Ou comment la pub gouvernementale vous rend accro !
Ça commence comme une blague (du
vendredi) de Jean-Marc : Ce dernier va chez son médecin
pour la révision des 15.000 km annuels et lui demande : « Je
risque quoi, Docteur, si je ne consomme pas mes 5 fruits et légumes quotidiens ? »
Réponse du « sachant » : « Vous risquez une carence en glyphosate ! »
Plus sérieusement, certains aliments ont envahi les
rayons des magasins depuis plusieurs années et arrivent jusque dans les
assiettes des « Gauloisiens-shootés » malgré leur dangerosité.
Pas forcément à domicile le midi et souvent fatigués le soir, les « Gauloisiens-addicts » n’ont pas toujours le temps d'enfiler leur tablier pour cuisiner, d’autant plus pour une famille nombreuse.
La solution est donc bien souvent d’acheter des plats déjà tout prêts à la consommation, en conserve, en sachet, en box, sous cellophane et qui sont présentés de telle façon qu’ils restent appétissants.
Même si parfois, pour les rendre « acceptables », il faut rajouter un peu de sauce, du sel, du fromage râpé, un peu de beurre ou d’huile d’olive, ou plus simplement un simple une cuillère d’eau (ou encore mieux, de vin blanc).
Ces aliments, dit « ultra-transformés »,
représentent aujourd’hui près de 80 % des produits en vente dans les rayons
alimentation des grandes surfaces.
C’est là où il y a de la marge pour tout le monde, l’industriel et le distributeur…
Car ils sont bien pratiques pour faire gagner un temps précieux à l’heure des repas (et je faisais même un repas complet en 2 minutes chrono de préparation avec ça et un four à micro-ondes) mais leur impact sur la santé est des plus nocifs.
D’abord, rappelons que les aliments sont considérés
comme ultra-transformés lorsqu’ils ont subi un grand nombre de transformations
lors de leur fabrication.
Les changements subis par les produits peuvent être de différente nature, des transformations chimiques en passant par l’ajout d'additifs ou encore le changement du goût ou de l’arôme.
Ils sont différents des aliments transformés qui ne sont généralement modifiés que pour garantir une meilleure conservation au consommateur.
Les aliments ultra-transformés sont forcément modifiés industriellement, ce qui affecte leurs valeurs nutritionnelles.
Pour relater la dépendance créée par ces produits, la « sémillante
psychologue » « ricaine » Ashley
Geardhart aura publié une étude dans laquelle elle analyse l’addiction
ressentie par les consommateurs.
Elle a ainsi constaté que les aliments ultra-transformés déclenchent des comportements compulsifs et des effets sur l’humeur lorsque le consommateur en est privé.
Je demande à voir : En ce qui me concerne, seuls les vins raffinés me provoquent ce genre de comportement…
Des effets qui correspondraient parfaitement au rapport sur l’addiction au tabac publié par l’administrateur de la santé publique « ricaine » de 1988 assure-t-elle.
Notez qu’on a progressé depuis, et les patchs sont là pour réguler ses effets néfastes : Je sais, je ne fume plus…
En revanche, les patchs au pinard, je ne sais même pas si on envisage qu’ils existeront un jour : Les meilleurs et les plus efficaces restant les droits de douane de « Trompe ».
Mais pour les scientifiques, l’industrie agro-alimentaire a su reprendre les modèles du tabac dans sa façon de commercialiser les produits.
Deux symptômes de la dépendance sont à noter : Le
principal reste la fringale.
Le cerveau habitué au sucre (il en consomme beaucoup, comme vos cellules cancéreuses et obstrue vos veinules), au gras (qui encrasse vos artérioles) ou au sel (qui rigidifie vos vaisseaux sanguins) contenus dans les produits ultra-transformés va vouloir en consommer encore d’avantage en dehors des repas.
Ce système de récompense alimentaire favorise le grignotage.
L’étude en question montre qu’une personne qui consomme des produits ultra-transformés ingère jusqu’à 500 calories de plus par jour qu’une personne qui n’en mange pas.
Et les habitués de ces produits ont également plus de chance de développer des maladies cardiaques, du diabète ou encore du cholestérol.
Je peux vous dire d’expérience (sauf pour le cholestérol, le bon, le moins bon et le mauvais : Je n’en ai pas mais j’ai une collection de stents étonnante dans les trois artères cardiaques… plus des « ballonnets »).
Le second c’est que ça ne nourrit pas, ça « ne
tient pas au corps » comme dirait ma grand-mère, celle de « mon
cimetière ».
Rien ne vaut un cassoulet, une choucroute, un petit-salé, une portion de bourguignon, une purée et son boudin noir, un ragout, une blanquette de veau, ou un sauté de porc !
