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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 4 août 2013

2 avril 2005

CHAPITRE 4ème : Fin d’un pontificat
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Plus tard, en 2005, Jean-Paul II contracte une grippe qui se transforme en laryngo-trachéite aiguë avec des crises de spasmes du larynx, ce qui l'oblige à être hospitalisé le 9 février 2005.
Le 23 février, il est de nouveau hospitalisé à la suite d'une crise d'étouffement, puis on lui pratique une trachéotomie pour le soulager. Il s'était entraîné à prononcer la bénédiction Urbi et orbi le jour de Pâques mais reste muet à sa fenêtre, sans arriver à dire un mot.
Le 31 mars, il est victime d'un choc septique, d'un collapsus cardio-vasculaire et d'une infection urinaire dans le même temps. Jean-Paul II refuse alors l'hospitalisation. Dans la journée du 2 avril 2005, il dit adieu à ses collaborateurs, un par un, puis écoute l'Évangile de Jean prononcée par une des religieuses qui l'avaient servi pendant 25 ans.
 
Il entre dans le coma en soirée et s'éteint au Vatican le 2 avril 2005, veille du Dimanche de la divine Miséricorde, à 21 h 37, heure locale, à l’âge de 84 ans et après un pontificat de 9.673 jours, le troisième plus long de l’histoire de l’Église. Le certificat du décès publié le 3 avril par le Vatican, confirme son décès due à un choc septique et une à insuffisance cardiaque. Il est enterré dans la crypte du Vatican le 8 avril, cérémonie organisée par le doyen d’âge qu’est le cardinal Joseph Ratzinger lui-même.
 
Plus de 3 millions de personnes viennent à Rome, du 2 au 8 avril 2005. Celles qui vont en la basilique vaticane, saluer la dépouille du pape, défilent au rythme de 21.000 à l'heure, soit 350 personnes à la minute. L'attente va de 13 à 24 h, avec une queue maximale de cinq kilomètres de long.
Le jour des funérailles, 500.000 fidèles se massent Place Saint-Pierre et Via della Conciliazione, 600.000 dans les sites urbains dotés d'écrans géants installés par la municipalité. La salle de presse du Saint-Siège et le Conseil pontifical pour les Communications sociales délivrent plus de 6.000 accréditations (journalistes, photographes, reporters de radio-télévision) pour la couverture de l'événement.
137 chaînes TV de 81 pays diffusent la Messe de funérailles. On estime à deux milliards le nombre de personnes qui ont vu la cérémonie d'enterrement de Jean-Paul II à travers le monde.
La Messe de funérailles est concélébrée par 157 cardinaux, en présence de 700 archevêques et évêques, 3.000 prélats et prêtres.
 
En septembre 2005, la revue de géopolitique italienne Limes publie un texte présenté comme le Journal du conclave d'un cardinal ayant pris part au vote. Ce texte affirme que le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio (futur pape François) aurait été le plus sérieux rival du successeur de Jean-Paul II, qui prend pour nom Benoît. Ces chiffres auraient dû rester secrets, d'autant plus qu'avant de rentrer en conclave les cardinaux électeurs ont tous solennellement juré de ne jamais violer le secret de l'élection, sauf autorisation papale.
Or, dès la sortie du conclave, plusieurs cardinaux n'ont pas manqué de raconter quelques confidences et anecdotes, comme celle des difficultés de faire fonctionner le vieux poêle en fonte prévu pour brûler les bulletins, les feuilles de décompte et annoncer l'élection d'un nouveau pape grâce à une fumée blanche.
 
Au premier tour, le cardinal papabile Carlo Maria Martini, jésuite de 78 ans, ancien archevêque de Milan et chef de file du camp dit « progressiste », connu pour sa rigueur doctrinale mais surtout pour ses positions novatrices sur les questions sociales et pastorales et donné favori par les journalistes vaticanistes, n'aurait recueilli que 9 voix, le cardinal Jorge Mario Bergoglio, autre jésuite, 10 et le cardinal Ratzinger, 47.
Au deuxième tour, le lendemain matin, le cardinal Carlo Maria Martini n'aurait recueilli aucune voix, le cardinal Jorge Mario Bergoglio en aurait recueilli 35 et le cardinal Joseph Ratzinger en aurait réuni 65.
Au déjeuner, le cardinal Bergoglio, par des gestes, aurait fait comprendre à ses partisans qu'il ne voulait pas être élu.
Au troisième tour, l'élection finale du cardinal Ratzinger n'aurait plus fait de doute, le cardinal Bergoglio n'aurait recueilli que 40 voix et le cardinal Ratzinger 72.
Au quatrième tour, le cardinal Bergoglio n'aurait recueilli que 26 voix et le cardinal Ratzinger aurait obtenu 84 voix sur 115 cardinaux, soit 7 de plus que la majorité requise pour être élu pape.
Selon le journal, l'annonce des résultats aurait été suivie d'un long silence puis saluée « d'un long et cordial applaudissement » : Celui qui priait secrètement pour ne pas être élu est désigné évêque de Rome et Pape des catholiques.
 
Un conclave d'à peine plus de vingt-quatre heures et le 19 avril 2005, la fumée blanche apparaît sur le toit de la chapelle Sixtine à 17 h 56.
À 18 h 35, le cardinal protodiacre chilien Jorge Arturo Medina Estévez, annonce publiquement sur la place Saint-Pierre le traditionnel « habemus papam » et l'élection du cardinal Ratzinger comme successeur de Jean-Paul II en tant que 265ème pape sur le trône pontifical.
Lors de sa première apparition publique ce 19 avril 2005, avant la première bénédiction « Urbi et orbi » de son pontificat, le nouveau pape, sous le nom de Benoît XVI, prononce les mots suivants :
« Chers frères et chères sœurs, après le grand pape Jean-Paul II, Messieurs les Cardinaux m'ont élu moi, un simple et humble travailleur dans la vigne du Seigneur. Le fait que le Seigneur sache travailler et agir également avec des instruments insuffisants me console et surtout, je me remets à vos prières, dans la joie du Christ ressuscité, confiant en son aide constante. Nous allons de l'avant, le Seigneur nous aidera et Marie, Sa Très Sainte Mère, est de notre côté. Merci. »
Après Albino Luciani (Jean-Paul Ier) et Karol Wojtyła (Jean-Paul II), c'est le troisième cardinal nommé par Paul VI à devenir pape. Sur les cent quinze cardinaux ayant pris part au conclave, seuls deux n'avaient pas été nommés par Jean-Paul II.
 
À 78 ans, il est le pape le plus âgé au jour de sa prise de fonctions depuis Clément XII en 1730. Un « pape de transition » ? Et il s'agit du premier pape d'origine germanique depuis Victor II (1055-1057), originaire de la Souabe, et Adrien VI (1522–1523), originaire d'Utrecht (Pays-Bas espagnols, alors relevant du Saint-Empire romain germanique).
La messe d'inauguration du pontificat a lieu le 24 avril 2005 en présence de nombreux hauts dignitaires de la planète.
Dans sa première homélie, le pape Benoît XVI précise qu'il ne va pas livrer de « programme ». On note toutefois que contrairement au dialogue avec le monde juif et l'œcuménisme, le dialogue avec l'islam n'est pas cité parmi ses priorités.
 
Au cours des mois qui ont suivi, le pape a mis en pratique un dicton bavarois qui recommande à un évêque d'observer pendant au moins un an et de ne rien toucher à l'administration de son diocèse.
Depuis lors, le pape a renvoyé le président du conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux, Mgr Fitzgerald, « promu » nonce apostolique en Égypte, alors qu'on le donnait comme pouvant être promu au rang de cardinal, et fusionné ce conseil avec celui de la culture.
Le pape a effectué plusieurs voyages, en Italie (notamment à Bari, dans les Pouilles), en Allemagne (août 2005 pour les journées mondiales de la jeunesse et en septembre 2006), en Pologne (mai 2006), en Espagne (juillet 2006), en Turquie (novembre 2006), au Brésil (mai 2007), en Autriche (septembre 2007), aux États-Unis (avril 2008), en Australie (juillet 2008 pour les journées mondiales de la jeunesse) et en France (septembre 2008).
 
Mais depuis, il n’a pas oublié la promesse non-tenue de son prédécesseur de lui faire remettre une copie de la prophétie de Jean de Jérusalem, un croisé originaire de bourgogne, ni de se s’inquiéter de la santé de « Sarah », alors âgée de 13 ans au commencement de son pontificat.
Et puis, après étude, échanges et prières il annoncera démissionner de ses fonctions le 28 février 2013 à 20 heures locales pour être remplacé par Jorge Mario Bergoglio, jésuite et argentin, qui prend le nom François, le 13 mars 2013.
Que s’est-il donc passé dans son esprit ?
 
Dès les premiers jours de son pontificat, Benoît XVI organise sa vie et son travail avec des hommes neufs, mutant parfois à d’autres responsabilités quelques « personnages » de la Curie, non sans créer des rancunes et des tensions, des craintes et des jalousies.
Il fait confiance à son majordome, recruté plus tard en 2006, avec qui il a des discussions parfois étranges et de toute façon confidentielles : Comme tout homme de foi, le Pape a lui aussi des doutes.
 
Depuis qu’il occupe les appartements pontificaux, il médite sur le texte de Jean de Jérusalem (1042-1120), en fait Jean de Vézelay, dit aussi Jean de Mareuil, un moine chrétien, devenu chevalier Croisé, l'un des fondateurs de l'Ordre du Temple et l'un des premiers templiers, qui participa à la libération de Jérusalem en 1099, conquise 20 ans plus tôt par les Turcs.
C’est au cours de son séjour dans la Ville Sainte qu’il rédige son recueil prophétique.

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