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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 10 août 2013

Menaces de représailles

CHAPITRE 16ème : Et persistance…
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Car en cas d’attentat aux JO de 2012, les iraniens seront jetés en pâture aux opinions occidentales et désignés comme les complices actifs. En réplique, Téhéran fermerait le détroit en immergeant plusieurs mines dans les « rails » serpentant entre les îles du détroit, interdisant toute circulation de l’or-noir depuis le golfe.
Les sultanats et principautés locaux seraient rapidement à l’agonie financière et la Vème flotte US ne pourrait qu’intervenir directement dans les ports et les villes d’Iran par des frappes massives.
Or, en 2012, l’Iran n’aura pas de vecteurs balistiques en quantité suffisante pour détruire Israël. À peine une poignée de missiles pouvant atteindre l’État hébreu, facilement interceptables par les « Patriots » américains basés sur le sol israélien, en Irak et dont le déploiement est envisagé en Turquie.
Vingt ans de travaux anéantis en quelques jours, sans même pouvoir atteindre les objectifs stratégiques !
La « guerre » fait rage entre « Colombes » et « Faucons ».
Gagner du temps, ou laisser faire les commandos-suicides d’Al-Qaïda dont l’activité apparaît de plus en plus clairement ?
 
Et les enquêteurs de l’agence de sûreté nucléaire rendent les choses plus difficiles.
Par ailleurs, les cyber-attaques israéliennes et américaines retardent considérablement leur programme d’enrichissement par centrifugation de grandes quantités de combustible enrichi. Même pour des centrales civiles.
Enfin, les attentats contre les personnels ingénieurs et techniciens dédiés aux sites du nucléaire civil sanctionnent « toutes dérives » et rendent encore plus difficiles les « vocations ».
Le pays entier vit sous la menace d’attaques frontales surprises menées éventuellement par Tsahal alors que les occidentaux massent jusqu’à 30 % de leurs moyens nucléaires dans le détroit d’Ormuz au printemps 2012, avec tout l’éventail d’une riposte tactique prête à transformer le pays en zone définitivement irradiée.
 
Bien avant, Badr Mansour, le haut-responsable du TTP, chef opérationnel d'Al-Qaïda pour le Pakistan aidé par les fonds de l’organisation, envisage alors de nouveau « d’extraire » une charge opérationnelle de l’arsenal militaire pakistanais après la mort d’Oussama Ben Laden. Il faut dire que les circonstances de la violation de l’intégrité territoriale du pays, est en passe d’achever de convaincre les plus radicaux au sein de quelques hauts-gradés de l’armée à ce moment-là.
Mais les échanges avec les agents iraniens dissuadent les autorités pakistanaises de laisser faire.
Avec deux essais et plusieurs dizaines de munitions, les forces nucléaires du pays sont placées sous la responsabilité de la National Command Authority, qui regroupe les principaux dirigeants politiques et militaires du pays et des forces de sécurités conséquentes.
Mais sa force nucléaire est toute entière tournée vers l'ennemi héréditaire, l'Inde, elle aussi puissance atomique. Les vecteurs des têtes pourraient être aussi bien des avions (A5 Chinois, Mirage III français ou F 16 américains) que des missiles sol-sol, développés avec l'aide de la Corée du Nord.
À ce moment-là, le docteur Kahn père de « la bombe » pakistanaise, après avoir été jugé traite à son pays en se transformant en agent de dissémination du savoir-faire de son pays en matière nucléaire militaire et assigné pendant 5 ans à résidence surveillée par le régime, est redevenu un homme libre depuis 2009 par décision de la Haute Cour d'Islamabad.
 
Ce qui n’a pas empêché les contacts… avant et surtout après.
Car naturellement, il est profondément contre l’usage de l’arme nucléaire à des fins terroristes. En revanche, l’attrait de la reconnaissance publique et la part de gloire et de retombées financières conséquentes n’ont pas été longs à générer des « échanges » de bons-procédés avec les hommes de Badr Mansour, la plupart des ingénieurs qualifiés, transfuges iraniens acquis à l’islamisme et œuvrant officiellement pour le programme civil nucléaire iranien.
Et l’argent d’Al-Qaïda ne laisse jamais indifférent quand il coule à flot par petites doses d’étudiants talibans béats d’admiration devant leur « héros ».
 
C’est ainsi qu’au fil du temps ceux-là acquièrent la certitude qu’avec la masse critique d'environ 50 kilogrammes d'uranium 235, formée en une boule de matériau pur, non modéré, et en l'absence de réflecteur de neutron, on peut facilement disposer d’une munition de de 1 à 15 K/t, enfermé dans un conteneur mesure 103 x 70 x 65 cm pour un poids total opérationnel de 170 kg…
Or, avec seulement 1 kilotonne, cette charge pour aussi faible qu'elle soit, provoque un formidable pouvoir destructeur : À 800 m, une telle explosion engendre une surpression de 4,1 psis (1 psi = 700 kg/m²) capable de raser une maison, une onde de chaleur de 3,8 calories/cm² et des radiations de 670 rems.
Largement de quoi provoquer des dégâts considérables à Strafford le jour J.
 
En fait, ce n’est pas tant la charge qui provoque l’explosion, car pour obtenir une explosion atomique, il faut déclencher une réaction en chaîne dans un matériau fissile, le faisant passer rapidement d'une configuration sous-critique (k = 0,9 ou 0,8) à une configuration nettement supercritique (idéalement, k = 3, donc trois ou quatre « morceaux d’U235 »), de manière à ce que les neutrons libres puissent se multiplier exponentiellement.
Le principal problème technique à résoudre pour assurer l'efficacité de l'explosion est de maintenir le matériau fissile dans une configuration supercritique suffisamment longtemps pour qu'une fraction substantielle de sa masse ait subi la fission et délivre de l'énergie.
Cependant, si la présence d'une masse critique suffit à déclencher une réaction en chaîne, celle-ci n'est pas nécessairement explosive. Elle ne l'est pas dans une centrale nucléaire, ni lors d'accident de criticité. Dans les bombes atomiques, la quantité de matière fissile doit même être supérieure à la masse critique, de l'ordre de trois fois en général.
Et pour des raisons évidentes de sécurité, les éléments fissiles d'une bombe atomique sont tenus en configuration sous-critique pour éviter toute fission nucléaire accidentelle. C'est juste avant le déclenchement de la bombe qu'on lève les différentes sécurités présentes pour éviter que la forme critique soit atteinte; on dit alors que la bombe est armée.
 
Le système le plus rustique, mais demandant 2 à 3 dixième de seconde, laissant perdre une partie de la capacité de destruction de la matière fissible, consiste à projeter deux masse sous-critique de la charge l’une sur l’autre et sur une troisième placée au milieu des deux autres, guidée dans un cylindre blindé, comme de l’affût d’un canon à double cartouche.
À l’approche les unes des autres, la réaction en chaîne se déclenche toute seule.
Little Boy, la bombe larguée sur Hiroshima utilisait cette technique, mais avec deux demi-sphères seulement, et des explosifs classiques pour raccourcir la durée d’ignition.
Une technique particulièrement fiable, employée sans essai préalable, contrairement au type à implosion utilisé sur Nagasaki, qui démontre à quel point ce mode de fonctionnement est robuste, et relativement facile à maîtriser.
 
La première bombe d’Al-Qaïda se contentera donc de deux ressorts assez puissants et d’une course relativement courte, juste le temps d’ôter les modérateurs en plomb situés entre les morceaux d’uranium destinés à éviter tout déclenchement accidentel de la charge.
Pas besoin de contrôle électronique, ni de retardateur : Le martyr actionnera à la main le retrait de la plaque en plomb et déclenchera le jeu des ressorts de la même façon avant de rejoindre le paradis promis par le Prophète pour les combattants de l’Islam triomphant !
En revanche, celle « extraite » de la conception du Dr. Khan est un peu plus élaborée pour provoquer l’ignition par le jeu d’un puissant explosif concentrique disposé autour de la charge proprement dite, grâce à un jeu de détonateur numérique que l’organisation se procure en pièces détachées depuis le Japon et la Corée.
Et finalement sera affublée d’un blindage de réflecteurs.
Ce qui peut assurer jusqu’à 15 kilotonnes de puissance délivrée.
 
Le plan final enfin arrêté prévoit ainsi d’amener les deux munitions nucléaires fabriquées au Pakistan par la mer jusqu’à proximité des eaux territoriales européennes. Le kamikaze désigné volontaire pour cette mission-suicide n’aura qu’à approcher les installations olympiques le soir de la cérémonie d’ouverture des jeux par le meilleur moyen de son choix, où seront attendues 80.000 personnes et 120 chefs d’États ou de gouvernement à l’aide d’une camionnette, ou en bateau le long de la Tamise, ou encore en ULM, voire d’un hélicoptère et déclencher sa charge : Les choses ne sont pas plus précises à l’automne 2011.
 
De même, le kamikaze porteur de la bombe « élaborée » arrivera de la même façon : Les choses ne sont pas encore arrêtées définitivement quand il s’agit de convoyer les deux munitions, même si le risque de ne le faire qu’en une seule fois n’est pas écarté pour des raisons d’intendance...
Naturellement, l’idéal aurait été de pouvoir dissimuler la charge « pakistanaise » bien avant, de la cacher dans un local technique quelconque à l’occasion des travaux de finitions du stade.
Mais il aurait fallu partir rapidement.
Ce qui ne sera pas le cas.
 
Par ailleurs, il est prévu deux autres réseaux. Dans l’esprit d’Oussama Ben Laden, l’emploi d’ULM était plutôt réservé à la dissémination en aérosol du stock d’anthrax fabriqué sur place. Pour rajouter à la panique, ce seront 3 équipes qui laisseront échapper dans le « tube » leurs charges de gaz sarin un peu après la première explosion, afin de bloquer la circulation des personnes prises de panique par, soit l’explosion, soit les premiers effets de l’anthrax respiré, soit les deux en même temps.
Dans ces conditions, le record de septembre 2001 des « twins » en termes de nombre de victimes devrait tomber largement pour être totalement dépassé en une seule soirée.
Et pour peu qu’un milliard de téléspectateurs regardent les événements en direct, Al-Qaïda fera plus que frapper l’insolente City, en frappant surtout l’imaginaire collectif de la totalité des terriens !
C’était l’objectif initial.

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