Là encore, je peux vous dire : le bol alimentaire n’est pas suffisant, même avec des boissons énergisantes en plus et une glace dégoulinante de crème tel qu’il faut repasser à table rapidement…
Passées la première heure de digestion, tout d’un coup, vous avez un coup de barre, celui des digestions difficiles… ou insuffisantes.
Si je suis au volant, il faut que je reprenne un aliment « qui cale », sans ça je m’endors !
J’en ai fait l’expérience l’année dernière : ça ne me gêne absolument pas de jeûner toute une journée et je peux assumer une veille de chaque instant du moment que j’ai à boire. J’enfile ainsi d’une traite un « Paris-Nice » et ses onze heures au volant à respecter les limitations de vitesse au kilomètre-heure près.
En revanche, si je m’arrête pour faire plaisir à « ma nichée » et prendre une collation chez McDo au lieu d’un jambon-beurre, dans l’heure qui suit je baille et j’ai les yeux qui clignent…
Que j’en deviens dangereux à devoir faire une halte « saucisson-sec » en plus des arrêts-pipi…
Aussi, pour éviter de trop consommer les produits
ultra-transformés, il vaut mieux consulter les étiquettes des produits.
Une liste d’ingrédients très longue, trop longue, est un indicateur au même titre que la mention de certains produits non utilisés en cuisine comme le sirop de glucose, les protéines hydrolysées ou la maltodextrine.
Pour traquer ces additifs, il faut surveiller toute mention commençant par la lettre E, E100 désigne les colorants et E200 les conservateurs.
Pour ceux qui ne veulent pas perdre de temps à lire les étiquettes, ou quand il n’y en a pas sur votre « McDo », des applications comme QuelProduit, Siga ou encore Open Food Facts indiquent la qualité du produit.
Le nutriscore est une ânerie complotiste qui n’est pas suffisante…
L’autre option pour éviter de se faire piéger, c’est
de faire la cuisine soi-même, le plus souvent possible à partir de produits
bruts pour s’assurer de la qualité de ce que l’on mange, quitte à emporter le
tout dans « sa gamelle ».
Là, je rejoins « ma Nichée » (celle qui fait la traversée jusqu’en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » en voilier pour éviter d’abîmer la planète… même si une fois il y a trop de vent à en restituer son bol alimentaire aux poissons et une autre fois pas assez à passer 24 heures sonorisées par le diesel du bord…) : Elle part en balade, elle se fait des bowls repliables et use de couverts en bois polis…
Mais elle accepte quand c’est moâ qui lui fait à manger, même si nous n’avons pas le même régime alimentaire.
Parce que bon, rappelons que je me méfie de l’herbe
comestible qu’on cultive à droâte et à gôche… Déjà, le pinard, c’est bourré de
sulfite, mais une étude parue récemment sur les pollutions induites aux
pesticides autour des cultures de « produits sains », fait douter.
C’est l’étude PestiRiv qui confirme ainsi l’exposition accrue des riverains des zones viticoles aux pesticides. Urines et cheveux contaminés, pesticides retrouvés dans les logements et l’air extérieur… C’est tel que « Santé publique Transe » et l’Anses appellent à réduire l’utilisation de pesticides au strict nécessaire pour limiter l’exposition des personnes vivant près des cultures.
Même dans le bordelais (dont on sait que le pinard est un médicament pour les cardiaque de mon espèce…).
En 2021-2022, 56 substances (fongicides, insecticides
et herbicides) ont ainsi été mesurées dans l’air extérieur, l’air intérieur,
les poussières des habitations, les aliments du jardin, les urines et les
cheveux des participants à cette cohorte, dans 265 zones viticoles et non
viticoles réparties sur 6 régions « Gauloisiennes-viticoles ».
Parmi les substances recherchées, certaines étaient spécifiques à la viticulture, d’autres, comme le glyphosate, utilisées aussi pour d’autres cultures.
Si la viticulture a été choisie comme cas d’étude, c’est parce qu’il s’agit de l’une des cultures qui fait le plus appel aux produits phytosanitaires (en termes de quantité et de fréquence).
De plus, 4 % de la population vit à moins de 200 mètres d’une parcelle de vigne.
Dans tous les échantillons de cette étude, l’exposition
aux pesticides est plus importante pour les personnes vivant à proximité des
vignes que pour celles habitant loin de toute culture.
« Pour les urines, les poussières et l’air ambiant, les niveaux de contamination en zones viticoles sont plus élevés qu’en zones éloignées de toute culture. Par exemple, l’augmentation de l’imprégnation urinaire est comprise entre 15 % et 45 % et l’augmentation de la contamination des poussières varie selon les substances de quelques pourcents à plus de 1.000 % ». On retrouve aussi fréquemment les substances recherchées dans les cheveux et l’air intérieur.
