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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 7 août 2013

L’enquête

CHAPITRE 10ème : L’ombre d’Al-Qaïda
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Les quatre explosions ont été déclenchées manuellement, les paquets d'explosifs pesant 4,5 kg mais étant très puissants. Après avoir été déclarés de nature militaire, la police a estimé qu’il s’agissait d'explosifs artisanaux, à base de peroxyde d'acétone, une substance facile à confectionner avec des produits domestiques. Ils étaient placés dans des sacs à dos et la police annonce avoir trouvé des empreintes digitales sur ces paquets.
Selon un article israélien, l'explosif serait le même que celui utilisé dans un attentat à Tel-Aviv en 2004 par des kamikazes ayant des passeports britanniques.
La piste irlandaise semble aussitôt devoir être écartée puisque l'IRA a presque toujours prévenu de ses attentats et qu'un démenti a été donné par un officiel de ce mouvement.
Le modus operandi des explosions coordonnées, sauf celle du bus, dans des transports en commun, fait penser aux attentats du 11 mars 2004 à Madrid provoqué par des islamistes marocains ou encore ceux du 6 février 2004 à Moscou imputés aux filières islamistes tchétchènes, ayant chacun fait plusieurs centaines de victimes.
 
Le 12 juillet 2005, 5 jours après les attentats, Scotland Yard déclare avoir identifié quatre suspects sur les enregistrements d'une caméra de surveillance de la Gare de King's Cross datant du 7 juillet 2005 à 8 h 30. Il s'agit de 4 jeunes musulmans britanniques :
Mohammad Sidique Khan, 30 ans, vivant à Dewsbury avec sa femme et leur jeune enfant : Explosion d'Edgware Road ;
Shehzad Tanweer, 22 ans, vivant à Leeds avec ses parents travaillant dans un fish and chips : Explosion d'Aldgate East.
Germaine Lindsay, 19 ans, vivant à Aylesbury, dans le Buckinghamshire, avec sa femme enceinte : Explosion de Russell Square.
Hasib Hussain, 18 ans, vivant à Leeds avec son frère et sa belle-sœur : Explosion de l'autobus à Tavistock Square.
Sur des images diffusées par la presse on voit Hasib Hussain portant un sac à dos d'apparence militaire.
Aucun n'était précédemment connu des services de police : une parfaite réussite de la tactique du « dissimulement » propre aux djihadistes de la nouvelle génération.
Le jour des attentats, tous les quatre se sont rendus en voiture à Luton, dans le Bedfordshire, d'où ils ont gagné Londres par le train. Où ils ont été filmés par une caméra de surveillance à leur arrivée à la Gare de King's Cross.
 
La deuxième étape de l'enquête a consisté à mener des perquisitions dans leur entourage pour démanteler tout le réseau dès les 12 et 13 juillet suivant.
La police a ensuite diffusé quelques noms de suspects recherchés :
 
– Mohammed al-Guerbouzi, un homme qui a séjourné à Londres et qui serait l'un des fondateurs du GICM, le Groupe islamique combattant marocain, a été présenté comme suspect par des medias, ce que la police a qualifié de spéculations.
Dans un entretien à la chaîne de télévision Al Jazira, il nie toute implication. Il affirme ne pas être dans la clandestinité et ne pas être recherché par la police londonienne.
Il semblerait qu'il ne soit pas impliqué dans ces attentats ;
 
– Mustafa Setmarian Nasar dit Abou Moussab al-Souri, un syrien présumé être le cerveau des attentats et également le cerveau des attentats de Madrid ;
 
– Magdi Mahmoud El-Nashar, un égyptien de 33 ans, maître de conférences en chimie à l'université de Leeds.
Depuis cinq ans, ce chercheur en biochimie menait des études de troisième cycle et bénéficiait d'un accès aux laboratoires. Il est soupçonné d'être l'artificier du groupe.
Il a également passé le premier semestre 2000 au département de génie chimique de l'Université d'État de Caroline du Nord.
Trois semaines avant les attentats de Londres, il aurait loué un appartement à Leeds.
D'après le journal égyptien Al-Ahram, qui cite une source sécuritaire non identifiée, le biochimiste aurait expliqué aux enquêteurs qu'il louait une maison à Hasib Hussain.
La police britannique a perquisitionné la maison d'el-Nashar à Leeds, où elle a découvert des traces d'explosifs. Il aurait quitté l'Angleterre la veille des attentats.
Scotland Yard confirme le 15 juillet son arrestation en Égypte.
Selon les autorités égyptiennes, il nie toute implication dans les attentats. Le ministère de l'Intérieur égyptien a indiqué que « l'enquête montre de manière irréfutable » que Magdi Nachar, « n'a joué aucun rôle » dans les attentats du 7 juillet. Il a été relâché le 9 août 2005 ;
 
