Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 6 octobre 2019

Le zizi

Pierre Perret n’a pas tout compris !
 
Quoique…
Plus je vieillis, plus je deviens kon, vous le savez.
Récemment, je me suis intéressé au sexe. Notez : Ce n’est pas nouveau, mais là j’entends, pas le mien, je connais…
Mais à ceux des autres kouillus que je n’ai jamais examiné de près, mais qui intrigue par sa forme bizarre d’amanite-phalloïde .
Pour découvrir que la science a relevé qu’il y a seulement 4 différentes formes de pénis !
Incroyable, non ?
 
« Le dur, le mou qui a un grand cou, Le gros touffu, Le p'tit joufflu, Le grand ridé, Le mont pelé… », tout cela est loin de l’inventaire du chanteur pour qui il en existe des dizaines différents !
Mais rien n’est plus faux également, comme la phrase qui dit « quand on en a vu un, on en a vu 1000 ».
 
Figurez-vous que non, les pénis ne se ressemblent pas, ils varient comme les visages. Mais un gynécologue américain aura entrepris de déterminer les « types » de pénis selon leurs formes (on ne parle pas de « taille », ni de longueur ni de circonférence), et de préciser les « atouts » de chacun.
Et il en a déterminé quatre et il est loin du compte !
Leur efficacité ne dépend d’ailleurs ni leur taille, ni de leur épaisseur, mais de leur « forme »…
 
1/ Le pénis « crayon »
Ce serait le plus courant : Uniforme dans sa longueur, il se distingue par un gland étroit et pointu. Il s’adapte globalement à toutes les positions et permet une pénétration douce et sans douleur.
 
2/ Le pénis « champignon » (à la « McDo-Trompe » d’après « Stromy-Diesel » qui l’a essayé)
Il est couronné d’un gland « champignon » un peu voire beaucoup plus gros que le reste de son corps. La pénétration est plus délicate…
Selon Dr Shusterman, 20 % des hommes seraient pourvus de ce format (étude basée sur ceux qu’il a vus !)
 
3/ Le pénis « banane »
On imagine très bien la forme quand on évoque ce fruit : Épais sur la longueur, le pénis banane possède un gland et une base plus fin. C’est le type de sexe masculin le plus répandu, après le pénis en forme de crayon.
 
4/ Le pénis courbé
Environ 10 à 20 % des hommes ont un pénis qui se courbe légèrement, « d’environ cinq à dix degrés » toujours selon le Docteur Shusterman, ce qui faciliterait l’accès au point G. Mais attention, l’inclinaison peut parfois constituer une gêne pour les deux partenaires.
Cette courbure est due au ligament suspenseur qui maintient le pénis au bassin, qui, étiré, fait qu’il est un peu suspendu un peu vers le haut.
 
Mais, à partir de ces 4 « modèles standards », il existe une infinité de variation de pénis. Il y a ceux qui sont aussi flasques longs que tendus (21 % des hommes), ou qui manifestent une vraie différence de tailles (les 79 autres %), circoncis ou non, qui « fonctionnent » bien ou pas (40 % des hommes ont des pénis qui ne fonctionnent pas toujours comme ils le voudraient)…
Il n’y a pas de forme idéale, selon une enquête publiée par le Journal of sexual medicine, qui interrogeait sur les pénis de leurs rêves quelques « dames ».
Elles devaient noter des pénis sur photos en fonction de l’apparence esthétique, les poils, la peau, le scrotum, la forme du gland, le méat urinaire, l’épaisseur et la longueur du pénis.
L’étude aura en effet conclu que c’est l’aspect général (apparence esthétique, peau et poils) qui compte, et pas la forme ou la taille.
L’important, c’est d’être soigneux… Et bien dans son corps en général ! 
 
Pour mon propre sondage (suite à ces découvertes) auprès de « dames de confiance » de ma connaissance, c’est plus complexe que ça…
Il existerait au moins 7 formes de sexes masculins différentes.
 
1/ Le pénis circoncis
Aux Etats-Unis, près de 90 % des hommes âgés de plus de 20 ans se sont délestés de leur prépuce. Que ce soit par religion, par mesure d’hygiène ou pour diminuer les risques de contamination, le pénis circoncis s’est peu à peu imposé comme le pénis classique.
 
2/ Le pénis standard : Le classique
79 % des hommes sont dotés d'un pénis « standard ». Taille moyenne, forme basique, il grossit pendant l'érection et reprend sa forme initiale après éjaculation.
 
3/ Le pénis stoïque
Qu’il dorme ou qu’il bande, ce zizi reste plus ou moins de taille identique.
Surprise, on dénombrerait tout de même 21 % de la gente masculine possédant ce spécimen. Son statut peut ainsi provoquer une bonne surprise au repos et finir par décevoir de par sa non-mutation pendant l’acte…
 
4/ Le pénis incurvé
Invisible au repos, son « penchant » se manifeste en se durcissant. Assez répandu, ce type de pénis nécessitera peut-être de tester plusieurs positions pour trouver celle la mieux adaptée au cours des nombreuses galipettes, à moins que son inclinaison soit justement parfaitement orientée.
 
