…
Celui que j’aime tant !
J’y suis né.
Je lui serai infiniment reconnaissant de m’avoir éduqué,
formé et être devenu ce que je suis, même si je ne suis pas grand-chose.
Et je comptais bien y mourir après lui avoir restitué comme
je le pouvais – « une nichée » complète en mode marche-ou-crève,
pourvoyeuse de cotisations, impôts et taxes futurs, une boîte d’ingénierie
juridique et fiscalo-sociale avec quelques emplois attachés et autres sources
de revenus, des clients hyper-satisfaits de nos services et compétences, des
activités bénévoles plein les poches et sans un radis, un peu d’enseignement
supérieur – et puis, et puis…
Et puis je ne suis plus sûr de rien, obligé de lâcher :
Question de survie.
Ça a commencé en décembre dernier quand mon banquier devenu
habituel (celui avec qui je n’étais pas encore « fâché ») me présente
de jeunes rigolos qui sont prêts à mettre 1.000 « boules » par
« client actif », pour « avoir des références » dans le
métier.
Des « clients », j’en ai fait pas mal depuis 15
ans. Certains ne sont plus les mêmes, d’autres se sont développés, quelques-uns
ont disparu.
Et moi, j’avais besoin d’un peu de sous pour développer mon
activité associative (donc « bénévole-c’est-du-vol ») à la
petite-enfance, mon dada du moment.
Ç’a aurait pu s’arrêter là : J’aurai pu continuer à
donner des cours en master II et ékoles d’élite de « Bac++++ », faire
vivre un réseau d’associations de crèche et prendre de temps en temps une
mission de redressement d’entreprise comme par le passé, le truc
« alimentaire » dans lequel je ne suis pas si mauvais, en attendant
tranquillement des rentes suffisantes.
Et puis plusieurs événements : L’arrivée de « Menuet-Valse » à Matignon en pronostiquant que celui-là n’irait pas très loin tellement c’est un dogmatique brouillon. D’ailleurs, il n’a pas fini d’en voir de toutes les couleurs.
Et puis plusieurs événements : L’arrivée de « Menuet-Valse » à Matignon en pronostiquant que celui-là n’irait pas très loin tellement c’est un dogmatique brouillon. D’ailleurs, il n’a pas fini d’en voir de toutes les couleurs.
Pensez donc, un catalan naturalisé à la tête de la « Gauloisie-frondeuse »
et de « gôche » en plus.
Vous me direz que ça a autant de gueule qu’une andalouse pareillement
naturalisée à la tête de la kapitale…
Voire une bretonne-coréenne ministre de la culture gauloise,
une marocaine-naturalisée à « les Duc-nationale », NVBK, ou encore
une autre sous-ministre de la politique de nos villes (El-konnerie).
C'est un peu comme si nous avions si peu de talents, même de « gôche »,
qu’il faille draguer hors les prérequis gaulois ancestraux et hexagonaux.
Passons.
Plus un konnard de maire UMP de banlieue (mais si, ça existe !),
qui taille dans les subventions d’une de mes associations à la PE, tel que si
elle s’en sortira pour 2014, je pronostique une déconfiture scabreuse assurée
pour 2015. Attitude stupide, malthusienne, suicidaire, même dans les rangs de l’UMP.
Elle est donc à vendre rapidement pour éviter d’avoir à
licencier et elle sera vendue rapidement pour pouvoir faire face à son passif
d’exploitation qui enfle et assurer le service auprès des familles.
Enfin, l’élément déclencheur : Je recommence à être
« harcelé » par des « services qui n’existent pas » avec
plein d’embrouilles sur mes divers comptes à courriel, des dénis de services internet
en quantité, des attaques virales, etc.…
Je déménage donc le serveur qui me sert de relais entre mes
machines et « la toile » pour parer les virus, passe au peigne fin
ses disques durs, ce qui du coup libère mes bureaux transformés en locaux vides
que je mettrai à la vente un peu plus tard.
