veux-tu en voilà. Ils font même des essais, matin, midi et soir pour s’assurer du bon fonctionnement.
Mon frère travaille sur le chantier de Notre-Dame depuis plus de six ans : sa firme est la seule à avoir rénové cette merveille, ces dernières années : toiture, ardoises, cuivres, charpente, boiseries, etc. Il n’arrête pas de me répéter qu’il est impossible et incompréhensible qu’un incendie se soit déclenché spontanément : les dispositifs de sécurité pour pallier les risques d’incendie sont impressionnants et les procédures répétées chaque jour. »
Puis un « Gauloisien-du-Jura » rajoute sa
pierre à l’édifice : « Je travaille à Paris, depuis 2000, comme tailleur de
pierre. J’ai participé à de nombreux chantiers. Il faut voir les équipes : on
nous a imposé des Maliens, des Cap-Verdiens, des Maghrébins… Ils prient sur les
chantiers. Beaucoup nous haïssent. Pour moi, un feu d’une telle violence en
moins de 2 h, est impossible sans accélérateur.
De plus, le bois n’émet pas de fumée jaune ; la
pétrochimie, oui. »
Quel rapport entre l’essentiel et le superflu ?
Le 15 avril 2019, la webcam de Viewsurf, leader
européen de la webcam HD touristique live et différée, installée sur la tour
Montparnasse, enregistre à 19 h 05 un nuage de fumée grise s’échappant du haut
de Notre-Dame de Paris.
À 19 h 53, elle saisit l’effondrement de la flèche Eugène Viollet-le-Duc.
Qui n’était pas non plus d’une réussite artistique absolue, mais elle avait le mérite d’exister et de fragiliser, par sa masse, l’édifice situé en-dessous…
Et le monde entier est figé d’effroi.
« Pourquoi un tel feu ? Et pourquoi le lundi de la Semaine Sainte ?
Pourquoi le Chef de l’Église Catholique a-t-il envoyé
deux messages personnels 18 longues heures environ, après le début de
l’incendie ?
Pourquoi la cathédrale s’est-elle embrasée aussi rapidement ?
Pourquoi les hélicoptères bombardiers d’eau n’ont-ils pas été sollicités ? (« Trompe », déjà lui, proposait ses canadairs alors que la Californie cramait de toutes parts sans qu’il ne se décide à y envoyer la « garde »…)
Que faisait l’ombre sur le toit de Notre-Dame, à 17 h
05, comme le montre la webcam ? (comme quoi je ne suis pas le seul à l’avoir vue ?)
À quoi correspondent les deux flashs que l’on voit
nettement sur cette vidéo ?
Pourquoi ce 15 avril 2019, la personne installée au PC sécurité de la cathédrale ne la regardait pas ?
Pourquoi son collègue remplaçant était-il absent ce jour-là ?
Les deux foyers distincts montrés sur les images enregistrées correspondent-ils aux deux flashs ?
Pourquoi des vidéos, ont-elles été supprimées après avoir été préalablement enregistrées ?
N’est-il pas étrange que les offrandes et les promesses de dons de millions d’euros arrivèrent au fur et à mesure que l’édifice brûlait ?
Pourquoi au plus fort du flamboiement, alors qu’il était évident que personne n’avait encore pu pénétrer dans la cathédrale, toute la presse relatait-elle les communiqués officiels annonçant avec certitude un événement accidentel ?
Pourquoi l’enquête de la CIA ?
Pourquoi…. ? »
Et puis qu’est-ce que c’est que cette histoire d’un
général chargé du chantier de reconstruction qui se tue dans une promenade de
santé dans les Pyrénées ?
Et puis c’est quoi ce Président qui devait s’adresser à la Nation qui se précipite sur l’esplanade de la cathédrale le soir même de la catastrophe avec une grande partie de son gouvernement et fera le forcing 5 ans plus tard pour accueillir la fine fleur des chefs d’État et faire un discours laïc juste avant la consécration de l’édifice… ?
Eh bien, vous n’aurez encore aucune réponse à toutes
ces questions-là. Y’a juste quelques types qui s’essayent à vendre leur bouquin
autour de ce sujet, comme d’autres évoquent encore et toujours le sabotage du
Nord-Stream II en mer Baltique, quelques années plus tard, pour détourner le
regard loin des véritables fauteurs de trouble.
Et ça fonctionne encore.
Si Notre-Dame devait brûler le 15 avril 2019 par un
temps clair de printemps et rendue au culte « papiste » dans un état « comme
neuf » (ça vaut vraiment la peine d’y faire un détour) 5 ans plus tard à
la veille de l’hiver, c’est que c’était écrit comme ça dans les livres d’histoire…
Ceux du futur, naturellement…
En tout cas postérieur à avril 2019.
Comme d’une nécessité, sauf à devoir réécrire toute l’histoire du bâtiment, des métiers qui l’auront reconstruit, des femmes et des hommes qui auront passé autant de temps et de talent à rendre leur cathédrale aux parigots « comme neuve » !
Figurez-vous que c’est presque un raisonnement de physique quantique : Que ce serait-il passé si ce 15 avril il ne s’était rien passé ?
(Vous savez, l’histoire du chat noir de Schrödinger qui est à la fois mort et vivant).
C’est comme le 11 septembre 2001, ou le 6 août 1945…
Et vous pouvez retourner la question : Que se serait-il passé s’il y avait eu un attentat durant les JO de Paris de 2024, type « München 1972 » (qui a changé la face du monde et le cours prévisible de l’Histoire…) ?
Autrement dit un « non-événement » qui ne s’est pas passé…
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Et chacun de donner son avis sur le problème.
Personnellement, je me suis déjà exprimé à deux reprises sur l’incendie qui a ravagé la cathédrale parigote à travers deux romans qu’évidemment, vous n’avez pas lu.
En constatant qu’une poutre de chêne, pour quelle brûle comme un feu de paille, il faut drôlement la chauffer au préalable, durant un long moment… Déjà que les bûches dans le feu de cheminée de mon grand-père s’éteignaient fréquemment sans tout se consumer si on n’entretenait pas le foyer…
Que même le barbecue de « mon papa-à-moâ » (celui qui me fait toujours frémir quand je l’évoque…), bé ils ne prenaient pas nécessairement si facilement que ça.
Ensuite parce que j’aurai miré une vidéo prise depuis une caméra de surveillance de la Tour Montparnasse où, en zoomant fort, on peut voir une silhouette apparaître, disparaître et revenir sur l’échafaudage au pied de la flèche jusqu’à ce qui ressemble à une explosion soit repérable.
Pas bien grave, ça aurait pu être un reflet du soleil sur un pièce ou un outil métallique. Sauf que cette séquence aura disparu sur internet… Introuvable, comme si elle n’avait jamais existé… Et pourtant je l’ai vue et revue.
Dans mes romans (ceux que vous ne lisez pas + les deux chapitres suivants), bien entendu, je donne une explication, mais une explication « exogène » : Vous n’êtes pas obligé d’y souscrire, puisque c’est du roman, une pure création (
Typique du « fumeux » qui se fait mousser à tout bout de champ…
Mais bon, ça au moins le mérite d’exister (même s’il m’énerve, à force de regarder autour de lui comme si on allait lui tirer dessus : C’est une sorte de « Bé-Hache-Aile » mais en moins sioniste et plus « artisan-persécuté »).
La couleur des flammes et le dégagement de fumée sont aussi très suspects : Personnellement, je n’ai jamais vu du bois sec produire des flammes aussi blanches à leur base et autant de chaleur. Il suffit de regarder les incendies de vieilles maisons, où l’on constate que les poutres sont les dernières choses qui restent, avec les murs porteurs, même après plusieurs heures de combustion.
La charpente de Notre-Dame s’est vaporisée en moins d’une heure, comme si on avait utilisé un accélérateur de combustion du bois.
Je ne crois absolument pas à la thèse accidentelle. »
2ème solution : un chalumeau dirigé vers une poutre pendant au moins 15 min., pour commencer à faire prendre une poutre ! Mais ensuite, pour la propagation, j’en doute aussi.
3ème solution : un effet backdraft, c’est-à-dire un feu dans un local, suivi d’une implosion à la suite d’une prise d’air. »
Moâ, je me méfie du mek qui se dit toubib et vous invite à prolonger votre calvaire fiscal sur terre en prenant quelques précautions avec ce que vous ingérez…
Des « toubibs », j’en ai géré jusqu’à une demi-centaine, déchaînés et syndiqués, blouse blanche et stéthoscope autour du cou qui tentaient de me donner des leçons de « bonne gestion financière » tellement ils savaient tout mieux que personne…
Est-ce que moâ je leur donnais des leçons de médecine ?
Clair ! Il aurait fallu un enchaînement de circonstances absolument inconcevable normalement… Mais justement, ça a tout de même cramé un maximum…
Aline Aitaine en dit d’ailleurs que : « Sachant que matin et soir, il y a une inspection par les pompiers qui surveillent le site ; qu’il n’y avait aucun ouvrier sur le chantier ; qu’il y aurait eu deux départs de feu (selon LCI) ; que le feu s’est propagé à une vitesse exceptionnelle ; que la Basilique St Denis a fait l’objet d’un incendie volontaire ; etc., etc.
Mais « pas de conclusions hâtives, ni d’amalgames. Pour ma part, je pense en effet qu’il y a eu plus d’un départ, pour provoquer un tel embrasement. »
À 18 h 47, une deuxième alarme incendie se déclenche, ce qui veut dire que le feu s’est propagé en 27 min dans les combles ou qu’un autre départ de feu est survenu.
Bref beaucoup d’interrogations.
J’en ai vu, des feux de toitures, mais c’étaient des maisons isolées à la laine de verre et truffées de gaines électriques. Dans le cas de Notre-Dame, apparemment les combles en étaient vierges : il y avait juste des poutres, aux dimensions monstrueuses.
Pour rappel, la cathédrale de Nantes a subi le même incendie imputé à un chalumeau resté malencontreusement allumé. Dans le cas présent, les travaux en étaient au stade de la pose d’échafaudages. Il n’y avait pas encore de chalumeau (ni d’autre matériel). Bref, beaucoup de questions resteront sans réponse… »
Chaque soudure est contrôlée et vérifiée ; interdiction de fumer à n’importe quel endroit : caméras dans tous les coins, sous les spots et sous chaque angle (pour les vols et les cigarettes), extincteurs tous les 5 mètres, dispositifs détecteurs de fumée, en veux-tu en voilà. Ils font même des essais, matin, midi et soir pour s’assurer du bon fonctionnement.
Mon frère travaille sur le chantier de Notre-Dame depuis plus de six ans : sa firme est la seule à avoir rénové cette merveille, ces dernières années : toiture, ardoises, cuivres, charpente, boiseries, etc. Il n’arrête pas de me répéter qu’il est impossible et incompréhensible qu’un incendie se soit déclenché spontanément : les dispositifs de sécurité pour pallier les risques d’incendie sont impressionnants et les procédures répétées chaque jour. »
À 19 h 53, elle saisit l’effondrement de la flèche Eugène Viollet-le-Duc.
Qui n’était pas non plus d’une réussite artistique absolue, mais elle avait le mérite d’exister et de fragiliser, par sa masse, l’édifice situé en-dessous…
« Pourquoi un tel feu ? Et pourquoi le lundi de la Semaine Sainte ?
Pourquoi la cathédrale s’est-elle embrasée aussi rapidement ?
Pourquoi les hélicoptères bombardiers d’eau n’ont-ils pas été sollicités ? (« Trompe », déjà lui, proposait ses canadairs alors que la Californie cramait de toutes parts sans qu’il ne se décide à y envoyer la « garde »…)
Pourquoi ce 15 avril 2019, la personne installée au PC sécurité de la cathédrale ne la regardait pas ?
Pourquoi son collègue remplaçant était-il absent ce jour-là ?
Les deux foyers distincts montrés sur les images enregistrées correspondent-ils aux deux flashs ?
Pourquoi des vidéos, ont-elles été supprimées après avoir été préalablement enregistrées ?
N’est-il pas étrange que les offrandes et les promesses de dons de millions d’euros arrivèrent au fur et à mesure que l’édifice brûlait ?
Pourquoi au plus fort du flamboiement, alors qu’il était évident que personne n’avait encore pu pénétrer dans la cathédrale, toute la presse relatait-elle les communiqués officiels annonçant avec certitude un événement accidentel ?
Pourquoi l’enquête de la CIA ?
Pourquoi…. ? »
Et puis c’est quoi ce Président qui devait s’adresser à la Nation qui se précipite sur l’esplanade de la cathédrale le soir même de la catastrophe avec une grande partie de son gouvernement et fera le forcing 5 ans plus tard pour accueillir la fine fleur des chefs d’État et faire un discours laïc juste avant la consécration de l’édifice… ?
Et ça fonctionne encore.
Ceux du futur, naturellement…
En tout cas postérieur à avril 2019.
Comme d’une nécessité, sauf à devoir réécrire toute l’histoire du bâtiment, des métiers qui l’auront reconstruit, des femmes et des hommes qui auront passé autant de temps et de talent à rendre leur cathédrale aux parigots « comme neuve » !
Figurez-vous que c’est presque un raisonnement de physique quantique : Que ce serait-il passé si ce 15 avril il ne s’était rien passé ?
(Vous savez, l’histoire du chat noir de Schrödinger qui est à la fois mort et vivant).
C’est comme le 11 septembre 2001, ou le 6 août 1945…
Et vous pouvez retourner la question : Que se serait-il passé s’il y avait eu un attentat durant les JO de Paris de 2024, type « München 1972 » (qui a changé la face du monde et le cours prévisible de l’Histoire…) ?
Autrement dit un « non-événement » qui ne s’est pas passé…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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