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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 13 novembre 2025

Déjà 10 ans…

 Le 13, un « black Friday » de sinistre mémoire…
 
On aura été tous surpris, horrifiés, tétanisés… Pourtant on aurait pu savoir puisque ces attentats ont été planifiés à Raqqa en Syrie par l’Amn al-Kharji, la branche de l’Amniyat, le service de renseignement de l’État islamique, chargée des opérations terroristes en dehors des territoires contrôlés par le califat.
Avec un peu de « renseignement », de « l’intelligence » en disent les anglo-saxons, on aurait su que l’opération était montée sous le patronage d’Abou Mohammed al-Adnani et de son adjoint Abou al-Bara al-Iraki. Et qu’elle était supervisée par Oussama Atar, chef de l’Amn al-Kharji, et par Boubaker El Hakim.
 
Sur le terrain, le commando est dirigé par Abdelhamid Abaaoud.
D’autres responsabilités sont déléguées : Abou Walid al-Souri, responsable de la formation des forces spéciales, est chargé de l’entraînement du commando, Abou Mahmoud al-Chami, artificier de l’Amn al-Kharji, est chargé de la vérification des explosifs et Abou Maryam al-Iraki est chargé du transfert des membres du commando vers la Turquie.
Que de patronymes de « bienfaiteurs de l’humanité »… pour être des bourreaux de l’espèce humaine, la leur…
 
C’est l’enquête initiée après les attentats qui permet de rassembler des éléments sur la préparation des attaques. Il en ressort que les préparatifs se sont étendus sur plusieurs mois. Début septembre, deux appartements « conspiratifs » sont loués en Belgique. Dans l’un d’eux, des traces de l’explosif utilisé dans les ceintures explosives des terroristes sont retrouvées.
Le 9 septembre, Salah Abdeslam est contrôlé à la frontière austro-hongroise en provenance de Budapest. Il se trouve en compagnie de Mohamed Belkaïd et Najim Laachraoui, munis de deux fausses cartes d’identité belges au nom de Samir Bouzid et Soufiane Kayal.
Ces deux hommes, soupçonnés d’avoir ensuite coordonné les attaques depuis Bruxelles le 13 novembre, mourront à Bruxelles en mars 2016 dans le cadre de la traque de Salah Abdeslam et de l’attentat à l’aéroport international de Bruxelles.
Le 5 octobre, une autre maison est louée en Belgique par l’équipe chargée de préparer les attentats.
Les trois voitures utilisées par les commandos du 13 novembre sont louées quelques jours avant le début des opérations en Belgique.
Les 10 et 11 novembre, Salah Abdeslam est repéré par deux fois à bord de l’un de ces véhicules, une Clio noire, sur des autoroutes « Gauloisiennes-de-l’armistice », entre Paris et la Belgique. Le 12 novembre, l’équipe de terroristes rejoint depuis Bruxelles son objectif parigot à bord des trois voitures, via Charleroi où le troisième véhicule rejoint les deux autres.
Ils arrivent en début de soirée et se répartissent entre deux logements loués par les frères Abdeslam. Le commando du Bataclan loge à Alfortville, tandis que les équipes du Stade de « Gauloisie-athlétique » et des terrasses se rendent dans un pavillon de Bobigny.
 