Et je déménage dans la foulée mes activités blogueuses
d’over-blog, toujours susceptibles de tomber sur une loi liberticide de
« Gauloisie-des-libertés-frénétiques », vers les serveurs américains
de blogpost, plus sûr : Ils ont des juges, des vrais, eux.
Qu’est-ce qui en résulte ? Dans ma tête, je n’ai plus
confiance. Et je me retrouve avec un paquet de pognon qu’il n’est plus question
d’investir en pure perte dans la « petite-enfance », sauf à en
devenir « commerciale » (ce que je me refuse de faire : Le « social »,
c’est contradictoire avec le lucre), soumis aux diktats de quelques
prétentieux-locaux, même nouvellement élus.
Là-dessus, après le scrutin du 25 mai dernier, envoyant un
tiers d’élus frontistes du quota national à Strasbourg, il n’y a plus de doute,
l’avenir, le vrai, celui à long-terme que représente justement le parlement
européen, est désormais obscurcis durablement à en devenir dangereux, voire
très dangereux pour tout le monde : Il faut savoir anticiper, dans la vie.
Sitôt dit, sitôt fait, je décampe et termine « à
l’arrache » les quarante premiers posts de l’opus « Mains
invisibles » que je mets en ligne avant de prendre le large sur un ketch
acheté d’occasion (avec les sous de ma boîte vendue).
Avec les sous des locaux de bureaux parisiens et de mon
« tas de boue à roulette » refourgué dans la foulée, je paye de quoi
loger « ma nichée » qui se doit de finir ses études (à travers une
SCI à parts démembrées, histoire de passer plus tard à travers les droits dus
sur ma succession qui avance à grand pas), je fais la bise à ma Môman et je
pars direction la Grèce rejoindre ma « petite-sœur » et son mari.
Contournement de la péninsule ibérique avec une traversée du
golfe de Gascogne que je vous raconterai peut-être une autre fois.
Escale à Barcelone où la légende veut que je fasse un aller
et retour à Paris pour rencontrer l’amiral « Morthe-de-l’Argentière »
(ou un autre) le dimanche 13 juillet.
Après un avitaillement rapide (surtout de quoi faire de la
sangria locale), je déboule sur Bonifacio saluer quelques cousins et mettre en
ligne les derniers posts de « Mains invisibles » écris entre-temps,
loin des logiciels espions qui me tracent.
Dans mon idée, je vais en mer Égée.
Première rencontre bizarre : Un Mirage 2000 traverse ma
route du moment à très basse altitude. Par le travers et parallèlement à mon
cap. Celui-là, je ne l’ai pas entendu arriver. Il vire sur tribord, prend un
peu d’altitude et puis revient droit sur moi en léger piqué et forte accélération.
Quand il passe au-dessus des mâts (j’ai deux mâts en plus d’un bon diesel marin,
ça me rassure), il vire sur bâbord, puis grimpe et refait un tour avant de
disparaître cap au nord.
Sur ma route, la Sicile, je décide d’aller faire un tour des
îles volcaniques avant de passer le détroit de Messine : Magnifiques ces
« petits furoncles » posés sur la mer.
Enfin, quand on dit « petit », si c’est vrai sur
une carte marine, ça reste très impressionnant quand on est « en
bas ». Il y a plus d’une vingtaine de volcans rien qu’en Italie.
Coupé du monde, hors le GPS de navigation, je ne prends même
pas la peine de lire la presse, espagnole, italienne ou grecque aux escales et
n’ai de nouvelles des miens qu’à portée de GSM, aux approches des côtes, quand
il y a du réseau et qu’on ouvre le porte-monnaie.
C’est à cette occasion que je dis oui à une prochaine
mission commandée par un établissement monégasque, filiale posée sur le Rocher
d’un major du secteur, pour la mi-septembre, qui a émoustillé mon unique
neurone par son aspect « paradis-fiscal ».
