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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 3 juillet 2025

2024, une année qui va être difficile (3/12)

La farandole des cyborgs (3/7)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
« Là où vous pouvez être sûrs et certains qu’il s’agit d’une machine qui répond à Tucker Carlson, ce n’est pas dans ces répliques-là, qui ne sont jamais que des « maquillages » de la vérité à des fins de propagande, probablement à objectifs internes d’ailleurs, avec la caution morale d’un « journaliste » occidental qui n’ose même pas corriger les assertions invraisemblables du président russe… d’abord, parce que ce n’est pas son rôle dans cette interview, ensuite parce que ce n’est pas son métier : il ne fait que rapporter ce qu’on lui confie, il n’est pas historien… c’est quand Poutine refait les livres d’Histoire ! »
C’est-à-dire ?
« Là, c’est fabuleux : on dirait des éléments de langage repris directement dans le Wikipédia russe, version « expurgée » par le FSB ou le GRU et qu’ils prétendent « nettement plus fiable » que celui auquel nous avons accès ! », le Ruwiki[1]
Et comment est-ce possible qu’un cerveau, même malade, puisse retenir et débiter de pareilles âneries parfaitement conformes à ce qui est écrit dans les pages de cette « encyclopédie » là ?
« Bé justement… Je vous explique. »
Et voilà Paul, depuis son voilier flottant quelle que part sur une des mers de la planète ou de son bureau aux Chagos, ou encore en Normandie, puisque l’arrière-plan de son décor est toujours celui d’une plage ensoleillée avec un cocotier, celui des affiches touristiques, même si parfois il en change, de se repaître de la vidéo de cet entretien diffusée par la chaîne de Carlson comme pour accrédité son assertion.
 
L’extrait sous-titré proposé de l’interview de Poutine commence comme ça : « Écoutez, comment ont commencé nos relations avec l’Ukraine, d’où viennent-elles, l’Ukraine ?
L’État russe a commencé à se rassembler en un État centralisé, ceci est considéré comme l’année de la création de l’État russe – en 862, lorsque les Novgorodiens – il y a une ville de Novgorod au nord-ouest du pays – ont invité le prince Rurik de Scandinavie, des Varègues, pour régner. 862.
En 1862, la Russie a célébré le 1.000ème anniversaire de son statut d’État et à Novgorod se trouve un monument dédié au 1.000ème anniversaire du pays.
En 882, le successeur de Rurik, le prince Oleg, qui servait essentiellement de régent pour le jeune fils de Rurik, et Rurik était décédé à cette époque, vint à Kiev.
Il a écarté du pouvoir deux frères qui, apparemment, étaient autrefois membres de l’équipe de Rurik, et c’est ainsi que la Russie a commencé à se développer, avec deux centres : à Kiev et à Novgorod.
La date suivante est très importante dans l’histoire de la Russie, c’est 988. Il s’agit du baptême de la Russie, lorsque le prince Vladimir, arrière-petit-fils de Rurik, a baptisé la Russie et a accepté l’orthodoxie – le christianisme oriental.
À partir de ce moment-là, l’État russe centralisé a commencé à se renforcer.
Pourquoi ? Un seul territoire, des liens économiques uniques, une langue et après le baptême de la Russie – une foi et le pouvoir du prince.
Un État russe centralisé commença à prendre forme.
Mais pour diverses raisons, après l’introduction de la succession au trône – également dans l’Antiquité, au Moyen Âge – par Yaroslav le Sage, un peu plus tard, après son décès, la succession au trône était complexe, elle n’était pas transmise directement du père au fils aîné, mais du défunt encore en vie à son frère, puis à ses fils selon des modalités différentes.
Tout cela a conduit à la fragmentation de la Russie – un État unique, qui a commencé à prendre forme comme un État unique.
Cela n’a rien de spécial : la même chose s’est produite en Europe.
Mais l’État russe fragmenté est devenu une proie facile pour l’empire créé autrefois par Gengis Khan. Ses successeurs, Batu Khan, vinrent en Russie, pillèrent presque toutes les villes et les détruisirent. La partie sud, où se trouvaient d’ailleurs Kiev et d’autres villes, a tout simplement perdu son indépendance et les villes du nord ont conservé une partie de leur souveraineté. Ils payèrent tribut à la Horde, mais conservèrent une partie de leur souveraineté. Et puis un État russe unique a commencé à prendre forme, avec son centre à Moscou.
La partie sud des terres russes, y compris Kiev, a commencé à graviter progressivement vers un autre « aimant » : vers le centre qui prenait forme en Europe.
C’était le Grand-Duché de Lituanie. On l’appelait même lituanien-russe, car les Russes constituaient une partie importante de cet État. Ils parlaient le vieux russe et étaient orthodoxes. »
Poutine fait mine de changer de fesse et reprend après une brève interruption, un peu comme s’il se donne le temps de rassembler ses idées.
 
« Mais ensuite, une unification s’est produite : l’union du Grand-Duché de Lituanie et du Royaume de Pologne. Quelques années plus tard, une autre union fut signée dans le domaine spirituel et certains prêtres orthodoxes se soumirent à l’autorité du Pape.
Ainsi, ces terres sont devenues une partie de l’État polono-lituanien.
Mais depuis des décennies, les Polonais se sont engagés dans la polonisation de cette partie de la population : ils y ont introduit leur langue, ils ont commencé à introduire l’idée que ce ne sont pas entièrement des Russes, que puisqu’ils vivent à la limite, ils sont des Ukrainiens.
Initialement, le mot « Ukrainien » signifiait qu’une personne vivait à la périphérie de l’État, « à la limite », ou était en fait engagée dans le service frontalier[2].
Il ne s’agissait pas d’un groupe ethnique particulier.
Les Polonais ont donc fait tout ce qu’ils pouvaient pour polir et, en principe, ont traité cette partie des terres russes assez durement, voire cruellement.
Tout cela a conduit au fait que cette partie des terres russes a commencé à se battre pour ses droits.
Et ils ont écrit des lettres à Varsovie, exigeant que leurs droits soient respectés, afin que les gens soient envoyés ici, y compris à Kiev… »
 
