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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 14 avril 2019

Suite des aventures de ma « petite-sœur »

On n’imagine pas sa vie « trépidante » face à ses élèves !
 
Pour elle, il s’agit d’une vocation ! Une vraie qui vous réveille au petit-matin et vous remplit de joie pour toute la journée…
Il y a juste les parents d’élève agressifs qui lui gâchent parfois sa fin de journée, mais elle les renvoie vers sa directrice avant qu’ils n’en viennent aux noms d’oiseau.
Pour tout vous dire, je ne sais pas comment elle fait, surtout après ce qui vient de lui arriver.
 
Certes, un « sacerdoce-tardif » pour sa part, dans la mesure où, dans la famille, ils ne savent que générer des doctorants en droit et rien d’autres.
Bien sûr, il y a des exceptions notoires, puisque notre père à tous les deux (vous savez, celui qui me fait outrageusement « frémir » encore quand je l’évoque…) aura été l’exception pour faire, outre « son droit » comme son « papa-à-lui », une « grande ékole » de commerce de la République, pour aller se servir du droit en servant des « mercantiles » dans le privé – vilain petit-caneton ! – piste que j’ai vaillamment suivi pour ma part tellement « les filles » dans les hauts-concours du public (et même du privé) étaient franchement imbaisables…
Pareil chez les prétendantes au barreau.
Il y avait mieux chez les impétrantes expertes comptables et j’ai finalement marié les deux métiers (plus quelques autres) en commençant « fiscaliste »…
Les chiffres et les lettres, pas mal pour un type qui ne sait ni lire, ni écrire, ni compter, pour être un pur produit de l’ékole-publique, avouez, tout de même !
 
Ma « petite-sœur », outre ses talents exceptionnels, elle aura quand même intégré « Les-ducs-à-Sion » nationale par la grande porte – une vocation vous dis-je – sans se servir de ses cinq années de droit perdues à jamais (ou presque).
Notez qu’elle en a gardé au passage sa capacité à s’indigner « selon les règles » et pour la bonne cause de « ses » enfants, mais pas vraiment plus.
Je ne vous dis pas les galères de mutations d’une commune à une autre dans l’académie intégrée, les galères générées pas les « collègues », les galères créées de toutes pièces par ses directrices et directeurs successifs, par les inspecteurs d’académie, par le rectorat et même par les ministres éphémères – à chacun sa réforme, ses programmes et même ses règles de notation – mais elle a réussi à intégrer une ékole-collège d’élite dans une commune d’élite, dans un département d’élite, sis dans une région d’élite, dans mon pays d’élite (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) : Le réussite complète !
 
D’autant qu’elle reste rémunérée au « niveau d’élite » propre à l’enseignement, ce qui revient à faire 25 heures par semaine devant ses enfants, entre 10 et 15 heures de travail de correction, presqu’autant de surveillance d’activités périscolaires, un peu moins quant à la préparation de ses cours et devoirs (parce que les « directeurs d’élite » te changent de niveau de classe, et à rebours de la progression d’âge des élèves : On ne sait jamais, les professeurs pourraient prendre en grippe des gamins…) et que les programmes, qu’il faut adapter, changent tous les deux ans. Plus les semaines de « vacances-scolaires » à passer en formation obligatoire (on est dans l’élite…, les autres s’en dispensent), les heures supplémentaires « de concertation » qui se terminent à pas d’heure le soir et sans compter les réunions de « parents d’élite », tous plus exigeants les uns que les autres pour leurs « rejetons d’élite », tel que son mari (mon « beauf’-à-moâ-même ») a pris l’habitude de manger tout seul devant sa télé en compagnie de son chat avant qu’elle ne rentre.
Heureusement que pour compenser ce rythme d’enfer, elle a deux mois de vacances d’affilée, ce qui lui permet d’aller visiter tous les cimetières où les gisent nos ancêtres communs durant l’été…
Et quand elle fait les comptes, elle est ravie de se faire une paye qui tourne tout juste un peu au-dessus du SMIC horaire, presqu’arrivée en fin de carrière : Un sacerdoce, vous dis-je !
 
Évidemment, elle a une directrice « d’élite », des « enfants d’élite » au QI surdéveloppé d’élite, même quand ils sont « nuls », puisqu’ils ont des parents d’élite qui vivent dans un « quartier d’élite » sur une « commune d’élite » dans un « département d’élite » sis dans un « pays d’élite », vous rappelle-je.
Tellement d’élite qu’ils n’ont pas les moyens « d’élite » de se sortir de l’ékole publique et d’aller chez les « feujs-d’élite », les « papistes-prout-prout » d’élite, ou les « huguenots-hérétiques » eux-mêmes d’élite de son patelin-sur-plage.
Des ékoles-mahométanes d’élite, il n’y a pas dans « son pays » élitiste.
Allez savoir pourquoi, puisqu’il y a même des établissements « Montez-Souris », même pas sous contrat, c’est dire le pognon qui se balade dans son pays…
Du coup, elle ne sait pas pourquoi, mais une ékole-publique d’élite, ça ramasse tous les mômes chiants.
Moâ, je sais pourquoi, puisque je les ai fréquentés du collège au bac et que j’étais un « chiant », tellement « chiant » que même à l’armée ils ont fini par me virer : Ils n’en pouvaient plus les biffins !
Bé là, c’est pareil. Dans les « no-go-zones », ils n’en veulent plus tellement les mômes sont invivables !
 
Notez que l’avantage d’être dans un « bahut d’élite », c’est qu’on a des profs eux-mêmes d’élite.
En général sur l’exact modèle que leurs élèves : Des « chiants », ultra-chiants, mais justement, des « brillants ».
La rançon du succès.
J’ai eu comme ça des génies en philo, en français, en math, en histoire-géo.
Bon, c’est vrai, le prof d’histoire, il nous ne faisait que la révolution bolchévique. La prof de français, qu’Aragon ou Sartre.
En passant sous silence Merleau-Ponty, naturellement …
La prof d’anglais, elle ne causait pas un seul mot de british sans accent « des îles », mais elle avait un kul… et le reste, à défroquer un moine et damner un cardinal !
Le prof’ d’allemand, il nous faisait apprendre par cœur les discours de Goebbels…
Vraiment « rasoir-chiant » !
Et le prof’ de maths nous faisait découvrir les énigmes mathématiques et les nombres complexes dès la seconde, juste après nous avoir fait assimiler rapidement les identités remarquables et les merveilles de la trigonométrie…
La prof de philo nous a fait Socrate pendant 6 mois, Kant et Schopenhauer pendant quinze jours…
Et heureusement que je passais un « bac-poubelle », parce que sans ça…
Je n’aurai jamais eu une mention, qui m’a permis d’aller tâter Sciences-pô en rentrant de croisière sans avoir rien préparé, pour fuir rapidement (vue la tronche des demoiselles)…
 
Je lui ai toujours dit, à ma « petite-sœur », les « élites », c’est comme ça : Ça ne rentre pas dans le moule de « Les-ducs-à-Sion-nationale ».
Et elle confirme d’année en année.
Elle a des élèves adorables (vous allez le découvrir), mais alors, tellement perturbés du rachis qu’elle a bien du mal à rester bienveillante quant à ses notations.
C’est vrai, il y a des exceptions, mais comme partout et surtout, pas tout le temps.
Tous les autres ont un QI tellement supérieur aux canons de l’ékole-publique pour leur âge, que forcément, il ne faut pas leur en vouloir s’ils sont nuls : C’est tout simplement qu’ils s’ennuient, tous les parents (d’élite) vous l’affirmeront !
C’est vrai quoi, on se demande même pourquoi on leur refuse si obstinément à ne pas les faire sauter de classe et commencer sur le coup des 12/13 ans à les former directement en hypokhâgne, enfin quoi, tellement ça saute aux yeux…
 
Ceci dit, cette année elle a une classe… « d’élite » (9/10 ans), où elle tente d’inculquer quelques notions d’orthographe, de grammaire et de calcul : Mission pas aisée…
Naturellement, il y la minorité visible (le fils du chauffeur d’élite de l’ambassade d’à-côté) ; la fille du chinois d’élite qui tient la gargote-pagode d’élite « usine-à-nems » derrière le groupe scolaire ; la fille de la concierge du HLM d’élite planqué dans son ghetto, qui remplit le quota des 20 % de logements sociaux qui fera comme maman, prix de beauté d’élite d’Andalousie ; Mouloud, le fils de l’ouvrier mécanicien, du garage de limousine d’élite de plus loin, etc.
Tous adorables, et quelques autres encore, le petit gars avec sa kippa, celle avec son tchador, la gamine de la boulangère-pâtissière qui s’habille de façon à faire « leçon d’anatomie sur pattes » à la grille de l’ékole, etc…
Et, notamment, « Marco* » (*le nom a été changé…) dont le père annone le francilien-natif, mais fait ingénieur informaticien-pilier-de-bar d’élite dans le civil à Puteaux et son épouse, l’assistante sociale d’élite à Paris-sur-la-plage, qui a la particularité d’avoir un compte « fesse-book » où elle colle ses selfies en toutes occasions et dans toutes les tenues… déjantées !
Un vrai roman photo permanent !
 
« Marco », il a la particularité de puer, roter et péter, alors qu’il n’est pas chinois (qui pètent, rotent et crachent). Le pôvre gamin doit avoir une alimentation tellement dégueulasse qu’il faudrait faire un signalement à l’assistance-sociale, sauf que bé justement… sa mère fait partie de la grande maison.
C’est le souffre-douleur de la classe, tellement il pue quand il pète.
Pas de sa faute, naturellement…
Mais c’est tellement affreux que même en hiver, il faut ouvrir en grand les fenêtres, au grand dam de la directrice responsable des budgets chauffage.
La directrice d’élite, tout un poème également… Elle a tellement peur de dire des âneries en public qu’elle chuchote en permanence, bras croisés sur la défensive.
Elle ne gueule vraiment que sur les femmes de ménage.
Mais même pas sur le cuistot d’élite qui ne sait toujours pas réchauffer ses plats… d’élite !
Passons.
 
Ceci dit le « Marco » d’élite, ce jour-là, c’est une telle puanteur dans la classe de ma « petite-sœur » qu’après avoir ouvert les fenêtres en grand, faisant râler ses trente élèves (d’élite) parce qu’il faisait froid une fois de plus, qu’elle lui demande d’aller se soulager aux toilettes.
Pas content, humilié le gamin du haut de ses onze ans, parce que pour une fois, oui une seule fois, ce n’est pas lui qui a pété !
Il y va en maugréant bruyamment, frappant le sol du pied après avoir renversé sa chaise dans un mouvement d’humeur, par le porte qui se situe au fond de la classe, et il revient une minute plus tard, campé façon « cow-boy », jambes écartées-fléchies, bavant d’écume de rage-aux-lèvres, les deux mains, bras tendus, avec un flingue en hurlant : « Je vais tous vous buter ! »
 
Hurlements de la marmaille affolée, panique à bord, à bâbord, à tribord, certains gamins se mettent à l’abri sous leur table, d’autre enjambent la fenêtre, la plupart refluent dans le désordre vers ma « petite-sœur » qui se tient à l’autre bout de la classe.
« Bé tu ne le croiras pas, mais là je me suis vue à la place de Papa quand il s’est fait tuer ! »
Oui, on a une histoire commune (et paternelle) compliquée à cause d’un voisin « du village » belliqueux qui ne souffrait pas que l’on puisse passer sous ses fenêtres.
Un habitué : Il avait fait la même chose à Ajaccio deux ans auparavant, et le même coup l’année précédente au village, tirant sur les voisins affolés… eux aussi.
 
« J’ai vraiment cru que cette fois-ci, c’était pour moi ! »
Et qu’elle allait avoir très mal, pour le coup…
Elle se précipite sur « Marco » qui claque deux détonations assourdissantes dans sa direction et la précipitation, libérant l’odeur de la poudre-cramée !
Elle parvient à le désarmer ne cherchant même pas « là où elle a mal ».
« Je ne sais pas comment j’ai fait pour ne pas lui exploser la tête contre le mur avant de mourir… »
Heureusement pour elle, ce n’était que des balles à blanc…
« Peut-être que parce que tu étais surprise d’être encore en vie », lui propose-je.
Ça doit être ça…
 
Elle l’a maîtrisé au sol avant de se rendre compte qu’elle ne saignait de nulle part.
Là-dessus, panique dans l’ékole, la directrice qui se la ramène et chuchote, pincée comme à son habitude : « Mais qu’est-ce que c’est que tout ce raffut dans votre classe, madame ? »
Classe désertée, comme il se doit, ainsi que toutes les autres, sauf une seule, celle de sa collègue juste derrière la cloison qui arrive à petits-pas et talons-hauts et affirme : « Mais je n’ai rien entendu… »
Salope et morte de trouille oui…
Ses gamins n’avaient pas été longs à comprendre le pourquoi des détonations et les cris résonnant dans tous les couloirs !
 
« Bé t’as de la chance de ne pas être à Sarcelles ou La Courneuve. T’aurais aussi eu les « grands-frères » sur le dos à la sortie ! Et avec du gros calibre pas « à blanc » ! »
Et le gamin, il est interné au moins ?
« Même pas. Pas d’histoire dans les quartiers d’élite : L’académie a été prévenue, mais pas les flics, ni la mairie.
Juste une lettre-circulaire rapide à tous les parents pour dire que la situation est maîtrisée… » sous contrôle grâce au sang-froid de toute l’équipe (d’élite) !
« Bé écoute, tu devrais aller voir ton toubib, te faire arrêter pour stress post-traumatique et bien les emmerder jusqu’aux vacances avec ça.
Au moins, à la rentrée, ta directrice te foutra la paix jusqu’à ta retraite. »
Ah bé non !
 
On est d’élite sacerdotale ou on ne l’est pas…
« Je ne peux pas faire ça à mes gamins ! Non mais tu imagines le traumatisme qu’ils ont subi ! Si en plus je ne suis pas là demain, ils vont croire des choses et en rester meurtris à vie… Non vraiment, je ne peux pas faire ça ! »
Hein, elle n’est pas merveilleuse, ma petite-sœur ?
 
Pour ma part, j’aurai demandé l’exclusion du « Marco », mais comme il est déjà exclu de partout…
À moins qu’il n’arrive à l’ékole que menotté dans le dos et que je puisse lui exploser la tête si l’ouvre. Mais comme c’est déjà un élève d’élite…
Quant à tous les autres, puisqu’ils sont d’élite eux aussi, ils sont déjà foutus pour la Nation, alors un peu plus ou un peu moins…
« Et les parents ? J’espère au moins qu’ils vont déménager de honte dans l’urgence, hors de l’espace Schengen… »
Bé ils ont seulement été convoqués.
Et c’est comme ça que ma petite-sœur aura appris au moins deux choses.
Un : Les devoirs dégueulasses, bourrés de faute et de contresens, même qu’elle avait du mal à mettre une moyenne potable à la copie, en fait elle corrigeait le travail du père ou de la mère… d’élite !
Deux : Le revolver, c’était bien un colt 44 de collection, un cadeau du grand-père, celui qui faisait CRS d’élite à une autre époque et qui avait fait le pari avec son petit-fils qu’il ne serait pas capable de l’emmener à l’ékole…
 
Naturellement, pas un mot d’excuse de la part des parents (ils sont de « l’élite » supérieure-plus-plus…), juste un torchon du gamin le lendemain (bourré de fautes sur un unique paragraphe) où il demande « pardon ».
Vous le savez, pour moâ, le pardon, c’est de la compétence exclusive de notre Créateur et jamais je n’irai empiéter sur ses platebandes.
Bé ma « petite-sœur », elle fait lire son torchon par « Marco » sur son estrade de prof’ et voilà l’extraordinaire de l’histoire, un puis deux, puis quatre et jusqu’à un tiers de la classe se lève à tour de rôle pour lui dire « Je te donne mon pardon ! »
Unique…
Merveilleux !
Elle n’est pas fabuleuse la vie des profs’ des ékoles d’élite du pays !
 
Moâ, j’adore ce pays, même s’il me rend si mal : C’est comme ça qu’ils ont collectivement assumé d’eux-mêmes leur stress post-traumatique, loin des fripouilles qui vous gouvernent, servis par toute une hiérarchie du célèbre « pas de scandale ! »
Et depuis, je ne m’étonne plus qu’on flingue au Texas pour des broutilles.
Juste pour se venger d’une « humiliation » subie, ou une autre ânerie du même type…
C’est un peu comme cette histoire récente et débile de ces trois mecs jugés pour avoir salement amoché deux péquenauds qui passaient par là et leur avait parlé de la « petite-bitte » (de béton) qui empêchait le passage.
Les tarés ont compris qu’on les insultait dans leurs attributs virils…
 
Naturellement, vous n’entendrez jamais parler de cette histoire-là parfaitement authentique : Ce n’était pas une ékole feuj ou musulmane…
Simplement, l’ékole laïque de la République qui reste exemplaire en toutes circonstances même les plus « torrides » !

En revanche, plus fameux encore, cette petite information fournie par « ma petite-sœur » après coup :
http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/saint-denis-un-adolescent-interpell%c3%a9-apr%c3%a8s-lagression-dune-enseignante-avec-une-arme-factice/ar-BBVT1c5?li=BBoJIji&ocid=mailsignoutmd
Deux poids, deux mesures, n’est-ce pas. Dans vos « no-go-zones », on embastille même quand il s’agit d’une arme factice.
Dans les « quartier d’élite », on ne fait pas de scandale, même quand il s’agit d’une véritable arme chargée heureusement à blanc…
Parfois, on se demande où que c’est qu’on vit, tout de même…
Deux poids, deux mesures, ça on savait, mais je n’ai tout de même pas bien compris la logique de vos « élites », là…

Bonne fin de journée à toutes et à tous tout de même !

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PS : Ma "petite-sœur" ne manque pas d'humour : Photo récente d'une de ses collègues !

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