Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 12 avril 2019

Cuvée 2018/2019

Prix d’humour politique
 
Pour rappel, voici le palmarès de ces cinq dernières années :
 
Grand prix 2017 : « Tagada-à-la-fraise-des-bois » pour ses « hollanderies », avec notamment : « Aujourd’hui, je suis à deux doigts d’être aimé ! ».
Ou encore : « Toutes les décisions que je prends, je les prends seul avec moi-même, dans un dialogue singulier ».
On ne peut mieux dire…
 
Grand prix 2016 : « Pruneau-le-Mer », pour sa phrase mémorable : « Mon intelligence est un obstacle. »
 
Grand prix 2015 : « Bling-bling » pour sa phrase : « Pour désespérer de François Bayrou encore faudrait-il que j’aie un jour placé de l’espoir en lui. »
 
Grand prix 2014 : « Al-Hun Juppette », pour son intime conviction : « En politique on n’est jamais fini ; regardez-moi… »
 
Grand prix 2013 : « Gégé-Longue-Haie », pour cette réplique : « Hollande est pour le mariage pour tous… sauf pour lui. »
 
Auront été-t-ils meilleurs cette année ?
Pas vraiment.
 
Vous aviez plusieurs choix entre :
Le « Premier sinistre » « Éd.Fil-Lippe », le « sinistre de l’Intérieur » « Cricri-Castagneur », l’ex-porte-la-parole du gouvernement, « Ben-Jasmin-Gris-Veaux », « Riton-Chiotti » et « Ségololo »…
Et au-delà du « grand prix », plusieurs catégories auront été à l'honneur, comme les traditionnelles « hollanderies » formulées par votre « ex-Capitaine-de-pédalo » :
« Emmanuel Macron, j’aurais pu le battre mais je n’ai pas voulu », avait notamment déclaré « Gras-Nul-Laid » le 10 avril 2018 sur France 2.
Ou « Il vaut mieux une cravate de travers et une pensée droite que le contraire ! » (C8, le 13 juin 2018).
Voire encore : « Vous dites, et vous n’avez pas tort, que les jeunes ne m’ont pas manifesté un soutien massif. Les autres non plus, d’ailleurs » (7 juin 2018, lors d’une conférence sur son bilan devant la Fondation Jean-Jaurès).
Et alors, la meilleure à mon goût, c’est quand on lui a demandé s’il regardait la série politique « House of cards », il a répondu : « Bien sûr ! Que croyez-vous que j’ai fait pendant cinq ans ? » (3 avril 2018, à l’Université de Cergy-Pontoise).
On ne peut guère faire mieux pour résumer un quinquennat pitoyable !
 
Cette année a été introduite une nouvelle catégorie : « La plus belle flagornerie en macronie ». Ce n’était pas indispensable, mais c’était bienvenu.
D’autant qu’il n’y avait qu’un seul et unique impétrant, « l’ex-sinistre » « Nanar-Couche-Nerf » pour sa saillie : « Macron est une fierté pour le monde. » (4 mai 2018 dans Marianne).
Si !
Compétition en manque de concurrents…
Il faut dire là, l’ex-médecin-mondial, ex-sinistre « soce » et « d’ouverture » de « Bling-bling » mettait la barre vraiment très haute !
 
En bref, vous connaissez déjà le résultat développé partout dans la presse-aux-ordres !
Pour cette édition 2018-2019, c’est votre « Premier sinistre » qui emporte la palme, les honneurs et mes sincères félicitations pour sa réplique : « Non, seulement les emmerdes », lorsqu’un journaliste lui demandait si tout remontait jusqu’à Matignon.
 
Le Prix spécial est quant à lui attribué à « Gilou-Le-Beau-Fils », Président du groupe « LREM-même-pas-en-rêve » à l’Assemblée à propos des mesures sur le pouvoir d’achat : « Nous avons probablement été trop intelligents, trop subtils ».
 
Le sénateur LR « Pruneau-Retaille-l’eau » a reçu le Prix du Jury pour son : « Si Wauquiez ne parvient pas à se montrer aussi intelligent qu’il l'est, il n’y arrivera pas ».
 
