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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 18 octobre 2019

Les stupides de la semaine

Miss Monde
 
Au cours de la compétition pour le titre de Miss Monde, on pose une question aux candidates pour tester leur capacité à faire face à une situation gênante.
« – Miss Angleterre, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Nous l’appelons un gentleman.
Pourquoi ?
Parce qu’il se lève quand il voit une lady.
Miss États-Unis, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Eh bien, je dirais qu’aux États-Unis qu’il est comme un rideau.
Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Parce qu’il retombe quand l’acte est terminé.
Miss Espagne, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
L’organe mâle dans notre pays est exactement comme notre taureau.
Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Parce qu’il charge chaque fois qu’il voit une ouverture.
Miss France, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Eh bien, je dirais que dans notre pays on l’appelle une rumeur.
Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Parce qu’il court de bouche en bouche.
Miss Suisse, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Eh bien, je dirais qu’il est comme un banquier à l’opéra.
Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Il veut toujours entrer en vitesse et sortir un quart d’heure avant la fin du spectacle.
Miss Sénégal, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Eh bien, je dirais qu’il est comme un paysan.
Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Parce qu’il travaille nuit et jour.
Miss Grèce, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Eh bien, je dirais qu’en Grèce il est comme un voleur.
Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Parce qu’il aime entrer par la porte de derrière.
Miss Tchèque, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Eh bien, je dirais qu’il est comme une Lada.
Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Il a l’air robuste mais ne tient pas la route.
Miss Canada comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Je dirais qu’il est comme le gouvernement.
Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Il agit peu et il est vite remplacé
Miss Italie, comment décririez-vous l’organe mâle dans votre pays ?
Ah ! Si le mâle pouvait avoir la capacité de s’en servir aussi longtemps qu’il a la capacité d’en parler…
Quel bonheur pour nous Mesdames ! »
 
Jean-Marc veut faire une petite blague à sa femme.
Alors qu’elle est en train de prendre sa douche, il arrive sans bruit derrière elle et lui attrape les seins en disant :
« S’ils étaient un peu plus fermes, tu n’aurais pas besoin d’acheter de soutien-gorge. »
 
Le lendemain, une fois de plus il lui fait une blague en arrivant derrière elle et en lui mettant les deux mains sur le cul, puis en disant :
« Si elles étaient un peu plus fermes, tu n’aurais pas besoin de mettre une gaine. »
Le lendemain, comme le mari sort de la douche, sa femme lui attrape le sexe et lui dit :
« S’il était un peu plus ferme, je n’aurais pas besoin de coucher avec Jean-Paul ! »
 
Jean-Marc veut remercier tous mes ami(e)s qui lui ont envoyé des chaînes de courriels pendant toutes ces années.
« Que ferais-je sans tous ces précieux conseils ?
Car, grâce à votre bonté,
1. J’ai arrêté de boire des Coca-colas car il paraît que c’est excellent pour nettoyer les lavabos.
2. Je ne vais plus au cinéma tellement j’ai peur de m’asseoir sur une aiguille infectée par le virus du SIDA ! Heureusement que j’ai reçu ces courriels.
3. Je pue car je ne mets plus de déodorisant. Paraît que les désodorisants peuvent causer le cancer.
4. Je ne stationne plus la voiture dans aucun parking car j’ai peur qu’on me donne un échantillon de parfum pour me droguer et puis me voler !
5. Je ne réponds plus au téléphone, car on peut me demander d’appeler un numéro long et stupide, et après, je vais recevoir une facture infernale pour mes appels en Ouganda.
6. Je ne bois plus des boissons en canettes car je peux attraper une maladie des selles ou de l’urine de rat !
7. Quand je sors dans les boîtes de nuit, je ne drague plus les filles, même celles qui me font des avances.
Hé ! Je ne suis pas un imbécile. Je sais qu’elles peuvent, une fois à l’hôtel, me droguer pour m’enlever un rein, et le revendre sur le marché noir.
8. J’ai versé aussi toutes mes économies sur le compte d’une pauvre petite fille qui était malade à l’hôpital plus au moins 7.000 fois.
(C’est d’ailleurs très drôle : Cette petite fille a toujours 8 ans depuis 1995…)
9. J’attends toujours un rabais par la poste pour l’achat de mon téléphone cellulaire, ainsi que les billets que j’ai gagné pour Disneyland.
10. J’ai remis 21 fois la boum que j’organise le jour où je reçois ma caisse de bière gratuite, et mes copains invités, m’engueulent.
À toutes et tous un GRAND MERCI !
11. Si tu n’envoies pas par e-mail le lien de ce pos dans les prochaines 10 minutes, à au moins 200 personnes, un oiseau va chier sur ta tête demain après-midi ! »
 
Jean-Marc et sa femme se rendent compte que si leur fils grandit en taille, son sexe reste minuscule.
Ils contactent le pédiatre qui leur conseille de faire manger à leur fils beaucoup de tartines.
Le lendemain matin, Germaine se lève la première, comme d’habitude, et prépare une énorme pile de tartines.
Lorsque son fils arrive dans la cuisine, elle lui dit :  
« Prend les deux tartines en haut de la pile. Toutes les autres sont pour ton père. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul sont partis tôt le matin vers 6 heures.
Pour vaincre le froid ils ont bu une bonne rasade d’eau-de-vie.
À 10 heures ils se sont arrêtés pour un casse-croûte qu’ils ont fait descendre d’un grand coup de vin rouge.
Vers 11 heures ils ont goûté au petit vin blanc qu’ils avaient amené, c’est pour digérer.
À 13 heures ils se sont arrêtés pour déjeuner à l’Hôtel-bar-restaurant « Le rendez-vous des chasseurs »
Apéro, c’est ma tournée, c’est la tienne, c’est la nôtre, c’est celle du patron. Vin blanc, vin rouge et digestifs…
Il est 16 heures et ils sont tous les deux complétements bourrés.
Et ils parlent (enfin ils essaient) chasse.
« T’as vu le lièvre qui est parti devant moi » dit Jean-Marc en saisissant son fusil et en l’épaulant…
« – Vous êtes dingues » dit la patronne derrière son comptoir « de jouer avec un fusil dans un bistrot…
« – Ouais » dit Jean-Paul « t’es un peu con de tripoter ton fusil comme ça…
– Mais non, il n’est pas chargé… Patronne remettez-nous un calva…
– Et les pigeons qu’il continue, ils sont partis sous mon nez… Alors vieux, j’ai tiré comme ça… »
Jean-Marc empoigne son fusil, le soulève et… PAN ! … le coup part dans le plafond !
« – Je vous l’avez bien dit » fait la patronne.
« – Ah merde », dit l’imprudent « je croyais pas qu’il était chargé. ».
« – Mon plafond, vous l’avez bouzillé mon plafond… Et Nom de Dieu, la petite bonne qui fait la sieste dans sa chambre juste au-dessus. Vous l’avez peut -être tuée. »
Les deux gaillards se précipitent dans l’escalier et redescendent, rassurés.
« Non, ça va. La petite bonne n’a rien ! Elle dormait les jambes écartées, les plombs sont passés entre ses cuisses. Mais votre mari, lui, il est méconnaissable ! »
 
Trois femmes, mortes en même temps, dans un accident de train, se présentent devant Saint-Pierre.
« – Quelle genre de vie avez-vous mené ? » demande le vieil homme à la première.
« – J’ai aidé mon prochain toute ma vie, j’ai prié tous les jours, j’ai…
– OK ! Ok ! N’allez pas plus loin. Voici la clé du paradis. »
La deuxième s’approche…
« – Et vous ? Qu’avez-vous fait de votre vie ?
– Bien, j’ai aidé les autres du mieux que je pouvais. Bien entendu, il m’est arrivé de faire de petites bêtises, mais rien de sérieux…
– OK ! OK ! Voici la clé du purgatoire. Ça ne devrait pas être trop long. »
Arrive la troisième.
« – Et puis vous ? Qu’avez-vous fait de bon sur Terre ?
– Moi ? Je n’ai semé que du plaisir et du bonheur autour de moi. La fête tous les soirs dans les bars, j’ai couché avec des hommes, des femmes, j’ai bu les meilleurs vins, fait les plus beaux voyages, etc. J’ai…
– OK ! OK ! Voici votre clé…
– L’Enfer ?
– Non, chez moi. »
C’est toujours au paradis.
Saint Pierre accueille 10 femmes qui sont mortes la même journée.
« Que toutes les femmes qui ont trompé leur mari fasse un pas en avant. »
Et neuf femmes sur les dix présentes avancent d’un pas.
À ce moment-là, Saint Pierre se retourne vers Dieu et lui dit :
« Et qu’est-ce qu’on en fait de la sourde ? »
 
Suit un homme (à ces mêmes portes du paradis !)
« – As-tu déjà accompli une action extraordinaire », lui demande St-Pierre ?
« – Oui ! Sur la route, j’ai rencontré un groupe de motards qui voulait faire un mauvais parti à une jeune fille. J’ai arraché l’anneau au sourcil du chef, distribué des coups de pied à droite et à gauche, crevé les pneus de deux ou trois motos, et sauvé, je crois, l’honneur de la jeune fille.
– Bien. Très bien. Quand cela s’est-il produit ?
– Il y a environ 5 minutes… »
 
La petite fille passe devant la chambre de ses parents et la porte est ouverte…
« Woua ! Et maman qui ne veut pas que je suce mon pouce ! »
 
C’est tout pour aujourd’hui…
Bonne fin de semaine à toutes et tous !
 
I3

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