Carlson intervient alors : « Quand est-ce arrivé, en quelles années ? »
Et Vladimir Poutine lui répond : « C’était au XIIIème siècle.
Je vais maintenant vous raconter la suite des événements et vous donner les dates pour qu’il n’y ait pas de confusion.
Et en 1654, un peu plus tôt encore, les gens qui contrôlaient le pouvoir dans cette partie des terres russes se tournèrent vers Varsovie, je le répète, exigeant que des personnes d’origine russe et de foi orthodoxe leur soient envoyées. Et lorsque Varsovie, en principe, ne leur a rien répondu et a pratiquement rejeté ces demandes, ils ont commencé à se tourner vers Moscou pour que Moscou les accueille.
Pour que vous ne pensiez pas que j’ai inventé quelque chose, je vais vous donner ces documents… »
« Je ne pense pas que vous inventiez quelque chose, non. », lui répond Carlson.
« Et pourtant, ce sont des documents d’archives, des copies. Voici des lettres de Bohdan Khmelnitsky[3], alors homme qui contrôlait le pouvoir dans cette partie des terres russes[4] que nous appelons aujourd’hui l’Ukraine. Il écrivit à Varsovie pour exiger le respect de leurs droits et, après avoir reçu un refus, il commença à écrire des lettres à Moscou pour lui demander de les prendre sous la main ferme du tsar de Moscou. Voici (dans le dossier) des copies de ces documents. Je vous les laisse comme un bon souvenir. Il existe une traduction en russe, puis vous la traduirez en anglais.
La Russie n’a pas accepté de les accepter immédiatement, car elle supposait qu’une guerre avec la Pologne allait commencer. Pourtant, en 1654, le Zemsky Sobor – qui était l’organe représentatif du pouvoir de l’État russe ancien – prit une décision : cette partie des terres russes anciennes devint une partie du royaume moscovite.
Comme prévu, la guerre avec la Pologne commença. Cela a duré 13 ans, puis une trêve a été conclue. Et juste après la conclusion de cet acte de 1654, 32 ans plus tard, à mon avis, la paix fut conclue avec la Pologne, la « paix éternelle », comme on disait alors. Et ces terres, toute la rive gauche du Dniepr, y compris Kiev, sont allées à la Russie, et toute la rive droite du Dniepr est restée à la Pologne. »
Or, il suffit de regarder une carte : le Dniepr traverse de part en part et du Nord au Sud, la ville de Kiev…
« Un mensonge confirmé par les cartes topographique… Poutine ne connait pas sa géographie élémentaire… » commente Paul à ce moment-là.
« Poutine n’aurait-il qu’une connaissance « limitée » de la géographie du pays qu’il entend soumettre par les armes ? » suppose Alexis, la narratrice de ce récit le jour où elle en parle à son sujet de biographie, Paul de Bréveuil…
« C’est la base de données qu’utilise notre cyborg qui est mal indexée… »
Ce qui renforce l’idée de ceux qui auront relevé l’erreur sur le moment que Paul a raison : Carlson n’interroge pas un être humain, mais s’en rend-il compte ?
 
« Une des erreurs évidentes de l’encyclopédie russe qui se veut être un wikipédia ! »
Mais poutine en aura rajouté… : « Puis, à l’époque de Catherine II, la Russie a restitué toutes ses terres historiques, y compris le sud et l’ouest. Tout cela a continué jusqu’à la révolution. Et avant la Première Guerre mondiale, profitant de ces idées d’ukrainisation, l’état-major autrichien a commencé très activement à promouvoir l’idée d’Ukraine et d’ukrainisation. Tout est clair pourquoi : parce qu’à la veille de la guerre mondiale, bien sûr, il y avait une volonté d’affaiblir un ennemi potentiel, il y avait une volonté de créer des conditions favorables pour nous-mêmes dans la zone frontalière. Et cette idée, une fois née en Pologne, selon laquelle les habitants de ce territoire ne sont pas entièrement russes, mais seraient un groupe ethnique particulier, les Ukrainiens, a commencé à être promue par l’état-major autrichien. »
Or, si ça peut être une explication de ce qui se passe des ambitions des trois empires de la « Triplice » ou « Triple-Alliance » (Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie d’avant 1915), l’Ukrainien n’est toutefois pas une ethnie particulière : c’est une langue et une culture qui se distingue du Russe et de la Russie, malgré les nombreux métissages qui ont eu lieu tout au long de l’Histoire…
Un fait historique ignoré par l’encyclopédie en ligne russe, à des fins de propagande ou tout simplement par l’effet de la censure…
 
Et Poutine continuera sur sa lancée : « Des théoriciens de l’indépendance ukrainienne sont également apparus au XIXème siècle, qui parlaient de la nécessité de l’indépendance ukrainienne. Mais c’est vrai, tous ces « piliers » de l’indépendance ukrainienne disaient qu’elle devait avoir de très bonnes relations avec la Russie, ils ont insisté là-dessus. Néanmoins, après la révolution de 1917, les bolcheviks ont tenté de restaurer l’État et une guerre civile a éclaté, y compris avec la Pologne. Une paix fut signée avec la Pologne en 1921, selon laquelle la partie occidentale, sur la rive droite du Dniepr, revenait à la Pologne.
En 1939, après que la Pologne ait collaboré avec Hitler… »
Erreur flagrante du logiciel ou de la base de données que ne corrige même pas Carlson : la Pologne n’a pas vraiment collaboré avec les nazis, tout au plus ont-ils eu des « pourparlers » avec leur voisin immédiat, et le pays aura même été envahi par Hitler et son armée de Panzer, puis démantelée et occupée jusqu’à la libération par les troupes de l’armée rouge !…
« Hitler a proposé – nous avons tous les documents dans les archives – de conclure la paix avec la Pologne, un traité d’amitié et d’alliance, mais a exigé que la Pologne rende à l’Allemagne comme c’est ce qu’on appelle le couloir de Dantzig, qui reliait la partie principale de l’Allemagne à Königsberg et à la Prusse orientale. Après la Première Guerre mondiale, cette partie du territoire fut cédée à la Pologne et la ville de Gdansk remplaça Dantzig. Hitler les supplia (le terme est outrancier… pour futur un occupant sûr de son bon droit du plus fort !) de se rendre pacifiquement, mais les Polonais refusèrent. Néanmoins, ils ont collaboré avec Hitler et ont commencé ensemble à diviser la Tchécoslovaquie[5]. »
Carlson se réveille alors : « Puis-je demander ? Vous dites que certaines parties de l’Ukraine sont en réalité des terres russes depuis des centaines d’années. Pourquoi ne les avez-vous pas acceptés lorsque vous êtes devenu président, il y a 24 ans ? Vous aviez aussi une arme. Pourquoi avez-vous attendu si longtemps alors ? »
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!