19 h 40 – Départ de la Polo (troisième groupe) d’Alfortville vers le Bataclan.
20 h 38 – Départ de la Seat (deuxième groupe) de Bobigny vers les terrasses des 10ème et 11ème arrondissements.
21 h 17 – Première attaque-suicide à l’explosif aux abords du Stade de foot bouclé pour un match « Teutonnie/Gauloisie » en présence de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » (et de « sinistres teutons ») qui, de « capitaine de pédalo » va confirmer prendre la dimension de chef de clan international anti-terroriste à la suite des événements du soir.
21 h 19 – Seconde attaque-suicide à l’explosif près du Stade.
21 h 25 – Fusillade au carrefour des rues Bichat et Alibert.
21 h 26 – Fusillade rue de la Fontaine-au-Roi.
21 h 36 – Fusillade rue de Charonne.
21 h 40 – Attaque-suicide à l’explosif boulevard Voltaire.
21 h 40 – Trois hommes pénètrent dans le Bataclan et commencent à rafaler.
21 h 51 – Intervention de la BAC de nuit du Val-de-Marne aux abords du Bataclan.
21 h 53 – Troisième attaque-suicide à l’explosif au Stade de « Gauloisie-imperturbable ».
22 heures – Prise d’otages au Bataclan. Huit militaires de l’opération Sentinelle se trouvant à proximité arrivent sur les lieux. Cependant, ils reçoivent l’ordre de ne pas intervenir et de ne pas prêter de matériel aux policiers de la BAC qui arrivent en renfort peu de temps après. Le refus de faire entrer les militaires est dû à l’absence de plan d’action et à l’absence de visuel.
Le refus de prêter des Famas est dû à l’interdiction qui est faite, par le code militaire, de prêter son arme de service.
22 h 15 – La BRI et la BI pénètrent au Bataclan. Soixante hommes de la BRI et de la BI prennent le relais de leurs collègues de la BAC restés à l’extérieur du Bataclan et qui ont essuyé le feu des terroristes.
22 h 48 – Arrivée de l’équipe rapide d’intervention du RAID au Bataclan.
14 novembre 2015 :
0 h 18 – La BRI donne l’assaut au premier étage où sont retranchés les terroristes, avec le RAID en renfort au rez-de-chaussée.
0 h 58 – Le RAID et la BRI mettent fin à l’attaque du Bataclan.
 
Entre 22 h 25 et 23 h 00, ces équipes avait sécurisé le bas de la salle puis quarante hommes de la BRI et de la BI formant deux colonnes montent au premier étage vers 23 h 15 où ils repèrent les deux terroristes retranchés derrière leurs otages dans un couloir.
Supervisé par le préfet de police Michel Cadot, le poste de commandement s’installe dans un bar à proximité du Bataclan, le Baromètre. Au terme de tractations infructueuses, l’assaut débute à 0 h 18. Protégée par un bouclier Ramsès, équipée de fusils d’assaut, de gilets lourds et de casques à visière blindée, la BRI sécurise le 1er étage pièce par pièce.
Le premier binôme de la colonne d’intervention ouvre la porte du couloir où sont refugiés les deux terroristes et leurs otages. Des otages se mettent à l’abri en rampant. Les terroristes, positionnés au fond et essayant de s’abriter derrière les otages, répondent à l’assaut des policiers par des tirs nourris.
Le bouclier Ramsès recevra vingt-sept impacts.
Une partie des policiers lancent des grenades détonantes et défensives, au fur et à mesure de leur avancée, les autres aident les otages à quitter les lieux.
Arrivés face aux terroristes, les hommes de la BRI tirent.
Ismaël Mostefaï, mortellement touché, déclenche sa ceinture explosive. La déflagration souffle, blesse et propulse Foued Mohamed-Aggad en bas d’un escalier.
La colonne continuant son avancée, un opérateur repère le terroriste blessé, essayant d’activer son gilet, et le neutralise à temps.
Tous les otages sont évacués sains et saufs.
 
Après ces tueries, Salah Abdeslam, qui a convoyé aux abords du Stade de la « Gauloisie-sportive » les trois terroristes qui s’y sont fait exploser aurait dû actionner sa ceinture d’explosifs dans le métro. Cependant, il échoue, parce que sa ceinture était défectueuse. Car il se dirige en métro vers Montrouge (Hauts-de-Seine). C’est à proximité, rue Chopin à Montrouge, que sera découverte une ceinture artisanale d’explosifs non équipée d’un système de mise à feu.
Avec l'aide de deux complices joints par téléphone et qui sont venus le chercher de Belgique, Mohamed Amri et Hamza Attou, respectivement barman et revendeur de cannabis au café des Abdeslam, il rejoint Bruxelles. Les trois hommes sont contrôlés dans la matinée du samedi sur l’autoroute A2 par des gendarmes tricolores à hauteur de Cambrai, sans être interpellés, car Abdeslam n’apparaît pas encore comme l’un des suspects des attentats.
 
