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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 8 juillet 2019

Mensonges et manipulations (1)

Gouvernance par la peur !
 
C’est que vous aimez ça, tel qu’ils vous en resservent jusqu’à plus soif !
Un quart du pays est parti en vacances, polluer de sa seule présence les plus beaux sites du pays (et encore ailleurs), un autre quart va partir à la mi-juillet, le reste va « décoller » loin de ses soucis du quotidien fin juillet/début août : J’en profite pour mettre en ligne quelques réflexions personnelles en ligne, puisque l’audience de ce blog s’érode vertigineusement.
Très bien : Il doit rester un « piti-blog » de rien.
Je vous félicite (et vous remercie).
 
Mais revenons à mon sujet du jour : Vous vous souvenez des horreurs qu’on a pu raconter sur votre sujet, que vous étiez des assassins de la planète et même de l’espèce humaine toute entière (et des « petites-bêtes » qui vivent autour).
Vous enflez par votre seule respiration (et celle de vos moteurs thermiques) le dérèglement climatique : S’il y a eu canicule, c’est de votre faute (pas celle des chinois qui polluent le plus au monde…), tel qu’il s’est abattu 2 mètres de grêle au Mexique, sous les tropiques.
Vous êtes aussi responsables directs de 48.000 décès prématurés, depuis 2016, en assure une étude de l’Agence Santé Publique dus aux « particules fines » (j’avais promis d’y revenir).
C’est tellement vrai qu’aucun médecin n’a osé se présenter à la radio ou à la télévision, aucun expert ne s’est exprimé, tous terrorisés d’apparaitre comme des complices de ces criminels pour infirmer le propos.
Que par la suite il a fallu traquer les causes des fameuses particules fines, alors qu’il était dit, dans cette étude, qu’elles provenaient en majeure partie des énergies fossiles, ce qui a été traduit immédiatement par « diesel » et donc haro sur le diesel !
En conséquence les plus hautes autorités de l’État peuvent dire que l’augmentation du prix du diesel va dissuader les consommateurs d’en acheter et donc que cela participe au sauvetage de 48.000 personnes par an rien que dans notre pays : « Vous payez le gazole plus cher, mais vous sauvez des vies ! »
 
En réalité, il y avait une étude sur les maladies respiratoires dans les cartons et dès que cette étude a été publiée, elle a connu quelques semaines plus tard un énorme succès. Or, les morts indiquées varient de 11 à 48.000 : On a tous compris que c’est la fourchette haute qui a intéressé les promoteurs de bonnes nouvelles catastrophiques !
Pourtant l’étude est des plus sérieuses, elle énonce les conditions d’élaboration d’un modèle théorique et essaie de sensibiliser les lecteurs aux effets de la concentration urbaine sur les capacités respiratoires des habitants et sur leurs conséquences éventuelles en insistant sur les particules fines.
Les épidémiologistes ont fait leur boulot, ce sont les lecteurs idéologues qui ont traduit et propagé de fausses nouvelles qui devraient être mis en cause.
Car l’étude en cause exprime seulement que malgré une espérance de vie qui a augmenté de 21 ans depuis 1945, les zones urbaines concentrées sont plus sujettes que les campagnes aux maladies respiratoires et qu’il se trouve que dans ces milieux urbains les particules fines y sont plus nombreuses qu’ailleurs.
On aurait pu aussi regarder les zones où l’on consommait plus d’huile d’olive et voir que les maladies respiratoires y étaient moins nombreuses, dans le sud du pays et à la campagne, il y a effectivement une amélioration sensible…
La conclusion évidente c’est que la population doit abandonner la ville pour vivre à la campagne et ne plus ni se chauffer ni se déplacer.
D’ailleurs, « Sœur-Âne » va s’en occuper à « Paris-sur-la-plage » : Puisqu’elle ne peut pas déménager sa ville à la campagne (elle ne serait pas réélue), elle déménage la campagne en centre-ville partout où c’est encore possible…
Du moment que c’est vous qui payez, n’est-ce pas, pourquoi se gêner ?
 
Ce qui est curieux, c’est que la revue scientifique « Nature » chiffre à 38.000 personnes pour le monde entier (plus de 7 milliards d’individus) les morts prématurées dues à la pollution…
Autrement dit, il y a forcément une « exception-culturelle » (que le monde entier nous envie…) en « Gauloisie-dramatique » et plus particulièrement à « Paris-sur-la-plage » qui crée un abondant déficit de « décès prématurés » partout ailleurs (que les bonnes gens se répartissent au mieux pour faire renaître leur maccabées) !
Les morts en « Gauloisie-panique » de problèmes de larynx, trachées, bronches et poumons sont au plus fort estimé à 30.000 personnes.
Bien malin celui qui pourrait dire la part due à la pollution !
Mais ils en ont eu rien à foutre, puisqu’ils passent leur temps à se foutre de votre gueule avec le sentiment du devoir accompli…
De toute façon, les particules fines ont comme origine majoritairement la combustion, mais il y a d’autres émetteurs, pneus, freinage…et vous en dégustez plus dans le métro parisien souterrain qu’à l’air libre… là où il n’y a pas de moteur thermique !
Mais ils ne l’ont pas pris en compte, naturellement.
 
Naturellement, puisqu’« ils » peuvent baser une politique sur des âneries pareilles alors que l’étude de l’Agence n’avait pas cette ambition. Faire une politique de l’écologie ce ne devrait pas être de mentir systématiquement aux gens et de leur faire peur, mais de leur expliquer comment ils peuvent encore améliorer leur vie, déjà fortement meilleure aujourd’hui qu’hier.
C’est clair.
Sauf pour vos « sachants ».
 
Ceci dit, il y a un autre scandale, à l’échelle européenne voire mondiale dont je voulais vous parler aujourd’hui : L’huile de palme, cette horreur !
Vous en êtes convaincus, puisqu’on vous l’a assez répété, n’est-ce pas…
 
Pourquoi tant de haine versée sur l’huile de palme et rien ou presque sur les autres oléagineux ?
Vous êtes-vous déjà posé la question ?
Moi, si !
Pour résumer les attaques d’à peu près toutes les ONG occidentales ayant pignon sur la planète, Greenpeace en tête, la culture de palmiers à huile serait responsable de la déforestation, de l’appauvrissement des sols et de la disparition des espèces telle que l’Orang-Outan. Par conséquent, elle serait également responsable des gaz à effets de serre et donc du réchauffement climatique et comme si cela ne suffisait pas, elle serait aussi néfaste pour la santé de vos « chères-têtes-blondes ».
Vous avez pu entendre chaque ONG œuvrant dans son domaine de compétence et toutes ayant à cœur de participer à la curée, Amnesty International et Oxfam ont apporté leur contribution en dénonçant le non-respect des droits humains et les conditions de travail dans les plantations de palmiers à huile.
Et vous avez jeté votre pot de Nutella.
Vous avez eu raison, car il s’agit de défendre les conditions de travail imposées par les multinationales aux travailleurs des plantations d’huile de palme.
Remarquez qu’elles ne sont ni pires ni meilleures que celles en cours dans tous les autres secteurs des pays du sud, bois, coton, café, cacao, hévéa, soja au Brésil etc., mais personne n’est là pour vous le dire…
 
En réalité le début de ces attaques contre les palmiers à huile sont montées en puissance au fur et à mesure que l’huile de palme a commencé à supplanter l’huile de soja, de colza et de tournesol.
L’huile d’olive, pas encore : Les cultures meurent à petit-feu…
En vingt ans, la consommation mondiale est passée de 14,6 millions de tonnes en 1995 à 62,6 millions de tonnes en 2015, cela donne une idée de la place prise par cette culture sur le marché des huiles.
Et justement, au cours de ces dix dernières années, la campagne d’ostracisation menée par les ONG a atteint des sommets. À tel point que leurs arguments répétés à satiété ont fini par entrer dans vos cerveaux. Certaines marques, clouées au pilori, se blanchissent désormais de toute satanée trace d’huile de palme dans leur produit en mentionnant « palme free » sur leurs emballages.
C’est vendeur…
 
L’Indonésie est le plus important exportateur d’huile de palme, avec la Malaisie, ils produisent ensemble 90 % de la consommation mondiale. Autrement dit, une huile pas vraiment américaine.
Dans un article paru en 2017 dans « The Conversation », signé par trois scientifiques, intitulé « Non, l’huile de palme n’est pas responsable de 40 % de la déforestation mondiale », les auteurs ont essayé de comprendre comment « Le monde » (cet autre torchon) avait pu écrire 3 avril 2017 : « La conversion des terres en plantations de palmiers à huile est à elle seule à l’origine de 40 % des pertes de couvert forestier naturel autour de la planète » ?
C’est beaucoup 40 % pour quelques tonnes de Nutella, non…
 
Alors ? Quelle source frelatée est à l’origine de cette affirmation ?
En réalité, le quotidien du soir se réfère à un rapport du Parlement européen, qui lui-même s’appuie sur de nombreuses sources : Une expertise commandée à trois cabinets privés, dont le citoyen ne sait rien, la FAO, « WRI » un think-tank américain proche des démocrates et « Forest trends », une ONG basée à Washington DC, dont le fondateur a travaillé pour l’USAID et est un ancien des Peace Corps au Nicaragua, etc.
De fil en aiguille, de sources compulsées ici et là, de données de la FAO exactes, mais anciennes et mal interprétées, les 40 % sortent comme un lapin du chapeau !
Selon le calcul précis et détaillé de ces trois scientifiques, la culture du palmier à huile ne serait donc pas responsable de 40 % de la déforestation dans le monde, mais de seulement 2,3 % !
Néanmoins, c’est ce chiffre de 40 % qui est resté dans les esprits et a été repris par certains médias…
Le beau lavage des cerveaux pratiqué par les « journaleux » : Parfois, ils en deviennent vraiment néfastes !
Par ailleurs, pour rester sur le chapitre déforestation, il va s’en dire que toute activité humaine, dont l’agriculture, a un impact sur l’écosystème. Cependant le palmier à huile ayant le plus grand rendement à l’hectare et ce, dans des proportions importantes, 3,8 tonnes à l’hectare, contre 0,5 pour le soja, sa culture est donc finalement et mathématiquement infiniment moins destructrice pour l’environnement !
Mais ça, personne ne l’assume…
 
Concernant tous les autres points décriés qui ont suivi, santé, environnement, pesticides, l’huile de palme n’est pas mieux traitée.
Dès 2012 pourtant, deux chercheurs canadiens ont publié une étude intitulée « Huile de palme : avantages sanitaires, environnementaux et économiques » : Leur conclusion est sans appel : « La plupart de ceux qui militent actuellement contre l’huile de palme, en faisant pression sur les fabricants et les distributeurs, agissent au nom de la protection de l’environnement.
Pourtant, ces activistes sont frappés de myopie.
Leurs actions échoueront à atteindre les grands objectifs qu’ils affichent : réhabilitation de l’environnement et amélioration des conditions de vie de populations pauvres. En effet, dans la pratique, aucune autre source d’huile végétale ne saurait préserver davantage de terres et mettre à disposition autant de calories accessibles, abondantes et abordables, pour les populations du monde entier. »
Mais personne n’a relayé… une fois de plus.
 
Plus grave, c’est en se basant sur ces informations que votre Commission européenne a publié, en mars 2019, un texte réglementaire qui limite la part de l’huile de palme dans les bio-carburants et l’interdit totalement d’ici 2030 !
À juste titre, ce texte a déclenché l’ire de l’Indonésie et de la Malaisie.
Par cette action, la Commission européenne n’a pas cherché à préserver les intérêts des cultivateurs européens d’huile de colza et de tournesol, elle a avant tout protégé le soja américain.
Car, et c’est tout à fait remarquable, le texte de la Commission européenne, aboutit à condamner l’huile de palme et à blanchir le soja !
Et pour arriver à ce résultat, il a fallu que la Commission joue les contorsionnistes en classant l’huile de palme à un risque très élevé (risque CASI), l’huile de soja, passant, elle, miraculeusement juste sous le seuil fatidique…
Cette décision est d’autant plus scandaleuse que selon les chercheurs canadiens et beaucoup d’autres, le soja est beaucoup plus toxique pour la planète : « le palmier à huile nécessite également beaucoup moins d’engrais, de pesticides ou de carburant par unité produite que le colza et le soja. »
 
Mais la Commission européenne ne s’est pas embarrassée de ces considérations scientifiques et factuelles. Par aveuglement de certains de ses clercs et par la trahison de certains autres, elle s’est immiscée dans la guerre commerciale sans pitié menée par les États-Unis pour protéger le soja, dont ils sont les premiers producteurs mondiaux et un acteur clé de la filière : La part de l’huile de palme dans le marché mondial grignotant, année après année, celle du soja américain, il y a danger de voir disparaître ce monopole de fait.
D’ailleurs le soja a été aussi au centre de la guerre commerciale sino-américaine commencée en janvier 2018.
Pour rééquilibrer sa balance commerciale avec Pékin, Washington a imposé, en 2018, des tarifs douaniers sur 34 milliards de dollars d’importations chinoises. La Chine a répliqué en taxant à 25 % certains produits américains, dont le soja.
Comme souvent dans ce genre de conflit, soit les résultats attendus ne sont pas au rendez-vous, soit ils sont contreproductifs. Ce qui devait arriver, arriva, la Chine a revu sa copie, en diversifiant ses sources protéiques et en s’approvisionnant désormais au Brésil (dont un navire a été bloqué par Green-Peace), au grand dam des producteurs de soja américain qui, et ce n’est pas inutile de le rappeler, ont largement voté pour « McDo-Trompe » aux dernières présidentielles.
Vous commencez à comprendre ?
 
