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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 26 août 2014

Chapitre XXVI.2

Avertissement : Ceci est un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Montée des périls ? (2/3)
 
En revanche, question « bonne-gestion », il y a eu plusieurs « couacs ».
D’abord la trésorière du parti qui s’emmêle un peu dans les chiffres du « Krasosthon » en annonçant trop vite le solde de l’opération : 8.000 donations reçues pour une moyenne de 80 euros.
Heureusement pour elle, personne ne sait faire une multiplication dans ce pays, parce que ça ne fait pas 11 millions d’euros, mais à peine 640 K€ !
 
Plus tard, on aura fait les fonds de tiroirs de tous ceux qui avaient pu être un moment ou à un autre dans les fichiers du parti, militants, amis et sympathisants, plus les prospects de la dernière campagne présidentielle…
Curieusement, ces derniers, s’ils avaient été très sollicités, jusqu’à plusieurs fois par semaine au premier trimestre 2012, très peu l’ont été à l’été 2013 … pour sauver même que et seulement leur parti !
Près de 80.000 noms et adresses sont ainsi ressortis dans « comptes officiels » de l’opération. Soit une moyenne de don « théorique » de 137,50 € par personne.
Soit encore quelques 45.000 « nouveaux adhérents », dont près de 12.000, furieux, ont renvoyé leur carte toute neuve, puisque le don s’accompagnait d’une adhésion « sans limite » aux bonnes œuvres du parti !
Une affaire extraordinaire qu'absolument personne ne relève pourtant ! Car enfin quoi, alors qu'il n'y aurait que 35.000 adhérents pour se fendre de deux ou trois billets de 50 euros, il y aurait eu 45.000 anonymes pour en faire autant ? Et sur ceux-là, plus d'un quart pour se fendre d'un timbre et d'une enveloppe pour renvoyer leur carte ?
Alors qu'ils auraient pu l'encadrer, la jeter ou tout simplement l'oublier au fond d'un tiroir... De l'art de faire avaler n'importe quelle couleuvre à tous les médias et l'opinion publique béate toute entière et même pas surprise !
D'ailleurs, ces montants ne se retrouveront jamais en contrepartie dans les décomptes du Trésor public au titre du crédit d’impôt attaché à ce type de contribution…  
Tant mieux : c’est l’impôt qui aurait participé à blanchir du pognon sale, déjà « hors impôt », ou l’application du principe de la double-peine pour la finance publique.
 
Et puis, un des « bras droits » de l’équipe du président de l’UMP se fait choper par les douanes à l’occasion d’un contrôle de routine anti-drogue à la gare du Nord, sur le quai du Thalys en partance pour Bruxelles, avec une mallette contenant 300 K€ en billets, dollar et euro…
Des « queues » à mettre à l’abri.
Et encore cette affaire, plus tard, qui obligera ledit Président à mettre sous scellés les livres comptables du parti, pas très sûr qu’ils soient totalement en ordre, notamment à raison de cette opération-là.
Il sera politiquement assassiné un peu plus tard, quand un triumvirat d’anciens premiers-ministres lui explosera la tête au détour d’une réunion de crise.
À eux de garder les secrets de la tambouille, bien au fond de l’armoire à secrets des recettes de cuisine et de faire turbiner les « petites-mains » pour remettre de l’ordre dans ces comptes-là avant l’audit promis.
 
Audit qui confirmera en juillet 2014 que le parti est endetté à hauteur de 74,5 M€, en faillite virtuelle, là où en 2009 et 2010 il faisait encore des « excédents de gestion » pour plusieurs millions tous les ans.
Sans compter les vraies et fausses révélations sur les dépenses des uns et des autres, entre billets d’avion et paiement des factures de téléphone, voyages et autres séjours qui pourriront la vie publique de quelques « grandes-gueules » donneuses de leçons de morale au « petit-peuple » alors en vacances…
Mais ce sera après la monumentale gifle des municipales et le coup de tonnerre des européennes de 2014.
 
