Jean-Marc
en témoigne
Il est à la gare du Nord pour prendre son train direction Bruxelles et
s’arrête devant une machines à sous qui donne des renseignements sur un papier.
Il met une pièce, monte sur la machine et lit sur le papier : « Vous
vous appelez Jean-Marc, vous mesurez
1,80 m, vous pesez 105 kg, vous avez 53 ans et vous devez prendre le train de 9
h 47.
Étonné, il s’exclame : « Tout est juste ! »
Une jeune-femme qui regardait faire Jean-Marc se présente à son tour,
monte sur la machine et introduit une pièce.
Le papier sort et on peut y lire : « Vous vous appelez Julie, vous êtes étudiante, vous mesurez 1,65 m, vous
pesez 60 kg et vous devez prendre le train de 10 h 21 pour rentrer chez vous à
Lille pour le week-end ».
Tous les deux surpris et à l’initiative de Jean-Marc, ils échangent leur
manteaux, leur lunettes et bagage avant d’essayer de nouveau.
Jean-Marc monte sur la machine, remet une pièce et lit sur le papier : « Vous vous appelez toujours Jean-Marc, vous
mesurez toujours 1,80 m, vous pesez toujours 105 kg et vous avez toujours 53
ans mais si vous continuez à faire l’imbécile, vous allez rater le train de 9 h
47 ! »
« Depuis six mois »,
raconte Jean-Paul, « je mange du
poisson pour fortifier ma mémoire.
– Et ça marche ?
– Oh oui ! Formidable
!
– Tu en manges combien
par jour » lui demande Jean-Marc ?
« Heu… quatre… ou non… deux…. ou
peut-être trois, je ne m’en souviens plus. »
Germaine, l’épouse de Jean-Marc,
obsédée par le désir de vivre très vieux, consulte son médecin.
« – C’est simple »,
lui dit celui-ci, « plus d’alcool,
ne faites plus l’amour, dormez 12 heures par jour, ne fumez plus et devenez
végétarienne.
– Avec tout ça, je vivrai
plus longtemps ?
– Je ne sais pas, mais le
temps va vous sembler beaucoup plus long… »
Ceci est l’histoire de Jean-Marc
heureusement marié depuis des années à Germaine.
La seule friction nuisant à leur bonheur était l’habitude du mari de péter
fort, comme une mitraillette, chaque matin à son réveil.
Le bruit réveille sa femme, des larmes lui montent aux yeux et la senteur
l’empêche de respirer.
Chaque matin elle le supplie d’arrêter d’agir ainsi car cela la rendait
malade.
Il lui dit qu’il ne pouvait arrêter et que c’est parfaitement naturel de
péter.
Elle lui recommande d’aller voir un médecin.
Elle s’inquiète et a peur qu’un jour il finisse par se vider les
entrailles.
Les années ont passé et il continuait ses pets à répétition.
Un jour, comme elle préparait une dinde pour le souper et qu’il dormait
profondément à l’étage, elle a vu le bol où elle avait déposé les entrailles de
la bestiole (gésier, foie, rognons, etc.) et le cou ainsi que tous les morceaux
en trop, elle a une pensée malicieuse.
Elle prend le bol et est montée dans la chambre où Jean-Marc dormait déjà à
poings fermés et, écartant tout doucement les couvertures, elle tire sur la
bande élastique de son sous-vêtement et vide le bol contenant les entrailles de
la dinde dans son caleçon.
Au matin suivant, elle entend Jean-Marc se réveiller avec son bruit de
trompette habituel lequel est immédiatement suivi d’un cri strident et d’une
course effrénée à la salle de bain.
Germaine peut à peine se contrôler et elle se roule de rire sur le
plancher, les larmes aux yeux !
Après des années de torture, elle est convaincue qu’elle l’avait bien eu !
Environ 20 minutes après, Jean-Marc revient, le caleçon taché de sang et
le visage rempli d’horreur.