5/ L’imprévisible
Le mek est excité, mais son sexe peut ne pas toujours suivre. Une situation qui concerne 40 % des hommes. Cela provient souvent d’un problème de santé qu’il pourra tenter de régler en se rendant chez un spécialiste.
 
6/ Le minus
Tout petit à l’état naturel, le micropénis grossit pendant l’érection même si sa taille peut rester relativement modeste. Comme on n’a de cesse de le répéter : Sauf cas extrême, de toute façon ce n’est pas la taille qui compte !
 
7/ L'anaconda
Inversement, beaucoup plus grand et large que la normale, ce pénis peut faire peur de prime abord. Il faudra donc miser sur la lubrification et les préliminaires pour espérer le faire pénétrer utilement.
 
Ce sont des « spécialistes » qui le disent…
Mais à noter qu’à ces 7 typologies masculines pourraient s’en ajouter 2 autres :
 
8/ Le champignon
Fourbe, la quéquette dite « champignon » possède un gland (beaucoup) plus gros que son tronc, comme il est dit ci-dessus (à la « McDo-Trompe »). Méfiance donc à ne pas lui dire « oui » à tout avant de l’avoir bien reluqué de la tête au pied.
 
9/ Le petit gros
Il est petit en effet, mais aussi sacrément costaud. Gare donc à ne pas trop le regarder de haut lorsque son propriétaire se sera déculotté, il pourrait bien surprendre.
 
Alors on peut se poser la question : Pourquoi le pénis a-t-il toutes ces formes et cette forme en général ?
Tout d’abord, la taille : N’en déplaise à tous les fabricants d’extenseurs de pénis, l’homme, comparativement à ses frères primates, est de loin le mieux doté et, étant donné les dimensions du vagin, n’a pas besoin d’être plus imposant qu’il n’est.
Question grosseur des testicules le champion est le bonobo. Question longueur Homo sapiens est le roi avec un sexe en moyenne deux fois plus grand et plus gros que celui de son plus proche parent, le chimpanzé.
Signalons au passage que la femme l’emporte devant toutes ses amies guenons par la taille de ses seins.
En plus de se distinguer par sa taille, le zizi humain se singularise par sa forme.
Chez l’homme, le gland est très marqué au point que le diamètre de la couronne, cette espèce de collerette qui sépare le gland du reste de la verge, est plus grand que celui du pénis lui-même. Chez les cousins singes, en revanche, cette rupture de continuité est nettement moins flagrante.
Pourquoi ?
Comment des millions d’années d’évolution ont-ils pu aboutir à cette forme particulière ?
 
Dans un article remarqué publié en 2003 dans Evolution and Human Behavior, le psychologue évolutionniste américain Gordon Gallup a émis une hypothèse audacieuse basée sur l’idée qu’il s’agit d’une stratégie développée par l’homme pour maximiser ses chances de devenir père (et donc de transmettre ses gènes) en refoulant mécaniquement du vagin le sperme qui pourrait y avoir été déposé – éventuellement par un autre mâle car, c’est bien connu, femme est volage – lors d’un précédent rapport sexuel. Les spermatozoïdes ayant en effet la capacité de survivre entre 48 et 72 heures, la compétition entre meks pourrait aussi se jouer à l’intérieur même du corps féminin.
Et Gordon Gallup est allé au bout de son idée en effectuant des expériences grâce à des prothèses sexuelles.
Pour ce faire, ses collègues et lui ont injecté dans des vagins artificiels différents mélanges liquides d’eau et de farine, dont la viscosité se rapprochait de celle du sperme. Puis, ils ont introduit des godemichés de formes différentes, deux reproduisant un pénis de manière réaliste, avec des couronnes plus ou moins marquées, et un sans couronne, plutôt genre concombre.
En observant ces coïts inféconds et synthétiques, les chercheurs se sont vite aperçus que le pseudosperme injecté au début de l’expérience était à 91 % déplacé derrière la couronne, comme ramoné vers l’entrée du vagin.
En revanche, en l’absence de collerette, ce chiffre tombait à 35 %.
Évidemment, plus le pénis artificiel était enfoncé profondément et plus les mouvements de va-et-vient étaient énergiques, plus la couronne évacuait de « sperme ».
 
Pour confirmer cette hypothèse, deux sondages anonymes auprès de plus de 200 étudiants, filles et garçons confondus ont été réalisés (avec des subventions universitaires). Les personnes interrogées ont majoritairement convenu qu’après une infidélité de sa compagne ou une absence, le « mâle », lors de l’acte charnel, augmentait à la fois la profondeur de la pénétration et le rythme de ses coups de reins…
CQFD.
 