Pas seulement : le 5 juin 2013, le « Comité Libecciu » s’enflamme. Ce sera l’épisode de la violente agression de Clément Méric aux abords de la gare Saint-Lazare par un groupe de skinheads, ramassé en état de mort cérébrale qui fera ressurgir la peur du « facho ».
Là, le « Comité Libecciu » n’a rien vu venir, ce qui n’augure rien de bon quant à son utilité.
Le Parti de gauche (PG), par le biais d'un communiqué, est lui, allé plus loin en indiquant que la victime avait été « tuée », dénonçant dans ce même texte un « crime odieux ».
À 1 h du matin du lendemain, ses agresseurs n'avaient toujours pas été interpellés.
Le jeune homme de 19 ans a été « transporté à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière » où il était dans la nuit « dans un état désespéré », a indiqué dans un communiqué le ministre de l'Intérieur qui « apporte son entier soutien à la famille de la victime ».
Le secrétaire national du PG en charge de la lutte contre l’extrême droite écrit que Clément Méric était « un étudiant de Sciences-Po de 18 ans connu pour son engagement antifasciste ». Selon l'adjoint à la Mairie du 12ème, ses agresseurs seraient « des militants d’extrême droite, manifestement du Groupe JNR (Jeune Nationaliste Révolutionnaire) », mouvement qui, avec d’autres seront dissous par arrêté ministériel quelques jours plus tard, sans autre forme de procès ni même quelque équité.
Ce qui reste faux et le fruit d’une manipulation ahurissante des médias et de l’opinion publique, une fois de plus !
Le ministre de l’intérieur « nettoie » seulement à l’extrême droite en oubliant sciemment d’en faire autant à l’extrême gauche, alors que justement c’est le groupe de Cédric qui reste l’agresseur du groupe d’Estéban…
 
Plusieurs témoins ont décrit trois agresseurs comme étant des skinheads, portant des « bombers et des rangers ».
Ils les ont vus attaquer un autre groupe de jeunes âgés d'une vingtaine d'années. « C'était une agression très violente. On était à une trentaine de mètres avec ma copine et on a entendu un gros boum quand sa tête a heurté le poteau », a indiqué un témoin. Un passant a alors mis le jeune homme en position latérale de sécurité, avant que la victime ne soit évacuée, en sang.
Selon une source policière, une vente privée de vêtements était organisée rue Caumartin (9ème arrondissement), à laquelle assistait notamment la victime avec trois autres camarades.
Trois jeunes gens « de type skinhead », dont une femme, sont arrivés dans les lieux et il y a eu invectives et bousculades entre ces groupes, selon les premiers éléments de l'enquête confiée au 1er district de police judiciaire (DPJ) se basant pour l'heure sur de « nombreux témoignages directs ».
Les skinheads seraient sortis et auraient attendu « avec des renforts » devant le magasin.
La victime « a été frappée par l'un des skins qui avait un poing américain et a chuté sur la chaussée en heurtant un plot au passage ».
On saura plus tard que le groupe d’assaillants était bien celui que Clément lui-même avait appelé en renfort…
 
Ce qui n’empêche pas toute la classe politique et le parti de Gauche de récupérer cette affaire sordide en lançant un appel au ministre de l'Intérieur et « exiger que les forces de police agissent dans les plus brefs délais pour retrouver les responsables de ce crime odieux ». Celui-ci a indiqué qu'il souhaitait « que les investigations, menées par les policiers du 1er district de police judiciaire sous l'autorité du procureur de la République, permettent d'interpeller dans les meilleurs délais les responsables de ces faits intolérables, afin qu'ils répondent de leurs actes devant la Justice », selon son communiqué.
La justice attendra des années et des années avant de pouvoir rendre un verdict.
Un des « agresseurs » sera même remis en liberté surveillée un an plus tard…
Un rassemblement Place Saint-Michel s’est tenu le jeudi suivant à 18 h 30, à l’appel du PG qui réclame la « dissolution des groupes d’extrême droite qui multiplient les actes de violence ». Un autre rassemblement sera prévu le même jeudi à 17 h sur les lieux de l’agression.
 
Grosse désolation dans les rangs des « homens » et autres « putschistes en herbe » dans les casernes. L’épisode aura jeté comme un froid glacial et sibérien sur leurs ambitions et projets, au ravissement de courte durée de l’amiral Gustave.
Car il se démène avec son fameux « baromètre » qui enregistre rapidement une hausse brutale dans les derniers jours de juin.
 
Ce sont d’ailleurs sur les travaux de Gustave que repose, depuis « l’affaire Clément », l’alerte donnée aux autorités.
On retiendra ce qu’en a dit la presse à ce moment-là :
« À la demande expresse du Président Landau, la DSPD (Direction de la protection et de la sécurité de la défense) en clair le service de renseignement de l’armée est saisie du dossier de Rodolphe Cervelle. » qui semble se considérer comme un meneur, mais n’est même pas un porte-parole de quoi que ce soit.
Il s’agit d’une direction interne des services de renseignements de l’armée, plutôt tournée vers la sécurité des installations, d’un service beaucoup plus vaste (la DRM) habituellement tourné vers les menaces « étrangères », de vrais espions, quoi, pas des manchots syndiqués.
Ses conversations téléphoniques sont écoutées, des déplacements surveillés, son site internet placé sous contrôle. (…)
« Cervelle est à la tête d’un réseau composé de nostalgiques de Pétain, de la Collaboration et de la Cagoule, et vit dans le fantasme du coup d’État.
Dès le début du mois de juin 2013, Le-Riant arrivera à la conclusion que Cervelle a mis en avant les noms (…) de trois généraux connus pour tenter de s’en servir comme « appât ».
En clair, Cervelle utilise « Pue-gars », « Deux-Villes-liées » et « Dard-riz » pour enrôler des sous-officiers et officiers subalternes autour du mouvement « M6 M », pour Mouvement du 6 Mai. 
 