Si le plan Rouge alpha (riposte multi-attentats) est déclenché officiellement par le président de la République « Tagada-à-la-fraise-des-bois » vers 23 h 30, très rapidement après les premiers tirs, les équipes de secours identifient qu’il s’agit d’un attentat multisites (pour lesquelles les équipes s’étaient entrainés le matin même), elles déclenchent les mesures adaptées : Les plans de rappel du personnel sont activés, des renforts de moyens demandés à l’ensemble de la zone, le concours des associations de sécurité civile organisé et des unités mises en réserve.
 
Entre 21 h 19 et 22 h 00, la brigade de sapeurs-pompiers de « Paris-sur-la-plage » a répondu à 584 appels sur les attentats. La disposition Evengrave de la préfecture de police de « Paris-Rives-de-Seine » prévoit que chaque site d’intervention doit être géré, de manière déconcentrée, par un commandant des opérations de police (COP), chargé de la sécurité et de la circulation, et d’un commandant des opérations de secours (COS), généralement un officier de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris, qui coordonne l’ensemble des opérations de secours.
La stratégie élaborée pour faire face à ce type d’événement, formalisée depuis 2006 dans le plan « Rouge Alpha », comprend trois étapes :
— Un ramassage des blessés et un premier triage entre les urgences absolues (UA), personnes dont le pronostic vital est engagé, c’est-à-dire celles qui ont été blessées au thorax, à l’abdomen et/ou en choc hémorragique, et les urgences relatives (UR) où le pronostic vital n’est pas engagé.
— Un triage médical est ensuite effectué au poste médical avancé (PMA) entre les UA, pour distinguer les personnes dont le pronostic vital est immédiatement engagé (EU) et celles dont le pronostic vital est potentiellement engagé (U1). Les UR sont pour leur part triées entre victimes invalides nécessitant un transport couché non médicalisé (U2) et victimes valides pouvant être évacuées au moyen d’un transport collectif (U3).
— L’évacuation des blessés du PMA vers les hôpitaux constitue naturellement la dernière étape.
 
La phase de triage des victimes a été relativement rapide hormis en ce qui concerne le Bataclan où la zone n’était pas sécurisée et où une zone d’exclusion police avait été créée et empêchait l’accès des secours aux victimes, seules les forces de l’ordre pouvant extraire les blessés en dehors de cette zone.
L’évacuation vers les différents centres hospitaliers s’est ensuite effectuée selon le plan « Attentats multisites » (ou plan « Camembert ») du SAMU de « Paris-les-Urgences », avec le soutien des médecins régulateurs de chaque site et de la régulation zonale.
Les blessés les plus graves et polytraumatisés sont dirigés vers les cinq centres de traumatologie (Lariboisière, Beaujon, Pompidou, La Pitié-Salpêtrière et Bichat), et les cas les moins graves vers les autres centres hospitaliers ou traités sur place par les urgentistes.
 
Le responsable des urgences de Lariboisière, Patrick Plaisance, raconte une mobilisation rapide et réussie : « Avant même l’activation du plan blanc, tout le monde, médecins, infirmières, a spontanément rappliqué en un temps record. Les malades qui occupaient les six salles de soins aigus sont transférés vers les autres services de l’hôpital pour laisser la place aux victimes des attentats. (…) Les équipes étaient très pros, très calmes, ça ne courait pas partout, ce n’était pas désordonné. »
Le médecin chef du SAMU de « Paris-la-plage », Pierre Carli, révèle qu’un exercice nommé « fusillade sur sites multiples » avait été prévu depuis plusieurs semaines : « Nous avons réalisé une sorte de répétition générale vendredi matin, quelques heures avant les attentats. Le scénario dramatique de vendredi soir faisait partie des hypothèses que nous avions travaillées. ».
Le dispositif s’est révélé suffisant : « Sur les cent équipes de secours disponibles (un médecin, un infirmier, un ambulancier), nous en avons utilisé soixante. Des soignants pouvaient arriver en renfort d’autres régions et nous aurions pu, en cas de besoin, transporter des blessés par hélicoptère vers de grands centres hospitaliers universitaires (CHU) de province. Des moyens pouvaient arriver en renfort, une deuxième ligne de défense était possible. ».
 