– Haroon Rashid Aswat, un Pakistanais. Il aurait quitté Londres deux jours avant les attentats et aurait passé plus de 20 communications par portable avec les présumés auteurs des attentats.
Il est considéré comme le dirigeant britannique d'Al-Qaïda et Scotland Yard le soupçonne d'être le commanditaire des attentats. Après des rumeurs d'arrestation le 20 juillet au Pakistan, il a finalement été arrêté par la police zambienne à la frontière du Zimbabwe et détenu en Zambie où il aurait déclaré avoir été un garde du corps d'Oussama Ben Laden.
Dans une interview à Fox News du 29 juillet 2005, l’ancien procureur et expert en renseignements, John Loftus révèle que Haroon Rashid Aswat avait des contacts avec les services britanniques MI6 : « La police britannique lui fait la chasse et une aile du gouvernement britannique, le MI6 ou les services secrets britanniques le cachait... ».
Le 7 août 2005, il a été extradé vers le Royaume-Uni. Scotland Yard ne serait pas intéressé par Aswat…
 
Le 1er septembre 2005 Al-Jazira indique avoir reçu une cassette vidéo dans laquelle le réseau Al-Qaïda revendique les attentats de Londres du 7 juillet.
Al-Jazira montre une séquence dans laquelle on voit l'un des kamikazes, Mohammad Sidique, et une autre dans laquelle on voit le numéro deux d'Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri.
Mais cette vidéo aurait été éditée après les attaques, ne démontrant ainsi pas le soutien d'Al-Qaïda.
Comme souvent…
 
Car il faut aussi noter que dans un sondage de mars 2005, plus de 80 % des Britanniques redoutaient une attaque terroriste pour l'année à venir.
Or, d'après les autorités locales et nationales, Londres était censée être la ville d'Europe la mieux préparée à une attaque terroriste.
Les services concernés estimaient probable la préparation d'un attentat dès 2004 et prirent des précautions.
 
Encore plus curieux, juste avant les attaques de juillet, le niveau de sécurité avait été descendu d'un cran par le MI5 !
Des simulations d'attaques avaient même eu lieu aux mêmes endroits et à la même heure que les véritables attentats à la bombe dans le métro londonien. C'est Peter Power, ancien de Scotland Yard et directeur de « Visor Consultants » – société qui effectuait cette simulation – qui l'affirme…
 
Le 10 septembre, c'est au tour de Michael Meache, ancien ministre de l'environnement de Tony Blair entre 1997 et 2003 de faire des déclarations. Selon lui, ce serait Omar Saïd Cheikh qui aurait organisé les attentats depuis sa prison au Pakistan, où il a été condamné à mort.
Le 22 mars 2007, trois hommes ont été arrêtés en relation avec les attentats. Deux, alors qu'ils s'apprêtaient à partir pour le Pakistan et un chez lui à Leeds, dans la rue où avait vécu un des kamikazes.
 
Le « réseau », « l’organisation » fonctionnait toujours. Il y a encore des « taupes » capables de perpétrer des attentats-suicides aveugles, n’importe où, n’importe quand, simplement sur un ordre antérieur.
 
Un coup de semonce, sans frais et sans lien apparent ni enjeu électoral, rien d’autre que la sélection de la capitale de l’empire britannique pour des jeux « de dans 7 ans ».
Trois coups, comme au théâtre, plus un, ce dernier signant « la marque » d’Al-Qaïda, comme le 11 septembre 2001 : Quatre frappes – les deux twins, une sur pentagone, une autre ayant échoué sur le Capitole – ou rien !
Al-Qaïda s’invitera aux jeux de 2012.
Restait à mettre en scène la suite du scénario imaginé par Oussama Ben Laden et ses lieutenants : Après Wall-Streets, au tour de la City !

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