Dans mon exil provisoire…
J’ai failli louper les détails de la démission de « J’y-Elfe-Coopé » dit
aussi « JFC » !
Magnifique.
Celui-là, il fait partie de la clique « à
démonter », ces suppôts de « Bling-bling », restés fidèles à en
bêler bêtement des inepties revanchardes…
Z’ont rien dans la tête qu’il faut la leur retourner, n’admettant
pas d’avoir eu tort, de s’être planté dans les grandes profondeurs sur tout un
quinquennat malgré nos dires et avertissements de longues dates.
D’ailleurs, c’est le peuple de
« Gauloisie-fasciste » qui en paye l’addition sans retenue.
Quoique, là encore, je n’ai pas tout compris, mais il paraît
que les recettes fiscales ne sont pas vraiment au rendez-vous des ignorants qui
nous gouvernent.
Ceux-là, ils devraient commencer à apprendre et comprendre que
quand on augmente un taux de prélèvement obligatoire, la seule façon d’en
réduire le décaissement, c’est d’en réduire l’assiette.
Pourquoi travailler plus pour gagner moins ? Autant
travailler moins pour payer moins, n’est-ce pas…
D’une telle évidence de bon sens, que du coup le PIB 2013
n’aurait pas été à la hauteur des espoirs de « François III » et sa
clique d’autistes à lui.
C’est pourtant un grand classique.
Et comme l’inflation n’a pas été au rendez-vous pour
compenser, puisqu’il y a des stocks à écouler à vil-prix, avec moins de pouvoir
d’achat et des crédits dont plus personne ne souhaite se les mettre sur le dos,
bé il manque 15 milliards…
En attendant, le « tricheur-chef », qui a pompé la
trésorerie de l’UMP sans vergogne avec ses « petits-potes » de
coquins, jusqu’à devoir faire appel à la générosité des
« sympathisants » pour faire les échéances en juillet dernier,
souvenez-vous !
Bé il dégage non sans avoir fait pleurer les chaumières des
aveux de « son fusible » à lui qui aurait avoué en direct sur un
plateau télé que les dépenses surfacturées auraient été justifiées par le coût
de la campagne de « Bling-bling »…
Qu’ils comptaient tout cacher à la commission des comptes de
campagnes ?
Vous savez, celle qui a bien fait de rejeter ceux des
« tricheurs/menteurs » !
Je ne suis pas là pour déguster ce « caviar-là »
et je le regrette, mais je me suis fait faire un topo par un des seconds
couteaux d’un des premiers couteaux qui aurait participé à la mise à mort…
Il paraît que c’était génial !
Ce serait « Haine-cas-Aime » qui aurait lancé la
charge.
Décidément, celle-là, sa
côte remonte dans mon baromètre-personnel…
Sa virulence a donné le ton quand elle l’a accusé de mentir
à propos du scandale Bygmalion.
La vacharde, elle n'a pas oublié que « JFC » a
tout fait pour entraver sa candidature à la mairie de Paris, puis a miné sa
campagne à travers de nombreuses dissidences, en particulier celle de l’autre
tapé du neurone du 8ème.
Le président de l'UMP, dans les cordes, aurait ouvert la
séance en tentant de se dédouaner et de sauver sa tête. « J'ai découvert tout ça il y a peu (...). J'ai commencé à douter quand « Pierrot
La-louche » a porté plainte (...).
Je suis tombé de l'armoire. J'ai été trahi par mes collaborateurs, pourtant
proches de moi. »
Et oui, on est toujours trahi par ses
« amis » : C’est un choix dont on est responsable au premier
chef, surtout quand on fait « chef ».
Et personne n’a oublié comment il est devenu « chef »,
en trichant déjà avec le vote des militants, parce que justement il fallait déjà
planquer les arsouilleries…
Ni comment il s’est « défaussé » en voulant
cadenasser les comptes dans une chambre-forte pour que personne ne puisse voir,
en appelant dans la même phrase à la « transparence » !
Champion du monde de la tartuferie que ce magnifique épisode…
« Je ne suis pas
objective, je le sais », commence « Haine-cas-Aime » après
la lecture d’un rapport du Dégé.
« Je considère
que tu mens. »
Pan dans les dents !
« Ce sont tous
tes proches historiques, tu ne peux pas dire que tu n'étais pas au courant. »
En effet que des « bébés
Coopés », déjà présents autour de lui à la mairie de Meaux depuis des
lustres.
Réplique : « Ça
t'arrivera d'être trahie par tes collaborateurs (…). Tu verras quand je serai blanchi dans cette
affaire. »
Là, faudra que je voie ça de moi-même. Parce le dernier qui
s’est fait trahir par un « proche collaborateur » qui tapait dans la
caisse, je crois que c’était Edgard Faure, qui s’est fendu de rembourser de sa
propre poche au denier public.
Mais l’honneur (et la patrie) s’est perdu depuis en chemin…
Parce que lui ne le fera pas : Tu penses, des
surfacturations à hauteur de 10 M€ sur 23 et des brouettes, il n’en a de toute
façon pas les moyens…
Le pire, c’est que le cocu, il prétend n’avoir pas touché un
radis !
Si c’est vrai, c’est dire qu’il est kon.
Et ça a été ministre des sous ! Comment peut-il encore
espérer devenir Calife à la place du Calife ?
En bref, Miss impose le thème d'un nouveau congrès qui
n'était pas précisément la stratégie imaginée par « Fifi-le-déchu »
et « Jupette ».
En fait, il paraît que chacun avait prévu dans son coin une
solution au départ de « JFC ».
« Xav’ Berre-trans » aurait convaincu « Jupette »
de le soutenir pour assurer la présidence.
« Fifi-le-déchu » aurait incliné pour « François
Barre-ointe ».
Les sarkozystes, eux, militaient pour le maintien de « JFC »
sur le mode : « Mieux vaut une
présidence de l'UMP affaiblie qui justifie le retour de « Bling-bling »
comme sauveur de la droite. »
Oui mais justement, personnellement, je n’en veux pas de son
« retour » à lui. Et je ne suis plus tout seul, surtout quand on
apprend la suite…
Du reste, « Brice Boute-le-feu », son « représentant
légal », se serait tenu extrêmement « taiseux ». Il aurait
simplement tenté de sauver les meubles en coulisse en se rapprochant de « Fifi-le-déchu »
et de « Jupette » afin de proposer que « JFC » reste,
quitte à être entouré d'un comité de sages…
Heureusement en vain, les deux ayant refusé cette
combinaison.
Ouf !
Les « coopéistes » ne seraient pas restés inertes.
Mais l'idée du congrès s'étant installée, ils ne pouvaient
que jouer la montre.
À l'image de « Cri-cri Yacob », qui demande un peu
de temps.
En somme, que « JFC » reste président jusqu'au
prochain congrès.
Ou encore « JC-Gode-hein », qui alerte le bureau
politique sur l'échéance des sénatoriales, en septembre, soit avant le congrès
en octobre.
Le sénateur-maire de Marseille aurait souhaité repousser ce
congrès afin de ne pas parasiter un scrutin décisif pour la droite et porteur
de divisions…
Lui, il abuse du pastis local : Il faut percer le
furoncle très vite pour espérer regagner la confiance des
« hauts-électeurs »…
Le bas-clergé, ça va même demander beaucoup plus de temps,
me semble-t-il !
Et puis l’estocade !
Trois défections ravageuses.
La première est celle de « Nono La-Mairie ».
Celui-ci était favorable au maintien d'un patron même très affaibli.
« Il avait même
négocié en échange de son soutien des places pour les siens au sein de la
commission d'investiture », assurent ses adversaires.
Dans l'ambiance putschiste de la réunion, « Nono »
change son fusil d'épaule : « L'intérêt
général de notre famille politique exige, Jean-François, que tu quittes la
présidence de l'UMP. »
« Une
trahison », glissera plus tard le président déchu…
Bé oui, causer d’intérêt général, là comme ça, comme un
cheveu dans la soupe qui les nourrit tous, voilà qui est révolutionnaire,
désormais : Une vraie trahison entre coquins, finalement !
Deuxième perte lourde : « Raf-la-Main-sur-le-Cœur »,
qui philosophe : « Je me suis
toujours demandé ce qui demandait le plus de courage, défendre l'amitié ou
l'éthique. Et je pense que c'est l'éthique. »
Lui, là, dans mon baromètre personnel, il vient de reprendre
de la couleur !
Une condamnation sans appel.
Et enfin, le tournant décisif est réalisé avec
l'intervention de « L’Or-de-La-Roturière », une « Coopé girl ».
Là, le président de l'UMP réalise que même chez les siens,
le doute s'est insinué trop loin.
Elle le crucifie en établissant un parallèle avec le monde
de l'entreprise : « La question
n'est pas de savoir si tu as trompé ou pas trompé. Quand tu diriges une
entreprise de 150 personnes et que 10 millions d'euros se sont évaporés, tu
pars. » !
La claque ! Bravo chérie, sauf qu’on n’attend pas que
10 millions s’évaporent dans une entreprise…
On fait le ménage tout de suite, pas deux ans après !
Et puis « Jupette » dans ses œuvres : « Moi-même j'ai dû assumer des décisions que
je n'avais pas prises », glisse-t-il.
Riposte : « Tu te
souviens de qui t'a soutenu à l'époque. »
Réponse : « Je ne
ressasse pas, Jean-François. Dans cette situation, je suis parti au congrès
suivant. »
« JFC » saute alors sur l'occasion et propose de
ne partir qu'au congrès suivant…
Il faudra que « Juppette » reprenne la parole,
plus tard, pour qu'il dise clairement les choses : « Le départ du président de l'UMP ne peut attendre le prochain congrès. »
« Mais quand ?
Quand ? Quand ? » insiste « Goliath-le-grand-Douillet » pour
que « JFC » lâche la date du 15 juin, acceptable par tous.
La pression du judoka aura valu plus que les foudres de « Ta-barre-haut »
la blondasse, fidèle coopéiste, assise au premier rang qui lui est ensuite
tombée dessus.
Réponse cinglante de « Goliath-le-grand-Douillet »
: « Je n'ai pas de leçon de dignité
à recevoir de toi. »
Vlan, dans les gencives !
Perso, celle-là, comme lèche-kul, on a du mal à trouver plus
dévouée à « Bling-bling », donc à « JFC ».
Même
« Cri-cri-la-garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas », elle n’a jamais osé
lui envoyer son
célèbre papier de « lèche-kul »…
Perso, j’aurai été « Dieu-a-donné » (et beaucoup
repris), je lui aurai fait sentir ma quenelle personnelle, celle de mon
nerf-honteux, jusqu’au fond des entrailles.
Mais bon, je ne suis pas un « baron » UMP, même
plus un militant et à peine un sympathisant de quelques « locaux »
seulement, ceux qui méritent encore le détour.
Et de toute façon, je n’étais pas convié et déjà sur le
départ quand ça s’est passé.
Dont acte !
À quand la vraie « reconstruction » ?
Parce que ça urge vraiment, là…
C'est un vrai bordel, votre nouvelle plateforme! Revenez sur Over Blog, s'il vous plait!
RépondreSupprimerVous voulez que l'UMP se reconstruise? Noble intention! Aucune vraie démocratie ne peut fonctionner si elle n'a pas une véritable opposition constructive pour lui faire la "conversation politique" ...
Dans le contexte actuel, ma solution tient toujours la route : pour une durée limitée (le temps d'une mandature), mise en place d'un gouvernement d'Union Nationale rassemblant les vrais sociaux-démocrates, les vrais centristes et les vrais républicains de droite modérés, excluant par conséquent touts les débris de la vieille "gôche" archéo, toute l'extrême droite et toute la droite extrême ... Ces trois grandes forces, actuellement, pèsent environ 50% et devraient faire face à un ramassis hétéroclite des "extrêmes" qui ne peuvent gouverner ensemble ...
Et comment vous distinguez les "vrais-ceux-ci" des "faux-ceux-là" ?
SupprimerQuel critère et selon quel consensus ?
Celui qui a la plus forte gueule l'emportera de toute façon sur tous les autres.
Vraiment débile, finalement...
Pour l'heure je reste ici et réduit l'audience d'Over-blog. Le blog-rank dévisse et je plonge dans les classements : C'est très bien !
Parce qu'over-blog est obligé, sous la contrainte, d'appliquer la loi Gauloise, alors qu'ici, ce serait un abus de pouvoir caractérisé que la loi américaine interdit fermement.
J'y reviendrai le jour où ils auront déménagé leurs serveurs, dirigeants et siège social en Angleterre, en Irlande, aux USA ou encore en Islande.
Voire au soleil dans un état africain ou afrikaner.
Parce que demain je redoute effectivement qu'un pouvoir "fort & contraignant" s'installe durablement dans mon pays de naissance. Parce qu'une fois installé, il ne lâchera rien.
On vit déjà dans un état de droit corrompu, capable de toutes les initiatives liberticides, sans désormais plus demander la permission ni au pouvoir législatif, ni encore moins au pouvoir judiciaire.
C'est scandaleux, mais c'est le fait des "soces" qui avec la LMP se sont soumis au pouvoir militaire. Et là encore, ce n'est que le début, parce que ce n'est pas fini.
Et si vous trouvez que c'est le "bordel" ici, vous n'êtes pas obligé d'y venir, vous le savez bien !