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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 30 avril 2017

Révélation !

L’ADN des « amants de Pompéi » a parlé !

C’est un des « moulages » les plus romantiques qui soit : Un couple étroitement enlacé avait été retrouvé à Pompéi, « statufié » par la lave de l’éruption du Vésuve en l’an 79 de notre ère.
Deux corps se faisant probablement l’amour avec ferveur, surpris par la soudaineté de la catastrophe qui a été telle qu’ils n’ont même pas eu le temps de remettre leurs chaussettes.
Ce qui les a figés dans une posture qui ne laissait pas beaucoup de doute sur leur « proximité ».

Découvert en 1914 à Pompéi, le moulage était devenu célèbre et les deux silhouettes avaient vite été surnommées « les amants ».
Pour le régime fasciste de Mussolini, il s’agissait évidemment d’un homme et d’une femme.
Même si l’archéologue Vittorio Spinazzola, à l’origine de la découverte des restes, avait formulé l’hypothèse qu’il s’agissait de deux femmes, évoquant la possibilité qu’il s’agisse d’une mère et de sa fille.
L’une tentant de protéger l’autre de son corps.
C’était plus « correct ».

Patatras, les restes d’ADN présents dans le célèbre moulage ont permis de confirmer qu’ils ne sont pas de la même famille et que l’âge des individus a été estimé à 18 ans pour l’un et 20 ans pour l’autre.
Mais, fait plus inattendu, qu’il s’agit de deux… hommes !
Aïe !
Et Massimo Osanna, auteur de l’étude pour l'agence Ansa et directeur des fouilles de Pompéi, a présenté les résultats d’analyses génétiques réalisées à partir des restes organiques emprisonnés dans le moulage.
Et de devoir expliquer dans le “Corriere del Mezzogiorno” qu’on « ne peut pas affirmer que les deux personnages étaient amants, mais compte tenu de leur position, on peut le supposer. »
Cependant, il est difficile de le déterminer avec certitude.

Les « amants de Pompéi » étaient-ils homosexuels ?
Une question qui n’aura sans doute jamais de réponse.
Flûte alors, en pense-je : Non seulement on me gâche une belle histoire « fleur-bleue », mais en plus on en dit qu’on ne sait finalement pas ce que ces deux-gars faisaient là avant de mourir.
Kon, n’est-ce pas… 

Je vous laisse juges de ma désespérance du moment.

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