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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 10 août 2013

NBC : Nucléaire, Bactériologique, Chimique

CHAPITRE 15ème : Les doutes de l’Iran
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Le bacille du charbon est une arme bactériologique dont les spores restent en suspension dans l'air, d’une taille de 1 à 5 µm, et, quand elles sont inhalées, se déposent dans les alvéoles pulmonaires.
Les macrophages qui les phagocytent éclatent et les spores libérées sont transportées par le système lymphatique aux ganglions trachéo-bronchiques.
Les spores donnent alors naissance à des formes végétatives qui se multiplient et produisent des toxines, jusqu'à 60 jours plus tard.
C'est la forme la plus grave de l’intoxication : Une seule dose de 2.500 à 55.000 spores inhalées est suffisante pour provoquer le décès chez 50 % des malades.
D’autant que le diagnostic précoce est difficile car les symptômes sont non-spécifiques et la suspicion de la maladie du charbon dépend de l'histoire du patient. Mais ce ne sera pas le cas dans une attaque terroriste.
 
La maladie se développe normalement en 2 phases :
– Dans la première, les signes cliniques et les examens de laboratoire ne sont pas spécifiques. Les malades développent des symptômes tels que fièvre, dyspnée, toux, maux de tête, nausées, frissons, fatigue, douleurs abdominales et thoraciques. Ce stade dure de quelques heures à quelques jours.
– Le deuxième stade est fulgurant, avec forte fièvre, dyspnée, choc toxique. Plus de la moitié des patients développent une méningite hémorragique, cyanose et hypotension et la maladie progresse rapidement.
La mort peut survenir dans les heures qui suivent.
 
Le sarin de son côté est facile à produire en grande quantité – à condition de prendre assez de précautions – pour être proche, par sa structure, d'insecticides tels que le malathion ou le Sevin. Il est également proche de médicaments tels que la pyridostigmine, la néostigmine et l'antilirium.
À température ambiante, le sarin est incolore, inodore et liquide. Il s'évapore rapidement sous la forme d'un nuage incolore et inodore. Sa volatilité permet de s'avancer sans risques sur un terrain touché par ce produit quelques minutes/dizaines de minutes/heures plus tard.
Sauf en milieu « clos » comme un tunnel !
Il est soluble dans l'eau et dans la plupart des fluides biologiques.
Il a une durée de vie relativement longue quand il est conservé dans de bonnes conditions, mais il se dégrade en quelques semaines à quelques mois dans l'environnement, non sans conséquences pour les animaux avec lesquels il entrerait en contact.
S’il peut persister plus longtemps dans les sols et sédiments en l'absence d'oxygène et de lumière, certains de ses sous-produits ou métabolites peuvent être toxiques.
 
C’est un neurotoxique organophosphoré très puissant de la catégorie G : Il attaque le système nerveux humain.
Il agit en inhibant l'acétylcholinestérase et en formant un lien covalent avec le site actif de l'enzyme, qui devrait normalement effectuer l'hydrolyse de l'acétylcholine.
Cela a pour effet de permettre à l'acétylcholine de prolonger son activité, car n'étant plus éliminée, ce qui aboutit à une paralysie complète et très rapide.
Les symptômes d'une exposition au Sarin sont un nez douloureux et enflé, une hyper salivation, des dyspnées, des myosis, accompagnées de nausées, de vomissements, d’incontinence, qui aboutissent à la perte de conscience et au coma. À un stade avancé, il provoque des convulsions avant la mort par asphyxie.
L'exposition au sarin aboutit la plupart du temps à la mort, et elle laisse toujours de graves lésions et des séquelles neurologiques permanentes chez ceux qui y survivent.
 
Une tonne de sarin ferait entre 300 et 700 morts par kilomètre carré à supposer une densité de 3.000-10.000 personnes au km² s’il est vaporisé par un avion de jour clair, ensoleillé avec un vent modéré, la tonne fait 400 à 800 victimes pour une nuit claire avec un vent modéré, 3.000 à 8.000 de nuit et dans des conditions idéales de températures et de vent.
La létalité de ce gaz dans des conditions autres qu’idéales est de 7 à 8 % par km².
Un traitement rapide à base d'atropine ou d'antagonistes de l'acétylcholine ainsi qu'un inhibiteur des organophosphorés, la pralidoxime est impératif pour échapper à la mort.
Une thérapie anticonvulsive à base de benzodiazépines est également la bienvenue.
Plusieurs armées de par le monde ont mis à la disposition de leurs soldats des seringues auto-injectables à 3 compartiments pré-chargées contenant successivement de l'atropine, la pralidoxime et le diazepam.
Chacun se rappellera l’attentat de la secte japonaise Aum Shinrikyō le 20 mars 1995, perpétrant une attaque au gaz sarin dans le métro de Tokyo.
Celui-ci ne causera la mort que de 12 personnes, en blessant plus de 5.500 dont cinquante gravement et causant des problèmes de vision temporaires à près d'un millier d'autres.
Deux centaines de kilos de sarin, bidon après bidon, sont ainsi fabriquées par des djihadistes locaux dans la banlieue de Stockholm en Suède. Leur contact les acheminera par la suite à Londres, via la route jusqu’à Anvers.
 
