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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 4 août 2018

L’implacable mécanique de la victoire

Chapitre quinzième

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !

Il n’y aurait pas eu la candidature de « DuViaduc-Plaplan », la populiste d’extrême droite aurait franchi le premier virage en tête, et là, il aurait fallu redoubler d’efforts, appeler à un « front républicain », battre le rappel des élections nazies des années de 1933, démarrer une campagne de presse hystérique pour « faire barrage » et mobiliser contre l’abstention, contrairement à ce qui avait été fait jusque-là.
C’était envisagé, préparé même jusque dans les détails, avec tracts et affiches de caricatures montrant une « chemise-noire » le couteau entre les dents, le regard féroce et quelques « formules-fortes » qui ont su « faire mouche » comme le « Ils reviennent ! », mais il n’y a même pas eu besoin de sonner le tocsin !
« Drague-Hi » félicite Makarond et lui dit : « Tu es président les français n’auront jamais les couilles de voter La Peine et les autres tordus vont venir te lécher les fesses et voteront pour toi ! ».
Cela se finit à la Rotonde...  Makarond sait déjà qu’il est président.

Le 24 avril la bourse prend 7 points, les places financières sont aux anges ! Ces élections présidentielles ne furent qu’à un seul tour, magnifiquement orchestrées par, les médias, la finance, le CAC 40 et autres « puissants de l’ombre », les français n’y ont vu que du feu !
Un dernier débat plus tard, c’était gagné : « La Peine » s’est effondrée en direct éructant des propos incohérents.
Pire que d’avoir pu faire baver Jupette en direct devant des millions de téléspectateurs avec une cannette un peu trop « vitaminée » distribuée dans les loges !
Le 7 mai 2017, Macron est élu et nos patrons de presse et autres vont mettre leur terrible plan « en marche ». Le spectacle du Louvre est un délire narcissique et maçonnique dont l’analyse révèle bien des intentions qualifiées de « déviantes » et bien éloignées des problèmes et attentes des Français.
Peu importe.

Reste maintenant la dernière étape : les législatives.
Faire à l’Assemblée Nationale élire 50 % de personnes qui n’ont jamais touché au politique ou eu un mandat électoral : un défi à la raison !
Cette manœuvre est organisée depuis Paris dans le cadre d’un processus de sélection mis en place par une poignée « d’historiques » qui n’apparaissent jamais en plein jour, s’interdisant même statutairement d’être candidat eux-mêmes et sachant garder « un secret ».
Il s’agit d’achever d’affaiblir le pouvoir législatif, le cœur de la démocratie, en mettant en place une sorte d’aréopage de personnes désignées qui seront à la botte du nouveau régime.

Là encore, personne ne se posera la question du financement de toutes ces investitures. « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Ni la rafale de soutiens que fait naître l’enthousiasme de « nouveaux-venus » dans les ministères.
La droite se retrouve éclatée entre « ralliés », reconvertis, « constructifs » et les scories des sortants qui ont du mal à dissimuler leur gueule de bois.
La gauche n’existe désormais qu’à l’occasion de ses propres divisions et règlements de comptes jusqu’à en devenir aphone, à peine audible.
Ce que confirmera le second tour des législatives où Makarond obtiendra une très nette majorité : le réflexe « légaliste » des français où, comme aux présidentielles, un sur deux ne s’est pas déplacé pour sauver ce qui pouvait encore l’être ou soutenir ceux qui s’étaient inscrits derrière un Président nouvellement élu mais déjà si impopulaire pour avoir mis un « inconnu » (validé par d’autres), maire du Havre, à Matignon, a fait son effet, selon la même « tactique » de « l’immersion & capillarité »…
Le changement, la « transformation » sont devenus le « deus ex-machina » de la politique. Il a suffi de le promettre pour conquérir le pouvoir. Le peuple, par ces élections, aura perdu sa souveraineté : maintenant il élit la personne que les financiers et les patrons de presse ont choisie.
16 millions de personnes se sont abstenues ou ont voté blanc, signe qu’il y a encore des français qui ne se laissent pas totalement manipuler et qu’il faudra mettre au pas et rançonner.
Pas assez nombreux ce jour-là…

Dans la réalité, c’est une élection « trafiquée », « bricolée », bien plus en amont et de façon souterraine qu’on ne peut l’imaginer. Ce qui mérite un petit éclaircissement.
Tout au long de la vaste planète, il existe des personnes – en général richissimes – qui règnent sur leurs empires sur lequel le soleil ne se couche jamais. Ils ont des moyens financiers considérables et, selon la philosophie huguenote qui les anime, sont donc des « désignés-de-Dieu » pour façonner un monde à l’image divine. Certains font le Djihad (pour accélérer le retour sur Terre de leur divinité), d’autres financent des œuvres philanthropiques (pour soulager la misère humaine), quelques-uns sont intéressés par les progrès de la technologie (pour en faire profiter le plus grand nombre et accessoirement accroître leur fortune) et une poignée (on en compte tout de même plusieurs milliers) pour peser sur le monde économico-politique : faire et défaire des marchés, imposer un « ordre nouveau » politique et institutionnel, celui des « maîtres du monde » et au passage s’enrichir un peu plus. Mais ça reste accessoire.
Dans cette dernière frange, comme l’a décrit Paul à Junior n° 5, il y a des « nuisibles » et il y a les « bienveillants », qui usent et abusent de leurs Lumières, investissant le monde des idées, des médias, de la science, de la philosophie pour ouvrir leur meilleur au plus grand nombre avec mille nuances jusqu’aux « malveillants ».
Ceux-là usent et abusent des mêmes ressources et n’hésitent pas à « manipuler », les peuples, les nations, les hommes-politiques et bravent la loi des hommes et les institutions des pays qui les portent en vue d’instaurer un « chaos-organisé », quitte à provoquer des conflits graves.
C’est leur doxa : de toute façon, l’humain est en nombre trop grand pour prospérer sur la planète, si petite, sans la saloper définitivement.
Tous, les bienveillants comme les malveillants, en sont persuadés.

Et puis, dans le lot, il y a des « petits-génies », nés d’expertises nouvelles, qui n’ont pas vocation première de créer un « monde nouveau », mais, grâce aux technologies du numérique, sont capables « d’inventer » des applications fabuleuses.
Paul, Huyck et Dimitri et leur logiciel « BBR » qu’ils envisagent de faire évoluer pour le perfectionner, en font partie.
D’autres, notamment au Canada – exactement en Nouvelle-Colombie, sur la côte du Pacifique – visent le « micro-markéting ». Une chose assez simple : ça consiste à croiser les données relatives à des personnes qui ont une vie internetique. Comme elles sont toujours plus nombreuses à travers les réseaux sociaux, en suivant leurs navigations sur la toile, leurs amis, leurs « like », leur « production » (toutes choses mises gratuitement en ligne par lesdits acteurs), il est relativement simple de dresser un « portrait-robot » du citoyen qu’il y a derrière et ainsi de lui proposer des publicités-ciblées.
Les industriels adorent et les GAFA revendent à qui paye ces données-ciblées.
D’ailleurs, ils sont les premiers à user directement de vos données pour vous refiler des placards publicitaires non-sollicités. Mais on peut faire mieux.
Guider l’acte d’achat – puisqu’il s’agit de ça – de tout à chacun en proposant un message plus finement élaboré en fonction du profil de l’internaute.
Et quand ce monde-là des « geeks » croise l’autre monde, celui des « malveillants », ça peut donner un « paquet de dollars » pour acquérir les savoir-faire, et permettre des expérimentations plus pointues, dans le domaine « politique » notamment.

Les premiers essais ont eu lieu dans les îles-caraïbes. Pas vraiment dirimant, mais des résultats encourageants.
Le second a été organisé en Grande-Bretagne avec une société locale : « Bridge Field » rapprochée pour l’occasion de l’entreprise canadienne « Galacticus-Analatyca » à travers des prises de participations capitalistiques communes. Objectif : tester à grande échelle et à l’occasion du référendum – « imperdable » pour le gouvernement en place – sur le « Brexit ».
Il aura suffi de créer des « buzz » autour des sentiments xénophobes, voire seulement patriotiques, d’une population identifiée comme « en souffrance », relayés par d’autres plus virulents, anti-européens ou seulement antisystème-technocratiques, pour faire basculer une petite minorité indécise vers le « Brexit ».
Bien sûr, tout le monde a mis ce résultat sur un déficit d’information, plus quelques « fakes-news » attribuées à l’armée de « trolls-internetiques » mise en place et financée par le Président russe afin de contrer les campagnes russophobes des médias occidentaux depuis 2003, plus l’apport de quelques bateleurs « bien conseillés ». Mais en réalité, personne n’a vu venir cette approche « insidieuse » pour être « individualisée », arrivant jusque sur les écrans de téléphones portables par vague successives et indécelables pour ceux qui n’étaient pas visés…
Même les caciques de la Trilatérale et du groupe Bilderberg, pourtant très au courant, notamment depuis les échanges et questionnements qui ont eu lieu lors du dernier Davos, n’ont pas vu venir la manœuvre.
De toute façon, dans ces cénacles, tout le monde savait et redoutait les travaux à être étalés sur la place publique des « Panama-Papers » et plus tard des « Paradise-papers » encore « dans le flou » à ce moment-là.

L’utilisation massive de ces techniques « d’influence-ciblée » a été utilisée une troisième fois dans le sillage des primaires américaines, puis pour le scrutin de novembre. Trois cibles : les convaincus, chargés inconsciemment de relayer les messages sur les réseaux sociaux ; les indécis, inondés d’images et de message autour de la menace que représente des « migrants » agressifs ; les « opposants » qu’on tente de faire douter pour qu’ils s’abstiennent le jour du scrutin avec des messages du style, « pas la peine de se déplacer, les dés sont jetés ».
87 millions de comptes ainsi été « harcelés ». Pour un résultat déjouant tous les pronostics.
« Les peuples ne décident jamais que des conneries ! »
Mais qui invente les conneries ?
Alors, quand « Pametir » met la main sur la data-base de « BBR », un peu forcé et ne sachant pas comment utiliser les milliards de données rassemblées et pré-triées, finalement, c’était inespéré pour une quatrième utilisation : l’élection majeure des français pour tout un quinquennat.
Divine surprise, les « bienveillants » et les « malveillants » s’accordent sur le dos de la démocratie pour être actifs sur ce sujet.
Si les médias parvenaient à étriller la candidature de l’ex-premier ministre, c’était jouable avec un moindre effort : il suffisait de surfer sur l’abstention.
Avec seulement la moitié des électeurs se déplaçant au soir du premier tour, le seul risque était de se retrouver au second tour avec deux candidats « populistes ».
L’objectif des « malveillants », financés – pour partie seulement – par des « bienveillants » qui avaient poussé au rachat forcé – et finalement inespéré – de la « data-BBR ».
À la croisée des chemins, c’est finalement « Makarond » qui a tiré ses marrons du feu avant qu’ils ne crament…

Évidemment, devant une telle « réussite », le procédé aura été réutilisé à l’occasion de toutes les élections suivantes, en passant par l’Italie, la Russie, la Hongrie, etc.
Sans même parler d’un « dérivé » chinois, visant à « profiler » tous les citoyens, jusqu’à les « noter » pour qu’ils bénéficient ou non des « bons services » du parti qui dirige l’appareil étatique.
Une dictature « douce » comme une autre : la « démocrature ».
Et une des premières choses pour le nouvel élu français qui est parfaitement au courant de ce qui est fait pour lui en douce (même si c’est lui qui y a mis discrètement de l’argent personnel cantonné sur son LLC caribéen à l’occasion de son déplacement en Californie du temps où il était ministre et voyageait au frais de l’État à soutenir l’économie numérique), aura été de se doter, dans l’urgence, d’un mécanisme légal « anti-fakes-news », dont on ne sait pas trop la portée à confronter aux réalités-terrain.
L’autre aura été de poursuivre, aux USA, en Angleterre et encore ailleurs, les « voleurs de démocratie ».
Naturellement, on aura accusé la Russie un peu trop « en pointe » sur le sujet, pas assez bien dissimulée pour ne pas attirer l’attention.
Et puis, plus tard, « Montagne-de-sucre », le patron du plus important des réseaux sociaux, a été accusé de « légèreté », de s’être fait piller les données de son système, quand il n’est tout naturellement pas vendu… à ceux qui payent (sa capitalisation globale interdisant tout rachat). Sa boîte, c’est pour 95 % de son chiffre d’affaires la vente des « profils ». Et ça se monte à plusieurs milliards…
Mais c’est une affaire qui aura d’autres répercussions scabreuses auxquelles Paul de Bréveuil, dit « Charlotte » aura à faire.
Mais c’est une autre histoire…

Reste dès lors pour « Makarond » à « restituer ». Posé là dans le fauteuil du Calife un peu par hasard et probablement par maladresse de ses adversaires, mais surtout par les « plans à tiroirs » qui n’étaient pas les siens, il a pour tâche de réviser le Code du travail afin de fluidifier le marché de l’emploi comme il a été fait en Allemagne avec tant de succès, de donner des gages européens, de redresser les comptes publics et de « nettoyer » le pays de ses « affaires ».
Dans ce cadre-là, il compte en premier lieu s’assurer de la loyauté de l’armée et de la police.
Lui qui n’a jamais porté d’arme ni d’uniforme, dès le jour de son investiture, il remonte les Champs-Élysées en… command-car !…
Un fantasme de gamin enfin assumé.
Il se fait hélitreuiller sur un sous-marin nucléaire, il joue les « top-gun » en tenue de pilote à Istres.
Mais il en fait plus : il veut la haute main sur les « opérations-spéciales », la fameuse liste des « homos » en cours. « Homo » pour « homicide » des activistes, terroristes et djihadistes les plus dangereux de la planète, un pouvoir de vie ou de mort, sans jugement, à l’identique de celui des dieux de l’antiquité sur les humbles mortels : il n’est pas devenu « Jupiter » pour rien…
La sécurité intérieure en priorité.
Une histoire houleuse dans laquelle « Charlotte » va aussi prendre malgré lui sa part.
Car le nouvel élu croit comprendre qu’il est, par priorité, engagé à « étouffer » toute tentative de révélation sur des « affaires-tordues » de détournement frauduleux des avoirs koweïtiens lors d’une guerre ancienne où il n’était encore qu’un gamin imberbe[1].


 (1) Cf. « Les milliards disparus de la Division Daguet » (https://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/1503038017/haddock-21) et  la « partie cachée » : Cf. « Laudato Sì… », chapitre XV (http://flibustier20260.blogspot.fr/2016/08/laudato-si-xv.html) publié aux éditions I3

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