C’est à cette occasion aussi que je mets en ligne les 5 derniers
posts de « Mains invisibles » en rab et pas prévus à l’origine sur
les deux blogs depuis un cyber-café local et une clé USB.
Deuxième rencontre bizarre : Comme je reviens vers
Portu-Vecchiu pour le mariage d’une « cousine », à l’approche de
Palombaggia, un Mirage 2000 biplace fait rugir son réacteur. Rien d’anormal à
proximité médiate de la base militaire de Solenzara.
Sauf que là, il fait un tour du voilier, se lance ensuite
dessus à moins de 300 pieds d’altitude, manque d’ailleurs d’aller percuter la
flotte à serrer son virage, fait un balancement des ailes sur mon arrière, si
proche que je peux compter les boulons et rivets de la carlingue avec mes
nouvelles lunettes, avant de repartir pour un second tour plus large et dégager
ensuite au-dessus des montagnes en postcombustion, cap à l’ouest au-dessus des
montagnes et des aiguilles de Bavella…
Que j’en jette mon portable à la mer !
C’est décidé : Je ne rentre plus. Je lâche,
j’abandonne.
Je comptais hiverner sur Calvi où il me reste des arpents de
vigne, plus loin dans la montagne des châtaigniers, quelques clémentiniers en
plaine orientale et un autre « cruttiu » en Balagne qui ne sert que
l’été comme point de chute pour ma brosse à dent.
Là, en plus du plus, je vais même jouer à « l’exilé
fiscal » et voir si à Portoferraio ils ont un anneau disponible à
l’année : Ils ont.
Et je débarque à Monaco prendre mes marques pour décortiquer
la presse (économique et financière) du mois passé la semaine dernière.
Que j’en tombe la mâchoire plus qu’à mon tour !
1 – « Valse I » n’aura pas tenu 5 mois après une
cacophonie invraisemblable de couacs gouvernementaux…
Bon, on savait que les « soces », ils aiment bien
débattre entre eux.
Sauf que là, ce n’est plus entre eux, mais sur la place
publique.
Fabuleux !
Et encore, si c’était des « débats », sur le sexe
des anges ou n’importe quoi d’autre, mais c’est carrément indécent de postures
et de peaux-de-banane.
C’est à celui qui aura eu la gueule la plus grande et la
plus sonore.
D’ailleurs, « Valse II » n’aura pas fait deux
semaines, que déjà, un des ex-membres de la commission d’enquête « Caca-zut-hack »
devenu sous-ministre, qui avait oublié de faire ses déclarations d’impôt depuis
2008, se fait lourder.
Géant !
Un élu national qui vote les lois fiscales, n’est-ce pas…
Même pas eu le temps de faire sa déclaration de patrimoine
et d’intérêts, qui de toute façon aurait été fausse comme déjà beaucoup de
celles de ses collègues, victime qu'il aura été du syndrome de la « phobie administrative »...
(Pour vos yeux : http://infreequentable.over-blog.com/article-a-completer-en-urgence-124578232.html)
Sans doute une erreur de casting pour un ancien élève-diplômé de l'ENÂ.
Sauf à considérer qu'il s'agit finalement d'un trait de génie-lumineux, d'une sorte de révélation qui touche à la grâce-divine !
(Pour vos yeux : http://infreequentable.over-blog.com/article-a-completer-en-urgence-124578232.html)
Sans doute une erreur de casting pour un ancien élève-diplômé de l'ENÂ.
Sauf à considérer qu'il s'agit finalement d'un trait de génie-lumineux, d'une sorte de révélation qui touche à la grâce-divine !
2 – Personne ne veut de dissolution anticipée, sauf
« Marinella-tchi-tchi » qui se dit prête à une future
cohabitation !
Ô punaise… Chaud, là devant !
J’ai bien fait de mettre les voiles, c’est le cas de le dire
!
Même si la censure n’est pas passée loin :
« Menuet-Valse », il a les coudées franches avec cette épée de
Damoclès brandie au-dessus de la tête de tous les futurs virés des fois qu’ils
frondent un peu trop fort.
Chapeau !
Même si ça ne tiendra pas éternellement…
3 – Le peu de photos que je peux voir de « François III », c’est du grand guignol, une fois de plus trempé jusqu’aux os, les lunettes embuées à souhait lors de je ne sais quelle réunion de commémoration, une autre fois en s’étalant de la crème sur la caouanne sur une plage blindée de « congés-payés ».
3 – Le peu de photos que je peux voir de « François III », c’est du grand guignol, une fois de plus trempé jusqu’aux os, les lunettes embuées à souhait lors de je ne sais quelle réunion de commémoration, une autre fois en s’étalant de la crème sur la caouanne sur une plage blindée de « congés-payés ».
Et puis il persiste à plonger dans les sondages :
Encore un peu et il va trouver du pétrole…
4 – Plus tard, le bouquin de « Rottweiler » qui fait scandale tout autour de la planète…
4 – Plus tard, le bouquin de « Rottweiler » qui fait scandale tout autour de la planète…
Enfin la plupart fait semblant d’être outrée, mais
finalement en douce, ils se marrent de la « vengeance d’une blonde »
Quoi, on y apprendrait-y-t-on que « le chef », il
l’a molle ou des exigences sexuelles particulières, des positions préférées,
qu’il aime à se faire talquer, lécher, avant et pendant ou après, le
scrotum ou le prépuce ?
Ou encore qu’il ne bande bien avec ce qu’il peut que défoncé
de l’anus par un godemichet et en tenue de cuir avec des bas résilles ?
Bé même pas, paraît-il.
Il n’aime pas les « sans-dents ».
Quel crime !
Moi non plus : Une édentée, ou dont la mâchoire flotte
dans un bol posé sur la table de nuit, je n’ai jamais pu…
Et puis il fait fort : Il demande une fois de plus que
la fonction présidentielle soit respectée !
Jusque dans un sommet OTAN où il n’est même pas question de
vie ou de mort d’autres citoyens du monde !
Non mais… Je sais bien que son prédécesseur n’a pas vraiment
montré l’exemple avec son célèbre « Kass-toi, pôv’kon », mais il
ferait bien de commencer par se respecter lui-même…
Passons : J’attends aussi le bouquin de
« Juju-Galles-Haie » pour en savoir plus, finalement.
Que je me dis (et vous demande) où sommes-nous tombés,
« tous ensemble, tous ensemble » dans mon pauvre pays, celui que
j’aime tant ?
Morale de ces épisodes : On devrait toujours se méfier
des blondes.
Justement, y’a aussi « bling-bling » qui voudrait
bien refaire surface dans ce marigot-là... Celui-là se voit bien en sauveur de la patrie, le dément, après l'avoir mis dans l'état où il l'a laissée.
Heureusement pour nous, « Karlita », elle est châtain-brunasse
et ne veut pas du tout en entendre parler... quoique ?
Parce que si elle peut encore divorcer, y’a aussi tellement
de kouillons de gaulois dotés d’une mémoire de pétoncle de compétition (un quart
à ce que j’ai lu je ne sais plus où) qui sont prêts à l’envoyer nous faire
caguer pour un nouveau quinquennat.
C’est dire où nous en sommes tombés… !
Enfin, vous, parce que là, moi, je n’y suis plus.
Je paye mes impôts cette année sur mes revenus-mondiaux en
« Gauloisie ».
Et encore, pas grand-chose, puisque j’ai revendu mon
« cruttiu » parisien, avec plus-value exonérée à cette fameuse SC à
capital variable constituée avec « ma nichée » avec démembrement des
parts pour éviter l’exit-tax.
Et ce sera la dernière fois.
Quitte, à mon corps défendant et à regret, à quitter « mon
pays que j’aime tant », poussé à l’exil « politique », autant le
faire à moindre frais du point de vue fiscal.
Et je vais devenir résident italien l’année prochaine, ce
qui m’obligera à faire acte de présence à Portoferraio (où ailleurs) 183 jours
par an, soit 3,5 jours par semaine.
Pas trop difficile quand on peut bosser via internet, qu’on
ne compte pas ses week-ends et que je serai au moins trois jours par semaine à
Monaco logé aux frais de mon « nouveau boss ».
Avec le statut d’expatrié en Italie, je payerai donc de
l’impôt à Monaco, pas en Italie, sauf un petit forfait décrété tous les ans.
Par bonheur, il n’y a pas d’impôt à Monaco, sauf pour les
résidents français. Or, je serai devenu résident italien en attendant d’avoir
le statut d’exilé politique…
En revanche, je comptais prendre ma retraite anticipée de
blogueur et de consacrer mes « temps de pause » à l’écriture du
deuxième volet de « Mains invisibles ».
Eh bien, vu ce que l’on en voit, lu ce qu’on en lit, entendu
ce qu’on en entend de ce délicieux pays qu’est la
« Gauloisie-merveilleuse », finalement, il va falloir que je rempile,
tellement cette « histoire-là » n’en finit pas…
Le temps de m’organiser, bien sûr, et j’y reviens !
NB : « Mains invisibles II » : Le scénario m’est venu en mer au large de Límnos, entre deux siestes du mois d’août.
NB : « Mains invisibles II » : Le scénario m’est venu en mer au large de Límnos, entre deux siestes du mois d’août.
Sur un voilier, on passe
son temps à ne rien faire que des « petits-travaux » alors on pense à
tout et à rien en regardant les vagues, les risées, le soleil et les nuages.
Une fois de plus, je me
sens d’un coup « inspiré », comme guidé, vers une hypothèse
totalement absurde, absolument farfelue, mais dans la droite ligne du premier
opus, comme du déroulement logique de ce qui y avait déjà été énoncé !
Pourtant, je vous assure,
à aucun moment je n’avais pu imaginer cette suite-là au moment d’élaborer et
d’écrire le premier tome, qui devait d’ailleurs être unique.
D’abord j’étais débordé,
au point que je n’arrivais pas à clore l’écriture de l’épisode ; ensuite
il me fallait « coller » le scénario avec les bribes laissées dans
les précédents volets (Parcours olympiques, Au nom du père I & II et
Opération Juliette-Siéra) et l’histoire originelle du premier épisode que vous
avez pu lire jusqu’à peu (qui devait tenir sur 30 à 35 posts au lieu des 80 qui
sont en ligne), n’avait plus grand-chose à voir avec ce qui a été laissé pour
la postérité.
« Guidé » vous
dis-je, comme si quelques « mains invisibles » préparent encore et toujours
la suite…
C’est un effet très curieux,
finalement.
Si au moins les mêmes
pouvaient « guider » les dirigeants de mon pays, je n’aurai peut-être
pas eu à fuir ce pays que j’aime tant.
Salut, content que tu continues le blog! Je suis également pessimiste. Comment peut-on descendre aussi bas? A plus.
RépondreSupprimerVlad
Et encore, on n'en vois pas le bout !
SupprimerD'ailleurs, même en mesurant ça au niveau du PIB qui stagne, malgré les déficits publics dont les équations des économistes que tu connais nous dise qu'ils reviennent augmenter le fameux PIB, on peut calculer que l'ensemble régresse sévèrement depuis longtemps sans leur secours.
Fabuleux.
Quant à bloguer, je t'avoue qu'ils en deviennent tellement stupides, qu'on ne peut pas laisser passer, ne serait-ce que pour "témoigner" pour nos gosses que nous n'étions pas si dupes que ça.
Mais je vais y aller "mollo", parce que mon nouveau taff me prend bcp de temps...