D’où cet appel dans l’article de La Revue de l’arsenal, au « salut » qui pourrait venir de capitaines, et la fameuse « quenelle » de « Dieu-a-donné » qui n’a rien à voir.
Pour l’humoriste sulfureux qui en a fait la promotion, une quenelle n’est rien d’autre qu’un sexe masculin tendu.
Et à l’imitation des marseillais, la sienne est longue comme le bras !
Mais les autorités veulent y voir un salut nazi à l’envers…
D’autant que circulent des photos de soldats la faisant sur leurs chars, et même du ministre de l’intérieur hilare entouré de « jeunes » saluant de la sorte.
« Le ministre décrira, en tout cas début juin 2013 au Président comme au chef du gouvernement, l’action subversive de Cervelle comme une « attaque du sommet de la pyramide » – comprendre de la tête de la hiérarchie militaire. »
S’il ne fait pas de doute pour le pouvoir que, comme Pue-gars et Deux-Villes-liées, le général Dard-riz n’a jamais songé à fomenter le moindre putsch, son rôle de conseiller en logistique de « La manif’ pour tous » a été seulement surveillé de très près.
 
D’ailleurs, après avoir annoncé le 24 mai (2013) sur LCI ce qu’il appellera « un hold-up politique sur le débat de société réclamé pas les opposants homosexuel » et déclaré que « le pays réel s’opposait au pays légal », il sera convoqué dans la foulée au ministère de la Défense, où le directeur de cabinet du ministre, « Cédric Le-vent-Dos-Wski », lui rappelle son devoir de réserve.
« (…) L’inquiétude ministérielle est née du fait que plusieurs officiers catholiques sont, pour l’occasion, présentés comme les fers de lance d’un combat contre « le cabinet franc-maçon » au ministère de la Défense. »
(…) « La période est particulière, » explique Le-Riant au premier ministre le 6 juin. « Nous sommes en fin de mouvement anti-mariage gay, un mouvement qui a drainé autour de lui des officiers et des enfants d’officiers qui avaient milité du côté des Homens ».
Ce groupe d’activistes, est (devenu) le « porte-étendard de la résistance contre le mariage gay ». Leurs devises : « Nous sommes partout, dans les villes, et les campagnes. Nous sommes la majorité silencieuse qui sort de l’ombre. Nous sommes le peuple qui hurle. Nous sommes la résistance. Et nous ne lâcherons jamais ». »
 
À ce moment-là et pour le pouvoir, il faut d’urgence bâtir un plan solide pour s’attacher la loyauté des officiers supérieurs de l’armée, autrement dit des budgets, des sous.
C’est la conclusion du rapport intermédiaire et confidentiel du « Comité Libecciu ».
Aussi une façon pour Gustave d’aider ses petits-camarades « d’active », rançonné par Bercy, alors même que le ministre du Budget se faisait complice d’un retour des queues des « fonds perdus » de façon pas totalement orthodoxe, même si c’était particulièrement astucieux.
 
Car c’est dans les cabinets ministériels que se prépare aussi la future loi de programmation militaire, négociée pied-à-pied.
Les exigences des étoilés sont terribles : rénovation complète du logiciel de paye ; paiement « au cul du camion » des soldes de la troupe en OPEX en Afrique ; sanctuarisation des budgets de la FOS, confirmation des investissements programmés en matériel, achats d’un nouveau fusil d’assaut pour remplacer le Famas et de drones sur étagère, le tout même si c’est à l’étranger ; mainmise sur la totalité des moyens de renseignements intérieurs et embauche, jusque-là gelées, non plus de 400 ingénieurs informaticiens du renseignement, mais du double !
Plus, des garanties sur le grand carénage du porte-avions CDG en 2016 pour les marins et le programme de remise à niveau du Rafale d’un milliard d’euros pour les aviateurs.
À la grande satisfaction des industriels n’en croyant pas ni yeux ni oreilles, qui devront se contenter de ça. C’est déjà beaucoup mieux que ce qu’ils avaient anticipé…


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