Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 31 décembre 2020

Rétrospective

2020, une année exécrable !
 
Non seulement j’ai été contraint de me délivrer des « permissions de sorties » pour aller acheter mon tabac, mais en plus il a fallu que je vide les meubles de ma « Môman-à-moâ-même ».
Quel arrachement de voir partir à la déchetterie tous ses souvenirs pieusement conservés…
J’ai même pu récupérer ma première dent-de-lait, c’est vous dire…
Abominable, vous ne pouvez pas savoir !
Pensez-y : Ne laissez pas traîner tous ces objets qui ont meublé votre vie derrière vous !
Vos gamins chialeront à chaudes larmes quand ils devront s’en séparer…
 
Mais il n’y a pas eu que ça. Le roman d’été n’avance pas !
On doit en être au troisième scénario, à une vingtaine de synopsis, à deux centaines de pages éparses et en désordre.
Cette « collaboration » entre « l’auteur », « la narratrice », « le sujet » et « mon gardien » qui fait le lien devient infernale.
Si c’était une bonne idée au départ pour faire faire le boulot par un tiers et contourner « Pourrito », à l’usage c’est un vaste « konnerie » : Même la reprise de « Laudato sì » n’a pas pu aboutir dans les délais alors que le manuscrit original aura été si « limpide » à mettre en ligne !
J’en ai ma claque…
 
Pourtant, quelle année ! Elle aura fourni pas mal de « matière » à romancer.
Souvenez-vous qu’au passage à la nouvelle année qui se termine aujourd’hui, le nouveau « Conard-virus » était déjà là.
Il contamine d’abord la ville de Wuhan en Chine.
En janvier, après qu’il ait fait ses premiers morts, on regarde de loin cette épidémie grippale sans se douter qu’en à peine deux mois et demi, il va se propager et forcer la plupart des pays du monde à se mettre sur pause en mode confinement.
Toute la planète y passe tour à tour et quand certains pays ne le font pas, c’est « catastrophe sanitaire » (hors deux pays).
Le choix est cornélien : « Vivre et mourir, ou mourir (économiquement) pour survivre (à la pandémie) ! »
 
Bien sûr que le « Conard-virus » aura été la colonne vertébrale de 2020.
Un virus qui a bouleversé nos modes de vie et qui a fait de 2020 l’année où l’on a masqué nos visages, supporté que des écouvillons soient désagréablement enfoncés dans nos narines, renoncé aux embrassades avec nos proches, dû faire une croix sur nos sorties au restaurant, au bar, au théâtre, au cinéma…
2020, c’est aussi l’année du « Brexit » et ses multiples rebondissements, une mauvaise année de plus pour le climat et la planète, des catastrophes naturelles et industrielles…
 
Donc début janvier (dès la seconde semaine, un peu après l’assassinat d’un général iranien), on parle encore d’un « mystérieux virus chinois », semblable au Sras, qui fait ses premières victimes à Wuhan, dans le centre du pays.
Plusieurs patients sont liés au marché aux poissons de la ville aux onze millions d’habitants, qui est inspecté par les autorités sanitaires chinoises.
À ce moment-là, on ne sait pas encore si ce nouveau virus se transmet entre êtres humains, ou si les animaux sauvages vendus sur le marché en sont le seul vecteur.
 
Et c’est aussi l’époque d’incendies monstrueux en Australie qui succèdent à ceux d’Amazonie.
Depuis fin 2019, l’Australie est la proie des flammes, aidé par des températures élevées et une importante sécheresse.
Dix-huit millions d’hectares partent en fumée en quelques mois.
L’impact sur la faune est considérable : Dans un rapport publié en juillet, le WWF australien estime que trois milliards d’animaux, TROIS MILLIARDS (mammifères, reptiles, oiseaux…) sont morts dans ces feux de brousse !
Les images de koalas blessés, errant dans les forêts d’eucalyptus calcinés, recueillis puis soignés dans des refuges, ont ému le monde entier.
 
En janvier toujours, mais la fin du mois et face à la diffusion de l’épidémie du nouveau « Conrad-virus » découvert à Wuhan, les autorités chinoises entreprennent de construire un hôpital de 1.000 lits pour isoler et soigner les malades.
Commencée le 24 janvier, la construction de l’hôpital prendra seulement dix jours !
Un deuxième hôpital de 1.600 lits est également construit à la hâte de l’autre côté de la ville.
Les autorités ont pourtant tardé à agir face à l’émergence de ce nouveau virus, comme l’a reconnu lui-même le secrétaire local du Parti communiste.
Alors que l’épidémie du nouveau « Conard-virus » gagne du terrain à Wuhan, le gouvernement de « Kung-Fu-Panda » organise le rapatriement d’expatriés qui souhaitent revenir en « Gauloisie-sociale ».
Un premier avion part de Chine le 30 janvier, avec près de 200 Gauloisiens à bord qui seront placés en quarantaine pour deux semaines dans un centre de vacances à Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône) afin de s’assurer qu’ils ne sont pas contaminés.
Mais pas les pilotes militaires du zinc…
 
Fin janvier, le Royaume-Uni quitte enfin l’Union européenne. Décision irrévicable.
Le 31 janvier, à 23 heures (heure de Londres).
Après trois reports, c’est enfin l’aboutissement du choix qu’ont fait les Britanniques lors du référendum de juin 2016, trois ans et demi plus tôt…
Enfin presque, puisqu’il faudra encore onze mois entre le pays et les 27 pour finaliser l’accord de divorce, conclu in extremis avant la fin de la période de transition, la veille de Noël.
 
Premier pays européen touché par le nouveau « Conard-virus » venu de Chine, la « Ritalie » prend des mesures de quarantaine dans certaines localités dès la fin février, qui seront progressivement étendues à plusieurs provinces au nord du pays.
Le 9 mars, les Carabinieri contrôlent la frontière entre la province de Modène, en quarantaine, et celle de Bologne.
Le soir même, le confinement est étendu à tout le pays.
Pendant que la marine Turque fait des siennes en méditerranée jusqu’à menacer une corvette « Gauloisienne », face à l’inexorable progression du virus, la « Gauloisie-grippée » décrète à son tour un confinement national.
On vote le dimanche et le surlendemain, le 17 mars à midi, il devient interdit de sortir de chez soi sans attestation dérogatoire, pour aller travailler, faire ses courses ou seulement prendre l’air.
Les villes prennent alors des airs de « cité-fantôme » : Peu de monde dans les rues, des queues interminables pour entrer dans les rares magasins « essentiels » restés ouverts, les « parigots » en auront profité pour filer « à la campagne » emmenant sous leurs bras leurs « nichées » et leurs ordinateurs pour continuer à avoir une activité professionnelle « non-essentielle » via Internet…
D’autant qu’il fait beau.
La région Grand-Est est l’une des plus touchées par la première vague de « Conard-virus ».
Les services de réanimation sont saturés et des transferts de patients sont organisés vers des pays voisins ou des régions encore épargnées.
En plein confinement, des TGV sont réquisitionnés pour être médicalisés et évacuer des malades, de Strasbourg vers Bordeaux, par exemple.
L’armée dresse des hôpitaux de campagnes mais les cliniques privées sont désertes…
 
« En mai, fais ce qu’il te plaît » : On va déconfiner, alors que la colère gronde aux États-Unis après la mort de George Floyd.
Le 25 mai à Minneapolis (Minnesota, États-Unis), George Floyd est tué par un policier lors de son arrestation. Maintenu au sol par le genou du policier appuyé sur son cou, il hurle à plusieurs reprises qu’il ne peut plus respirer.
Filmée par des passants, l’arrestation à l’issue fatale de cet Afro-Américain relance les débats sur le racisme dans la police américaine.
Ce sera au tour de la nôtre un peu plus tard avec l’affaire « Traoré » puis celle de ce producteur de musique agressé dans ses locaux par des flics…
Pendant plusieurs semaines, des dizaines de manifestations ont lieu dans toutes les grandes villes du pays, ainsi que des émeutes le 28 mai à Minneapolis même.
 
Début juin débute le démontage de l’échafaudage de Notre-Dame de Paris-sur-la-plage.
Un an après l’incendie de la cathédrale la veille de Pâques, les « cordistes » s’attaquent à la partie la plus délicate du chantier : Démonter l’échafaudage installé autour de la flèche avant l’incendie, qui a en partie fondu et menace la structure de l’édifice.
Les pièces de métal seront sciées une à une puis évacuées avec une grue de 80 mètres, la plus haute d’Europe.
La partie de mikado géant prendra fin le 24 novembre : La cathédrale est alors enfin débarrassée de son échafaudage et on va pouvoir la réhabiliter selon « les règles de l’art ».
 
On finit de voter fin juin et on retiendra une « vague verte » à l’occasion de ce deuxième tour des municipales qui concerne surtout les métropoles.
Un déferlement sur les grandes villes « gauloisiennes » : Strasbourg, Tours, Poitiers, Annecy, Besançon… Les « écololos » s’imposent et parviennent même à remporter des villes loin de leur être acquises.
À Lyon, c’est « Gégé-la-Colombe » qui, après 19 ans de règne sans partage sur la ville, est évincé par Grégory Doucet à la mairie et Bruno Bernard à la Métropole.
Symbole suprême : Pierre Hurmic réussit à prendre Bordeaux, le bastion de « JCD-le-gagneur » et « d’Alun-Juppette ».
Depuis 1947, la cité girondine des ex-négriers n’avait eu que des maires de droâte.
 
Juillet, le 3, « Jupiter » se sépare de « Kun-Fu-Panda » qui n’aura pas démérité mais en a plein les bottes de Matignon !
Il préfère le calme de la mairie havraise reconquise.
D’un autre côté, après des mois éprouvants sur le plan sanitaire, « Jupiter » souhaite donner un « nouveau souffle » à la politique de son gouvernement. Au moins pour la fin de son quinquennat.
Et pour incarner ce nouveau départ, il choisit de remplacer son « Premier sinistre » par « Gens-Casse-Tête », son ex-Monsieur déconfinement !
Déconfinement qui foire : Si on peut bien partir en estives, le masque devient obligatoire dans les lieux publics
On en rigole encore !
Mais on restera ainsi bâillonné que dans les magasins et autres lieux ouverts au public !
 
Objet de polémiques et de convoitise à mesure que les stocks mondiaux se raréfiaient, d’abord déclaré inutile en population générale par l’Organisation mondiale de la santé et « Si-Bête-la-Diarrhée » portant la parole du gouvernement, le masque devient finalement l’accessoire « mode » indispensable de 2020.
Déjà obligatoire dans les transports depuis le déconfinement de mai, le gouvernement décide le 20 juillet de l’imposer dans tous les lieux publics clos.
De nombreuses villes choisiront également de le rendre obligatoire dans l’espace public.
Il en est des bleus, des blancs, des « Corsi » (siglés FNLC : De grands spécialistes !), des « Hermès », des « Lacroix » et même des noirs et des roses (pour les filles).
 