[2] Autrement dit, ils étaient des « douaniers » polonais (comme nos marquis et marquisat gardaient les « marques » des empires, royaumes et principautés), pas russes…
[3] Bohdan Khmelnytsky né le 27 décembre 1595 et mort le 27 juillet 1657, est un chef militaire et politique des Cosaques d’Ukraine, alors territoire relevant de la république des Deux Nations (royaume de Pologne et grand-duché de Lituanie). Il est à l’origine d’un soulèvement contre la noblesse polonaise en 1648 (un terroriste révolté…), puis d’un rapprochement entre les Cosaques et la Russie par le traité de Pereïaslav, en 1654. Après sa mort, il devient une véritable légende, symbole de la résistance cosaque et héros ukrainien. Mais son hetmanat a aussi été marqué par des massacres de Polonais (faisant régner la terreur ethnique), d’uniates et surtout de Juifs (déjà…).
[4] Qui étaient en fait polonaise… ne nous y trompons pas…
[5] On note que la Tchécoslovaquie aura d’abord été démantelée à travers l’invasion nazie des Sudètes en septembre 1938, qui fait suite à l’Anschluβ rattachant l’Autriche à l’Allemagne de mars de la même année, situation validée à des accords de Munich, les 29 et 30 septembre 1938. Les Polonais n’étaient pas présents, pas plus que les Russes de Staline.

mercredi 2 juillet 2025

2024, une année qui va être difficile (2/12)

La farandole des cyborgs (2/7)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
« C’est simple. Si « les services » n’imaginent pas qu’il ait pu enregistrer la séquence du faux sosie avant l’émission de l’autre soir, soi-disant parce qu’elle est réalisée en direct – fume mon gars, on ne fait pas du direct sans incident depuis les 11 fuseaux horaires de la Russie en soirée à Moscou – c’est qu’il veut faire croire à la réalité de son sosie… »
Et pour quelle raison impérieuse, alors ?
« Pour des raisons de sécurité : je prends le pari que notre logiciel BBR, celui qui trace tout le monde autour de la planète, ne sait pas qui était vraiment sur le plateau de télé ce soir-là à se faire questionner.
Pas plus qu’il n’aura pu repérer le citoyen à Saint-Pétersbourg qui l’interroge, alors qu’il va identifier l’équipe de tournage sur place, si c’est bien du direct.
En fait, Poutine a bien deux sosies. Il en a eu probablement trois[1]. Mais un a été éliminé pour avoir voulu être trop gourmand. Ou il est tombé gravement malade.
Le second est repérable : cherchez bien, il a été vu à Koursk récemment, mais il est plus petit et plus ventripotent que notre sujet et n’a pas les mêmes lobes d’oreilles : il les a plus courtes.
Enfin le troisième est souffrant. Lui on le voit fréquemment mais il est repérable : ils n’ont pas pu lui opérer du dessous du menton qui pend bien plus que celui de « notre modèle ».
Quant à Poutine, quelques-uns savent qu’il est malade et a du mal à sortir de ses bunkers, toujours pour des raisons de sécurité…
Donc, il envoie notre cyborg et lui fait jouer son rôle…
D’ailleurs, vous aurez noté que lors de cet interview, la machine prend son temps pour répondre et « se bouger », alors même que les questions sont bien sûr préparées à l’avance et les réponses tout autant… »
 
Effectivement, à y regarder de plus près, l’étonnement lu sur le visage du cyborg de Poutine aura été bien exagéré et trop tardif : il aurait dû lever le nez dès les premières syllabes prononcées par son interlocuteur pour reconnaître son timbre de voix, pas après avoir déjà griffonné deux ou trois mots sur la feuille de papier posée sur la table, devant lui…
C’est cohérent. 
Et Paul continue. « De toute façon, mais vous vérifierez à Aubenas auprès du service de télémaintenance de l’atelier des cyborgs, Gustave, il y en a un qui à défaut visible dans la démarche : le bras droit semble ne pas « balancer » de la même façon que le gauche quand le sujet se déplace. Reste à savoir s’il s’agit d’un défaut mécanique, ou bien d’un « réglage » fait sur place par les techniciens aux ordres du Kremlin, voire d’une absence de réglage ou, si justement, il s’agit du personnage original dont on sait par ailleurs qu’il est normalement svelte, vigoureux et sportif, ceinture noire de judo, mais dont les médecins se sont souvent acharnés sur ce membre supérieur pour administrer leurs médocs à leur patient…
On a déjà vu ce citoyen-là, qui porte sa montre au poignet droit bien qu’il soit droitier, avec des traces d’hématome sur son avant-bras.
Là, dans ces séquences télévisées, il n’y en a plus. En revanche, autant la calvitie que l’asymétrie de la bouche sont parfaitement rendues. Sauf que « l’étudiant » est un poil plus maigre que le même bonhomme sur le plateau télé ! »
Mais tout cela veut dire quoi ? « Comment vous interprétez cette séquence, patron ? » interroge Alexis, la biographe…
 
« Je n’en sais rien. Peut-être seulement vouloir dire que ça existe…
Et en tout cas à nous plus spécifiquement, qu’ils maitrisent leur sujet et le maniement de la machine sans notre assistance ! »
« Et que nous n’en saurons pas plus sur son état de santé ! » rajoute Gustave.
« Puis-je faire mention de ces remarques à nos tutelles ? » interroge alors Julie, la haute fonctionnaire de la DGSI détachée auprès de la première ministre pour espionner les activités de Paul et émarger à ses effectifs.
« Mais, madame l’attachée spécialement rattachée, prenez donc vos responsabilités !… »
« Ça veut dire oui » précise Gustave à l’attention de Miss Déplante, alors qu’il se réjouit mentalement : son « actionnaire » de référence retrouve un semblant de sens de l’humour !
« Et puis ça m’évitera d’avoir à le faire à ma propre hiérarchie… »
 
Il n’y a pas eu que cet épisode-là du « sosie de Poutine » durant les mois suivants. Le président russe s’est promené en Chine, et il aura surtout reçu le journaliste « indépendant » américain Tucker Carlson pour une longue interview, le 6 février suivant.
Et là, les services de « l’intelligence » (le renseignement) occidentaux en auront eu pour leur argent : le dirigeant russe sera ainsi revenu sur l’histoire de l’Ukraine, faisant remarquer notamment que l’« ukrainisation » des terres du Sud de la Russie avaient été activement promues par l’état-major autrichien avant la Première Guerre mondiale, pour « affaiblir un ennemi potentiel », et que le nom « Ukraine » avait été inventé par les Polonais, voyant les terres du Sud de la Russie comme une « frontière » et non « comme appartenant à un groupe ethnique ».
Un tissu aberrant d’affirmations… où Poutine refait l’histoire « à sa sauce » !
Et où il a ensuite pu souligner l’existence d’une culture commune entre la Russie et l’Ukraine, puis le choc de la chute de l’URSS, incompris en Occident.
 
« Vous nous avez trompé », a déclaré Poutine à Carlson : « Les États-Unis ont promis qu’il n’y aurait pas d’extension de l’OTAN, elle a eu lieu à cinq reprises ».
Le président russe a ensuite rapporté avoir même demandé un jour à Bill Clinton si la Russie pourrait joindre l’OTAN.
Le président américain lui a répondu que l’idée était intéressante, avant de revenir à lui le soir même pour lui faire savoir que c’était « impossible ».
Or, personne, ni chez les Russes ni en occident, et encore seulement depuis quelques années, n’a jamais relaté cette histoire de Clinton qui se serait engagé pour le compte de tous les autres. Le point n’a jamais été débattu. Peut-être seulement évoqué comme d’une hypothèse de travail sur quelques campus universitaires, et encore…
Plus tard, évoquant le coup d’État du Maïdan en 2014 en Ukraine, Poutine a dénoncé la complicité de la CIA.
Un coup intervenu après que l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN ait été évoquée en 2008, et débouchant sur le bombardement de civils dans le Donbass. Une escalade dont Poutine juge les États-Unis responsables, et une escalade que l’Occident a échoué à rompre, en ne respectant pas les accords de Minsk.
Or, chacun sait que c’est plus compliqué que ça : les autorités ukrainiennes ayant été indécises trop longtemps sur le sujet… à la grande désespération des autorités occidentales des pays du « format de Normandie »… Les Ukrainiens auraient seulement cherché à gagner du temps pour se préparer à assumer un conflit ouvert avec son voisin…
Et puis, à Maïdan, le coup d’État était d’origine russe où le Kremlin avait envoyé des spetsnaz à Kiev pour aider à mater les populations réunies sur la place de la paix. Et ils n’ont pas hésité à faire feu sur des civils désarmés en représailles de la mort de partisans au rattachement avec la Russie à Odessa.
Paul avait d’ailleurs conduit en solo une mission d’évacuation de commandos des SAS britanniques parachutés en soutien, de l’époque où il faisait encore des « extractions » en milieu hostiles sous les ordres de Matignon[2].
 
« Ce sont les Ukrainiens qui ont commencé la guerre en 2014, nous essayons de la finir », a déclaré Poutine avant que Carlson ne le relance pour savoir si les objectifs de la Russie étaient remplis. Ce à quoi le dirigeant russe a répondu par la négative, rappelant vouloir atteindre la « dénazification » des autorités de Kiev.
« La cause de Hitler vit toujours », a poursuivi Poutine, évoquant l’ovation d’un vétéran SS au Parlement canadien.
« Il y a bien 30 % de couillons de leurs bonnes-femmes qui vont voter pour Bord-Del-La dans les prochains jours, et d’autres qui font des « quenelles », alors, bon, il faut relativiser les canadiens… » précisera à ce moment-là Alexis[3]
« Mais ils sont quasiment majoritaires en Italie, en Autriche, bientôt en Allemagne, aux Pays-Bas et encore ailleurs… » tempérera Gustave…
 
Pourtant, Vladimir Poutine a répété que la Russie « n’avait jamais refusé les négociations », rappelant qu’un accord avait presque été obtenu en avril 2022. L’Ukraine a décidé d’abandonner les négociations avec la Russie sur ordre de l’Occident, une erreur que les États-Unis doivent maintenant corriger selon lui.
Ce qui peut paraître factuellement vrai mais en rappelant que les négociations en question, vue du côté russe, que ce soit en juin 2022 ou en décembre de la même année, c’est du style « diktat : tu fais comme ça, comme ça et comme ça, pas autrement où c’est la guerre ! », interviendra Paul.
Bref rien à négocier… même pas la paix sauf à une reddition complète.
 
Il prétend également contre toute objectivité que la Russie est devenue, l’année dernière, la première économie d’Europe, malgré les sanctions et les restrictions.
Les outils américains ne fonctionnent pas, pense Poutine.  « Certainement pas », a aussi insisté le président russe à la question de savoir si la Russie menaçait les États baltes ou la Pologne, expliquant que cela serait une guerre nucléaire.
« Un bon point à retenir, ce qui n’empêche pas que tôt ou tard, un chasseur russe abattra un avion allié, comme ils ont déjà fait avec un drone américain en patrouille en zone internationale… » au-dessus de la mer Noire, préviendra Gustave.
« Ou une autre provocation intolérable… » rajoutera Paul.
 
Regrettant que les États-Unis souhaitent se battre en Ukraine contre la Russie (ce qui n’est toujours pas le cas après bien des années), Vladimir Poutine aura aussi déclaré au cours de cet entretien que Washington était responsable de l’explosion du Nord Stream.
« Il sait bien que non ! » s’insurgera Paul. « Ce sont ses commandos qui sont responsables de ce sabotage, en envoyant des robots de maintenance bourrés d’explosif dans les tuyaux ! »
« En imprimant autant de dollars, les dirigeants américains ont utilisé leur monnaie comme outil de puissance », a aussi relevé le chef de l’État russe, qualifiant cela d’« erreur ». »
Clairement, c’est probablement une erreur, mais la FED n’a pas pu faire autrement tellement l’appel d’air pour le dollar était puissant : c’était ça où c’était favoriser une valorisation extrême de la monnaie américaine qui aurait nui aux exportations américaines, qui n’équilibrent déjà pas leurs importations…
Pour dévaluer le dollar, il faudrait créer des déficits budgétaires et commerciaux délirants, bien pire que ceux qui existent déjà. Ce n’est guère facile avec une FED dont l’objet social est de protéger le pouvoir d’achat du peuple américain, et donc la monnaie dont il se sert.
Contradictoire avec le fait que les USA exportent leur droit interne avec leur monnaie de paiement, en application du principe d’exterritorialité des sources de droit cambiaire américain.
 
Pour Poutine, l’important c’est que désormais, le poids des BRICS a dépassé celui des pays du G7 : une avancée inexorable selon Poutine, mais face à laquelle les États-Unis tentent de s’opposer par la force. « Pour assurer l’avenir, il faut changer d’attitude face aux évolutions », a-t-il ajouté.
« Les « BRICS »… portent bien leur nom : des puissances économiques naines constituées de « bric et de broc » en ruine qui se gonflent au moins autant que la grenouille de Monsieur Lafontaine, celle qui voulait devenir aussi grosse que le bœuf… » réagit promptement Gustave ce jour-là.
 
Revenant sur l’issue du conflit, Vladimir Poutine a soutenu qu’il était impossible de vaincre la Russie sur le champ de bataille. « Je vois que (les Occidentaux) veulent des négociations, mais ils ne savent pas comment faire », a observé le président russe, avant d’ajouter : « Ce serait ridicule si ce n’était pas si triste ».
« Il y a des éléments de guerre civile dans ce conflit », a-t-il par ailleurs regretté, rapportant des exemples de combats entre soldats russes et ukrainiens parlant dans la même langue.
Non seulement ils parlent la même langue, mais ils se sont mariés entre eux, se métissant et faisant des futurs citoyens que désormais la haine anime !
« Il fallait y réfléchir avant, car il faudra au moins deux générations pour effacer ce désastre-là, que les Russes gagnent ou non cette saloperie de guerre ! » commentera Julie lors d’un autre Codir où l’on regarde et commente cette séance vidéo de post-prod sous-titré en anglais.
Mais ce n’est pas le plus significatif…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] https://www.youtube.com/watch?v=Mmim22LpqFo
[2] Cf. L’épisode « Mains invisibles » des « Enquêtes de Charlotte », aux éditions I3
[3] Sans même évoquer, plus tard, les saluts nazis de quelques leaders d’opinion sur les estrades Républicaines après les élections américaines de l’année suivante…

mardi 1 juillet 2025

2024, une année qui va être difficile (1/12)

La farandole des cyborgs (1/7)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
On le savait avant même que ne débute cette année bissextile, promise à de nombreuses élections prévues tout au long des mois qui viennent. Une année qui plus est à caractère olympique : toute la planète-sport a rendez-vous à Paris-Ville-Lumières, ce qui est de toute façon exceptionnel !
Et cette vaste campagne électorale, transcontinentale, pourrait-on dire, aura commencé dès le 14 décembre 2023, lors de la conférence de presse annuelle de Vladimir Poutine qui promet officiellement à ses électeurs une Russie victorieuse dans les prochains mois en Ukraine !
Un an plus tard, il y sera encore…
On a raison de dire que les promesses n’engagent que ceux qui y croient…
Et tout le monde aura noté qu’il a affiché une confiance sans limite, lors de cette « grande conférence de presse annuelle » à Moscou.
Mais il n’aura pas fait que ça.
 
En ouverture, le président russe a affirmé que le pays était suffisamment solide pour « aller de l’avant » malgré les sanctions économiques, la guerre en Ukraine et la confrontation avec les Occidentaux.
« Au moins tenir ainsi encore quelques mois… » aura traduit Gustave Morthe-de-l’Argentière, lui aussi quelque peu optimiste, lors du Codir suivant dans les locaux de la Cisa, en présence des responsables de service et notamment, d’Alexis Dubois, la narratrice de ce recueil qui n’est responsable de rien, alors que Paul de Bréveuil, l’actionnaire de la société, reste en « visio » probablement depuis son repère des Chagos… 
 
Selon Vladimir Poutine, interrogé sur la résistance de l’économie aux sanctions, la Russie dispose d’une « marge de sécurité suffisante » du fait de la « forte consolidation de la société », la « stabilité du système financier et économique du pays » et de « l’augmentation des capacités militaires » de Moscou.
Cette marge est « suffisante non seulement pour se sentir en confiance, mais aussi pour aller de l'avant », aura assuré le président russe, qui avait récemment annoncé son intention de briguer un nouveau mandat en mars 2024, mandat qui pourrait le faire rester au Kremlin au moins jusqu’en 2030.
Il a malgré tout reconnu que l’inflation restait forte en Russie, attendue entre 7,5 et 8 % à la fin de l’année, source d’inquiétude au sein de la population, et il a promis que la Banque centrale prendrait les mesures appropriées pour la juguler.
Le dirigeant russe a dit s’attendre également à une croissance du PIB de 3,5 % cette année : « Cela signifie que nous avons rattrapé notre retard et que nous avons fait un grand pas en avant », a-t-il soutenu.
Forcément, l’effort de guerre, même non financé, affole un peu les compteurs économiques.
Et puis la « Sainte-Russie » continue de vendre assez de ses hydrocarbures pour financer encore un peu cet effort de guerre. Et l’industrie a pu être réorientée sur les commandes d’État d’armements et de munitions au détriment des biens de consommations et d’équipements courants.
L’économie de guerre russe semble ainsi avoir absorbé le choc immédiat des sanctions même si leurs effets à plus long terme peuvent être dévastateurs, le pays étant coupé de certaines technologies de pointe et de pans entiers du système bancaire international.
 
Sur le plan diplomatique, Moscou peut aussi se satisfaire, à ce moment-là, de voir les soutiens occidentaux de l’Ukraine se quereller sur la poursuite de leur aide militaire et sur les perspectives d’adhésion de l’Ukraine à l’UE.
Concernant justement la guerre en Ukraine, Vladimir Poutine a une nouvelle fois répété l’objectif affiché de Moscou, à savoir la « dénazification » et la « démilitarisation » de son voisin, sans quoi la paix ne sera pas possible, selon lui. « Je vous rappelle ce dont nous avons parlé : la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine, son statut de neutralité », a-t-il déclaré lors cet événement télévisé – c’est toujours plus facile de soumettre un pays démilitarisé qu’armé jusqu’aux dents – événement télévisuel qui, cette année, combinait deux traditionnels rendez-vous médiatiques, la conférence de presse du président et sa « ligne directe » avec la population russe.
Vladimir Poutine a ainsi martelé que la solution « sera négociée ou obtenue par la force ».
« Il y aura la paix lorsque nous aurons atteint nos objectifs », a insisté le président russe. « La victoire sera à nous », a-t-il clamé sûr de lui, promettant de se rendre, à une date indéterminée, dans les régions d’Ukraine dont Moscou a revendiqué l’annexion en septembre 2022.
 
Le Président Vladimir Poutine a aussi affirmé que l’armée russe « améliore » ses positions sur quasiment toute la ligne de front en Ukraine : « Pratiquement sur toute la longueur de la ligne de contact, nos forces armées améliorent leurs positions. Presque toutes sont en phase active ».
Par ailleurs, une nouvelle mobilisation militaire n’est pas prévue pour le moment, a-t-il fait savoir pour rassurer : « Aujourd'hui, cela n’est pas nécessaire », a-t-il jugé, soulignant que 486.000 soldats avaient été recrutés volontairement cette année.
Les pertes de son armée n’ont, en revanche, pas été révélées. Les États-Unis avancent l’estimation de 315.000 militaires blessés ou tués : une boucherie.
 
Selon la télévision russe, plus de 2,8 millions de questions ont été envoyées à Vladimir Poutine pour l’émission de ce jeudi-là, couvrant l’Ukraine mais aussi des problèmes de la vie quotidienne.
Ce rendez-vous médiatique a été l’occasion pour les citoyens russes d’exposer leurs doléances à leur président. Certaines d’entre elles ont été réglées quasiment en direct. Des enfants ont notamment obtenu la rénovation d’une salle de sport en Crimée, un territoire ukrainien annexé.
Mais les messages critiques envoyés par SMS, qui apparaissaient sur un écran géant dans le studio, n’ont pas été préalablement soumis au président, veut-on laisser croire. Ainsi on aura pu lire les messages suivants en bas d’écran : « Pas besoin d’être candidat à un nouveau mandat. Laissez la place aux jeunes », a notamment fait savoir un spectateur. Un autre écrit : « Pourquoi votre réalité est-elle différente de la nôtre ? ».
Ou encore : « Vladimir Vladimirovitch, dîtes-nous s’il vous plaît, quand allons-nous mieux vivre ? » auront également interrogé deux internautes.
 
Ce marathon de questions-réponses est en effet l’occasion pour Vladimir Poutine de faire campagne, une semaine après avoir fait part de son ambition de rester au Kremlin – au moins jusqu’en 2030, l’année de ses 78 ans.
L’opposition a été méthodiquement éradiquée par le Kremlin, si bien que le scrutin de mars 2024 apparaît déjà en cette fin d’année 2023 comme une simple formalité.
À ce moment-là, son principal détracteur, le militant anticorruption emprisonné Alexeï Navalny, est d’ailleurs introuvable depuis plus d’une semaine. Cela pourrait signifier son transfert vers une colonie pénitentiaire aux conditions de détention encore plus rudes, où il devra purger sa peine de 19 ans de prison pour « extrémisme ».
Il ne sera annoncé comme décédé que trois mois plus tard, le 16 février 2024, incarcéré dans la colonie pénitentiaire n° 3, à Kharp, en Iamalie. Probablement mort d’épuisement ou sous les coups de ses geôliers…
Quant à ses concurrents, ils appellent eux-mêmes, plus ou moins directement, à soutenir le Président sortant.
 
Mais lors de cette émission fleuve ayant duré 4 heures, le plus intéressant aux yeux du petit monde du renseignement, « l’intelligence » comme en disent les anglo-saxons, n’est pas dans le propos qui reste de la pure propagande à usage interne.
Il tient dans une séance de quelques minutes où le Président russe est interrogé sur l’intelligence artificielle par son propre sosie sur une question portant justement sur les doubles de Vladimir Poutine, référence aux rumeurs persistantes sur l’état de santé du président depuis des années et son éventuel recours à des doublures.
Une touche d’humour russe inattendue !
Le Président de toutes les Russies s’est retrouvé face à lui-même, ou plutôt face à son double virtuel probablement généré grâce à la technologie « deep-fake » en en ont dit les analystes occidentaux, opinion reprise par les médias mainstream.
Sur le coup, Gustave Morthe de l’Argentière, interrogé par ses collaborateurs de la Cisa en aura dit que c’était assez facile : « Il n’y a pas d’interaction directe entre les deux sujets. C’est donc lui qui aura joué les deux rôles, l’étudiant en informatique qui est son portrait craché situé soi-disant à Saint Pétersbourg, là comme ça à l’improviste avec toute une équipe de télé russe, ingénieurs du son, de la lumière, caméraman, éclairagiste, maquilleuse, habilleuse et tout le saint frusquin des retransmissions, et on aura repassé l’enregistrement en direct au moment de l’émission.
Et lui n’aura plus qu’à jouer la comédie du président surpris et débiter sa réponse déjà préparée à l’avance… »
 
Oui, pourquoi pas : un « étudiant » de Saint-Pétersbourg l’a effectivement interrogé sur la montée en puissance de l’intelligence artificielle, apparu à l’image sous les traits et avec la voix de Vladimir Poutine.
À moins que ce soit un trucage numérique plus élaboré[1].
L’étudiant demande s’il est vrai que le président russe a recours à de « nombreux sosies », déclenchant quelques éclats de rire, en direct, dans le studio de retransmission. Ne donnant pas sa véritable identité, le jeune homme fait référence aux rumeurs récurrentes et déjà démenties par le Kremlin selon lesquelles Vladimir Poutine serait malade et aurait recours à des remplaçants pour certaines de ses apparitions publiques.
« Je vois que vous pouvez me ressembler et parler comme moi », lui répond Vladimir Poutine.
Et c’est l’occasion de remettre une piqûre : « Mais j’y ai réfléchi et j’ai décidé qu’une seule personne devait me ressembler et utiliser ma voix, et il s’agit de moi-même (...) d’ailleurs, c’est mon premier sosie », a-t-il poursuivi, donnant ainsi involontairement une piste indécodable dudit « trucage » télévisuel.
Car l’assertion est bien mystérieuse : parlait-il de lui-même comme suggéré par Gustave, ou parlait-il de son correspondant Saint-Pétersbourgeois, qui aurait alors une réalité incarnée ?
 
Et il a ensuite exposé son point de vue sur les évolutions probables sur l’Intelligence artificielle.
Paul de Bréveuil, « l’actionnaire » (de la Cisa et autres) a un autre point de vue…
« Non Amiral », fait-il en s’adressant à Gustave, son CEO sis à Paris. « Vous demanderez à nos ingénieurs parisiens de la Cisa et à ceux de l’usine d’Aubenas (là où sont fabriqués les cyborgs exploités par la société de croisière de Paul de Bréveuil, alias « Charlotte », « Paradise-Cruise »[2] ainsi que quelques répliques, des avatars, de personnages publics[3]). Ils peuvent tracer et récupérer les données de la machine que vous lui avez vendu pour me sortir des hôpitaux militaires du Bélarus[4] »
Et ils découvriront quoi ?
« Si j’avais récupéré tout de mon cerveau de son bon fonctionnement, je vous le dirais.
Mais on peut également avoir une idée par simple déduction… »
« Ah, enfin ! » se dit pour lui-même Gustave : « On va pouvoir vérifier s’il a récupéré ou non le prodigieux fonctionnement de son cerveau ! »
« Nous vous écoutons, commandant ! »
L’auditoire est suspendu aux images de Paul renvoyées par sa webcam depuis l’océan Indien où le jour commencerait à décliner…
Mais le son arrive avec un léger décalage avant l’image…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. https://www.youtube.com/watch?v=uFmm3PDGUJw ou https://www.dailymotion.com/video/x8qlc3q et encore https://www.bfmtv.com/international/asie/russie/vladimir-poutine-repond-a-son-sosie-genere_VN-202312150589.html
[2] Cf. « La croisière d’Alexis », dans la série « Les enquêtes de Charlotte », aux éditions I3.
[3] Dont, Kim Jong-un, sa sœur, Kim Yo-jong, surnommée « Princesse Yoyo » par son propre père ; le Président français Makarond depuis qu’il s’est fait gifler en juin 2021 en marge de la visite d’un lycée hôtelier ; et plus récemment Vladimir Poutine : Cf. « La tête dans les étoiles », dans la série « Les enquêtes de Charlotte », publication à venir aux éditions I3
[4] Cf. « La tête dans les étoiles », dans la série « Les enquêtes de Charlotte », publication à venir aux éditions I3

lundi 30 juin 2025

Tome II – La tête dans les étoiles.

Prologue
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
00.0 – Vous l’aurez deviné par divers propos antérieurs sur ces pages, je suis actuellement « en vadrouille » assez loin de mes lieux habituels de vie et de travail. Aussi, ces derniers jours j’ai eu un peu de mal à rester scotché derrière les « alertes » de ce monde infernal dans lequel chacun ose jouer sa propre partition sans rechercher ni le bien-être du plus grand nombre ni même la paix des humains de l’humanité entre eux.
À part peut-être notre nouveau pape…
Mais bon, comme le porte-la-parole de Saint Pierre n’est pas beaucoup audible, ça foisonne un peu partout et Dieu, s’il existe, laisse ainsi, dans son immense miséricorde, sa « pauvre-créature » faite à son image s’entre-étriper dans la joie et la bonne humeur générale.
Et je n’ai plus guère le temps de suivre.
 
Aussi, à pareille époque, je n’ai plus qu’une chose en tête : Clore les dossiers en cours (dont tous ceux que je ne veux pas retrouver à la rentrée, si par hasard mon destin m’autorise à revenir faire les check-up indispensables à rassurer « ma nichée »), après avoir mis en ligne les « billets » de l’été sur ce blog et me laisser libre de penser à ma caouane à exposer sous l’ombre ou d’un olivier, ou d’un figuier (même si l’ombre du figuier rand fou) ou d’un parasol, caressée par les doux zéphirs estivaux.
Dans ces moments-là, entre veille et réflexion « sur plage », je me rissole la pilule après des décennies de labeur assidu et j’imagine déjà le scénario du prochain roman : j’ai déjà la « matière à » (172 fichiers pour un total de 3,56 Mo) qu’il faut que j’organise autour d’un scénario crédible, juste pour le plaisir de le créer ex-nihilo, m’en amuser et, éventuellement vous distraire l’été prochain (2026) si je survis jusque-là.
En fait, c’est devenu plus compliqué que ça…
 
Aujourd’hui, comme affirmé précédemment, je suis déjà en vadrouille et je vous laisse une trentaine de posts d’un « roman nouveau », exploités autour de quelques 557 fichiers représentants 19,3 Mo, pour arriver à la fin du mois de juillet sans que j’aie à en rejouter tous les jours.
Et attention « m’sieurs-dames », ce n’est même pas la moitié de l’histoire que je vous raconte !
C’est vous dire si je suis très en retard sur mes prévisions prévisionnelles.
Et qu’il va me falloir consacrer pas mal de matinées à compléter pour arriver à la fin, qui vous racontera Noël 2024, « la tête dans les étoiles », pour de vrai…
 
Car là, je ne peux pas faire autrement : J’aurai été trop bousculé par la charge de travail que ça représente : Je ne suis pas un surhomme qui peut « pondre » au kilomètre sans prendre quelques repos et assumer encore les responsabilités qu’il a gardées.
Pour tout vous dire, le monde tel qu’il va me fait ch… (étroner) tellement il va de travers et je ne vois plus aucun moyen de le redresser dans sa course aux délires !
Bref, il est plus que temps que je le quitte pour des horizons inexistants tellement je reste persuadé de m’être trompé d’époque, de planète et d’espèce.
Mais bon, c’est une autre histoire, parce que si je suis encore là, c’est que j’assume, même à mon corps défendant.
 
Donc l’histoire que vous allez lire dans les jours qui suivent a été conçue il y a bien des années : C’est celle d’un type qui veut aller faire l’amour (baiser quoi) sa femme en apesanteur !
Comme d’un cadeau exceptionnel à nul autre pareil…
Je ne sais pas pourquoi, mais l’idée doit dater de 2016, quand je vous ai écrit « Ultime récit – suite ».
À l’époque je trouvais ça assez « photogénique » (au moins dans ma tête), pour en faire un roman.
Notamment à cause de toutes ces images qu’on nous rapportait de l’ISS.
Sauf que comme d’habitude, la réalité rattrape bien des rêves, même d’anticipation échevelés, et impose ces correctifs impérieux.
Donc, ce qui va suivre ne sera pas tout-à-fait ce que j’avais imaginé au démarrage pour vous (et mon plaisir de l’écrire, soyons honnête), car ça devait se passer au plus tard à Noël 2024 et que l’année 2024 aura été une année particulièrement dense en diverses surprises, pas forcément toutes anticipées.
 
Il y en a tout de même pas mal, de ces surprises, qui viennent conforter le scénario imaginé pour vous, aussi, une fois de plus, ce roman n’est pas totalement un « pur produit de l’imagination de son auteur », mais par bien des aspects une reprise des éléments d’actualité de l’année 2024 dans lesquels j’aurai dû introduire des éléments de fiction (assez peu finalement tellement mes « anticipations fictionnelles » sont plutôt bien élaborées) pour vous proposer un récit cohérent avec ce que tout le monde peut vérifier par ailleurs.
Ma spécialité de romancier…
 
Ce n’est pas que j’en sois spécialement fier (ça me ferait plutôt caguer d’ailleurs), au point que j’ai envie d’écrire autre chose avec un nouveau décor et d’autres personnages, mais il se trouve que, aussi pénible que cela puisse être, le roman de 2026, qui portera sur 2025, est déjà encadré par une actualité encore plus dense que celle de 2024 qu’on va devoir balayer ensemble, avec toutefois pas mal de choses qui n’ont jamais été reprises par la presse mainstream.
Demain, si j’ai le temps en Balagne de commencer l’écriture du volume suivant (à condition de finir celui-ci), je m’amuserai plus que pour celui-ci où beaucoup de choses ont déjà été dites et recuites pour être connues de toutes et tous et analysées sous toutes les coutures…
À quelques exceptions près que vous allez découvrir dans les prochains posts.
 
Aussi, je vous souhaite dès à présent une bonne lecture pendant que je vais rejoindre mes bases estivales balaninaises (et installer la clim dans ma demeure maquisale de « bord de montagne sur mer » !)
 
00.1 – Résumé :
 
2024, une année électorale quasi-mondiale et compliquée, une année olympique flamboyante, un monde en éruption permanente, Paul de Bréveuil toujours partiellement amnésique, invalide du sommeil, avec des projets qui n’avancent pas même sous la pression, alors que d’autres, peut-être plus menaçants, s’exécutent dans l’ombre.
Les ingénieurs du chaos sont en marche et gagnent du terrain au fil du temps.
Et pourtant, à force de ténacité et d’obstination, « Charlotte » réalise son fantasme de piloter son propre prototype en orbite sans financement extérieur.
S’il est en avance sur tout le monde quant à la technologie de vaisseau spatiaux habités réutilisables, c’est que depuis l’origine il ne demande rien à personne, ce qui lui évite d’avoir à résister aux pressions de son environnement et lui permet de déjouer les pièges de services secrets devenus plus ou moins ouvertement « hostiles ».
Il avance sans faire de bruit tout en préparant sa succession…
C’est ce que nous allons voir dans ce volume.
 
00.2 – La narratrice de ce volume :
 
On ne présente plus Alexis Dubois, née journaliste. Maîtrise de lettre moderne à Paris-Sorbonne et pigiste puis reporter, elle devient la « biographe » officielle de Paul de Bréveuil alias l’agent « Charlotte » non pas par hasard, mais comme d’une nécessité. Aussi, elle enquête et poursuit « son sujet » au cours des années récentes qui restent denses. Elle est en contact permanent et direct avec ce dernier qu’elle suit à sa demande et sous le contrôle duquel elle travaille.
« Le Gardien », alias « Flibustier 20260 » (parfois aussi « Flibustier 75006 »), directeur de publication, fait la liaison entre Alexis Dubois et l’inventeur du personnage central dans la collection des « Enquêtes de Charlotte » en libre publication. Il est chargé par les uns et les autres d’éditer les volumes successifs relatant la vie de Paul de Bréveuil.
I3 est « l’inventeur » de « Charlotte », le créateur, inspiré à la fois par ce dernier (qui prend corps) et « Le capitaine Haddock » (Jean-Charles Duboc) : des personnes « réelles » qui toutes existent ou ont existé sur la planète Terre au confluent du XXème et XXIème siècle.
Et Paul de Bréveuil est le personnage central de cette série : son rôle reste ambigu.
S’il opère bien en toutes ses qualités, de façon parfois très « discrètes » au fil du temps au moins aux yeux du public (mais pas des autorités), il est l’homme qui a besoin, pour des raisons qu’on découvre au fil du temps, d’avoir un biographe officiel. D’où « l’inspiration » téléguidée d’I3 puis, et parce que tout le monde est mortel, d’Alexis Dubois.
Une saga qui tourne sur elle-même…
 
00.3 – Biographie simplifiée de « Charlotte »
 
1975 : Naissance (présumée)
1991 : Brevet de pilote amateur ― Vice-champion national de vol à voile
1992 : Brevet navigation ― Baccalauréat scientifique
1993 : Licence moteur ― Permis de conduire ― 1ère année de prépa d’école d’ingénieur
1994 : 2ème année de préparation école d’ingénieur
1995 : Élève officier pilote de l’aéronautique navale (EOPAN) ― École Polytechnique
1996 : Élève officier pilote de l’aéronautique navale (EOPAN) ― École Polytechnique
1997 : Stage US à Nelly-base ― École Polytechnique
1998 : Stage US à la Naval Air Station Pensacola ― École Polytechnique
1999 : Brevet de pilote de chasse ― Sup-aéro ― Lieutenant de Vaisseau
2000 : Embarquement sur le PAN Charles de Gaulle ― Sup-aéro
2001 : Patrouilles sur le PAN Charles de Gaulle
2002 : Missions de guerre sur le PAN Charles de Gaulle ― Campagne Afghane
2003 : Capitaine de Corvette ― Direction du renseignement militaire
2004 : DRM ― Opérations spéciales ― Médaille du Congrès américain
2005 : Délégué général de la Guilde des joailliers ― Cf. « Le feu »
2006 : Chargé de missions chez EADS ― Cf. « Ardéchoise cœur fidèle »
2007 : Directeur technique de la MAPEA ― Cf « Le juge Feyard »
2008 : Directeur général de la MAPEA ― Cf. « Le crime était parfait »
2009 : Directeur général de la MAPEA ― Cf. « Opération Juliette-siéra » (réédition sur Amazon)
2010 : Directeur général de la MAPEA ― Cf. « Au nom du Père »
2011 : Assistant chez Dassault aviation ― Cf. « Au nom du Père ― tome II »
2012 : Secrétaire général de la MAPEA ― Cf. « Parcours Olympiques » (sur Amazon), Médaille de la liberté, Pair d’Angleterre, Ordre de Jésus-Christ…
2013 : MAPEA – Naissance d’Annabelle ― Cf. « Mains invisibles » (sur Amazon)
2014 : MAPEA – Naissance de Louis ― Cf. « Mains invisibles ― tome II » (sur Amazon)
2015 : MAPEA ― Cf. « Laudato sì… » (prochainement sur Amazon)
2016 : Cf. « Ultime récit » (sur Amazon)
2017 : Cf. « Ultime récit ― suite » (sur Amazon)
2018 : Cf. « Alex cherche Charlotte » (sur Amazon)
2019 : Cf. « À la poursuite de Charlotte » (sur Amazon)
2020 : Cf. « L’année Covid de Charlotte » (sur Amazon)
2021 : Cf. « La croisière d’Alexis » (sur Amazon)
2022 : Cf. « 2022, année électorale de Charlotte » (prochainement sur Amazon)
2023 : Cf. « Menaces de chaos » (sur Amazon)
2024 : Cf. « La tête dans les étoiles » (prochainement sur Amazon)
2025 : Cf. « Tome II – La tête dans les étoiles » (prochainement sur Amazon)
2026 : Cf : « La suite – 2025 » (à l’écriture).
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)