De mars à août, en périodes de traitement, l’exposition
aux pesticides est encore plus importante. Par exemple, l’augmentation de l’imprégnation
urinaire peut atteindre 60 % et l’augmentation de la contamination des
poussières varie selon les substances de quelques pourcents à 700 %.
Idem pour l’imprégnation des cheveux et la contamination de l’air extérieur, plus élevées en période de traitement.
Et s’il est ici seulement question des vignes, les agences soulignent que ces recommandations sont extrapolables à d’autres cultures, l’étude ayant inclus des substances non spécifiques à la culture de la vigne.
Autrement dit, manger sainement, même que seulement ses
« 5 fruits & légumes » par jour, c’est forcément dangereux pour
la santé…
Car, comme l’affirme le toubib de Jean-Marc, on ne risque pas d’être carencé en glyphosate, en revanche, c’est une drogue à accoutumance si on ne se nourrit exclusivement à la « malbouffe »…
En bref, comme en disait Pierre Péchin dans son sketch « La cèggal et la foôrmi », « ti bouffes, ti bouffes pas, ti crèves quand même »…
Bon début de semaine à toutes et à tous
I3
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Réponse du « sachant » : « Vous risquez une carence en glyphosate ! »
Pas forcément à domicile le midi et souvent fatigués le soir, les « Gauloisiens-addicts » n’ont pas toujours le temps d'enfiler leur tablier pour cuisiner, d’autant plus pour une famille nombreuse.
La solution est donc bien souvent d’acheter des plats déjà tout prêts à la consommation, en conserve, en sachet, en box, sous cellophane et qui sont présentés de telle façon qu’ils restent appétissants.
Même si parfois, pour les rendre « acceptables », il faut rajouter un peu de sauce, du sel, du fromage râpé, un peu de beurre ou d’huile d’olive, ou plus simplement un simple une cuillère d’eau (ou encore mieux, de vin blanc).
C’est là où il y a de la marge pour tout le monde, l’industriel et le distributeur…
Car ils sont bien pratiques pour faire gagner un temps précieux à l’heure des repas (et je faisais même un repas complet en 2 minutes chrono de préparation avec ça et un four à micro-ondes) mais leur impact sur la santé est des plus nocifs.
Les changements subis par les produits peuvent être de différente nature, des transformations chimiques en passant par l’ajout d'additifs ou encore le changement du goût ou de l’arôme.
Ils sont différents des aliments transformés qui ne sont généralement modifiés que pour garantir une meilleure conservation au consommateur.
Les aliments ultra-transformés sont forcément modifiés industriellement, ce qui affecte leurs valeurs nutritionnelles.
Elle a ainsi constaté que les aliments ultra-transformés déclenchent des comportements compulsifs et des effets sur l’humeur lorsque le consommateur en est privé.
Je demande à voir : En ce qui me concerne, seuls les vins raffinés me provoquent ce genre de comportement…
Des effets qui correspondraient parfaitement au rapport sur l’addiction au tabac publié par l’administrateur de la santé publique « ricaine » de 1988 assure-t-elle.
Notez qu’on a progressé depuis, et les patchs sont là pour réguler ses effets néfastes : Je sais, je ne fume plus…
En revanche, les patchs au pinard, je ne sais même pas si on envisage qu’ils existeront un jour : Les meilleurs et les plus efficaces restant les droits de douane de « Trompe ».
Mais pour les scientifiques, l’industrie agro-alimentaire a su reprendre les modèles du tabac dans sa façon de commercialiser les produits.
Le cerveau habitué au sucre (il en consomme beaucoup, comme vos cellules cancéreuses et obstrue vos veinules), au gras (qui encrasse vos artérioles) ou au sel (qui rigidifie vos vaisseaux sanguins) contenus dans les produits ultra-transformés va vouloir en consommer encore d’avantage en dehors des repas.
Ce système de récompense alimentaire favorise le grignotage.
L’étude en question montre qu’une personne qui consomme des produits ultra-transformés ingère jusqu’à 500 calories de plus par jour qu’une personne qui n’en mange pas.
Et les habitués de ces produits ont également plus de chance de développer des maladies cardiaques, du diabète ou encore du cholestérol.
Je peux vous dire d’expérience (sauf pour le cholestérol, le bon, le moins bon et le mauvais : Je n’en ai pas mais j’ai une collection de stents étonnante dans les trois artères cardiaques… plus des « ballonnets »).
Rien ne vaut un cassoulet, une choucroute, un petit-salé, une portion de bourguignon, une purée et son boudin noir, un ragout, une blanquette de veau, ou un sauté de porc !
Là encore, je peux vous dire : le bol alimentaire n’est pas suffisant, même avec des boissons énergisantes en plus et une glace dégoulinante de crème tel qu’il faut repasser à table rapidement…
Passées la première heure de digestion, tout d’un coup, vous avez un coup de barre, celui des digestions difficiles… ou insuffisantes.