Et puis le drame au cœur de l’été : Beyrouth soufflée par une explosion le jour anniversaire de l’abolition des privilèges !
Il est tout juste 18 heures, ce 4 août, quand une puissante explosion retentit dans le port de Beyrouth. Un entrepôt des douanes dans lequel était stockée sans précaution une cargaison confisquée de 2.750 tonnes de nitrate d’ammonium, huit fois la quantité qui avait explosé à l’usine AZF de Toulouse en 2001 vient de péter.
Le souffle de l’explosion creuse un cratère de 120 mètres de diamètre dans le port et ravage une bonne partie de la capitale libanaise.
L’explosion aura été perçue jusqu’à Chypre…
Plus de 200 personnes ont perdu la vie, et des milliers ont été blessées.
La ville n’est qu’un chaos.
 
Pendant ce temps-là les Pékin a continué en 2020 sa reprise en main musclée de Hong-Kong. Malgré des manifestations historiques menées par le mouvement prodémocratie, la Chine a adopté, le 30 juin, le projet de loi controversé sur la sécurité nationale.
Le texte visant donne aux autorités chinoises le pouvoir de « réprimer la subversion, la sécession, le terrorisme et la collusion avec des forces étrangères ». Pour l’opposition comme pour plusieurs pays occidentaux dont les États-Unis, cette loi constitue une attaque contre l’autonomie et les libertés du petit territoire.
D’ailleurs, en décembre, trois célèbres militants prodémocratie, dont Joshua Wong, sont condamnés à des peines d’emprisonnement. De même, le magnat des médias hongkongais Jimmy Lai, très critique envers Pékin, doit répondre devant le tribunal d’une inculpation pour « collusion avec des puissances étrangères ». Il encourt la prison à vie.
 
En ce mois d’août les forces armées azerbaïdjanaises partent à la reconquête des territoires échappant au contrôle de Bakou depuis les années 1990. À cette époque, dans la foulée de la chute de l’URSS, une guerre avait fait 30.000 morts et des centaines de milliers de réfugiés, aura abouti à la sécession de la région du Haut-Karabakh, aujourd'hui peuplée quasi-exclusivement d’Arméniens qui ont poussés désormais à l’exil.
Pendant six semaines, d’âpres combats balayent les forces arméniennes face à l’armée azerbaïdjanaise équipés avec du matériel turc et russe, avant l’entrée en vigueur, le 10 novembre, d’un cessez-le-feu conclu sous l’égide de la Russie où « Poux-tine » tire les marrons du feu, actant la défaite arménienne : Trois districts entourant le Haut-Karabakh reviennent dans le giron de Bakou.
Des territoires repris dans un climat toujours marqué par la tension et quelques accrochages, malgré le cessez-le-feu. À l’étranger, la crainte est désormais de voir le conflit s’internationaliser dans une région où Russes, Turcs et Occidentaux partagent tous des intérêts.
 
L’année 2020 aura également vu le réveil d’une opposition inattendue en Biélorussie. Le 9 août, le président Alexandre Loukachenko annonce sa réélection à la tête de l’État, avec un score « d’empereur africain » de plus de 80 % face à sa rivale, Svetlana Tikhanovskaïa.
Un scrutin jugé frauduleux par l’opposition et nombre de pays occidentaux.
Dès lors, des milliers de manifestants se réunissent chaque dimanche à Minsk et dans plusieurs grandes villes du pays pour demander le départ du chef de l’État, au pouvoir depuis plus de 25 ans…
Derrière cette contestation brille un trio féminin (Svetlana Tikhanovskaïa, Veronika Tsepkalo et Maria Kolesnikova), incarnant le renouveau d’une classe politique jeune et progressiste.
Malgré les condamnations européennes, plusieurs meneurs de la contestation ont été emprisonnés ou contraints à l’exil.
 
Et « Casse-tête » invite les « Gauloisiens-valides » à se faire tester « pour casser les chaînes de contamination » du « Conard-virus », dès la rentrée.
Les ékoles sont ouvertes, les collèges aussi (vu la catastrophe scolaire du premier confinement) mais on hésite pour les lycées et les universités…
Le télétravail reste recommandé mais pas imposé.
Les tests PCR sont gratuits et accessibles à tous sans ordonnance.
Début septembre, pendant que l’exécutif se félicite du nombre record de tests réalisés chaque semaine, les files d’attente s’allongent devant les centres de dépistage (un bon moyen de se contaminer sans le savoir), tout comme les délais pour avoir les résultats : Dans les grandes villes, il faut souvent attendre une semaine, voire plus, pour un délai de contagiosité de 14 jours au plus…
Incohérence du projet, mais pourquoi pas ?
Sauf que les laboratoires sont débordés et la stratégie d’isolement des cas contact a du plomb dans l’aile !
Il faudra compter sur une priorisation des tests pour les soupçons de contamination et l’arrivée des tests antigéniques, qui donnent un résultat en quinze minutes, pour soulager le système de dépistage.
 
Après l’Australie en début d’année, c’est l’Ouest des États-Unis qui est en proie, une nouvelle fois, à des incendies sans précédent, aidés par le vent, une sécheresse record et des températures élevées.
Plusieurs dizaines de personnes ont perdu la vie, notamment en Californie et dans l’Oregon, les États les plus touchés, et plus de trois millions d’hectares sont partis en fumée aggravant la « signature carbone » du pays, sans compter les milliards de dollars de dégâts matériels.
Le 9 septembre, le ciel de San Francisco, enveloppée dans les fumées des incendies voisins, prend des airs « d’apocalypse-now » en virant à l’orange !
 
Le 16 octobre, à la veille des vacances scolaires, un terroriste décapite Samuel Paty, un professeur d’Histoire du collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), pour avoir montré en classe une caricature de Charlie Hebdo représentant le prophète Mahomet.
Son assassinat rouvre la blessure à peine refermée de l’attentat contre le journal satirique en 2015 dont le procès des complices se poursuit, et relance les débats sur la liberté d’expression.
Le dimanche suivant, plusieurs manifestations à travers la « Gauloisie-laïcarde » rassemblent des dizaines de milliers de personnes, en hommage au professeur et en soutien à la liberté d’expression.
Caricaturer est un droit de la « libre expression », non ?
Demandez donc à « Titi-le-Luron » ou « Coluche » ce qu’il en coûte de caricaturer les « grands de ce monde »…
Mahomet est si grand que des cinglés se penchent sur ce qu’on peut en penser : La loi Divine ne s’impose-t-elle pas sur toute autre ?
Et comme Mahomet promet le « paradis aux 70 vierges » à tous ses martyrs, il y a encore des candidats qui se présentent…
 
« Joe-Baille-Dan » remporte la présidentielle américaine début novembre !
C’est une Amérique plus divisée que jamais qui se rend aux urnes pour élire son président. D’un côté, les partisans du démocrate qui rêvent d’en finir avec l’ère « McDo-Trompe ». De l’autre, ceux du président républicain sortant, qui souhaitent le voir rester au pouvoir quatre ans de plus : Ils ne sont pas encore en surdose…
Les résultats sont tellement serrés dans certains États qu’il faut attendre plusieurs jours avant de pouvoir proclamer un gagnant, d’autant que le camp du déchu a lancé plusieurs recours en justice pour faire annuler des bulletins reçus par correspondance, généralisés en raison de la pandémie et enregistre de ce fait une participation record, mais bien souvent à l’avantage de son adversaire.
La victoire du démocrate est actée le 7 novembre et célébrée par ses supporteurs tandis que « Trompe » refuse toujours de reconnaître sa défaite.
Il fera même de la rétention de « passage de dossiers » pendant des mois.
 
« Mauricette », 78 ans, sera la première « Gauloisienne » vaccinée à Sevran (Seine-Saint-Denis) le 27 décembre, contre le « Conard-virus ».
Les premiers vaccins élaborés, expérimentés puis validés par les autorités sanitaires en moins d’un an devraient être la clé pour sortir d’une pandémie qui, en à peine quelques mois, a mis le monde à genoux.
Un record de l’ingénierie biologique : Même pas un an pour valider toutes les étapes !
Les anglais avaient commencé un peu avant.
Les russes encore plus tôt…
Mais c’est dans le Kent (UK) qu’apparaît aussi une variante dudit virus : Que du bon pour 2021 ?
 
Alors enterrons vite fait « cette année 20 » qui aura vu une des pires crises économiques depuis « les années 30 », une récession mondiale qui mettra les dogmes habituels en la matière aux « déchets & rebus » du cimetière des idées « unanimes ».
Comme les meubles et souvenirs de ma « Môman-à-moâ-même »…
 
Qu’elle était triste et exécrable, cette année-là !
Salut à toi, 2020 : Je ne t’oublierai ni ne te regretterai aucunement…
 
Bon réveillon à toutes et à tous !
 
I3

mercredi 30 décembre 2020

Le monde des barbares

Étonnement : La liste des assassinats « d’État »
 
On avait pris l’habitude (… façon de parler…) que les « barbares » assassinent dans nos rues au nom d’une croyance ou d’une idéologie surannée, voire « exotique », signe incontestable de la faiblesse des arguments développés pour « convaincre ».
À ce terrorisme-là, la violence d’État aura répondu et continue d’y répondre avec un succès certain qui vise à l’éradication.
Même si la Syrie, l’Irak, les Kurdes en sont encore victimes à des degrés divers et bien regrettables.
 
On avait bien compris que des nations se faisaient la guerre de façon sourde et impromptue pour le contrôle de régions, de leurs ressources et de leurs populations : Les Ouïgours ici, la frontière sino-indienne là, le Yémen par-ci, une partie du continent sahélien par-là, en Amérique latine et encore ailleurs, en de si nombreux endroits.
On découvre, en janvier dernier, qu’un général Iranien aura été abattu à distance par un drone américain, qu’un avion de la CIA transportant des officiers supérieurs de l’agence s’écrase par ailleurs en représailles, qu’un scientifique iranien peut être abattu dans sa ville quelques mois après que son usine explose, qu’un général Israélien l’est également au Liban…
Que des pétroliers peuvent être incendiés dans le détroit d’Ormuz avec des munitions déposées par des nageurs de combat.
Une guerre bizarre, tous azimuts, sans front dans un monde poreux, sans revendications, sans signature ostensible mais qui fait des morts et est destinée à répandre la terreur chez ceux qui se sentent visés.
 
On s’interroge que des Russes puissent pirater des logiciels et des données par foison jusque sur les serveurs des GAFAM et entrer comme chez eux dans les fichiers administratifs étatiques…
Chez eux justement, on ne compte même plus les assassinats « politiques » en réplique aux années de sang imposées par les rebelles Tchétchènes et leurs commandos-suicides jusque dans les théâtres des villes.
On comprend parfaitement que des « tentatives » de crime, qui ne visent pas à tuer mais à seulement à faire taire des opposants politiques soit une tactique de guerre civile.
Je pense à Navalny qu’il aurait été si simple d’éliminer « à l’ancienne », sans même utiliser des poisons ou des drones turcs qui ont récemment fait tant de ravages dans les rangs de l’armée Arménienne…
 
Ce qui m’interroge le plus en cette fin d’année ce sont les morts de « scientifiques ».
La mort récente du russe Alexander « Sasha » Kagansky, ne fait que s’ajouter à la longue liste des personnes engagées dans la recherche sur les « Conards-virus » qui meurent dans des circonstances mystérieuses.
De quoi les « autorités » ont-elles peur pour éliminer sans procès ni reproche ses « cerveaux » ?
Pourquoi autant de barbarisme imbécile ?
Alexander Kagansky travaillait sur un vaccin avant d’être poignardé et jeté par la fenêtre de son appartement du 14ème étage !
Le « Spoutnik V » serait-il frelaté ?
Le vaccin de Pfizer l’est-il tout autant tel que le PéDéGé de la boutique qui le commercialise aura annoncé qu’il ne se vaccinera pas avec ça ?
 
Kagansky n’est pas le premier ayant participé à la recherche sur le « Conard-virus » ou qui sont étroitement liés aux événements survenus depuis la pandémie, et qui ont été tués ou trouvés morts dans des circonstances mystérieuses…
 
– Frank Plummer, un scientifique canadien, assassiné en Afrique, début février. Il a reçu un échantillon du coronavirus du SRAS saoudien et il travaillait sur un vaccin contre le VIH dans le laboratoire canadien basé à Winnipeg.
Assassiné au Kenya peu après que l’enquête du GreatGameIndia ait révélé que Frank Plummer était la clé de l’affaire de l’espionnage biologique chinois au Laboratoire national de Microbiologie de Winnipeg.
Ce serait à partir de ce laboratoire canadien que le « Conard-virus » aurait été introduit clandestinement par des agents de guerre biologique chinois et peut-être utilisé comme arme à Wuhan.
 
– Le professeur Bing Liu, Université de Pittsburgh, en mai, était sur le point de réaliser une percée dans la compréhension scientifique du nouveau « Conard-virus », a été abattu
Il a été retrouvé dans sa maison en ville avec des blessures par balles à la tête, au cou, au torse et aux extrémités.
« Bing était sur le point de faire des découvertes très importantes pour comprendre les mécanismes cellulaires qui sous-tendent l’infection par le SRAS-CoV-2 et la base cellulaire des complications suivantes », ont déclaré ses collègues du département de biologie informatique et systémique de l’Université dans un communiqué.
Depuis on en sait un peu plus sur la protéine « S » du « Conard-virus ».
 
– Gita Ramjee, une scientifique spécialiste du VIH meurt directement du « Conard-virus » alors qu’elle était à Londres pour donner une conférence en mars. À son retour en Afrique du Sud, elle s’est sentie mal et a été hospitalisée.
Sa spécialisation dans la recherche sur la prévention et le traitement du VIH l’a amenée à diriger l’expansion des essais cliniques de la phase I à la phase III sur la prévention et le traitement du VIH dans la région du Grand Durban en tant que chercheuse principale de l’unité des essais cliniques.
 
– Un chauffeur de l’OMS transportant des échantillons de « Conard-virus » aura été abattu au Myanmar, en mai.
Le véhicule de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) transportant des échantillons de « Conard-virus » a été attaqué, ce qui a entraîné la mort du conducteur et blessé gravement un fonctionnaire du gouvernement.
Pyae Sone Win Maung conduisait un véhicule des Nations-Unies bien marqué lorsqu’il a été touché par des tirs dans l’État de Rakhine.
 
– Brandy Vaughan, une lanceuse d’alerte sur les vaccins aura été retrouvée morte dans sa propre maison. La police ouvrira une enquête, mais sans succès.
Elle avait dénoncé les dangers des vaccins et a été retrouvée morte à son domicile, à côté de son fils de neuf ans, le 8 décembre dernier.
Brandy Vaughan était une ancienne directrice des ventes de la société pharmaceutique Merck et la fondatrice de LearnTheRisk.org, un site web dédié à l’éducation des gens sur les risques liés aux vaccins.
 
– Peter Daszak, président de EcoHealth Alliance, il est celui qui a orchestré le mythe selon lequel « Conard-virus » est d’origine naturelle.
Des courriels obtenus par l’organisation américaine Right to Know montrent qu’une déclaration dans The Lancet, rédigée par 27 éminents scientifiques de la santé publique, condamnant « les théories de conspiration suggérant que COVID-19 n’est pas d’origine naturelle », a été organisée par des employés d’EcoHealth Alliance.
Il est intéressant de noter qu’EcoHealth Alliance est le même groupe à but non lucratif qui a reçu des millions de dollars du contribuable américain pour manipuler génétiquement les coronavirus avec les scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan.
 
– Le virologiste néerlandais Ron Fouchier qui avait créé un virus H5N1 mutant tient peut-être également la clé de l’enquête sur le « Conard-virus ».
Ce virologiste néerlandais était une figure controversée dans le domaine de la viro-science : Il a créé la souche de virus la plus mortelle au monde et ses recherches ont déclenché une controverse mondiale pour supprimer le financement et mettre fin à de telles expériences.
Les experts ont fait part de leurs inquiétudes sur le plan juridique, craignant que ces expériences ne conduisent non seulement à une pandémie mondiale, mais aussi au bioterrorisme.
Cependant, il a isolé le coronavirus du SRAS sorti clandestinement d’Arabie Saoudite, qui a été envoyé au scientifique canadien Frank Plummer, et est décédé une semaine après la publication du rapport de GreatGameIndia.
Etc.
Il y en a des dizaines que l’Histoire oubliera.
 
Personnellement, je m’inquiète pour notre prix Nobel de médecine, quand il affirme que dans le code génétique du « Conard-virus » il y a des « phrases entières » de mots complets codant les gènes du VIH.
Et de nous laisser conclure qu’à ce niveau-là, il n’y a pas de hasard…
Vous en conclurez ce que vous voudrez après avoir pris soin de regarder cette courte vidéo (15 mn) :
Le Défi de la vérité : Luc Montagnier, prix Nobel de médecine.
Il paraît qu’il est devenu sénile et raconte la même histoire depuis le mois de mars dernier…
 
Il n’empêche, dans notre pays, on ne tue pas encore pour « imprudence verbale » mais la presse reproduit la même dépêche AFP pour nous raconter la chute, le naufrage de tel ou tel grand professeur devenu « complotiste » et disant n’importe quoi…
L’opprobre suit, le médecin est qualifié de « controversé »…
Ricanements sur les plateaux des spécialistes de bouchons d’oreille et des autoproclamés « journalistes scientifiques ».
 
Ils nous ont fait gober l’absence de masques, les tests aux faux positifs, les résultats qui arrivaient huit jours après…
Ils ont voulu nous empoisonner au Remdesivir… on bien savoir que la chloroquine était un grand danger pour l’espèce humaine, etc.
Aujourd’hui ils interdisent aux médecins de soigner…
Et ils punissent les lanceurs d’alerte…
Le cas Perronne est plus que symbolique. Il a osé parler, dénoncer un système contraire à toute éthique : Prenez un doliprane et attendez d’étouffer pour appeler le 15.
Il a soigné et a pu vérifier que des traitements existaient.
Il a été insulté et un carabin a même lancé une pétition pour avoir sa peau.
 
Dans quel autre pays au monde, à part la Corée du Nord, peut-on voir un technocrate-énârque (Marre-tain-Kirsch), licencier un médecin de notoriété internationale ?
Le Professeur Perronne a été démis le 17 Décembre 2020 par le Directeur général de l’AP-HP de ses fonctions de Chef de Service des Maladies infectieuses et tropicales exercées à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches depuis 1994.
Motif invoqué : « Depuis plusieurs mois, dans un contexte de crise sanitaire, le Pr Christian Perronne a tenu des propos considérés comme indignes de la fonction qu’il exerce ».
Quid ? Que ? Commodo ?
Quels propos ? Qui juge ? Est-ce que donner son avis serait devenu « indigne » ?
L’ère des barbares…
 
N’y voyez surtout pas une atteinte inédite à la liberté d’expression d’un Professeur des Universités – praticien hospitalier.
N’y voyez surtout pas une réprimande pour avoir osé demander dans son dernier livre « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? »
N’y voyez surtout pas comme une intimidation à peine voilée, à destination des jeunes praticiens du monde médical, afin qu’ils restent dans l’adhésion inconditionnelle à la pensée médicale unique.
Vous deviendrez « complotiste » !
Pire que les « barbares »…
 
Et je ne vous cause même pas du professeur Fourtillan, vu dans « Hold-up », interné en psychiatrie pour avoir accuser l’institut Pasteur d’avoir fabriqué un « Conard-virus » et recherché pour exercice illégal de la profession de médecin. Plus exactement le procureur de Nîmes aura donné davantage d’explications par la suite : Il était notamment recherché par la justice pour avoir donné des traitements expérimentaux à des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson et d’avoir exercé illégalement la profession de médecin ou de pharmacien…
Au moins, c’est précis : Pharmacien ou médecin ?
Il aura fini par être retrouvé et enfin interné, à la « barbare », sans jugement.
Et ne parlons même pas du sort du professeur « Rat-out » qui résiste encore à la pression médiatique et à celle de ses « aimables confrères » qui le poursuivent en justice et devant les instances leur Ordre…
Combien de temps encore ?
 
Dans quel monde vivons-nous ?
Émettre une « opinion » devient un délit grave : Quand il ne conduit pas à des mesures disciplinaires, ce délit conduit à une ostracisation implacable et dans d’autres contrées du monde à l’exécution sans jugement…
Qui peut se le permettre ?
Qui en a les moyens ?
Quel est ce « secret » qu’il ne faut surtout pas révéler ?
Avouez qu’il y a matière à s’interroger.
 
Moâ, dans ces cas-là, j’aime bien imaginer que le « secret à garder » seulement entre initiés pour être inavouable, c’est que justement il n’y a pas de secret !
Mais chuttt !
C’est vous dire que je n’adhère pas du tout à tous ces « fils-rouges » qu’on veut bien me tendre mais qui ne mènent à rien, sauf à constater que la barbarie est partout dans notre monde, même si elle sait aussi se faire discrète, parfois cachée derrière un costume-cravate.
Sauf à enfumer autre chose, naturellement…
Mais là, ça ne fait jamais les « Une » de la presse, croyez-moâ.

mardi 29 décembre 2020

Le conseil de l’ordre des médecins se « blinde »

Un décret de « Casse-tête » le soir même de mon post …
 
… en dit plus long que le projet de loi qui aura provoqué un tollé (suite à mon post…) dans les rangs « politiques » de (presque) tous les bords, de l’extrême-droâte à l’extrême-gôche en passant par les « Républicains-démocrates »…
Quoiqu’à bien y regarder, il change quelques mots seulement du décret de 2004 sur le sujet.
Mais c’est justement dans les détails que se réfugie le diable :
 