Mais finalement c’est grâce à « J’y-Sais-Bunker » que les agriculteurs américains, et la cote de « Trompe » ont été momentanément sauvés.
En effet, après une rencontre en juillet 2018, à la Maison-Blanche, entre le président de la Commission européenne et le président américain, il a été convenu que l’Union européenne s’engageait à acheter plus de gaz et de soja aux États-Unis. En contrepartie, ces derniers s’abstenaient de mettre en œuvre leur menace de relever les droits de douane de 25 % sur les exportations d’automobiles européennes, tant redoutées par l’Allemagne.
Franchement, le soja américain…
Quant aux bagnoles allemandes et au gaz, chez vous il est algérien ou libyen et chez nos voisins Teutons il est russe.
Résultat, les exportations de soja US vers le vieux continent ont bondi de 121 % entre juillet 2018 et la mi-avril 2019, garantissant ainsi le cours du soja, qui a faiblit mais n’a pas cédé. Le cours du soja a même été dopé ces derniers jours en raison du mauvais temps aux États-Unis en période de semis.
 
À deux reprises donc, par le deal passé entre « Bunker » et « Trompe », puis par le texte réglementaire de mars 2019, les Européens n’ont pas hésité d’une part à « sacrifier » leurs propres producteurs de colza et de tournesol pour soutenir « l’ami américain », et, d’autre part à prendre le risque de se fâcher avec l’Indonésie et la Malaisie.
Pas mal, non ?
Quant aux pays africains producteurs d’huile de palme, notamment les deux plus importants, le Nigéria et la Côte d’Ivoire, ils n’ont pas réagi. Les raisons sont de deux ordres : Certes, le Nigeria, est un important producteur mais il est aussi un gros consommateur donc il n’exporte pas son huile, mais au contraire en importe. La Côte d’Ivoire, elle, exporte mais en Afrique de l’Ouest seulement.
Par ailleurs, ces États reçoivent des aides de l’UE et n’ont, par conséquent, guère de marge de manœuvre pour s’opposer…
 
Au final, dans cette campagne contre l’huile de palme qu’ont obtenu les ONG ?
En cinq ans, le cours de l’huile de palme a chuté de 45,92 %, tandis que le soja a perdu 29,1 %, (les prix de l’huile sont corrélés à la hausse ou à la baisse).
La chute des cours a poussé les petits paysans à détruire leurs plantations d’huile de palme et à se tourner vers d’autres cultures (qui ne sont pas plus COP21 compatibles), tandis que les producteurs de soja américain sont largement soutenus lors des périodes difficiles par leur gouvernement.
Résultat : Qui paye les pots cassés ?
Les petits planteurs africains qui sont les plus touchés par cette guerre économique. Ce sont donc une nouvelle fois les Africains qui trinquent et parmi eux, les plus fragiles, les petits pays et les petits producteurs, belle réalisation pour ces ONG, ces défenseurs de la planète et de l’humanité.
Au passage, les ONG font coup double, puisqu’elles sont les premières à bénéficier des fonds distribués par l’UE pour endiguer l’immigration et essayer de relocaliser les petits paysans qu’elles ont contribué à ruiner !
Du moment que c’est financé par des taxes supplémentaires qui vous tombent sur le râble, notamment sur votre gasoil… y’a de raison de se gêner !
 
Et que dire puisque ces ONG, comme leurs bailleurs de fonds, reçoivent toutes des subsides des mécènes américains, au premier rang desquels se trouve, « Georges Sort-Ross », bénéficient d’une sorte de « blanc-seing » exceptionnel.
Ça lui permet d’engranger des profits monstrueux tout en finançant le chaos par ONG interposées.
N’en dites aucun mal : Elles sont LE bien et guident les pas de l’humanité vers la lumière…
Mais il ne faut pas s’y tromper dans cette affaire d’huile de palme, toutes ne sont pas des activistes myopes, certaines sont bel et bien parties au conflit d’une guerre économique !
 
Pour le reste, un jour viendra où vous refuserez – peut-être – d’être ainsi manipulés comme du bétail et d’être « gouvernés par les peurs » factices, créées de toutes pièces : Un modèle politique en pleine expansion depuis quelques temps.
Enfin, je l’espère pour vous…

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