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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 2 août 2018

La mécanique se met « En Marche ! »

Chapitre treizième


Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !


Car depuis le 8 novembre, c’est un nouveau coup de tonnerre sur les « plans » élaborés en juin dernier par le « Groupe Bilderberg » et la « Trilatérale » : l’improbable ticket Mac-Trempe/Mike-Pence emporte les élections présidentielles aux USA. Et impossible de virer Mac-Trempe sans avoir à « gérer » pire que lui, son vice-président.
Quoique l’ex-gouverneur de l’Indiana encore récent élu de la Chambre des représentants des États-Unis est jugé « néocon » (néo-conservateur). C’est un « faucon » : il votera la résolution permettant l’invasion de l’Irak en 2002 et plaide inlassablement en faveur de l’augmentation des budgets militaires. De plus il est présenté comme « un soutien inconditionnel d’Israël ». Il aura accédé à la présidence du groupe républicain au Congrès en 2009 et jusqu’en 2011. En 2010, il annonce ne pas souhaiter se lancer dans la course à l’élection sénatoriale, choisissant plutôt de briguer le poste de gouverneur de l’État de l’Indiana.
Siégeant à la commission des affaires étrangères du Congrès de 2003 à 2012, il occupe la vice-présidence de la sous-commission Moyen-Orient/Asie du Sud de 2012 à 2013 où il forme sa réputation d’être « un idéologue conservateur qui a grimpé les échelons du Parti républicain et non pas comme un stratège de la politique extérieure ». Il se présente comme un « chrétien, un conservateur et un républicain, dans cet ordre » et adopte une attitude en public très différente de celle dont « Mac-Trempe » est coutumier, assumant même parfois des points de vue autonomes, ce qui permet de tempérer certains excès du candidat à la présidentielle.
Lui-même reconnu et apprécié notamment par la « trilatérale », pour avoir aussi « pour mission » de s’opposer au retour d’un nouveau « Glass-Steagall Act » introduit à la suite de la crise de 1929 par le « Banking Act » de 1933 qui aura introduit l’incompatibilité entre les métiers de banque de dépôt et de banque d’investissement, un système fédéral d’assurance des dépôts bancaires et le plafonnement des taux d’intérêt sur les dépôts bancaires (règlementation Q).


Une loi introduite  par le sénateur démocrate de Virginie, Carter Glass, ancien secrétaire au Trésor, et du représentant démocrate de l’Alabama, Henry B. Steagall, président de la commission Banque et Monnaie de la Chambre des représentants, votée par le Congrès à majorité démocrate, puis signée par le président Franklin D. Roosevelt.
Battu en brèche depuis le milieu des années 1970 et largement contourné par l’ensemble de la profession bancaire, il est finalement abrogé sous l’administration Clinton, le 12 novembre 1999 par le « Financial Services Modernization Act », dit également « Gramm-Leach-Bliley Act », juste à temps pour permettre la fusion constitutive de Citigroup.
Depuis, le monde de la finance a accepté de se plier aux critères « Bâle I » (II & III) pour rassurer les déposants et les « politiques » sur la solidité et la solvabilité du système bancaire américain et international ainsi que de se soumettre à des « stress-tests » réguliers…
Alors que le seul choix possible laissé au peuple des Amériques du nord unifiées était celui de son adversaire, favorable au retour d’une réglementation plus « stricte » des professions financières pour éviter un nouveau « crash-2008 », et pour laquelle il lui avait fallu batailler contre les mêmes « populistes » de chez les démocrates pendant de longs mois.


Ce n’est pas une débâcle, mais c’est tout comme et ça promet de joyeuses journées en perspective.
Le danger « populiste », propre à favoriser tous les trafics illégaux, toutes les corruptions, incompatibles avec une vie économique mondiale apaisée et prospère, est bien réel et a été sous-estimé par toutes les études d’opinion depuis le Brexit.
Il s’agit de s’inquiéter si on ne veut pas que le continent européen se referme sur lui-même en s’éparpillant, en se balkanisant : ce n’est pas propice au business mondial que de se couper d’un marché à peu près unifié et codifié de 512 millions d’habitants, 57 % de plus que les seuls USA, ayant un PIB par tête parmi les plus élevés de la planète.
Et là, la conclusion qui s’impose, c’est qu’on ne peut décidément pas faire confiance aux peuples : ils n’en font jamais qu’à leur tête et leur tête tourne à la vitesse du premier populiste venu qui fait un peu trop de vent.


On soupçonne d’ailleurs et justement le russe d’en avoir rajouté : pas un ex-officier du KGB pour rien, celui-là…
Les enquêtes le démontreront par la bande. Mais d’une part celle du FBI s’enferre dans la multiplication d’une partialité jugée « hors de proportion », d’autre part des soupçons de manipulation « des services » n’émanent pas que de Moscou, mais plutôt d’officines très officielles du Gouvernement britannique du moment, même si, évidemment, rien ne se fait en Russie sans l’aval du Kremlin, même à travers des « hackers » et autres sites de « trolls », ces certitudes arrivent hélas ultérieurement : ça ne changera rien au verdict des urnes et de ce satané système électoral américain des « pères-fondateurs ».
En revanche, c’est l’occasion de se servir des mêmes « outils » pour peser sur les élections françaises qui tiennent tant à cœur aux « Maîtres du monde ».
Que faire pour les « maîtres du monde » en Europe et plus particulièrement en France et en Allemagne ?
Pour l’Allemagne, la question est réglée rapidement : il faut renouveler la chancelière sortante, mais lui faire mettre la barre « plus haute » pour une accélération de l’intégration européenne. Ce sera le rôle confié au SPD en cas de « Grosse-Coalition » ou d’opposition à condition que le ministre des finances actuel débarrasse le plancher pour être jugé trop « psychorigide ».


Toute une opération électorale très complexe : pour bien faire, il faut la pousser à refaire une « GroKo » (Groβ-Koalition) quitte à en faire s’évaporer une partie de son électorat vers l’extrême-droite-nationaliste qui a justement le vent en poupe dans toute l’Europe.
Une manœuvre qui échouera dans un premier temps, où elle tentera de faire une alliance contre-nature avec les écologistes et d’autres minoritaires alors que le SPD refuse dans un premier temps de faire partie de cette coalition de gouvernement pour mieux imposer ses propres objectifs assignés.
En mars 2018, longtemps après la France, la Chancelière aura mangé son chapeau : elle accepte enfin de « laisser sa trace » dans les traités européens et l’Histoire sous l’égide des « socialistes » allemands en relançant l’idée d’une Europe « plus forte » dessinée autour de « ses priorités », même si elle n’emporte pas l’adhésion de tout le monde, loin de là.
Les planètes sont « en conjonction », car de son côté, le partenaire de la rive gauche du Rhin s’est mis « en marche » avec un an d’avance et des « frémissements » économiques très encourageants.


En France en 2016, c’est d’abord la primaire de droite qui préoccupe les « maîtres du monde ». On ne veut plus de Krasosky, bien trop « magouilleur » avec ses financements occultes et qui a laissé un mauvais souvenir lors de la dernière année de son mandat, trahissant ses engagements précédents en revenant dessus avec un beau « 180° » propre aux vraies pirouettes : décidément pas fiable, même s’il a eu le mérite de faire adopter le traité constitutionnel européen par la bande.
Pas plus de Jupette, trop acoquiné avec le président Rakchi. C’est un bon cheval, déjà validé par les « Young leaders » de la fondation franco-américaine, par le Groupe Bildeberg, mais ni par la Trilatérale, ni par la CIA, ni par les lobbys sionistes et encore moins par les loges-maçonniques.
D’autant qu’il va forcément donner du fil à retordre à l’OTAN comme il l’a déjà fait dans le passé. Et puis c’est un repris de justice.
Reste Fillette qui a validé par le passé à peu près toutes les étapes, mais on n’en veut pas notamment chez les frères-maçons du Grand-Orient qui ne l’apprécient pas beaucoup pour l’avoir eu comme premier ministre pendant 5 ans : eux, ils savent toutes ses turpitudes personnelles restées cachées pour ne pas nuire à Krasosky (ne jamais injurier l’avenir) et ne le recommandent pas vraiment.
Quant aux autres, ils ne sont pas crédibles et même « LeMer » paraît immature : il faudrait qu’il se frotte d’abord « aux vraies responsabilités » pour finir de se former et être mieux apprécié à sa juste valeur.


Dès lors, il n’en reste plus qu’un, mais à condition que personne ne puisse faire d’ombre à celui qui va désormais porter les espoirs de la Trilatérale, du groupe Bildeberg et de tous les autres : il est « validé » même chez les sionistes et la CIA n’a rien contre lui. Pas plus que le FSB de Moscou qui ne le connait pas. Mais pas encore chez les européens, allemands en tête.
Un rapide coup de sonde permet également de le « valider » pro-européen, malgré quelques solides réticences de la Chancelière allemande qui ne le supportait plus dans les rencontres bilatérales, et il ne pose aucune difficulté chez les « frères-trois-points » d’autant que ça fait des mois et des mois qu’ils le brossent dans le sens du poil, dans la presse et tous les médias, justement « sur ordre ».
Seul le président du groupe Bildeberg, Le-Castrat, reste à convaincre : il joue sur la possibilité qu’il devienne ministre des finances si Fillette atteint le second tour.
La réunion téléphonique suivante tranchera : on laisse sa chance à Fillette à condition de le faire sortir vainqueur des primaires de droite prévues en fin de mois.
Mais en coulisse se prépare un « plan bis » qui vise à porter Makarond directement à l’Élysée très en avance sur le calendrier prévisionnel initial.


Pour cela, il suffit de saboter la candidature de Fillette une fois qu’il est officiellement désigné à droite. C’est faisable d’autant plus qu’effectivement, sur le plan de la morale et de l’éthique, le bonhomme est loin d’être tout blanc et que le calendrier s’y prête.
C’est un « profiteur » doublé d’un pingre notoire selon les « milieux autorisés » : les dossiers le démontrent à satiété.
Mais pour cela, il faut le soutien des loges, des patrons de presse et donc des médias.
Choses acquises en quelques rencontres dans le dos de Le Castrat qui ne repère pas tout de suite la manœuvre et se retrouvera rapidement devant le fait accompli du lynchage en règle.
Alors que le candidat persiste à se croire « soutenu »…


Naturellement, dans cette nouvelle hypothèse, il faut que Makarond persiste à ne participer à aucune primaire, même pas à gauche. Là, il l’avait déjà enregistré, bien compris, aidé en cela par sa « cougar » qui le drive en coulisse avec les hommes de l’ombre qui s’y entendent à manipuler la démocratie, notamment J-M. Boléro, son ancien professeur de sciences-politiques.
Celui-là a lui bâti un système pyramidale inversé dans son business et il le duplique pour son ancien élève : la démocratie part de la tête et se décline vers les « bénévoles » de l’association « En marche ! » et non pas l’inverse (du socle électoral vers le haut de la pyramide, comme dans toute démocratie élective qui se respecte), alors que l’autre association organise l’intendance nécessaire avec les fonds qui sont enfin rentrés sous l’effet de l’été caniculaire. De quoi faire une « vraie » campagne.
Et ceux-là restent actifs, dans les loges maçonniques et dans les couloirs des allées du pouvoir pour collectionner les ralliements.
Car derrière l’élection présidentielle, se posera ensuite la question des législatives, qui sont aujourd’hui le levier central de la vie politique du pays et une grande partie de son financement pérenne, comme l’aura expliqué le magistrat venu à Berlin en juin dernier.
Pour bénéficier d’une partie des quelques 68 millions d’euros versés chaque année par l’État, il faut remplir certaines conditions dépendant des législatives, notamment y présenter suffisamment de candidats qui obtiennent au moins 1 % des suffrages.
Par ailleurs, en fonction du nombre de députés élus, les partis touchent également une part de ce financement public.


D’où l’importance pour Makarond de présenter, et de faire élire, des candidats « En marche ! » à l’Assemblée nationale, en juin. Sur les 577 circonscriptions, le mouvement veut en réserver la moitié à des candidats issus de « la société civile », des « novices », beaucoup plus faciles à instrumentaliser.
Par définition des béotiens institutionnels, qui ne connaissent rien au fonctionnement de la vie politique du pays : exactement ce que fait Boléro dans ses associations.
Il installe des administrateurs bénévoles de tête qu’il désigne par cooptation tous les ans par tiers, pour s’assurer de rester le directeur général. Des personnes issues de « la société civile » et notoirement irréprochables. Ils restent un an, deux ou trois ans, juste le temps de ne pas poser trop de questions. Et dans sa pyramide à lui, il a des dirigeants salariés tout dévoués qui prennent des postes d’administrateur (bénévole) dans toutes les associations qu’il fédère dans son groupe. Ainsi, exit les « membres naturels » qui restent « bénévoles » mais sans aucun poids sur le cours des décisions de leurs associations au motif officiel de bénéficier de « l’effet de groupe », du statut du groupe, des relations privilégiées avec les banquiers et fournisseurs, « Mayday-Group » apportant ses cautions et savoir-faire à ses « affiliés ».
Ceux-là ont le droit de participer, non pas aux assemblées générales, mais à des « commissions générales » chargées de remonter « des idées » et de signaler des besoins… locaux et spécifiques.
Exactement, trait pour trait, la même organisation que l’association « En Marche ! ».


Les futurs députés pressentis se présenteront naturellement sous l’étiquette « En marche ! », ce qui permettra de générer du financement au mouvement. En revanche, pour les candidats issus d’autres partis, qui pourraient assurer à Makarond une majorité s’il est élu, la question est plus compliquée à trancher, notamment avec les « MoDem » dont l’appoint pourrait se révéler indispensable. Certains socialistes, par exemple, seraient prêts à le soutenir, mais aimeraient déposer leur candidature en préfecture sous l’étiquette PS.
Question d’autonomie politique, mais aussi de financement.
Si la sélection des candidats a commencé, pilotée par un comité « éthique » qui veille à faire signer un engagement personnel et inconditionnel aux impétrants d’« En marche ! », d’autant qu’il leur ait demandé une participation financière quasi-personnelle (à se rembourser sur leurs futurs émoluments d’élu), tous ceux qui « posent des questions » étant d’emblée écartés, le mouvement ne s’interdira pas de finaliser les investitures très tardivement, en partie même après la présidentielle.

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