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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 15 août 2010

Opération « Juliette-Siéra » (XVI)

Seizième chapitre : Les morts de « Clearstream »
 
Avertissement : Ceci est un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Paul, après une bonne nuit de sommeil, note au cours de sa prise de connaissance du dossier, le rôle d’Yves Bertrand, directeur central des Renseignements généraux de 1992 à 2004.
Début 2006, il a été suspecté d'avoir fourni de faux listings dans l'affaire « Clearstream 2 », ce dont il se défend. Le 16 janvier 2008, son domicile et son bureau sont perquisitionnés. Cependant, rien en relation avec cette affaire n'a été découvert par les juges d'Huy et Pons chargés de l'enquête.



La suite de ce chapitre à découvrir en librairie :

 


 

« L’ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne devrait pas exister »…

 

Vous pouvez commander ce livre sur le site de l’éditeur : Il sera ravi !


Mais tout autant, il vous sera livré par Amazon :



Et quelques 3.000 autres librairies du réseau Dilicom (http://dilicom-dev.centprod.com/liens_pratiques/annuaire.html) ;



Pour les autres – genre Fnac/Darty, Decitre, Cultura – ça va venir.

Je dédicace les exemplaires que vous me commanderez directement (ma « ristourne » personnelle permet tout juste de payer les frais postaux en retour) : infreequentable@gmail.com

Bien à toutes et tous !

I3

PS : Admirez encore la photo de couverture, j’en suis très fier.

Un vieux cliché aux couleurs naturelles de depuis ma fenêtre calvaise…

J’adore.
 





C’est un peu ce que Miss Joëlle Lidoire a expliqué à Paul en début de mois d’août avant de partir en croisière !
Mais elle a été nettement plus précise.
 

  
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[1] À son arrivée au tribunal, Dominique de Pindevil déclare que sa présence sur le banc des accusés n'est due qu'à « l'acharnement d'un homme, Krasosky, qui est aussi président de la République française », et qu'il en sortira « libre et blanchi au nom du peuple français ». Le 29 septembre 2009, le même, interrogé par le procureur Jean-Claude Marin, déclare n'avoir « jamais eu connaissance de ces listings, et ne les [avoir] jamais eus entre les mains ». Gilbert Flam, ancien membre de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), lui aussi prévenu lors de ce procès, réfute le même jour ce démenti en affirmant qu’il a choisi de ne pas dénoncer la falsification des listings alors qu'il en avait connaissance.
Le verdict sera rendu le 28 janvier 2010 par le tribunal correctionnel de Paris : Jean-Louis Gergorin est reconnu coupable de dénonciation calomnieuse, usage de faux, recel d'abus de confiance et vol. Il est condamné à 3 ans de prison dont 15 mois de prison ferme et 40.000 euros d'amende. Il fait appel de la décision.
Imad Lahoud est reconnu coupable de complicité de dénonciation calomnieuse, de faux, d'usage de faux et de recel d'abus de confiance. Il est condamné à 3 ans de prison dont 18 mois de prison ferme et 40.000 euros d'amende. Il fait appel de la décision.
Florian Bourges est reconnu coupable d'abus de confiance. Il est condamné à 4 mois de prison avec sursis.
L’ancien premier ministre est relaxé. Denis Robert est relaxé.
Le 29 janvier 2010, le Procureur de Paris annoncera que le parquet fait appel de la relaxe de l’ancien premier ministre et des condamnations de Jean-Louis Gergorin et d'Imad Lahoud, estimées trop clémentes.
En revanche, la relaxe de Denis Robert et la condamnation de Florian Bourges ne font pas l'objet d'appel, les réquisitions du parquet ayant été suivies dans ces deux cas.

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