Quant à une attaque nucléaire du site olympique, elle pose beaucoup de problèmes à ses organisateurs. La branche iranienne d’Al-Qaïda a du mal à rester discrète dans l’acheminement des matériaux fissibles, depuis que le plan B a prévalu, faute de trouver mieux.
Mais les « autorités », après quelques atermoiements « dogmatiques », choisissent de « fermer les yeux » et d’aider à la préparation de charges opérationnelles pour quelques dizaines de kilos.
Les services secrets occidentaux, notamment la CIA et le Mossad ayant vent de diverses tentatives, y compris depuis le Pakistan, entraînera, de 2008 à 2012, des attaques informatiques, un large renforcement des intrusions de l’agence autrichienne en charge des enquêtes sur les sites sensibles et un bras de fer intense entre l’Iran et les organisations internationales, notamment l’ONU.
 
En fait depuis 2006, le Conseil de sécurité des Nations Unies a imposé quatre séries de sanctions à l'Iran relativement à son programme nucléaire.
Agissant en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies, le Conseil de sécurité a adopté les résolutions 1737 (2006), 1747 (2007), 1803 (2008) et 1929 (2010) imposant des sanctions contre l'Iran en réponse aux risques de prolifération que présente le programme nucléaire iranien, parce que l'Iran continue à ne pas se conformer aux exigences de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ni aux dispositions des résolutions précédentes du Conseil de sécurité, tout le monde en est persuadé.
Ces résolutions exigent que l'Iran coopère pleinement avec l'AIEA et suspende toutes ses activités liées à l'enrichissement d'uranium et au retraitement, même et surtout clandestines à des fins terroristes.
 
Les mesures ainsi imposées contre l'Iran en vertu des résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies incluent notamment :
– Une interdiction d'exporter vers l'Iran certains articles, matières, équipements, biens et technologies susceptibles de contribuer aux activités iraniennes liées à l'enrichissement de l'uranium, au retraitement du combustible, à l'eau lourde ou à la mise au point de vecteurs d'armes nucléaires ;
– Une interdiction de fournir toute personne en Iran de l'aide technique, des services financiers, de courtage ou tout autre service lié la fourniture, la vente, au transfert, la fabrication ou l'utilisation des produits visés par l'embargo sur l'exportation ;
– Une interdiction de mettre des biens ou des services financiers ou services connexes à la disposition de l'Iran à des fins d'investissement dans certaines activités nucléaires ;
– Une interdiction d'exporter vers l'Iran toute technologie se rapportant à toute activité liée aux missiles balistiques pouvant emporter des armes nucléaires, y compris les tirs recourant à la technologie des missiles balistiques ;
– Une interdiction d'exporter vers l'Iran tout char de combat, véhicule blindé de combat, système d'artillerie de gros calibre, avion de combat, hélicoptère d'attaque, navire de guerre, missile ou lanceur de missile ;
– Une interdiction d'importer en Iran des armes et du matériel connexe ainsi que des équipements et articles en lien avec des activités nucléaires posant un risque de prolifération ou avec la mise au point de vecteurs d'armes nucléaires ;
– L'imposition d'un gel des avoirs à l'encontre des personnes ou entités désignées par le Conseil de sécurité ou par le Comité créé conformément au paragraphe 18 de la résolution 1737 (2006) (le « Comité 1737 ») comme participant aux activités de l'Iran liées à l'enrichissement de l'uranium, au retraitement, à l'eau lourde ou à la mise au point de vecteurs d'armes nucléaires ;
– Une interdiction de voyager visant les personnes désignées par le Conseil de sécurité ou par le « Comité 1737 » comme participant au programme nucléaire iranien ;
– Une interdiction des réclamations déposées par l'Iran ou par les personnes désignées concernant toute transaction interdite en raison des sanctions imposées sur l'Iran.
Et finalement, début 2012, au moment où les menaces se précisent le plus fortement sur Londres, l’interruption de l’accès au FOREX, marché des compensations des devises…
 
Une série de sanctions qui renforce les dirigeants iraniens dans leur volonté de « pousser les feux », à condition de ne pas être mis en cause directement…
Dans ces conditions, les projets du groupe de contact d’Al-Qaïda sont d’abord quasiment une aubaine inespérée…
D’un autre côté, plus les menaces sur Londres se précisent, plus les manœuvres diplomatiques et militaires au large des côtes du détroit d’Ormuz se font pressantes, plus les dirigeants iraniens se font nombreux pour dire leurs doutes quant cette « stratégie » de guerre et quant aux conséquences pour le pays et ses habitants.
Le « monde d’après » que prépare Al-Qaïda pourraient ne pas être l’aubaine que les faucons du régime prédisent, mais le début des hostilités ouvertes, précipitant le monde dans un conflit particulièrement destructeur, ce qui provoque l’ire du Président iranien.
Or, il faut finir par s’en convaincre (fin mai 2012) : L’Iran n’a pas les moyens d’une guerre.
Elle ferait reculer le pays dans un moyen-âge dévastateur pour les populations et le pouvoir en place…
Et ce sera un retournement complet d’attitude, allant jusqu’à coopérer avec Interpol.

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