D’autres prix plus secondaires ont également été attribués dans la foulée.
Les Prix de l’encouragement sont attribués ex-æquo à « Ben-Jasmin-Gris-Veaux », à l’époque porte-parole du Gouvernement, où il aura sorti, après l’intrusion des « gilets jaunes » dans son ministère : « On a eu un début d’année assez rock’n’roll ; moi j’ai eu une journée porte ouverte ».
Bien vu !
Et à l’eurodéputé « soce », « Manu-Mord-Aile » à propos du patron de son parti : « Pour savoir où est Olivier Faure, suivez les sifflets ».
Bien vu tout également…
 
Le Prix du lapsus est naturellement attribué à « Âne-gnesse-Buzz-in », « sinistre des solidarités et de la santé » en exercice, gagné et de très loin quand, prenant la parole à l’Assemblée lors d’une séance des questions au gouvernement, elle commence par soigner sa popularité avec son célèbre : « Monsieur le Président, mesdames et messieurs les retraités… » !
 
Le Prix du tweet a été décerné à « Gilou-Broyer », conseiller auprès du « Premier sinistre » pour son brillant éclair d’intelligence-en-marche (en 140 caractères) : « Pour exclure il faut le quorum. Pour avoir le quorum il faut arrêter d’exclure ».
 
Le Prix du Jeu de « Miot » (en hommage à Jean Miot, créateur du Prix) est attribué à « Riton-Chiotti », député des Alpes-Maritimes, interpellant le « Premier sinistre » sur la démission refusée (une première fois) de « Gégé-Colombe » : « Nous avons un ministre de l’Intérieur qui est déjà à l’extérieur ».
 
Enfin le Prix de l’amour en politique est attribué à « Cricri-Castagneur » à l’époque où il n’était que secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, parlant de « Jupiter » : « Tout en lui est fascinant, son parcours, son intelligence, sa vivacité et même sa puissance physique ».
Il a dû en tâter pour se prendre une baffe et il ne nous l’a pas dit…
 
Personnellement je regrette que « Jupiter » n’ait pas été pris en considération par ce jury, car il en fait des pas mal.
Comme :
« Je suis maoïste, (…) un bon programme c’est ce qui marche. »
Ou :
« Le libéralisme est une valeur de gauche. »
Bon, d’accord, ça ne fait rire personne…
On aura pourtant pu « en rire » avec son : « Y’a qu’a traverser la rue » (pour trouver du boulot) !
 
Il a pourtant un vocabulaire… étendu comme par exemple l’emploi des mots « Croquignolesque », « poudre de perlimpinpin », « in petto » ou « captatio benevolentiae »…
Voire encore : « Arrêtez de me raconter des craques » ;
« Le carburant, c’est pas bibi » (et il ne parle pas de son épouse légitime, là) ;
« On m’a pris pour un fada quand je suis allé contre le système politique en place » ;
« Continuez votre antienne Madame Le Pen, vous n’avez que cela à la bouche » ;
« Ceux qui leur avaient dit de voter le Brexit se sont tiré les flûtes » ;
« Je ne céderai pas à un irénisme naïf » ;
« Il ne faut pas raconter de carabistouilles à nos concitoyens » ;
« Cessez d’emmerder les français » ;
« Ça coûte un pognon de dingue ! »
« Pacta sunt servanda »…
On sent quand même le type qui « a des lettres » !
 
Certains en disent qu’il s’agit de « macronades » (jupitériennes), alors que d’autres soulignent qu’il s’agit des signes d’une « pensée complexe » (jupitérienne…).
Mais si…
On retiendra pour notre part que « Jupiter » remet au goût du jour la richesse de la langue « francilienne-native » et « normée » par l’académie des belles lettres de « Gauloisie-poétique-&-littéraire ».
Je reconnais toutefois que ce n’est pas nécessairement très drôle…
Conclusion : Peut mieux faire !
 
Bon week-end tout de même à toutes et à tous !
 
I3


PS : Pensez-y :


Ma bibliothèque (1)
Ma bibilothèque (1)
L'ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne devrait pas exister...


Bibliothèque de "mon Gardien"

Bibliothèque de "mon Gardien"
Première reprise


Bibliothèque de "mon Gardien" (2)

Bibliothèque de "mon Gardien" (2)
Humour Kameulf

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire