Seizième chapitre : Les morts de « Clearstream »
Pour accéder aux chapitres précédents (ou suivants), cliquer sur les cases correspondantes sous le post.
[1] À son arrivée au tribunal, Dominique de Pindevil déclare que sa présence sur le banc des accusés n'est due qu'à « l'acharnement d'un homme, Krasosky, qui est aussi président de la République française », et qu'il en sortira « libre et blanchi au nom du peuple français ». Le 29 septembre 2009, le même, interrogé par le procureur Jean-Claude Marin, déclare n'avoir « jamais eu connaissance de ces listings, et ne les [avoir] jamais eus entre les mains ». Gilbert Flam, ancien membre de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), lui aussi prévenu lors de ce procès, réfute le même jour ce démenti en affirmant qu’il a choisi de ne pas dénoncer la falsification des listings alors qu'il en avait connaissance.
Le verdict sera rendu le 28 janvier 2010 par le tribunal correctionnel de Paris : Jean-Louis Gergorin est reconnu coupable de dénonciation calomnieuse, usage de faux, recel d'abus de confiance et vol. Il est condamné à 3 ans de prison dont 15 mois de prison ferme et 40.000 euros d'amende. Il fait appel de la décision.
Imad Lahoud est reconnu coupable de complicité de dénonciation calomnieuse, de faux, d'usage de faux et de recel d'abus de confiance. Il est condamné à 3 ans de prison dont 18 mois de prison ferme et 40.000 euros d'amende. Il fait appel de la décision.
Florian Bourges est reconnu coupable d'abus de confiance. Il est condamné à 4 mois de prison avec sursis.
L’ancien premier ministre est relaxé. Denis Robert est relaxé.
Le 29 janvier 2010, le Procureur de Paris annoncera que le parquet fait appel de la relaxe de l’ancien premier ministre et des condamnations de Jean-Louis Gergorin et d'Imad Lahoud, estimées trop clémentes.
En revanche, la relaxe de Denis Robert et la condamnation de Florian Bourges ne font pas l'objet d'appel, les réquisitions du parquet ayant été suivies dans ces deux cas.
Avertissement : Ceci est un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est purement, totalement et parfaitement fortuite !
Paul, après une bonne nuit de sommeil, note au cours de sa prise de connaissance du dossier, le rôle d’Yves Bertrand, directeur central des Renseignements généraux de 1992 à 2004.
Début 2006, il a été suspecté d'avoir fourni de faux listings dans l'affaire « Clearstream 2 », ce dont il se défend. Le 16 janvier 2008, son domicile et son bureau sont perquisitionnés. Cependant, rien en relation avec cette affaire n'a été découvert par les juges d'Huy et Pons chargés de l'enquête.
La suite de ce
chapitre à découvrir en librairie :
« L’ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne
devrait pas exister »…
Vous pouvez commander
ce livre sur le site de l’éditeur : Il sera ravi !
Mais tout autant,
il vous sera livré par Amazon :
Ou par « La
Procure » : https://www.laprocure.com/operation-juliette-siera-cube/9782379440175.html
Et quelques 3.000
autres librairies du réseau Dilicom (http://dilicom-dev.centprod.com/liens_pratiques/annuaire.html) ;
Ou encore https://www.chapitre.com/ ;
Voire chez
« Les librairies.fr » : https://www.leslibraires.fr/livre/14949993-operation-juliette-siera-i-cube-book-envol
Pour les autres –
genre Fnac/Darty, Decitre, Cultura – ça va venir.
Je dédicace les
exemplaires que vous me commanderez directement (ma « ristourne »
personnelle permet tout juste de payer les frais postaux en retour) : infreequentable@gmail.com
Bien à toutes et
tous !
I3
PS : Admirez encore
la photo de couverture, j’en suis très fier.
Un vieux cliché aux
couleurs naturelles de depuis ma fenêtre calvaise…
J’adore.
C’est un peu ce que Miss Joëlle Lidoire a expliqué à Paul en début de mois d’août avant de partir en croisière !
Mais elle a été nettement plus précise.
-> Accès
au sommaire <-
Pour accéder aux chapitres précédents (ou suivants), cliquer sur les cases correspondantes sous le post.
[1] À son arrivée au tribunal, Dominique de Pindevil déclare que sa présence sur le banc des accusés n'est due qu'à « l'acharnement d'un homme, Krasosky, qui est aussi président de la République française », et qu'il en sortira « libre et blanchi au nom du peuple français ». Le 29 septembre 2009, le même, interrogé par le procureur Jean-Claude Marin, déclare n'avoir « jamais eu connaissance de ces listings, et ne les [avoir] jamais eus entre les mains ». Gilbert Flam, ancien membre de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), lui aussi prévenu lors de ce procès, réfute le même jour ce démenti en affirmant qu’il a choisi de ne pas dénoncer la falsification des listings alors qu'il en avait connaissance.
Le verdict sera rendu le 28 janvier 2010 par le tribunal correctionnel de Paris : Jean-Louis Gergorin est reconnu coupable de dénonciation calomnieuse, usage de faux, recel d'abus de confiance et vol. Il est condamné à 3 ans de prison dont 15 mois de prison ferme et 40.000 euros d'amende. Il fait appel de la décision.
Imad Lahoud est reconnu coupable de complicité de dénonciation calomnieuse, de faux, d'usage de faux et de recel d'abus de confiance. Il est condamné à 3 ans de prison dont 18 mois de prison ferme et 40.000 euros d'amende. Il fait appel de la décision.
Florian Bourges est reconnu coupable d'abus de confiance. Il est condamné à 4 mois de prison avec sursis.
L’ancien premier ministre est relaxé. Denis Robert est relaxé.
Le 29 janvier 2010, le Procureur de Paris annoncera que le parquet fait appel de la relaxe de l’ancien premier ministre et des condamnations de Jean-Louis Gergorin et d'Imad Lahoud, estimées trop clémentes.
En revanche, la relaxe de Denis Robert et la condamnation de Florian Bourges ne font pas l'objet d'appel, les réquisitions du parquet ayant été suivies dans ces deux cas.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire