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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 novembre 2025

En cette semaine des catherinettes

Jean-Marc rapporte que …
 
Germaine entre dans sa salle de bain et voit son mari tout nu, en train de se peser, tout en rentrant son ventre.
Elle rigole et lui dit :
« — Tu sais, tu as beau rentrer ton ventre, ça ne fera pas descendre ton poids !
— Je sais bien », répond-il vexé, « mais au moins ça me permet de le lire ! »
Et moi j’ai compris pourquoi certains pèse-personnes parlent…
 
Une fée (rare-rit, toujours stationnée devant un porche) dit à un couple marié :
« Pour avoir été un couple si exemplaire depuis 25 ans, je vous accorde à chacun un vœu. »
La femme dit alors :
« Je voudrais faire une croisière autour du monde avec mon mari adoré. »
La fée agite sa baguette magique, et, abracadabra, des billets pour une croisière de rêve, apparaissent dans la main de la femme.
Maintenant c’est au tour du mari :
« Euh… c’est un instant très romantique mais une opportunité comme celle-ci n’arrive qu’une fois dans la vie. Alors je suis désolé ma chérie, mais j’aimerais avoir une femme 30 ans plus jeune que moi ! »
La femme est terriblement déçue mais un vœu est un vœu…
La fée fait un cercle avec sa baguette magique… Abracadabra !
Et le mari a 80 ans !
 
Jean-Claude se confie à Jean-Marc :
« — Ces médecins sont vraiment d’une incompétence qui me confond ! Tiens, l’un d’eux prétendait depuis deux ans que j’étais incapable de procréer.
— Et alors ?
— Ma femme est allée en consulter un autre et c’est bien ce que je pensais, tout venait d’elle. Elle manquait d’iode.
— Ah bon ?
— Oui, le médecin l’a envoyée passer quinze jours au bord de l’Atlantique et ça y est… Elle est enceinte ! »
 
C’est l’histoire d’un type qui va en Afrique chasser le gorille avec un guide.
Un beau matin le guide arrive avec un filet, un chien et un fusil et lui dit :
« — Ce matin on va capturer un gorille. Je t’explique la technique : On repère un arbre où il y a un gorille. Je monte dedans, je secoue l’arbre, le gorille tombe et là le chien (qui est dressé pour ça) le mord aux testicules, ça paralyse le gorille et tu n’as plus qu’à le capturer au filet.
— OK, mais le fusil, c’est pour quoi faire ?
— Si c’est moi qui tombe, tu tires sur le chien. »
C’est probablement une « revenue », mais alors de très-très loin… Un envol de ce blog d’au moins une dizaine d’année !
 
Le jour de l’ouverture de son magasin, un commerçant reçoit un bouquet de fleurs.
Sur la carte jointe, il découvre les mots suivants : « Nos sincères condoléances ».
Le fleuriste lui téléphone pour lui présenter ses excuses, ce bouquet ne lui était pas destiné.
« — Oh ce n’est pas grave, cela peut arriver !
— Ce qui me gêne, c’est que le bouquet qui vous était destiné, ainsi que la carte sont partis pour le cimetière.
— Ah ! Qu’y avait-il d’inscrit sur cette carte ?
— « Félicitations pour vos nouveaux locaux ». »
 
Jean-Étienne et Jean-Patrice, deux anciens amis se rencontrent après dix années. Et ça donne le dialogue suivant :
« — Salut ! Alors que deviens-tu ? Toujours dans la comptabilité ?
— Oui-oui, tu sais, j’ai fait des études de comptable et aujourd’hui, et bien je suis expert-comptable. Et toi ? Toujours dans le cinéma ?
— Plus que jamais ! Je viens de faire un film avec Spielberg.
— Punaise ! Steven Spielberg ?
— Non, Marcel Spielberg, un producteur français très connu dans les courts-métrages… Mais bon, il y a quand même Clooney dans le film.
— Quoi ? Georges Clooney ? La classe…
— Non, Jean-Louis Clooney, un acteur de théâtre qui était très apprécié dans les années 80… Mais tu sais, je joue aussi avec Bellucci.
— Comment ? Monica Bellucci est dans ton film ? Le pied…
— Non, c’est Sarah Bellucci, elle a joué dans pas mal de feuilletons… Mais la musique du film est faite par Lalanne !
— Ah oui ! Francis Lalanne ?
— Ouais-ouais, Francis Lalanne. »
 
Un homme, dans un état d’ébriété avancé, revient en catastrophe dans le bar qu’il vient à peine de quitter deux minutes avant et téléphone à la police.
Il compose le numéro et commence à expliquer :
« C’est bien simple, ils m’ont tout volé sauf la voiture… Ils ont pris le tableau de bord, le volant, le frein à main, la pédale d’embrayage et même l’accélérateur… »
Quelques minutes plus tard, la police reçoit un nouvel appel et l’officier de garde reconnaît la même voix à l’autre bout de la ligne.
« Autant pour moi », déclare le saoulard. « Je me suis trompé, je m’étais assis sur la banquette arrière ! »
Probablement encore une « revenue »…
 
C’est l’histoire de Jean-Romain qui appelle sa femme et lui demande :
« Chérie, on m’a invité pour un voyage de pêche avec mon patron et quelques-uns de ses amis.
Nous serons partis pour une semaine.
Cela représente une bonne opportunité pour moi d’obtenir cette promotion que j’attends depuis si longtemps.
Peux-tu, s’il te plaît, me faire une valise avec assez de vêtements pour une semaine entière et préparer ma ligne et mon coffre de pêche.
Nous partirons directement du bureau et je passerai par la maison rapidement pour prendre mes affaires.
Oh, s’il te plaît, peux-tu mettre dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleu ! »
L’épouse trouve bien étrange l’histoire de son mari mais en bonne épouse qu’elle est, elle fait exactement ce que son mari lui a demandé.
La semaine passe, et le mari revient à la maison un peu fatiguée, mais somme toute, content de son voyage.
Sa femme l’accueille à la maison et lui demande s’il a pris du poisson et combien il en a pris ?
Il lui répond :
« Oh oui, beaucoup de saumons, des truites et quelques brochets… Mais au fait, pourquoi n’as-tu pas mis dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleu comme je te l’avais demandé ? »
Et sa femme de lui répondre :
« Mais bien sûr que si je l’ai mis… il est dans ton coffre de pêche… »
 
Jean-Jacques, un joueur invétéré dit à « Jean-Marc » qui sirote sa bière matinale :
« — Tu sais, il faut que je t’annonce une grande nouvelle : J’arrête de jouer ! Plus de casino, plus de tiercé, plus de poker… Mes séances chez le psy auront réussi à ça !
— Bravo ! », répond Jean-Marc, enthousiaste. « Mais pardonne-moi, te connaissant, j’ai du mal à y croire. Je suis même sûr que tu ne tiendras pas !
— Ah bon ? Tu paries combien ? »
 
C’est l’histoire d’un employé se pointe à onze heures au bureau, tout essoufflé.
Manque de chance, Jean-Marc, son directeur, l’aperçoit et le convoque sur le champ :
« — C’est maintenant que vous arrivez ? Vous avez une explication à me donner ?
— Patron, je vous prie de m’excuser, mais ma femme va avoir un bébé…
— Pardonnez-moi, je ne savais pas. C’est pour aujourd’hui ?
— Non ! Dans neuf mois…
— Félicitations… »
 
Jean-Paul, un matin, à Jean-Marc, devant leur première bière matinale :
« Savais-tu qu’en remplaçant tes frites par des salsifis, tu peux perdre jusqu’à 97 % de ta joie de vivre qu’il te reste dans cette vie de chien ? »
 
Les mêmes un peu plus tard, devant leur seconde bière matinale :
« — C’est invraisemblable !
— Quoi ?
— Hier soir j’ai feuilleté un dictionnaire et je suis tombé sur le mot « Indéfinissable » !
— Oui… et ?
— Eh bien il y avait une définition !!!
— Normal, non, pour un dictionnaire…
— Non mais allo-quoi ? J’aime pas trop qu’on se foute de ma gueule ! »
 
Germaine se plaint à Jean-Marc :
« Ma peau est toute sèche !
Elle fait même des écailles… »
Jean-Marc laisse tomber derrière son magazine des programmes télé :
« Tu sais, c’est courant chez les dragons, ma chérie ! »
 
Entendu pour vous au bar de Jean-Marc :
« Ne rigole pas : Le 14 février, c’est le jour où les hommes disent plus de konneries que le 1er avril… »
 
À propose de la Saint-Valentin, ce conseil de Jean-Paul :
« Il faudrait arrêter de prétendre que tu serais à louer pour la Saint-Valentin !
Déjà que personne ne veut de toi gratuitement, alors si en plus il faut payer… »
 
Jean-Marc, au pousse-café méridien à Jean-Paul :
« — J’envie le type qui aura appris à rire de lui-même…
— Pourquoi ?
— Il n’a pas fini de s’amuser… »
 
Germaine à Marie-Chantal, durant l’après-midi, au salon de thé :
« — Ce matin, j’ai surpris Jean-Marc à étaler de la moutarde sur ses tartines…
— Quelle drôle d’idée que voilà…
— Je le lui ai fait remarquer. Et tu sais ce qu’il m’a répondu ?
— Euh non, je n’y étais pas…
— Qu’il voulait dijonnais en paix au moins une fois dans sa vie, si je le permettais ! »
 
Germaine râle pour un rien contre Jean-Marc :
« — Marre, Jean-Marc !
— Quoi encore ?
— Tu laisses toujours la lumière allumée dans le frigo !
— ??? »
 
Devant leur bière vespérale, les deux comparses s’échangent quelques informations importantes :
« — C’est comme ça que j’ai compris pourquoi les films à la télé commençaient tous à 21 h 10. Alors que quand on était môme, « Bonne nuit les petits », c’était à 19 h 30, le journal télévisé à 20 heures et le film du dimanche soir à 20 h 30…
— Oui et alors ? C’est pour quelle raison ? La pub ?
— Non, même pas. Ça s’est pour meubler…
— Bé alors ?
— C’est pour laisser le temps aux femmes de débarrasser la table et de faire la vaisselle…
— … »
 
Plus tard :
« — Je crois que vieillir, c’est embêtant…
— À qui le dis-tu !
— Oui, mais ça la seule façon qu’on ait trouvé de vivre plus longtemps…
— Pas faux finalement… »
 
Jean-Jacques explique :
« — Ma copine m’a quitté hier…
— Mon pauvre… Tu supportes le choc ?
— Je m’en fous : Je sais qu’elle va revenir très vite, et en rampant, en plus !
— Tu crois ? Tu n’es pas un peu trop optimiste ?
— Non pas du tout : J’ai gardé son fauteuil roulant ! »
 
Marie-Chantal fait un aveu à Germaine :
« — Tu sais, moi, je suis tellement cochonne, que parfois je prends ma douche toute nue…
— … »
 
Jean-Paul, avalant le « coup de l’étrier » au bar du coin en compagnie de Jean-Marc :
« — Parfois, me prend l’envie d’arrêter la bière…
— Une bonne idée, ça. Mais probablement surréaliste…
— C’est que je pense aussi à tous ces vignerons, ces viticulteurs, ces œnologues et à leur famille qui s’éreintent à faire du vin et les vendanges…
— …
— On devrait ne pas les oublier en passant au Beaujolais : Ils comptent sur nous ! »
 
« Tu sais, il y a des gens, au début tu ne les trouves pas beaux.
Et puis tu apprends à les connaître.
Et tu te rends qu’en plus ils sont cons… »
 
Bon début de week-end à toutes et à tous !
 
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Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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