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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 26 avril 2019

On n’arrête pas le progrès

Jean-Marc en témoigne
 
Il est à la gare du Nord pour prendre son train direction Bruxelles et s’arrête devant une machines à sous qui donne des renseignements sur un papier.
Il met une pièce, monte sur la machine et lit sur le papier : « Vous vous appelez Jean-Marc, vous mesurez 1,80 m, vous pesez 105 kg, vous avez 53 ans et vous devez prendre le train de 9 h 47.
Étonné, il s’exclame : « Tout est juste ! »
Une jeune-femme qui regardait faire Jean-Marc se présente à son tour, monte sur la machine et introduit une pièce.
Le papier sort et on peut y lire : « Vous vous appelez Julie, vous êtes étudiante, vous mesurez 1,65 m, vous pesez 60 kg et vous devez prendre le train de 10 h 21 pour rentrer chez vous à Lille pour le week-end ».
Tous les deux surpris et à l’initiative de Jean-Marc, ils échangent leur manteaux, leur lunettes et bagage avant d’essayer de nouveau.
Jean-Marc monte sur la machine, remet une pièce et lit sur le papier : « Vous vous appelez toujours Jean-Marc, vous mesurez toujours 1,80 m, vous pesez toujours 105 kg et vous avez toujours 53 ans mais si vous continuez à faire l’imbécile, vous allez rater le train de 9 h 47 ! »
 
« Depuis six mois », raconte Jean-Paul, « je mange du poisson pour fortifier ma mémoire.
– Et ça marche ?
– Oh oui ! Formidable !
– Tu en manges combien par jour » lui demande Jean-Marc ?
« Heu… quatre… ou non… deux…. ou peut-être trois, je ne m’en souviens plus. »
 
Germaine, l’épouse de Jean-Marc, obsédée par le désir de vivre très vieux, consulte son médecin.
« – C’est simple », lui dit celui-ci, « plus d’alcool, ne faites plus l’amour, dormez 12 heures par jour, ne fumez plus et devenez végétarienne.
– Avec tout ça, je vivrai plus longtemps ?
– Je ne sais pas, mais le temps va vous sembler beaucoup plus long… »
 
Ceci est l’histoire de Jean-Marc heureusement marié depuis des années à Germaine.
La seule friction nuisant à leur bonheur était l’habitude du mari de péter fort, comme une mitraillette, chaque matin à son réveil.
Le bruit réveille sa femme, des larmes lui montent aux yeux et la senteur l’empêche de respirer.
Chaque matin elle le supplie d’arrêter d’agir ainsi car cela la rendait malade.
Il lui dit qu’il ne pouvait arrêter et que c’est parfaitement naturel de péter.
Elle lui recommande d’aller voir un médecin.
Elle s’inquiète et a peur qu’un jour il finisse par se vider les entrailles.
Les années ont passé et il continuait ses pets à répétition.
Un jour, comme elle préparait une dinde pour le souper et qu’il dormait profondément à l’étage, elle a vu le bol où elle avait déposé les entrailles de la bestiole (gésier, foie, rognons, etc.) et le cou ainsi que tous les morceaux en trop, elle a une pensée malicieuse.
Elle prend le bol et est montée dans la chambre où Jean-Marc dormait déjà à poings fermés et, écartant tout doucement les couvertures, elle tire sur la bande élastique de son sous-vêtement et vide le bol contenant les entrailles de la dinde dans son caleçon.
Au matin suivant, elle entend Jean-Marc se réveiller avec son bruit de trompette habituel lequel est immédiatement suivi d’un cri strident et d’une course effrénée à la salle de bain.
Germaine peut à peine se contrôler et elle se roule de rire sur le plancher, les larmes aux yeux !
Après des années de torture, elle est convaincue qu’elle l’avait bien eu !
Environ 20 minutes après, Jean-Marc revient, le caleçon taché de sang et le visage rempli d’horreur.
Se mordant la lèvre, elle lui demande ce qui s’est passé.
Il lui répond alors : « Chérie, t’avais raison. Toutes ces années tu m’avais prévenu et je ne t’ai pas écoutée. »
« Qu’est-ce que tu veux dire ? » lui demande Germaine.
« Ben, tu m’as toujours dit qu’un jour je finirais par me vider les entrailles en pétant comme ça ! Et aujourd’hui c’est finalement arrivé !
Mais, une chance du Bon Dieu, avec de la vaseline et mes 2 doigts, je pense avoir remis le tout en place. »
 
Le soir d’Halloween, un petit garçon habillé en costard cravate frappe à la porte d’une maison.
Jean-Marc lui demande alors :
« – Mais en quoi es-tu déguisé petit ?
– En Monsieur de l’Impôt. »
Et il est parti avec 45 % des bonbons sans dire merci !
 
Ma secrétaire anglophone, téléphone à la secrétaire unilingue francophone de mon patron.
Les deux ont l’habitude de travailler ensemble par textos et courriels, mais chacune chez soi.
Et ça donne ce jour-là où le haut-parleur était ouvert :
« – Is Mr Durand there ?
– Non il n’est pas là.
– Is he gone ?
– Y zigonne pas, y é pas là ! »
 
C’est une petite fille qui a ses règles pour la première fois.
Elle court voir sa mère en pleurant :
« Maman… je saigne ! »
Sa mère est très occupée sur le moment et elle lui dit :
« Ce n’est rien, monte dans ta chambre et je viens te voir dans cinq minutes. »
La petite fille grimpe les escaliers en pleurant et croise son petit frère qui lui dit :
« – Pourquoi tu pleures ?
– Je saigne et maman m’a dit que ce n’était pas grave !
– Montre-moi où tu saignes. »
La petite fille relève sa robe pour montrer à son frère qui lui dit alors :
« Mais elle est folle maman de t’avoir dit que ce n’était pas grave…
C’est super grave ce qui t’arrive, tu t’es arraché les couilles ! »
 
Les problèmes de grammaire qui embrouillent l’esprit (relevé par Jean-Marc) :
 
« Pourquoi, dès que c’est UNE galère, c’est tout de suite au FÉMININ ?
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c’est pour vous les FEMMES !
Nous, c’est LE soleil, LE beau temps, LE printemps, LE paradis !
Vous, vous n’avez vraiment pas de chance : LA vaisselle, LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA saleté, LA balayeuse.
Nous, c’est LE café dans LE fauteuil avec LE journal en regardant LE foot et ça pourrait être LE bonheur si vous ne veniez pas semer LA discorde et LA chicane.
Pour retrouver LE calme, je crois que nous devrions laisser LE genre décider.
Vous pouvez regarder LA télé, mais nous choisissons LE poste.
Même si LA télécommande vous appartient, nous avons LE contrôle sur Le téléviseur.
Mais ne voyez aucun sexisme là-dedans, oh non !
D’ailleurs, entre parenthèses je vous signale que LE mot sexe n’a pas de FÉMININ.
On ne dit pas LA sexe mais bien LE sexe d’une FEMME.
Par définition, LE plaisir est donc pour les HOMMES.
Car si les préliminaires sont rapides, c’est qu’ils ne sont qu’UN préliminaire.
Plus que ça, c’est UNE perte de temps.
Après avoir obtenu UN orgasme, les HOMMES se retournent pour trouver LE sommeil pendant que les FEMMES vivent UNE frustration.
D’ailleurs dès que c’est sérieux, comme par hasard, c’est tout de suite au MASCULIN comme LE mariage.
On dit aussi UNE rivière, UNE marre d’eau mais on dit UN fleuve, UN océan.
On dit UNE trottinette, mais UN avion à réaction !
Et quand il y a UN problème dans UN avion, c’est tout de suite UNE catastrophe. C’est toujours la faute d’UNE erreur de pilotage, d’UNE panne d’essence, d’UNE mauvaise visibilité, bref toujours à cause d’UNE connerie.
Et alors là, attention mesdames, dès que LA connerie est faite par UN homme ça ne s’appelle plus UNE connerie, ça s’appelle UN impondérable.
Enfin, moi, si j’étais vous les FEMMES, je ferais UNE pétition.
Et il faut faire très vite par ce que votre situation s’aggrave de jour en jour.
Y’a pas si longtemps, vous aviez LA logique, LA bonne vieille logique FÉMININE.
Ça ne nous a pas plu, nous les HOMMES et nous avons inventé LE logiciel.
Mais vous avez quand même quelquefois des petits avantages : Si nous avons LE mariage, LE divorce, vous avez LA pension, LA maison.
Vous avez LA carte de crédit, nous avons LE découvert.
Mais en général, LE type qui a inventé LA langue française ne vous aimait pas beaucoup… »
 
Hier, à l’école, le professeur a fait un tour de classe pour demander aux élèves la profession ou le métier de leur père.
Après une série de réponses classiques où on énumère différents métiers et professions, le professeur s’approche d’un élève…
« – Et toi, Jean-Éric, quel est le travail de ton papa ?
– Heu… Ben…
– Allez, qu’est-ce qu’il fait ton père ?
– Ben, c’est un danseur…
– Danseur, c’est ça, il fait des strip-teases dans un bar gay et, certains jours, il travaille dans des box privés.
– Merci, merci », dit le professeur embêté qui poursuit sa petite enquête.
Quand tous les élèves sortent pour la récréation, il prend le petit Jean-Éric, fils de Jean-Marc, par le bras…
« – Attends un peu, je dois te parler.
– Oui, Monsieur.
– Dis-moi, est-ce que ton père est vraiment danseur dans un bar gay ?
– Non.
– Non ! Pourquoi tu as dit cela devant la classe ?
– Ben…
– Ben quoi ? Pour te moquer de nous ?
– Non m’sieur…
– Alors ?
– Ben c’est que mon père est un collecteur de fonds pour le parti Présidentiel !
Je ne peux pas dire ça comme ça à tout le monde sans devenir la risée de la classe pour le reste de l’année… »
 
Éric et Antonio se marient mais ils n’ont pas les moyens de s’offrir une lune de miel, alors ils retournent chez les parents de Patrick pour leur première nuit ensemble…
Le matin, « Titi », le petit frère d’Éric, se lève et prend son petit déjeuner.
Il est prêt à partir pour l’école et il demande à sa maman si Éric et Antonio sont déjà debout.
Elle répond non.
Titi demande :
« – Tu sais ce que je pense ?
– Je ne veux pas entendre à quoi tu penses ! Allez, file à l’école ! »
Titi revient à la maison pour le déjeuner et demande à sa maman :
« Éric et Antonio sont déjà debout ? »
Elle répond que non.
Et Titi de rajouter :
« – Tu sais ce que je pense ?
– Je m'en fous de ce que tu penses ! Finis ton déjeuner et retourne à l’école. »
Après l’école, Titi revient à la maison et demande encore une fois :
« Éric et Antonio sont-ils déjà debout ? »
Elle répond que NON !
Et Titi de rajouter :
« – Tu sais ce que je pense ?
– BON ! Alors, dis-moi à quoi tu penses !
– Ben, la nuit dernière Éric est venu dans ma chambre pour prendre de la vaseline et je pense que je lui ai donné la colle pour mes maquettes d’avion. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas « mon Gardien »

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L'ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne devrait pas exister...

Bibliothèque de "mon Gardien"

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Première reprise

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Humour Kameulf



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