Se mordant la lèvre, elle lui demande ce qui s’est passé.
Il lui répond alors : « Chérie,
t’avais raison. Toutes ces années tu m’avais prévenu et je ne t’ai pas écoutée.
»
« Qu’est-ce que tu veux dire ? »
lui demande Germaine.
« Ben, tu m’as toujours dit
qu’un jour je finirais par me vider les entrailles en pétant comme ça ! Et
aujourd’hui c’est finalement arrivé !
Mais, une chance du Bon
Dieu, avec de la vaseline et mes 2 doigts, je pense avoir remis le tout en
place. »
Le soir d’Halloween, un petit garçon habillé en costard cravate frappe à
la porte d’une maison.
Jean-Marc lui demande alors :
« – Mais en quoi es-tu déguisé
petit ?
– En Monsieur de l’Impôt. »
Et il est parti avec 45 % des bonbons sans dire merci !
Ma secrétaire anglophone, téléphone à la secrétaire unilingue francophone de
mon patron.
Les deux ont l’habitude de travailler ensemble par textos et courriels,
mais chacune chez soi.
Et ça donne ce jour-là où le haut-parleur était ouvert :
« – Is Mr Durand there ?
– Non il n’est pas là.
– Is he gone ?
– Y zigonne pas, y é pas
là ! »
C’est une petite fille qui a ses règles pour la première fois.
Elle court voir sa mère en pleurant :
« Maman… je saigne ! »
Sa mère est très occupée sur le moment et elle lui dit :
« Ce n’est rien, monte dans ta
chambre et je viens te voir dans cinq minutes. »
La petite fille grimpe les escaliers en pleurant et croise son petit
frère qui lui dit :
« – Pourquoi tu pleures ?
– Je saigne et maman m’a
dit que ce n’était pas grave !
– Montre-moi où tu
saignes. »
La petite fille relève sa robe pour montrer à son frère qui lui dit alors :
« Mais elle est folle maman de
t’avoir dit que ce n’était pas grave…
C’est super grave ce qui
t’arrive, tu t’es arraché les couilles ! »
Les problèmes de grammaire qui embrouillent l’esprit (relevé par Jean-Marc) :
« Pourquoi, dès que c’est UNE
galère, c’est tout de suite au FÉMININ ?
LA pluie, LA neige, LA
grêle, LA tempête, tout ça, c’est pour vous les FEMMES !
Nous, c’est LE soleil, LE
beau temps, LE printemps, LE paradis !
Vous, vous n’avez
vraiment pas de chance : LA vaisselle, LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA
saleté, LA balayeuse.
Nous, c’est LE café dans
LE fauteuil avec LE journal en regardant LE foot et ça pourrait être LE bonheur
si vous ne veniez pas semer LA discorde et LA chicane.
Pour retrouver LE calme,
je crois que nous devrions laisser LE genre décider.
Vous pouvez regarder LA
télé, mais nous choisissons LE poste.
Même si LA télécommande
vous appartient, nous avons LE contrôle sur Le téléviseur.
Mais ne voyez aucun
sexisme là-dedans, oh non !
D’ailleurs, entre
parenthèses je vous signale que LE mot sexe n’a pas de FÉMININ.
On ne dit pas LA sexe
mais bien LE sexe d’une FEMME.
Par définition, LE
plaisir est donc pour les HOMMES.
Car si les préliminaires
sont rapides, c’est qu’ils ne sont qu’UN préliminaire.
Plus que ça, c’est UNE
perte de temps.
Après avoir obtenu UN
orgasme, les HOMMES se retournent pour trouver LE sommeil pendant que les
FEMMES vivent UNE frustration.
D’ailleurs dès que c’est
sérieux, comme par hasard, c’est tout de suite au MASCULIN comme LE mariage.
On dit aussi UNE rivière,
UNE marre d’eau mais on dit UN fleuve, UN océan.
On dit UNE trottinette,
mais UN avion à réaction !
Et quand il y a UN
problème dans UN avion, c’est tout de suite UNE catastrophe. C’est toujours la
faute d’UNE erreur de pilotage, d’UNE panne d’essence, d’UNE mauvaise
visibilité, bref toujours à cause d’UNE connerie.
Et alors là, attention
mesdames, dès que LA connerie est faite par UN homme ça ne s’appelle plus UNE
connerie, ça s’appelle UN impondérable.
Enfin, moi, si j’étais
vous les FEMMES, je ferais UNE pétition.
Et il faut faire très
vite par ce que votre situation s’aggrave de jour en jour.
Y’a pas si longtemps,
vous aviez LA logique, LA bonne vieille logique FÉMININE.
Ça ne nous a pas plu,
nous les HOMMES et nous avons inventé LE logiciel.
Mais vous avez quand même
quelquefois des petits avantages : Si nous avons LE mariage, LE divorce, vous
avez LA pension, LA maison.
Vous avez LA carte de
crédit, nous avons LE découvert.
Mais en général, LE type
qui a inventé LA langue française ne vous aimait pas beaucoup… »
Hier, à l’école, le professeur a fait un tour de classe pour demander aux
élèves la profession ou le métier de leur père.
Après une série de réponses classiques où on énumère différents métiers et
professions, le professeur s’approche d’un élève…
« – Et toi, Jean-Éric, quel est le travail de ton
papa ?
– Heu… Ben…
– Allez, qu’est-ce qu’il
fait ton père ?
– Ben, c’est un danseur…
– Danseur, c’est ça, il
fait des strip-teases dans un bar gay et, certains jours, il travaille dans des
box privés.
– Merci, merci », dit le professeur embêté qui
poursuit sa petite enquête.
Quand tous les élèves sortent pour la récréation, il prend le petit Jean-Éric,
fils de Jean-Marc, par le bras…
« – Attends un peu, je dois te
parler.
– Oui, Monsieur.
– Dis-moi, est-ce que ton
père est vraiment danseur dans un bar gay ?
– Non.
– Non ! Pourquoi tu as dit
cela devant la classe ?
– Ben…
– Ben quoi ? Pour te
moquer de nous ?
– Non m’sieur…
– Alors ?
– Ben c’est que mon père
est un collecteur de fonds pour le parti Présidentiel !
Je ne peux pas dire ça
comme ça à tout le monde sans devenir la risée de la classe pour le reste de
l’année… »
Éric et Antonio se marient mais ils n’ont pas les moyens de s’offrir une
lune de miel, alors ils retournent chez les parents de Patrick pour leur
première nuit ensemble…
Le matin, « Titi », le petit frère d’Éric, se lève et prend son
petit déjeuner.
Il est prêt à partir pour l’école et il demande à sa maman si Éric et Antonio
sont déjà debout.
Elle répond non.
Titi demande :
« – Tu sais ce que je pense ?
– Je ne veux pas entendre
à quoi tu penses ! Allez, file à l’école ! »
Titi revient à la maison pour le déjeuner et demande à sa maman :
« Éric et Antonio sont déjà
debout ? »
Elle répond que non.
Et Titi de rajouter :
« – Tu sais ce que je pense ?
– Je m'en fous de ce que
tu penses ! Finis ton déjeuner et retourne à l’école. »
Après l’école, Titi revient à la maison et demande encore une fois :
« Éric et Antonio sont-ils
déjà debout ? »
Elle répond que NON !
Et Titi de rajouter :
« – Tu sais ce que je pense ?
– BON ! Alors, dis-moi à
quoi tu penses !
– Ben, la nuit dernière Éric
est venu dans ma chambre pour prendre de la vaseline et je pense que je lui ai
donné la colle pour mes maquettes d’avion. »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS :
N’oubliez pas « mon Gardien »
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