Ce dernier (2004) prévoyait que :
« Lorsque le médecin participe à une action d’information du public de caractère éducatif et sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il doit ne faire état que de données confirmées, faire preuve de prudence et avoir le souci des répercussions de ses propos auprès du public.
Il doit se garder à cette occasion de toute attitude publicitaire, soit personnelle, soit en faveur des organismes où il exerce ou auxquels il prête son concours, soit en faveur d’une cause qui ne soit pas d’intérêt général. »
 
Désormais, à la place il faut lire dans le code de la santé :
« Lorsque le médecin participe à une action d’information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public.
Il ne vise pas à tirer profit de son intervention dans le cadre de son activité professionnelle, ni à en faire bénéficier des organismes au sein desquels il exerce ou auxquels il prête son concours, ni à promouvoir une cause qui ne soit pas d’intérêt général. »
 
À première vue, c’est le même texte qui interdit toute publicité d’un toubib pour son compte ou un organisme pour lequel il collabore…
Sauf que le mot « avoir » devient l’impératif « a », les mots « il doit se garder (…) de toute attitude publicitaire » sont remplacés par « ne vise pas à tirer profit » qui est nettement plus large pour recouvrir une multitude de situations…
En faveur ou « à promouvoir » une cause d’intérêt général…
Et c’est qui qui détermine « l’intérêt général » ?
Le seul dépositaire légitime, ça reste le Gouvernement et son bras armé, le Conseil de l’Ordre des médecins !
 
Qui se souvient d’où vient le Conseil de l’Ordre ?
C’est sous le régime de Vichy, en reprenant le projet législatif du 7 mars 1928 du député « soce » du Nord, que la loi du 7 octobre 1940 crée un Ordre des médecins comprenant le Conseil supérieur de la médecine et les Conseils départementaux. Cette loi supprime aussi les syndicats de toubibs : Un hold-up.
Elle est complétée par la loi du 26 mai 1941 portant sur l’exercice illégal de « l’art médical » et de « l’art dentaire » (ce ne sont pas des sciences…) et par celle du 26 novembre 1941 qui règle les élections à l’Ordre des médecins (la seule élection « libre » existante sous le régime de Pétain).
Mais les membres des conseils seront nommés par le ministre par décret jusqu’à la loi n° 794 du 10 septembre 1942 qui instaure justement ces élections ordinales…
 
Il faut dire qu’avant, c’était un peu le boxon : Après la Révolution qui a fait disparaître les corporations (avec le décret d’Allarde et surtout la loi Le Chapelier de 1791), tout citoyen muni d’une seule patente pouvait prodiguer des soins.
Il fallait trouver un remède au charlatanisme et proposition fut faite d’instaurer un ordre professionnel des médecins, habilité à décider de qui avait le droit d’exercer ou non.
Sous le Consulat, la loi du 19 ventôse an XI (10 mars 1803) instaure le monopole de l’exercice médical et la notion d’exercice illégal de la médecine.
Le Premier Empire, qui institue un « Ordre » des Avocats, se contente à promulguer en 1810 l’article « 378 du code pénal » concernant le secret médical.
En 1845, à l’occasion du Congrès médical est lancée l’idée d’un conseil médical départemental tout comme est formulé le désir de mettre fin à la profession « d’officier de santé ».
Les bouleversements dus à la révolution de 1848 ne permettent pas d’aboutir. Les syndicats de médecins, qui se sont déjà constitués sous diverses appellations et qui jouent un rôle publiquement reconnu, sont officiellement autorisés par la loi du 30 novembre 1892 et met fin à « l’officiat ».
Les « rebouteux ».
Et pour compléter face à la survivance de la « médecine des campagnes », de multiples projets de création d’un Ordre des médecins furent discutés dans les années 1920-1930.
Conseil qui « fait la police » dans ses rangs et qui, pris dans l’étau de Vichy, n’aura alors jamais protesté contre les lois d’exclusion des médecins juifs…
 
Les conseils de l’Ordre sont dissous le 27 août 1944 par une ordonnance du gouvernement provisoire de la République établi à Alger (qui, le 18 octobre 1943, avait abrogé les dispositions de « l’autorité de fait » tout en maintenant le principe de l’Ordre).
Le 12 octobre 1944, une seconde ordonnance crée un Ordre provisoire (qui ne se réunira qu’une seule fois en février 1945). Le 11 décembre 1944, une ordonnance adjoint aux conseils départementaux des conseils régionaux ainsi que le conseil supérieur des médecins.
Et le 8 janvier 1945, le ministre « coco-stal-grave » de la Santé nomme par décret les 25 membres du Conseil Supérieur de l’Ordre tandis que les syndicats de médecins sont rétablis le 31 janvier 1945 par le décret d’application de l’ordonnance du 15 décembre 1944.
Voilà pour la petite histoire (de la Grande…).
 
En notant qu’on a exactement les mêmes mesures pour l’ordre des pharmaciens, soumis de la même sorte aux autorités administratives (et à leurs fournisseurs du « Big-Pharma ») qui ont éliminé tous les « herboristes » et apothicaires au fil du temps…
Sans même parler de la CNAM et de ses « conseils scientifiques », agences de ceci et de cela qui délivrent les autorisations de mises sur le marché, qui décident de rembourser ou non ceci ou cela et en fixent le prix.
D’où la disparition programmée de l’homéopathie, par exemple…
Les soins par les « herbes », n’en parlons même plus… il ne reste que la verveine et les tisanes en supermarché !
 
Rappelons également que l’Ordre des médecins n’a absolument aucune compétence, ni légalement aucun droit d’émettre des recommandations autres que déontologiques.
Il ne peut donc pas organiquement être érigé en censeur d’opinions qui ne plairaient pas au gouvernement !
Mais allons donc plus loin dans la lecture dudit décret :
 
« I. – Le médecin est libre de communiquer au public, par tout moyen, y compris sur un site internet, des informations de nature à contribuer au libre choix du praticien par le patient, relatives notamment à ses compétences et pratiques professionnelles, à son parcours professionnel et aux conditions de son exercice.
Cette communication respecte les dispositions en vigueur et les obligations déontologiques définies par la présente section. Elle est loyale et honnête, ne fait pas appel à des témoignages de tiers, ne repose pas sur des comparaisons avec d’autres médecins ou établissements et n’incite pas à un recours inutile à des actes de prévention ou de soins. Elle ne porte pas atteinte à la dignité de la profession et n’induit pas le public en erreur.
« II. – Le médecin peut également, par tout moyen, y compris sur un site internet, communiquer au public ou à des professionnels de santé, à des fins éducatives ou sanitaires, des informations scientifiquement étayées sur des questions relatives à sa discipline ou à des enjeux de santé publique. Il formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées.
« III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le conseil national de l’ordre. »
 
Expliquez-moi comment un conseil – qui n’a pas de « vocation scientifique » ni même médicale, mais juste de « police interne » entre confrères – peut-il juger d’une communication scientifique et médicale « déviante » sinon à se référer aux diktats gouvernementaux ?
Qui lui, par définition, sait tout, connaît tout, est omnipotent même quand il s’entoure d’ânes-diplômés comme alibi pour t’interdire le port du masque puis t’y obliger dans le même semestre…
Et le pire, c’est que saisi d’une question de ce genre par l’autorité politique, le Conseil devra « faire la police » dans son orbite, jusqu’à radier tel ou tel…
Un peu comme du temps de Vichy, finalement, vis-à-vis des « lois juives ».
J’adore ce genre de « retour aux sources » !
 
Je me demande jusqu’où ils peuvent aller comme ça.
Car une telle censure parait s’opposer directement aux droits et à la constitution.
Selon la hiérarchie des normes, ce décret s’opposant au contenu d’une loi qui lui est supérieure ne semble pas pouvoir être validée par le Conseil d’État aux vues des préceptes du conseil constitutionnel.
De plus, il établirait une discrimination entre citoyens, ceux qui auraient le droit de s’exprimer et les autres…
 
Entre « liberté d’expression » portée au pinacle de la « Jupitérie » comme la première valeur de la « Gauloisie-moderne » et un premier sinistre décidé de bâillonner les médecins, chercheurs, praticiens et « soignants », il semble qu’on ait perdu la boussole du bon sens jusqu’à Matignon.
La propagande n’ayant pas réussi à convaincre suffisamment du bien-fondé de sa politique sanitaire (qui nous a placé dans le top 5 européen des plus fortes mortalités attribuées au « Conard-virus »), tente-t-il de recourir à la répression accrue des opposants ?
Tiens donc : Ils ont acheté des millions de doses de « vaccin-OGM » à prix dirimant, il faut bien que ça serve.
D’ailleurs, ils ont créé pour ça un fichier « national » des vaccinés pour savoir qui crève le premier et dans quel délai…
Un fichier « national » dont personne ne doute qu’il a vocation à devenir international et être utilisé pour faire fonctionner « l’apartheid sanitaire ».
 
La liberté d’expression est un droit constitutionnel battu en brèche par un décret qui charge le Conseil de l’Ordre de faire ce qu’on lui dit de faire…
Un principe pourtant consacré par l’ONU en 1948 et la cour de justice européenne, puisque c’est « le » marqueur des pays démocratiques, non ?
Pour rappel, la liberté d’expression est définie ainsi par la Déclaration universelle des droits de l’homme de l’ONU en 1948 : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »
L’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) réaffirme que « toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. »
Le Conseil constitutionnel aura précisé en 1994 que « la liberté d’expression est une « liberté fondamentale » d’autant plus précieuse que son existence est une des garanties essentielles du respect des autres droits et libertés » dès lors qu’elle ne soit ni diffamatoire, ni négationniste, ni qu’elle appelle au crime…
 
Le glissement vers la dictature est souvent insidieux et prend la plupart du temps les chemins détournés de mesures d’aspect anodin.
On peut légitimement se demander ce qui justifie cette avalanche de décrets et de textes législatifs liberticides.
L’inquiétude sur l’effet des vaccins et les informations que les médecins pourraient révéler ?
L’Histoire jugera pour nous, ne vous en faites pas.
Mais c’est nous qui en pâtissons aujourd’hui et demain-matin.
 
D’ailleurs, pour mieux en rire, cette information « orpheline » : À la suite de quelques accidents anaphylactiques survenus après injection de vaccin « anti-conard-virus », dont l’un est survenu lors d’une émission de propagande vaccinale en direct où on voit une des infirmières volontaires tituber et tomber environ 15 minutes après l’injection (il n’a plus été possible de la revoir depuis), cette note du 23 décembre du directeur général de la santé appelée « Message d’Alerte Rapide Sanitaire » : « Gégé-Sale-Hamon » demande aux hôpitaux de s’approvisionner en « adrénaline pour faire face aux effets graves et immédiats de la campagne de vaccination ».
Rassurant, non ?