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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 juillet 2019

Les dernières de la saison…

La vieillesse, c’est quand les bougies coûtent plus cher que le gâteau.
 
Jean-Marc et madame ont tous deux la cinquantaine.
Leur dernier enfant vient de se marier et l’heure est à la nostalgie.
Le soir, dans le lit, madame se fait romantique.
Elle retire délicatement les lunettes de son mari et lui dit, les yeux pleins d’amour :
« Tu sais, chéri, sans tes lunettes, tu ressembles toujours au beau jeune homme que j’ai épousé… »
Et Jean-Marc répond :
« Mais, chérie, sans mes lunettes, toi aussi tu as encore l’air pas mal du tout ! »
 
Jean-Marc entre dans un bureau de tabac demande un paquet de Gauloises.
Le buraliste lui donne le paquet demandé.
« – Hum… Non, je veux un paquet de Gitanes à la place.
– Parfait, le voici. »
Jean-Marc le remercie et quitte l’établissement.
« – Hé ! Vous n’avez pas payé !
– Pas payé quoi ?
– Votre paquet de cigarettes.
– Le paquet de Gitanes ?
– Oui, c’est ça.
– Hé ! Ça va pas, je t’ai donné un paquet de Gauloises en échange !
– Oui, mais l’autre, vous ne l’avez pas payé !
– T’as pas remarqué que je ne l’ai pas pris aussi ! Pour qui me prends-tu ? »
 
Jean-Marc arrive au bureau et ses collègues remarquent qu’il porte une boucle d’oreille.
Ils sont d’autant plus surpris que Jean-Marc est connu pour son grand conservatisme et son manque d’ouverture d’esprit.
Trop curieux, Jean-Jacques, un des collègues, finit par dire :
« – J’ignorais que tu aimais ce type de bijoux ?
– Oh, ça va. N’en fais pas une romance !
– Et depuis combien de temps portes-tu une boucle d’oreille ?
– Depuis que ma femme l’a trouvée dans le lit. »
 
Après avoir atteint le sommet du Pic du Midi, les deux alpinistes redescendent. Quelques heures plus tard, ils arrivent à la crevasse St-Frusquin, l’obstacle le plus dangereux sur leur chemin.
Le premier, le plus grand, le plus expérimenté, saute… et s’accroche de justesse. C’est vraiment difficile. Il fait froid. Très froid.
Enfin, il tend la main vers le deuxième qui se prépare à sauter.
« Jean-Marc, je sais que tu couches avec ma femme…
Allez, saute !
– … !
 
– Allez ! Vas-y ! Courage. »
 
« – Tu connais la ressemblance entre un curé et un sapin de Noël ?
– Oui : Dans les deux cas, les boules ne servent qu’à la décoration ! »
 
Les lectures de Jean-Marc :
« Il y a 15 jours, je lis dans le journal que fumer tue : Le lendemain, j’arrête de fumer.
Il y a 8 jours, je lis que boire tue : Le lendemain, j’arrête de boire.
Hier, je lis que baiser à gauche et à droite tue : Ce matin, c’est décidé, j’arrête de lire ! »
 
On sauve sa peau comme on peut et comme on tente de le faire encore actuellement dans ce bas monde.
Dans un avion américain, le commandant de bord dit à ses passagers :
« C’est votre commandant qui vous parle. Nous perdons de l’altitude et nous n’avons pas assez de carburant pour atteindre notre destination. Donc, nous allons larguer hors de l’avion tous les bagages. »
L’avion regagne de l’altitude.
Une demi-heure plus tard, l’avion reperd de l’altitude et la voix du commandant se fait encore une fois entendre dans les hauts parleurs du bord :
« C’est votre commandant qui vous parle. Nous perdons encore de l’altitude et nous ne pourrons pas atteindre notre destination sans jeter quelques passagers hors de l’avion. C’est une mauvaise solution, mais nous allons le faire d’une manière honnête et démocratique. Nous allons utiliser l’alphabet. Commençons par la lettre A. Y a-t-il des Africains ? »
Personne ne répondit.
« Y a-t-il des Blacks ? »
Toujours pas de réponse.
« Y a-t-il des gens de Couleur ? »
Toujours pas de réponse.
Mais, à l’arrière de l’avion, un petit garçon demande à son père :
« – Papa, tu m’as toujours dit qu’il fallait être honnête. Nous sommes d’Afrique, nous sommes Black et donc des gens de Couleur.
– Oui, mon fils. C’est vrai. Mais aujourd’hui nous sommes des Nègres et s’il le faut nous serons Zoulous… »
 
Une revenue… de très loin !
C’est un jeune avocat qui vient d’ouvrir son propre cabinet.
Il a hâte de recevoir son premier client, et il a très envie de faire forte impression dès le départ.
Si bien que lorsqu’il entend frapper à sa porte, il dit « entrez » et tout de suite, il décroche son téléphone pour simuler une conversation animée :
« Oh je suis vraiment désolé Monsieur, mais mon emploi du temps est tellement chargé que je ne pourrai pas m’occuper de votre problème avant un mois.
Je vous rappellerai à ce moment-là. Au revoir ! » Et il raccroche le combiné.
Puis le jeune avocat se tourne vers le visiteur et lui demande :
« – Bonjour. Que puis-je faire pour vous ?
– Je suis de Transe-télécom et je suis venu pour brancher votre téléphone. »
 
Un homme d’affaires très malade visite son médecin.
Le médecin l’examine et fait soudainement un pas en arrière en disant :
« – Mais mon cher monsieur, c’est avec d’immenses regrets que je dois vous dire que vous avez attrapé le virus de la rage et qu’il vous emportera.
– Pouvez-vous me donner un crayon et du papier, Docteur.
– Vous voulez écrire votre testament ?
– Non, je veux faire la liste des personnes que je veux mordre. »
 
Trois vieilles dames se promènent en voiture à 15 Km/h sur l’autoroute au risque de provoquer des accidents.
Un policier les arrête et demande à la conductrice :
« – Pourquoi roulez-vous si lentement ?
– C’est la limite, n’est-ce pas ? Il est écrit sur le panneau, là ! »
Le policier regarde le panneau en question et répond à la dame :
« Ce n’est pas la limite de vitesse madame, mais bien le numéro de l’autoroute. En ce moment, vous êtes sur l’autoroute « A 15 ». »
Et le policier jette un œil sur la banquette arrière et voit 2 autres dames qui ont le teint pâle comme si elles venaient de voir un fantôme.
Le policier demande alors pourquoi elles sont dans un tel état.
La conductrice répond :
« C’est qu’on vient de sortir de la route nationale 168, monsieur l’agent ».
 
Recommandations diverses de Germaine à une amie :
« – Quelle est la meilleure façon de garder un homme au lit ?
– Je ne sais pas… Ne pas cesser de lui faire des gâteries ?
– Non ! Mettre la télé dans la chambre à coucher ! »
 
« – Pourquoi crois-tu que les hommes préfèrent-ils prendre des douches plutôt que des bains ?
– Je sais : Parce que pisser dans son bain, c’est dégoûtant ! »
 
Deux Terriens viennent d’atterrir sur la planète des Ummos.
Et autour d’eux, tout n’est que sable et rochers.
Quand soudain à quelques pas de leur vaisseau, une porte s’ouvre, et un Ummo en scaphandre leur fait signe d’avancer.
Aussitôt les Terriers se dirigent vers l’entrée et empruntent un escalier d’une centaine de marches au bout duquel ils découvrent une ville fabuleuse.
Ébahis, ils découvrent une ville immense avec des véhicules qui se déplacent sans bruit et sans pollution.
L’Ummo commence à retirer son scaphandre et apparaît une merveilleuse Ummo.
À sa demande, ils retirent aussi leur scaphandre et sont étonnés de respirer un air frais comme sur Terre.
Ils demandent à la Ummo de visiter la ville.
« Bien sûr, mais puisque vous êtes deux, je vais chercher mon amie. »
Chemin faisant les Terriens découvrent que les Ummos sont très évolués par rapport à eux, qu’ils étaient attendus car ils captent aussi toutes les télévisions terriennes.
Ce sont des gens pacifiques.
Ils détestent les guerres qu’il y a sur terre et ils sont tellement bien sur la planète Ummo qu’ils ne veulent pas aller voir ailleurs.
Mais c’est le soir et après un bon repas dans un restaurant, les deux couples se séparent, chaque Terrien partant avec une Ummo.
À la maison, la Ummo se déshabille et toute nue se jette dans un jacuzzi au centre de la pièce.
Notre Terrien est subjugué par la beauté de cette femme au corps de déesse.
Il se déshabille et rejoint la Ummo dans le bain.
Bien sûr après un si long voyage et la vue de la merveilleuse créature à côté de lui, des pensées érotiques lui montent immédiatement à la tête.
Il lui demande insidieusement :
« Comment fait-on les bébés sur Ummo ? »
La Ummo sort du bain, ouvre un placard, en sort deux bouteilles (une verte et une rose).
Et elle lui demande s’il veut un garçon ou une fille.
« Une fille ! »
Elle verse alors deux mesures de la bouteille rose et une mesure de la bouteille verte dans un grand saladier.
Elle remue environ une minute avec une cuillère en bois et tout à coup, un bébé fille apparaît.
« Voilà », dit-elle, « Et sur Terre comment faites-vous ? »
À ce moment-là, il n’en peut plus, il se jette sur la Ummo et lui fait l’amour.
Cependant au bout de quelques minutes, c’est déjà fini.
La Ummo lui demande :
« – Où est le bébé ?
– Tu le verras dans 9 mois.
– Dans 9 mois ?
– Oui, c’est ça.
– Alors, pourquoi t’arrêtes ? Il faut continuer ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« On était tellement pauvre à la maison quand j’étais petit, c’est bien simple, si je n’avais pas été un garçon, je n’aurais rien eu pour jouer. »
 
Une revenue de mes aventures polynésiennes d’antan :
Un petit Indien demande à son père, le grand Sachem-Tout-emballé :
« – Dis Papa, pourquoi, nous les Indiens, portons-nous des noms très longs, alors que les cow-boys eux, ont des noms plus courts comme Bill, Tex, Sam ?
– Eh bien, c’est parce que nous sommes des gens près de la nature et que de ce fait nous avons gardé une certaine poésie. Pas comme ces blancs qui vivent en ville et ont tout perdu !
Vois ! Ta sœur s’appelle « Petite-lune-argentée-se-reflétant-dans-le-lac-scintillant ».
C’est parce qu’elle est née par une nuit claire, un soir de printemps et que de ce fait, la lune se reflétait dans un grand lac sombre et profond, bordé de grands arbres.
Le paysage était magnifique.
Nous étions heureux ta mère et moi.
Et nous avons voulu nous rappeler pour toujours cet instant. D’où le nom de ta sœur.
Pour ton frère, c’est pareil, lui s’appelle « Aigle-majestueux-survolant-la-montagne  » parce qu’il est né par un bel été, dans une grande prairie entourée de hautes montagnes enneigées et qu’un grand aigle survolait à ce moment-là, toutes ailes déployées, à la recherche sans doute de sa future proie. C’était grandiose et majestueux.
Nous avons voulu conserver ce souvenir. D’où le nom de ton frère. Voilà, c’est tout simple.
As-tu d’autres questions Petit-Préservatif-plein-de-trous ? »
 
Jean-Marc n’était pas trop heureux de la prescription de son médecin.
« – Quoi Docteur ? Vous voulez que je renonce au sexe totalement ? Mais je suis un jeune homme dans la fleur de l’âge. Comment espérez-vous que je puisse abandonner le sexe et faire abstinence ?
– Eh bien », répond le médecin, « vous n’avez qu’à vous marier, comme ça vous arrêterez graduellement. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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