Ou la vie des
« bêtes » !
– On n’arrêtera jamais le progrès !
La preuve : Charlène de Monaco est désormais la future
mère de deux jumeaux…
On prétendait son époux princier fécond. On se rend compte
que ce serait confirmé et qu’elle l’est aussi, féconde, ce qui n'était pas tout-à-fait évident jusque-là.
Et pas qu’un peu : Des jumeaux ou des jumelles. C'est dire si même la science fait des miracles !
De quoi voir plus loin dans la plus vieille dynastie
européenne…
– Justement à propos des pratiques sexuelles (princières ou
non) des « Gaulois », une récente étude réalisée par l’Ifop vient de
nous préciser les quelques façons de faire préférées de ces « Gaulois qui
votent massivement FN ».
75 % des gaulois vivent en couple, et parmi eux, 66 %
partagent le même toit que leur partenaire. Les autres, ont ne sait pas ce qu’ils
entendent par « couple »…
Les catégories sociales supérieures sont davantage en couple
: 81 % des artisans et des commerçants et 80 % des cadres et des professions
libérales, contre 74 % des ouvriers et 73 % des employés.
Si les retraités sont 78 % à être en couple, les inactifs
sont « seulement » 65 %.
Les nuls aussi, alors même qu’ils ont plus de temps pour trouver
l’âme-sœur…
À moins que justement, ils passent leur temps à draguer la
gueuze et multiplier les partenaires…
La Haute-Normandie et le Limousin sont les deux régions qui
concentrent le plus de couples, respectivement 81 % et 80 %, alors qu’à l’opposé,
la Champagne et l’Aquitaine n’en comptent que 67 % et 69 %.
Des pays de « vineux », y’a pas de hasard !
À noter que plus les communes sont petites, plus la
proportion de couples s’accroît : Elle passe de 72 % pour les agglomérations de
plus de 100.000 habitants à 82 % dans les villages ruraux.
Dans l’agglomération parisienne, le taux est de 69 %.
Cherchez l’erreur : L’occasion fait le larron ou les
« grands-logements » s’y font-ils rares ?
Enfin, 8 % des Français déclarent n’avoir jamais été en couple…
Mais si !
Combien de partenaires sexuels avez-vous eus dans votre vie ?
À cette question, les gaulois répondent majoritairement (21 %) deux ou trois,
ou plus de dix. 20 % ont eu entre six et dix partenaires, 18 %, un seul, 17 %,
quatre à cinq. Personnellement, je ne les comptes plus depuis longtemps.
À noter que 3 % n’en ont eu aucun, ce qui fait beaucoup de
puceaux et de pucelles à dévergonder.
En moyenne, ils ont au final eu des rapports sexuels avec
9,9 partenaires (13,1 pour les hommes, 6,9 pour les femmes).
Là encore, cherchez l’erreur, à moins que ce soit le droit à
l’oubli pour certaines et la fanfaronnade pour d’autres…
Où ils sont homos…
Cette fois-ci, c’est en PACA et en Languedoc-Roussillon que
l’on diversifie le plus ses partenaires, avec respectivement 13,5 et 13 amants
et c’est dans le Nord-Pas-de-Calais et le Limousin que l’on est le plus sage
(5,9 et 6,4 partenaires).
Le climat doit y être pour quelle que chose…
À moins que le pastis ou le distillat de mauvais vin y
soient la cause première.
Fréquence ? 26 % répondent moins d’un par semaine, 24 %,
aucun, 23 % de un à deux par semaine, 18 % de deux à trois et 9 % plus de trois
fois dans la même semaine.
En moyenne, les Gaulois de « Gauloisie du sexe »
baisent 1,3 fois par semaine.
Il y a peu de différence entre les régions, même si les
rapports sont un peu plus fréquents en Île-de-France et dans les
Pays-de-la-Loire (1,4 fois par semaine) qu’en Alsace ou en Rhône-Alpes (1,2).
Non significatif, en somme.
Précision importante : Les électeurs de « Marinella-bella-tchi-tchi »
affirment avoir des rapports plus fréquents (1,4) que ceux de « Bling-bling »
ou de « Bébé-Roux » (1,2).
Quant aux électeurs d’extrême gauche et du PS sont entre les
deux (1,2).
Des kouilles-molles ?
On s’en doutait un peu…
91 % des interrogés se définissent comme hétérosexuels (88 %
des hommes, 93 % des femmes), 3 % comme homosexuels (5 % des hommes, 1 % des
femmes), et 3 % comme bisexuels (4 % des hommes, 2 % des femmes). Les autres ne
souhaitent pas répondre ou ne se définissent pas.
Les ravages de la théorie du « genre »…
74 % des gaulois se disent satisfaits de leur vie sexuelle,
mais ils sont seulement 30 % à en être « très satisfaits ».
Confirmation par la bande, donc !
Cette fois-ci, ce sont les électeurs de « Bling-bling »
qui se disent le plus comblés par leurs parties de jambes en l’air (77 % de
satisfaits), alors que les soutiens de « Mélangeons » sont les moins
heureux (31 % d’insatisfaits).
Confirmation : Un ramassis de mal-baisés !
87 % des bêtes de sexe de « Gauloisie coïtale »
déclarent avoir léché ou sucé le sexe de leur partenaire !
Les 18-24 ans sont moins nombreux à pratiquer fellations et
cunnilingus (76 %) que les 50-64 ans (91 %).
C’est en Midi-Pyrénées et en Languedoc-Roussillon que l’on
s’adonne le plus à ces pratiques (91 %).
À l’inverse, c’est en Picardie et dans le Nord-Pas-de-Calais
qu’on le fait le moins (81 % et 85 %).
Pas d’explication logique, à moins celle de la température
ambiante sous les tropiques…
« Le Nord, Ô le Nord… »,
il avait bien raison de se méfier !
Par ailleurs, plus d’un Gaulois sur deux (51 %) a testé la
sodomie et 50 % ont déjà eu un « one shot » (une relation sexuelle sans
lendemain).
15 % ont également tenté un plan à trois, 13 % une aventure
homosexuelle, 11 % une relation avec une prostituée et 37 % ont déjà eu une partie
de sexe avec un tiers… alors qu’ils étaient en couple (45 % des hommes, 29 %
des femmes).
Tous des salopards en sommeil, finalement !
– Par ailleurs, on vient de le découvrir : Trop de
porno tue le cerveau d’après des allemands, et selon leurs travaux publiés ... aux États-Unis !
Les hommes (pas les femmes) qui passent beaucoup de temps à
regarder de la pornographie sur Internet paraissent avoir moins de matière
grise dans certaines parties du cerveau et une activité cérébrale réduite.
« Nous avons constaté
un lien négatif significatif entre le fait de regarder de la pornographie
pendant plusieurs heures par semaine et le volume de matière grise dans le lobe
droit du cerveau », ainsi qu'avec l'activité du cortex préfrontal, écrivent
les auteurs de cette recherche à l'Institut Max Plank for Human Development à
Berlin.
« Ces effets pourraient
indiquer des changements dans la plasticité neuronale résultant d'une intense
stimulation du centre du plaisir », ajoutent-ils dans cette étude qui
paraît en ligne dans le Journal of the American Medical Association.
Les auteurs ne peuvent toutefois pas prouver que ces
phénomènes sont provoqués par une grande consommation de pornographie et jugent
que davantage de recherches sont de ce fait nécessaires.
Mais selon eux, ces travaux fournissent la première
indication de l'existence d'un lien entre le fait de regarder de la
pornographie et une réduction de la taille et de l'activité du cerveau en
réaction à une stimulation sexuelle.
Pour cette étude, les auteurs ont recruté 64 hommes en bonne
santé âgés de 21 à 45 ans et leur ont demandé de répondre à un questionnaire
sur le temps passé à regarder des vidéos pornographiques, qui était en moyenne
de quatre heures par semaine.
Ils ont également fait un scanner (IRM) de leur cerveau pour
en mesurer le volume et voir comment il réagissait aux images pornographiques.
Et ils ont constaté, surprise-surprise, que plus les sujets
regardaient de la pornographie, plus la taille du striatum, petite structure
nerveuse juste sous le cortex cérébral, diminuait.
Les scientifiques ont aussi observé que plus la consommation
d'images pornographiques était élevée, plus les connexions entre le striatum et
le cortex préfrontal, la couche extérieure du cerveau liée au comportement et
au processus décisionnel, se détérioraient.
« Des individus dont
le volume du striatum est plus petit pourraient avoir besoin de plus de
stimulations externes pour avoir du plaisir. Ils chercheraient ainsi dans la
vue de films pornographiques davantage de plaisir, ce qui pourrait aussi
conduire à en consommer de plus en plus », créant ainsi une sorte de
dépendance, conclut l'étude.
Oui mais là, ils ne répondent pas à la question
fondamentale : Est-ce que visionner du porno réduit la taille du stratum,
ou est-ce que parce que c’est qu’on a un cerveau atrophié qu’on regarde du
porno ?
Ce qui ne change rien, finalement : Regarder du porno
(4 heures par semaine à regarder en 2D sans en faire soi-même en 3D, imaginez un peu le calvaire
du nerf honteux…), c’est bien la preuve d’une anomalie grave !
Et ça vote quand même ?
Bé oui, justement… Ceci expliquant vraisemblablement cela.
Merci d’être passé…
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