Si je suis au volant, il faut que je reprenne un aliment « qui cale », sans ça je m’endors !
J’en ai fait l’expérience l’année dernière : ça ne me gêne absolument pas de jeûner toute une journée et je peux assumer une veille de chaque instant du moment que j’ai à boire. J’enfile ainsi d’une traite un « Paris-Nice » et ses onze heures au volant à respecter les limitations de vitesse au kilomètre-heure près.
En revanche, si je m’arrête pour faire plaisir à « ma nichée » et prendre une collation chez McDo au lieu d’un jambon-beurre, dans l’heure qui suit je baille et j’ai les yeux qui clignent…
Que j’en deviens dangereux à devoir faire une halte « saucisson-sec » en plus des arrêts-pipi…
Une liste d’ingrédients très longue, trop longue, est un indicateur au même titre que la mention de certains produits non utilisés en cuisine comme le sirop de glucose, les protéines hydrolysées ou la maltodextrine.
Pour traquer ces additifs, il faut surveiller toute mention commençant par la lettre E, E100 désigne les colorants et E200 les conservateurs.
Pour ceux qui ne veulent pas perdre de temps à lire les étiquettes, ou quand il n’y en a pas sur votre « McDo », des applications comme QuelProduit, Siga ou encore Open Food Facts indiquent la qualité du produit.
Le nutriscore est une ânerie complotiste qui n’est pas suffisante…
Là, je rejoins « ma Nichée » (celle qui fait la traversée jusqu’en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » en voilier pour éviter d’abîmer la planète… même si une fois il y a trop de vent à en restituer son bol alimentaire aux poissons et une autre fois pas assez à passer 24 heures sonorisées par le diesel du bord…) : Elle part en balade, elle se fait des bowls repliables et use de couverts en bois polis…
Mais elle accepte quand c’est moâ qui lui fait à manger, même si nous n’avons pas le même régime alimentaire.
C’est l’étude PestiRiv qui confirme ainsi l’exposition accrue des riverains des zones viticoles aux pesticides. Urines et cheveux contaminés, pesticides retrouvés dans les logements et l’air extérieur… C’est tel que « Santé publique Transe » et l’Anses appellent à réduire l’utilisation de pesticides au strict nécessaire pour limiter l’exposition des personnes vivant près des cultures.
Même dans le bordelais (dont on sait que le pinard est un médicament pour les cardiaque de mon espèce…).
Parmi les substances recherchées, certaines étaient spécifiques à la viticulture, d’autres, comme le glyphosate, utilisées aussi pour d’autres cultures.
Si la viticulture a été choisie comme cas d’étude, c’est parce qu’il s’agit de l’une des cultures qui fait le plus appel aux produits phytosanitaires (en termes de quantité et de fréquence).
De plus, 4 % de la population vit à moins de 200 mètres d’une parcelle de vigne.
« Pour les urines, les poussières et l’air ambiant, les niveaux de contamination en zones viticoles sont plus élevés qu’en zones éloignées de toute culture. Par exemple, l’augmentation de l’imprégnation urinaire est comprise entre 15 % et 45 % et l’augmentation de la contamination des poussières varie selon les substances de quelques pourcents à plus de 1.000 % ». On retrouve aussi fréquemment les substances recherchées dans les cheveux et l’air intérieur.
Idem pour l’imprégnation des cheveux et la contamination de l’air extérieur, plus élevées en période de traitement.
Et s’il est ici seulement question des vignes, les agences soulignent que ces recommandations sont extrapolables à d’autres cultures, l’étude ayant inclus des substances non spécifiques à la culture de la vigne.
Car, comme l’affirme le toubib de Jean-Marc, on ne risque pas d’être carencé en glyphosate, en revanche, c’est une drogue à accoutumance si on ne se nourrit exclusivement à la « malbouffe »…
En bref, comme en disait Pierre Péchin dans son sketch « La cèggal et la foôrmi », « ti bouffes, ti bouffes pas, ti crèves quand même »…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Un bon sujet ! https://www.franceinfo.fr/enquetes-franceinfo/enquete-fraude-aux-cum-cum-13-banques-en-redressement-pour-avoir-soustrait-des-milliards-d-euros-au-fisc_
RépondreSupprimerSujet archi-traité par des gens qui en tirent des conclusions éhontées.
SupprimerC'est un peu comme l'affaire des "fonds turbos". Au démarrage une "facilité" fiscale assez simple et finalement un "trou noir" fiscal...
C'est tout de même assez marrant de laisser aux "sachants" la possibilité d'aménager les règles qu'ils pondent eux-mêmes et auxquelles ils ne comprennent rien... eux-mêmes, non ?