Au total, les pompiers mobilisent 430 hommes, dont 21 équipes médicales, équipés de 125 engins, pour prendre en charge à eux seuls 381 victimes, dont 257 blessés par balle.
 
10 ans après, que reste-t-il de ces carnages ?
La cause syrienne aura-t-elle progressée ? L’État-Islamique est-il devenu le « genre humain » ?
À l’effroyable bilan de 130 morts lors de ces attentats se sont ajoutés au fil des années les suicides de trois survivants, emportés par de profondes blessures psychiques
 
Survivants du Bataclan, le jeune chimiste Guillaume Valette et l’auteur de BD Fred Dewilde se sont battus plusieurs années avant de se suicider, emportés par de profondes blessures psychiques.
« Jamais je n’oublierai le bruit de ces mitraillettes », avait confié Guillaume à ses parents dans un rare sanglot, se souviennent encore Arlette et Alain Valette, huit ans après la mort de leur fils. Âgé de 31 ans, il a mis fin à ses jours dans la chambre de l’établissement psychiatrique où il était hospitalisé, deux ans après le 13 novembre 2015.
Ce vendredi-là, au concert du groupe Eagles of Death Metal, il y a d’abord eu l’effroi, les tirs de kalachnikov, les cris des blessés. Atteint de trouble de stress post-traumatique (TSPT), il continue de travailler mais « somatise ses angoisses ».
Hypervigilance, cauchemars et reviviscences à répétition, peur de sortir : Des symptômes caractéristiques du psychotrauma illustrés dans plusieurs ouvrages du dessinateur Fred Dewilde.
Avec ses crayons, il s’est engagé pour « faire comprendre à l’autre cet incommunicable qu’est la souffrance intérieure, qui isole dans le désespoir les victimes, qui les désocialise et aggrave la rupture de vie », raconte Marianne Mazas, sa compagne.
Ce pilier de l’association de victimes « Life for Paris » s’est lui aussi suicidé, en mai 2024, neuf ans après les attaques. « L’illustration dramatique de ce que cause ce poison qui est très long, qui est très insidieux, qui est parfois très invisible ».
Une troisième victime des attentats s’est donné la mort en 2021. Mais à ce stade, « le lien n’a jamais été fait de manière claire avec le 13 novembre par la famille », explique le président de « Life For Paris ».
On peut penser à tous les blessés de ces autres conflits qui ravagent la planète aujourd’hui, résultats de la « folie des hommes sapiens »…
 
Des années après, s’ils ne sont « pas correctement soignés », les traumatismes graves de ce type « restent aussi intenses et provoquent la même détresse », pointe un psychiatre à l’hôpital Avicenne et au Cn2r (Centre national de ressources et résilience). « Ce n’est pas comme un mauvais souvenir dont la force va s’atténuer avec le temps ». D’après ce spécialiste, le TPST multiplie par huit le risque suicidaire par rapport à la population générale.
« En 2015, il n’y avait pas suffisamment de personnes formées à la prise en charge des psychotraumas ».
Depuis, l’État a créé des centres régionaux spécialisés et le Cn2r, source d’information pour les victimes, leurs proches et les professionnels.
 
« Paris était une fête » même après les attentats de janvier 2015. En novembre, Marianne pleurait. Et ce ne sera pas la dernière fois, hélas…

 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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