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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 26 septembre 2014

INDIGNATION !

Hervé Gourdel
 
Arrivé samedi dernier en Algérie pour un trekking dans les montagnes de Kabylie, il aura donné de ses nouvelles à ses parents dimanche dernier avant d’être enlevé…
 
Lundi, une vidéo le montre vivant entre les mains de ses ravisseurs masqués (c’est dire le courage de ces hommes qu’illumine le sens des responsabilités), laissant une revendication sous un délai de 24 heures (c’est dire s’ils n’avaient absolument aucune envie de négocier…) de renoncer aux frappes aériennes contre l’EI en Irak par mon pays (celui que j’aime tant).
 
Puis, il a été décapité mercredi… 
 
La barbarie insondable dont l’espèce humaine peut décidément faire preuve.
Ce n'était pas des hommes, mais des bêtes…. 
 
Hervé Gourdel ne défendait rien, ni dessein politique ni idée philosophique.
Il n'était sans doute ni pour les uns ni contre les autres.
Il n'était probablement l'ennemi de personne.
Son seul malheur, là-bas, là-haut, c’est qu'il a fait face à des monstres.
L'assassinat de cet homme qui rêvait de hauteur ne s'explique finalement que par l'abîme de haine où il a été précipité.
Rien d'humain ne peut justifier un acte aussi dénué d'humanité.
 
Dissident d'Al-Qaïda et soutien de l'État islamique, le groupe Jund Al-Khilafa a revendiqué, avant-hier, la décapitation de ce Français de 55 ans.
Ils se font appeler « les soldats du califat ».
Cette organisation djihadiste, méconnue, s'est récemment rapprochée de l'État islamique (EI). 
 
Une quinzaine d'hommes « d'une grande sauvagerie ».
Jund Al-Khilafa s'est fait remarquer sur la scène djihadiste à la fin août, en annonçant par un communiqué avoir quitté Al-Qaïda, dénoncée pour sa « déviance ». Ses membres ont, dans ce même texte, proclamé leur allégeance à l'EI et se sont dit prêts à lui « obéir au doigt et à l'œil ».
En enlevant Hervé Gourdel, quelques heures à peine après l'appel au meurtre de Français lancé par l'EI, Jund Al-Khilafa a concrétisé cette promesse. 
 
Le principal responsable serait un ex-conseiller militaire d'Abdelmalek Droukdel, chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Cet homme, Abdelmalek Gouri, alias Khaled Abou Selmane, est âgé de 37 ans. Il est passé par le GIA (Groupe islamique armé) algérien dans les années 1990, avant de rejoindre le GSPC, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat, qui avait notamment la France dans son viseur.
L'organisation est devenue Aqmi à la fin des années 2000.
 
Abdelmalek Gouri est connu depuis longtemps des autorités.
Il est repéré par les plus hauts dignitaires d'Aqmi et en devient l'un de ses douze dirigeants.
Il est soupçonné d'être à l'origine des attentats suicides contre le palais du gouvernement algérien et contre un bâtiment de l'ONU, en 2007, à Alger.
Il serait également derrière l'attaque qui a coûté la vie à onze soldats, en avril dernier, à Iboudrarène, dans la zone où s'est produit l'enlèvement d'Hervé Gourdel, dans des circonstances et avec des complicités qu’il s’agira de mettre à jour.
 
Je suis bien entendu vraiment très triste et affligé pour ce niçois que je ne connaissais pas et son sort tragique.
Et je présente mes condoléances les plus sincères à son entourage et sa famille, depuis mon exil.



D’un autre côté, bien sûr, il faut reconnaître que quelques « mains invisibles » mettent manifestement en place avec beaucoup de vigueur et d’opiniâtreté les pièces d’un puzzle qui fera le « Tome II » du même nom, roman à venir l’été prochain.
Les dates, les lieux, les circonstances.
 
J’avais déjà exposé les grandes lignes du scénario pressenti, à ma « petite-sœur » en Grèce cet été (qui l’a un peu inventé avec moi), à ma Môman au téléphone plus récemment, et encore à « l’Ami-râle » cette semaine par voie de courriel. 
 
Globalement et au commencement, Florence, la mère d’Annabelle, la fille de Paul de Bréveuil dit « Charlotte », se fait enlevée en Normandie.
Je sais déjà par qui et pourquoi.
Ainsi que la plupart des conséquences prévisibles pour la stabilité de la planète-bleue des hommes.
D’ici là, j’imagine déjà que ma main va encore être guidée sur mon clavier.
 
Je sais aussi que « Charlotte » se décide à libérer Florence manu militari, (que même ma sœur a trouvé ça « très romantique » avec un « C’est beau l’amour » déplacé, parce qu’il s’agit seulement de réunir mère et fille pour qu’elles vieillissent un peu ensemble).
Il doit y aller seul, pour être convaincu de devoir être absolument le seul témoin des « Mains invisibles » à l’œuvre qui vont l’aider dans cette opération.
Une information qui ne doit être révélée sous aucun prétexte, bien sûr.
Par quiconque et à quiconque.
Hors son biographe : Moi ! 
 
Je ne savais pas où, ni quand.
Maintenant, hélas, je sais : Dans la semaine du 15 septembre 2014, en Algérie.
 
Je saurai m’en souvenir, Hervé.
Parce que ton sort aura été scellé par la réussite de l’opération de Paul : Une vie contre d’autres vies.
L’ignoble et incompréhensible loi du talion…
 
Écœurant jusqu’à l’INDIGNATION totale, puisqu'un otage mort ne sert plus à rien, et pourtant.
 
Je suis de très méchante humeur depuis ce jour où j’ai réalisé le rôle de ces « mains invisibles » qui œuvrent ainsi sans cesse, réalisant aussi que je ne suis qu’un de leur jouet et qu’en plus il y a eu mort d’homme (et ce n’est pas du roman cette fois).
 
Résultat, je n’ai absolument pas envie de vous souhaiter une bonne journée, finalement… 
 
Bien à vous toutes et tous quand même. 
 
I3

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