L’hypothèse de la compétition spermatique pour expliquer la forme si particulière du pénis humain a donc semblé très convaincante suite à cette étude pour le moins originale. Néanmoins, dans une lettre publiée en 2009 dans les Archives of Sexual Behavior, le gynécologue américain Edwin Bowman a remis en cause cette théorie.
Ce praticien est d’accord pour dire que la couronne sert en quelque sorte à faire du ménage sur les parois du vagin. Mais, pour lui, il ne s’agit pas d’éliminer d’éventuels spermatozoïdes concurrents, parce qu’ils sont probablement soit déjà morts, soit déjà plus avancés dans l’intimité féminine.
Si nettoyage il y a, c’est celui des sécrétions vaginales acides, souvent mortelles pour les spermatozoïdes. Selon Edwin Bowman, le pénis s’est adapté au vagin afin de préparer le terrain et de donner le plus de chances possibles aux gamètes qui vont s’y aventurer.
C’est une preuve de plus que, depuis des millions d’années, un « vrai dialogue » entre les sexes est possible…
 
Pour d’autres et pour comprendre à quoi sert le gland, il faut faire un peu de d’anatomie et de biomécanique : La verge est en effet formée de deux cylindres souples reliés entre eux, les corps caverneux, qui deviennent rigides quand ils se remplissent de sang sous l’effet de l’excitation sexuelle. Mais ces deux cylindres sont aussi associés à une troisième colonne, le corps spongieux, qui se termine par une sorte de chapeau creux dans lequel s’enfoncent les corps caverneux, le gland.
« Le gland a pour vocation de protéger le sommet des corps caverneux lors de la pénétration et d’être souple et doux pour faciliter la pénétration vaginale », explique de son côté le Dr Marc Galiano, chirurgien urologue à Paris.
Un rôle « d’airbag » en quelle que sorte, mais aussi d’amortisseur pour les pressions auxquelles est soumis le pénis. Car en érection, la pression sanguine augmente considérablement dans le pénis et les corps caverneux pourraient devenir blessants sans la protection du gland.
 
Des urologues grecques se sont en effet aperçus de leur côté, en mesurant la pression dans les corps caverneux d’homme dont le gland avait été amputé à cause de cancers, que la pression d’érection, initialement autour de 15/16 (cm de mercure), grimpait en l’absence de gland au-delà de 20/22, lors de l’érection.
Ce n’est pas une bonne nouvelle car de telles pressions pourraient, expliquent-ils, abîmer les vaisseaux du pénis.
Il est en outre inutile d’atteindre une telle rigidité car cela est largement supérieur à la pression d’environ 6 ou 7 cm de mercure requise pour la pénétration.
Sans oublier, bien sûr, le rôle érogène du gland : « Dans la muqueuse du gland se trouvent des récepteurs sensoriels qui jouent un rôle dans le plaisir et l’excitation et le gland gorgé de sang augmente en taille et favorise ainsi la stimulation de ces récepteurs », souligne les spécialistes.
 
La position peut aussi avoir son importance comme l’ont démontré des chercheurs de l’université de Copenhague en 1986 grâce à six femmes volontaires (merci à elles qui ont fait avancer la science).
Lorsque la femme est au-dessous de son partenaire, cela augmente la pression vaginale de résistance à la pénétration qui passe d’environ 7 cm de mercure à 9 cm. Plus difficile donc pour une érection un peu limite.
Les chercheurs danois ont toutefois refait des mesures après avoir demandé à leurs six volontaires de se stimuler le clitoris et ils ont observé une baisse de la pression vaginale allant jusqu’à 6 cm de mercure.
 
En pratique, il est compliqué de mesurer la pression intra-caverneuse mais sachez que si votre pénis peut supporter 500 grammes soit le poids d’un livre sans plier, c’est que sa rigidité est suffisante pour la pénétration. Une force de 500 grammes équivaut à environ à 6 cm de mercure de pression sanguine à l’intérieur de l’engin et c’est en effet ce qui est requis pour pénétrer un vagin lubrifié, selon des mesures effectuées au milieu des années 1980.
Toutefois, comptez plutôt 1.500 grammes de pression si la partenaire a des troubles de lubrification.
Et, mauvaise nouvelle enfin pour les grands pénis : Dans la formule qui permet de calculer la force nécessaire pour plier une colonne, la longueur intervient en dénominateur au carré. Donc, plus le pénis est grand moins il sera rigide.
 
Voilà qui remet les points sur les « i » : Ce n’est décidément pas la taille qui compte.
Même si ça reste flatteur, naturellement…
En ce qui me concerne – puisque je ramène toujours tout à mon nombril – j’admire toujours ces chercheurs qui trouvent des réponses à mes petites questions stupides : Je ne sais pas vous, mais parfois on se dit que payer des impôts… n’est-ce pas !
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous tout de même…
 
I3

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire