Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 30 juin 2019

Bonne nouvelle !

Le diabète de type 2 serait finalement une maladie réversible !
 
Notez, moâ, je savais déjà. Vous, peut-être pas…
C’est en tout cas ce que vient de prouver une nouvelle analyse de l’étude britannique DiRECT, présentée au congrès de l’American Diabetes Association (ADA) à San Francisco alors que les oncologues faisaient colloque international à Chicago.
Ses auteurs de l’université de Newcastle avaient déjà montré que des patients souffrant de cette pathologie depuis moins de six ans et qui n’étaient pas traités par des injections d’insuline, pouvaient voir leur état durablement amélioré grâce à un régime alimentaire très strict.
Le mien, inventé de toute pièce dans l’improvisation totale, c’est le « Cent-Trois-P-R » pour « sans pain, patate, pâte et riz ».
Et les résultats sont magnifiques : Du statut « double-quintal » j’en suis réduis à celui de « sub-quintal ».
 
Eux avaient déjà publié dans « The Lancet » en mars dernier. Aujourd’hui, ils démontrent que leurs cellules bêta pancréatiques, celles qui produisent l’insuline chargée de faire entrer le sucre dans les cellules et que l’on croyait définitivement hors service, peuvent également récupérer un bon état de santé.
« Le diabète de type 2 évolue inexorablement au fil du temps, si le patient ne change pas son mode de vie », rappelle le chef du service de nutrition de l’Institut Pasteur de Lille.
En fait, tout commence par le fait que l’insuline ne peut plus fonctionner correctement en raison d’un excès de graisse dans le corps.
Les spécialistes parlent d’insulinorésistance.
Le pancréas augmente alors la production de cette hormone pour contrer ce phénomène, mais il finit par s’épuiser.
Ce qui aboutit à un manque d’insuline et donc à l’obligation, pour les malades, de s’injecter cette précieuse substance, tellement le sucre (ce poison) circule dans le sang au point de boucher les veinules, surtout aux extrémités, en commençant par les pieds.
C’est pour cette raison qu’on dit toujours aux diabétiques de surveiller leurs pieds, et pas parce qu’il faut leur éviter de marcher dans les déjections canines !
Les miens de pieds, ce n’est rien, mais ils dégueulassaient mes tapis, mes chaussettes, mes pompes et même les parquets en saignant sans arrêt.
Et quand ça arrive au cerveau, ça fait des dégâts.
 
Dès lors, si le malade adopte une très bonne hygiène de vie, il normalise son poids, maigrit, ce qui rend plus aisé les exercices physiques et bouffe ses graisses en surplus, ce qui améliore la santé des artères et le cœur pompe moins fort.
Un truc génial : Je te vous rappelle que mon toubib m’avait mesuré 24/13 de tension que je lui en avais fait changer les piles de son appareil… avant de m’envoyer d’office aux urgences.
 
Les nouveaux travaux montrent que la perte de fonction des cellules bêta pancréatiques n’est donc pas, non plus, irréversible.
Pour aboutir à ce résultat, les chercheurs britanniques ont réalisé un test spécifique ayant pour but d’évaluer la réponse maximale de sécrétion de l’insuline à une administration massive de sucre, ce poison (provoquant une hyperglycémie), ce qui permet d’estimer la quantité de cellules bêta encore capables de fonctionner.
Qu’ils ne fassent surtout pas ça sur moi, ces tortionnaires britishs : Je réclamerai aussitôt l’asile politique à « Jupiter ».
 
Or, le niveau de sécrétion de l’insuline dans cette expérience était initialement près de deux fois plus faible chez les diabétiques que chez des sujets contrôles. Mais le niveau de sécrétion de l’insuline a augmenté au bout de cinq mois de régime strict chez les patients qui ont perdu rapidement du poids et dont le diabète a régressé.
Et au bout d’un an, il était pratiquement revenu à la normale !
Au contraire, chez ceux qui n’ont pas réussi à maintenir la perte de poids, il n’y a pas eu de récupération de la sécrétion d’insuline.
« Ce sont de bonnes nouvelles pour les diabétiques de type 2 : il y a toujours une possibilité de retour en arrière », se sont-ils félicités.
Oui, bon, moi, je savais déjà et j’aurai pu le leur dire.
Résultats valables pour des diabétiques diagnostiqués depuis moins de six ans, ceux dont les cellules bêta sont donc toujours présentes mais devenues inactives face au « stress métabolique » qu’elles subissaient.
Les autres, quand c’est totalement détruit, il faut soit se piquer à l’insuline, soit se faire greffer un pancréas tout neuf.
Comme on ne sait pas faire, c’est la piquouze avant chaque repas, l’horreur quoi…
 
Mais pour arriver à ce résultat, il faut une « forte motivation » et donc se conformer durant plusieurs mois au régime alimentaire strict, très liquide et riche en protéines.
Tout moâ, ça (riche en liquide) : J’ai banni depuis au moins un siècle tout ce qui ressemble à de l’herbe, depuis 4 ans tout ce qui est en « ose » (fructose, glucose, etc.) à plus de 9 % (c’est marqué sur les étiquettes…) et je n’hésite pas à rajouter de la moutarde, du beurre, de la crème, de la mayonnaise sur la bidoche que j’ingurgite.
Si je devais devenir végétarien, ce serait l’agonie assurée en peu de temps, faute d’assez de protéine sans sucre dans « les herbes »…
« Beaucoup de malades sont motivés pour maigrir, mais tous ne peuvent suivre de tels régimes draconiens », insistent-ils.
D’où l'intérêt de commencer la prévention bien en amont en disent-ils…
 
Sauf que j’ai trouvé la parade en lisant une étiquette de whisky : 0,5 % de sucre !
Génial : Les alcools forts ont transformé tout leur fructose par distillation.
Le vin c’est autour de 5 % (dix fois plus), mais pas tous (notamment les « liquoreux » et sirupeux comme les vins cuits) ; la bière c’est 3,5 %…
Inutile de te vous dire que parfois j’abuse.
Sauf pour la vodka, que j’ai banni parce que ça reste insipide sans un jus d’agrume (20 % de glucose) alors que le rhum, ça passe là où quelques liqueurs type Cointreau, Grand-Marnier, Chartreuse verte et consorts sont à bannir également.
Il faut aussi que je me documente sur la teneur en glucose du ratafia du « cousin Dumè » et je serai bon pour une vaste cirrhose hépatique…
Ça ou autre chose, il faut bien partir de quelque chose, et comme mon crabe découvert à l’occasion de mes « crises de pieds » semble s’être assoupi, autant y aller franco, n’est-ce pas, tant que je peux encore marcher droit sans difficulté.
 
Bonne nouvelle, bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3

samedi 29 juin 2019

Si vous êtes viré, muté, expatrié, délocalisé…

Ne jouez pas au kon !
 
C’est aussi le cas si vous vous voyez attribuer un logement HLM (ou autre), moins cher pour vos maigres revenus que celui que vous occupez en qualité de locataire.
Lorsqu’un locataire donne congé à son propriétaire et souhaite bénéficier d’un délai réduit de préavis (mutation professionnelle, perte d’emploi, logement situé en zone tendue...), il doit en justifier au moment de l’envoi de la lettre de congé.
Le propriétaire n’a pas ce problème-là à régler s’il est « muté » par ailleurs, mais une cascade d’emmerdements à régler entre le déménagement (probablement double d’ailleurs) à envisager, la vente de l’ancien logement, l’acquisition du nouveau, les prêts-relais à mettre en place et une location « provisoire » à envisager dans l’intervalle.
J’en connais qui y sont encore après plusieurs années…
 
Cour de cassation – Troisième chambre civile
Audience publique du jeudi 11 avril 2019
N° de pourvoi :18-14256
 
M. Chauvin (président), président
Me Balat, SCP Gaschignard, avocat(s)
 
REPUBLIQUE FRANCAISE
AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS
 
 
LA COUR DE CASSATION, TROISIÈME CHAMBRE CIVILE, a rendu l’arrêt suivant :
 
Sur le moyen unique :
 
Vu l’article 15, I de la loi du 6 juillet 1989 ;
 
Attendu que le locataire souhaitant bénéficier des délais réduits de préavis mentionnés aux 1° à 5° du texte précité précise le motif invoqué et le justifie au moment de l’envoi de la lettre de congé ; qu’à défaut, le délai de préavis applicable à ce congé est de trois mois ;
 
Attendu, selon le jugement attaqué (juridiction de proximité d'Angers, 7 novembre 2016), rendu en dernier ressort, que Mme K…, locataire, depuis le 23 septembre 2015, d’un logement appartenant à M. J…, lui a notifié congé avec un délai de préavis d’un mois ; que, postérieurement à la résiliation du bail, elle l’a fait convoquer devant la juridiction de proximité en restitution du dépôt de garantie ; que M. J… a sollicité l’application d’un délai de préavis de trois mois ;
 
Attendu que, pour condamner M. J… à payer à Mme K… une somme de 350,14 euros, le jugement retient que le préavis réduit à un mois ne semble pas pouvoir être contesté, quand bien même le justificatif fourni a été remis tardivement à M. J… qui a indiqué que, lors de la tentative de conciliation du 25 mai 2016, Mme K… lui avait remis une lettre de la société d’HLM Logiouest, dans laquelle il était indiqué que l’attribution d'un logement par cet organisme « lui donne droit à un préavis d’un mois » ;
 
Qu’en statuant ainsi, alors que, faute pour le locataire qui souhaite bénéficier d’un délai de préavis réduit de préciser le motif invoqué et d’en justifier au moment de l’envoi de la lettre de congé, le délai de préavis applicable à ce congé est de trois mois, la juridiction de proximité a violé le texte susvisé ;
 
PAR CES MOTIFS :
 
CASSE ET ANNULE, en toutes ses dispositions, le jugement rendu le 7 novembre 2016, entre les parties, par la juridiction de proximité d'Angers ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l’état où elles se trouvaient avant ledit jugement et, pour être fait droit, les renvoie devant le tribunal d’instance de Saumur ;
Condamne Mme K… aux dépens ;
Vu l’article 700 du code de procédure civile, rejette la demande de Mme K… et la condamne à payer à M. J… une somme de 3.000 euros ;
Dit que sur les diligences du procureur général près la Cour de cassation, le présent arrêt sera transmis pour être transcrit en marge ou à la suite du jugement cassé ;
 
Ainsi fait et jugé par la Cour de cassation, troisième chambre civile, et prononcé par le président en son audience publique du onze avril deux mille dix-neuf.
 
Madame K… veut bénéficier d’un délai-congé plus court et ne pas payer deux fois 350,14 euros et même récupérer son dépôt de garantie…
Elle se retrouve avec un arriéré de 3.000 euros sur le dos !
Pas mal, n’est-ce pas ?
J’espère pour elle qu’elle pourra tout de même payer son nouveau loyer, qui devrait être sensiblement inférieur, parce qu’elle risque l’expulsion de son office HLM et se retrouver à la rue…
 
Car la loi reste « juste », protégeant à la fois locataire et propriétaire (même si on doit pouvoir l’améliorer : Un projet est actuellement en préparation, on y reviendra) et indique le mode d’emploi : Un justificatif donné tardivement n’est pas valable.
Point-barre.
À défaut, le délai de préavis applicable à ce congé est de 3 mois.
Le locataire qui remet à son bailleur son congé, puis dans un second temps, le justificatif lui donnant droit à un préavis réduit à 1 mois se met à la faute.
Et là, pas de droit « à l’erreur » entre particuliers : Vous voilà prévenus !
Le propriétaire a eu juridiquement raison (c’est d’ailleurs probablement pour ça qu’il était le propriétaire) de se pourvoir en cassation, puisqu’il a refusé le bénéfice du préavis réduit du fait de la remise tardive du justificatif : Pour lui, le délai de préavis à appliquer était de 3 mois.
Pas pour le tribunal d’Anger qui estimait à tort que la notification du congé avec un délai de préavis de 1 mois ne pouvait pas être contestée…
 
Comme quoi, un mauvais arrangement vaut encore et toujours mieux qu’un bon procès !
Pour 350 boules, franchement, c’est kon d’être aussi kon : Madame K… est franchement mal barrée et mal armée pour faire « de bonnes affaires »…
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
I3

vendredi 28 juin 2019

Une absurde, pour commencer.

Jean-Marc rapporte que…
 
Un médecin et sa patiente entretiennent une relation.
Ce qui devait arriver arriva, la patiente tombe enceinte et ils ne veulent pas garder l’enfant.
Or, juste avant l’accouchement, un prêtre est hospitalisé pour une opération à la prostate.
Le médecin dit alors à sa patiente :
« – Je sais ce que l’on va faire. Après l’opération du prêtre, nous lui donnerons le bébé et nous lui dirons qu’un miracle s’est produit, il a eu un bébé.
– Et tu penses qu’il va croire ça ?
– Je n’en sais rien mais ça vaut la peine d’essayer ».
Le médecin accouche sa patiente et après l’opération du prêtre, il lui dit :
« – Mon père, il s’est produit un miracle, vous avez eu un bébé.
– Mais c’est impossible », dit le prêtre.
« Je viens de terminer l’opération et c’est un miracle ! Voici votre bébé. »
15 ans plus tard, le prêtre réalise qu’il doit dire la vérité à son enfant.
« – Mon fils », dit-il, « j’ai quelque chose d’important à te dire : Je ne suis pas ton père.
– Que voulez-vous dire, vous n’êtes pas mon père ?
– De fait, non, je suis ta mère, c’est l’évêque qui est ton père. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul philosophent :
 
« – Pourquoi faut-il un million de spermatozoïdes pour fertiliser un œuf ?
– Parce qu’ils ne s’arrêtent jamais pour demander leur chemin. »
 
« – Pourquoi Dieu a-t-il créé l’homme ?
– Parce qu’un sex-toy ne peut pas tondre le gazon. »
 
« – Pourquoi les femmes n’ont-elles pas le même cerveau que l’homme ?
– Parce qu’elles n’ont pas de pénis pour le placer. »
 
« – Qu’est-ce que les seins et les trains électriques ont en commun ?
– Je sais : Dans les deux cas, c’est fait pour les enfants et ce sont les hommes qui s’amusent avec. »
 
« – Pourquoi les hommes se masturbent-ils ?
– Ça aussi je sais ! C’est parce que le sexe, c’est uniquement pour quelqu’un qu’ils aiment vraiment. »
 
« – Pourquoi le cerveau des hommes est-il plus grand que le cerveau des chiens ?
– Pour empêcher les hommes de sentir les jambes des femmes dans les cocktails. »
 
« – Combien faut-il d’hommes pour rabattre le siège de la toilette ?
– Tout le monde sait que c’est impossible à dire. On n’y est jamais parvenu. »
 
Jean-Paul demande à Jean-Marc :
« – Tu fais quoi après l’amour ?
– Je dors et toi ?
– Je m’en vais avant que tu rentres ! »
 
Et puis inversement :
« – Tu sais ce que dis une femme devant un gros zizi ?
– Non.
– Moi je sais ! »
 
« – Quelle est la salle la plus érotique d’un hôpital ?
– La salle des plâtres. C’est là que l’infirmière mouille et que le chirurgien bande. »
 
« – Comment fait-on pour oublier ses problèmes ?
– Il suffit de porter des souliers trop petits. »
 
« Les hommes ont une vie plus agréable que les femmes.
Premièrement, ils se marient plus tard et, deuxièmement, ils meurent plus tôt. »
 
Leurs deux femmes discutent de leur vie de couple.
« – Cette fois-ci c’est décidé, je vais demander le divorce !
– Pourquoi ?
– J’ai vu mon mari entrer au cinéma avec une autre femme !
– Et tu sais qui c’était cette femme ?
– Non. Pas la moindre idée.
– T’as pas pensé une minute qu’il y a peut-être une explication logique. Tu ne les as pas suivis ?
– Non. Jean-Marc avait déjà vu le film. »
 
« – Au fait… Comment va votre mari ? », demande le docteur à Germaine.
« – Ben pas tellement bien. Toujours malade, jamais mort… »
 
L’homme dit à sa femme…
« – J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La première, je te quitte.
– Ah… » dit la femme, « Et la mauvaise ? »
 
« – Quand je vais mourir », dit Jean-Marc à sa femme, « je veux que tu me fasses incinérer.
– C’est bien toi, toujours le genre à laisser de la cendre partout ! »
 
« – Tu sais, Jean-Paul, je suis devenu vraiment vieux. C’est fait.
– Comment ça ?
– Ben, hier soir, dans le métro, il y avait une très belle dame, bien en chair, dodue comme je les aime qui était assise en face de moi. Sa robe, légèrement relevée, me laissait deviner ses cuisses…
– Et alors ?
– Au lieu de la désirer, cette image m’a tout simplement rappelé de bons souvenirs… »
 
Le petit gars de Jean-Marc, trois ans joue avec ses testicules pendant qu’il prend son bain.
« – Maman, est-ce que c’est ça mon cerveau ?
– Non, pas encore ! »
 
On rapporte qu’un type se présente à la caisse de la banque, à Rome, en Italie.
Il présente à la caissière une petite feuille de papier où c’est écrit : « Donnez-moi l’argent. C’est un hold-up. »
La fille s’exécute, sans broncher.
Le gars quitte la banque et s’enfuit.
Quelques minutes plus tard, quand il arrive à la maison.
La police l’attend.
Il avait écrit son mot sur une enveloppe qui lui avait été adressée.
 
Deux couples d’amis discutent devant un tableau au Musée.
La toile représente trois hommes nus et très noirs, assis sur un banc.
Le pénis de l’homme, assis au centre, est rose. Et c’est autour de ce pénis que la conversation s’anime.
Arrive un gardien qui s’approche.
« – Étonnant, n’est-ce pas ?
– En effet », répond une des femmes. « Je ne comprends pas.
– Moi non plus », dit Jean-Marc qui accompagne l’autre femme.
« – Simple », dit le gardien. « Ce ne sont pas des Noirs, mais des mineurs d’une mine de charbon et le deuxième est allé dîner chez lui. »
 
Jean-Marc déguste lentement un verre au comptoir d’un café lorsqu’il voit passer son pote Jean-Paul.
Il lui fait signe de le rejoindre et s’étonne de le voir les yeux au beurre noir et le nez aplati.
« – Mais qu’est-ce qui t’est arrivé ?
– Je me suis fait lâchement agresser.
– Je t’offre un verre et je te raccompagne chez toi, ok ?
– Ah non ! Surtout pas ! J’en viens ! »
 
Deux femmes au visage recouvert d’un voile noir se croisent.
« – Vous êtes veuve aussi ?
– Non, moi, je suis laide. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Ma femme ne croit plus aux mathématiques.
– Comment ça ?
– Elle ne comprend pas comment elle a pu grossir de cinq kilos en mangeant une boîte de chocolats de seulement un kilo. »
 
Enfin « une revenue » :
Le Président des États-Unis téléphone au Premier ministre du Japon.
« – J’ai un service à te demander. Notre usine de préservatifs est hors-service. C’est un désastre.
– Ok Donald, qu’est-ce qu’on peut faire pour vous ?
– J’aurais besoin d’environ 100.000 condoms le plus vite possible pour nous dépanner quelques jours.
– Pas de problème Donald, je vous envoie ça le plus vite possible. »
Et avant de raccrocher, Donald ajoute :
« Les condoms doivent être rouges, bleus et blancs, avoir 12 pouces de long et un diamètre de 4 pouces. »
Abe est estomaqué avec les dimensions demandées.
Il pense que Donald veut juste se vanter, lui et toute la population masculine des États-Unis.
Néanmoins, il appelle l’usine de condoms :
« – Bonjour, ici Shinzō Abe, le premier ministre du pays. Je voudrais 100.000 condoms à expédier tout de suite aux États-Unis. Ils nous demandent qu’ils soient bleus, blancs et rouges, avec une longueur de 12 pouces et un diamètre de 4 pouces.
– WOW ! Ils sont équipés pour veiller tard les Américains ! Parfait monsieur Abe, je prépare cette commande. Autre chose ?
– Oui ! Sur chaque condom écrivez : MADE IN JAPAN. SIZE : SMALL ».
Dans l’originale, sur le blog précédent, il y a dix ans de ça, il s’agissait d’une demande de George Bush à Jacques Chirac.
Comme quoi, ça tourne tout autour du monde, mes « histoires d’en rire »…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
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