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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 24 avril 2019

Ce sont vraiment des grands malades

Un gag : Les élections européennes au Royaume-Uni !
 
C’est clair : Ils se cassent à Halloween, dernier délai. Avec ou sans accord : Il ne devrait pas y avoir de « resucée ». Il faut dire que ça a déjà bien trop duré.
Mais pour éviter de faire leurs bagages dès 1er juin, ce que je pensais il y a encore peu (mais on a le droit de se tromper, surtout avec eux…), les Britanniques vont participer aux élections européennes…
Si !
Et déjà, c’est une drôle de campagne électorale qui se prépare outre-Manche…
Partisans et adversaires du « Brexit » sont en fait partagés entre le rire et le désespoir à la perspective de participer aux élections européennes, fixées dans le royaume au jeudi 23 mai.
 
Certes, « Théière-Mais » espère encore une ratification par les députés de son accord scellé entre Londres et Bruxelles avant la date butoir du 22 mai. Mais il y a peu d’espoir : Il a déjà été rejeté trois fois aux Communes et les négociations entre le gouvernement conservateur et l’opposition travailliste se déroulent plutôt mal.
On s’oriente vers un « no deal » et la charge de cavalerie-légère des « pro-dealers » en pèse tout l’effarement à coups de chiffres et de prévisions parfois délirantes.
 
Il faut dire qu’ici, à peine la décision du conseil européen connue, les partis se sont préparés à la possibilité de ce scrutin. La sélection des candidats aux 73 sièges dévolus au Royaume-Uni va bon train (elle va être bouclée rapidement pour faire chauffer les rotatives à affiches) et les états-majors préparent déjà les thèmes de la campagne.
Les appels à candidatures se multiplient même si les futurs élus sont conscients qu’ils ne pourront siéger à l’Assemblée européenne qu’au mieux cinq mois.
Cinq mois d’indemnités exonérées, c’est toujours ça de pris sur les budgets…
D’autant que les « nouveaux-élus » européens britanniques pourraient même être contraints de ne pas prendre leur place dans l’hémicycle de Strasbourg si un accord était conclu à Westminster avant le 2 juillet lorsque le nouveau Parlement doit entrer en fonction.
Ubuesque !
Ils vont claquer plus de 100 M£ en bulletins de vote, les uns avec la ferme intention de foutre le bordel à l’Assemblée européenne qui devra désigner ses Commissaires, les autres espérant qu’il n’y aura jamais de « Brexit ».
 
Les formations parent actuellement au plus pressé en reconduisant la majorité des parlementaires européens sortants. Les nouveaux candidats doivent quant à eux être passés au crible pour éliminer les indésirables – islamophobes chez les tories ou antisémites au Labour – sans parler des excentriques et autres illuminés qui foisonnent lors des scrutins britanniques.
Hostiles à ce nouveau report, les « brexiters » purs et durs ont dénoncé le coût de l’organisation du scrutin européen au Royaume-Uni qu’ils jugent totalement inutile. La commission électorale l’a fixé à 100 millions de livres (116 millions d’euros) : On peut comprendre.
Et déjà les premiers sondages…
 
D’habitude, le recours à la proportionnelle, la prééminence du Parlement de Westminster et l’absence de contacts entre les députés européens et leurs électeurs expliquent la faible participation aux élections européennes.
Reste qu’avec la crise du « Brexit », cette consultation devrait permettre un vote sanction contre ceux qui sont tenus responsables de la débâcle, les conservateurs de « Théière-Mais » et les travaillistes de « D’jem-Corps-Bine ».
Les sondages sont très mauvais pour les tories, au pouvoir depuis 2010.
Tout comme pour les travaillistes qui ont refusé de s’engager à soutenir un deuxième référendum.
D’après un sondage, 50 % de l’électorat se détourne aujourd’hui des deux grands partis traditionnels, qui avaient recueilli 83 % des voix lors des dernières élections générales du 8 juin 2017.
Une majorité du public estime clairement que « l’establishment » politique a fait passer les considérations partisanes avant l’intérêt national.
Ce qui n’est pas totalement faux.
 
Et tous les regards sont désormais tournés vers deux nouvelles formations issues de la déroute de la sortie de l’UE : Un parti qui s’appelle lui-même « Brexit », à l’extrême droite, et le groupe des indépendants au centre.
Formé en janvier par « Ni-gel-Barrage, le nouveau « parti Brexit » entend « lancer la contre-offensive pour sauver le départ ».
Rien de moins…
Après la disparition de son ancienne formation « Ukip », phagocytée par les ultras identitaires, « Barrage » reprend le combat…
Dans le climat délétère créé par le « Brexit », l’europhobe convaincu espère répéter le succès des élections européennes de 2014 lorsque « l’Ukip » était devenu le premier parti du pays avec 26,6 % des voix reléguant les tories de « Dave-Camé-Rhône » à la troisième place !
Et il est probable qu’il va y parvenir en raison du fort taux d’abstention qui est anticipé.
Un peu comme en « Gauloisie-démocratique » depuis 2002 qui a pu voir d’abord émerger à la fois le « F-Haine » jusqu’au second tour des présidentielles et a fini par élire « Jupiter » sorti de nulle part, même pas de sa propre cuisse en 2017.
Rappelez-vous les dégâts de l’abstention…
C’est encore « tout chaud », pour une fois.
 
Du côté des « anti-Brexit », le nouveau parti intitulé « Change UK » a toutefois le vent en poupe. Formée par des députés dissidents travaillistes et conservateurs, cette formation centriste et pro-européenne défend la tenue d’un deuxième référendum.
On vous avez prévenus.
Ces « indépendants » espèrent surfer sur les 6 millions de signatures recueillies par la pétition en faveur d’un abandon du « Brexit » et le million de manifestants à Londres le 23 mars en vue de casser l’emprise du bipartisme sur la vie politique britannique.
Comptez là-dessus sur les Écossais et les Irlandais du Nord, le pari peut être gagnant.
Pour un pays censé quitter l’Union européenne, la participation aux élections européennes apparaît comme une absurdité, mais c’est pourtant vécu comme d’un ultime bras de fer.
Du coup, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, les Britanniques se disent tout de même intéressés par le scrutin européen.
Toujours prendre la vie du bon côté…
 
Car partis comme ça, les partis traditionnels de la vie politique Britannique vont se faire laminer au profit de deux formations nouvelles totalement opposées sur l’affaire du « Brexit ».
En fait de un quart à un tiers des sièges pour chacune des deux premières formations citées et le reste, un gros tiers, partagé entre Labour et Tories.
Tout va dépendre du taux d’abstention, partagé entre « bataille du dernier carrée » et « bataille perdue »…
 
La conséquence immédiate en juillet (mais en fait dès la fin mai), ce sera la poussée des « europhobes ».
Qui pourrait regrouper jusqu’à un tiers de l’hémicycle entre la « Gauloisie-ténébreuse » qui ne va pas se remettre de la crise des « Gilets jaune, la GB, les Autrichiens, les « Ritaliens » et beaucoup d’autres jusque chez les « Bataves ».
Ingérable…
C’est de l’intérieur qu’ils vont, sinon détruire, au moins bloquer les prises de décisions importantes : Du pain-béni pour « Vlad-Poux-tine » et « McDo-Trompe » !
Leurs efforts ont fini par payer et ce qu’ils ne savent pas encore, c’est que ce sont les chinois et leur « route de la soie » qui pourraient retirer les marrons du feu.
Moâ, je m’en contre-cogne le tortillard, je ne serai plus là pour voir ça !
Mais je vous avoue que la perspective me fait frémir : Il y a plus urgent à faire en Europe (et je ne parle même pas des « convergences » à faire en matière sociale), comme par exemple trouver des solutions pérennes relatives aux « exilés-climatiques ».
 
« Climatiques », mon œil, mais ce sera le prétexte « acquis », conséquence du bourrage de crâne du GIEC depuis des décennies, pourtant « Prix Nobel de la Paix »… qui prépare la guerre, la vraie jusqu’en Europe qu’il faut ruiner d’une façon ou d’une autre.
Je note pour ma part les « bruissements » autour du drame de l’incendie de Notre-Dame de Paris.
Outre l’étrange balai des « puissances financières » du pays (et même internationales et transnationales) qui abondent pour une reconstruction rapide de la toiture (l’effet JO 2024…), il est des saillies qui ne laissent pas indifférents.
Que n’entend-on pas sur les « tailleurs-de-pierre » et autres corps d’état présents sur le chantier de rénovation, prompts à s’arrêter de bosser pour prier en direction de La Mecque ?
Probablement des « fakes-news », les « compagnons du devoir » ne sont pas à ranger tous dans la catégorie « salafiste-radicalisé », naturellement et loin de là.
Mais tant qu’on n’aura pas mis en évidence l’origine accidentelle de l’incendie, la rumeur va alimenter et pourrir les esprits-rebelles à la Raison et même sans revendication autre que farfelue…
 
Pour ma part, il est des choses qui m’étonnent plus :
Qu’est-ce que viennent foutre depuis 40 ans des « eurodéputés » profondément europhobes ?
Qu’est-ce qui a pris à « Jupiter » de prévoir de faire (et d’éventer) ses annonces un « jour 4 » (c’est de la numérologie) ?
Alors qu’on est dans une année « 3 » (manque de souplesse et d’adaptation, dispersion d’énergies, blocages, à l’aise en société, sens des relations, orgueil, superficialité, créativité, enthousiasme… tout lui, ça !) encore jusqu’à la fin de l’année…
C’est totalement incohérent pour lui, « maître des horloges », à moins que ce soit la peur du désastre qui pointe son nez ici et pour le prochain scrutin.
À suivre !
 
Et puis question « incendie », les britanniques me font remarquer que eux aussi ont vu leur « House of Parlement » et le château des Windsor cramés récemment.
Qu’ils n’en ont pas fait tout un plat.
Et c’est sans compter le gigantesque incendie de toute la ville en septembre 1666. La Cathédrale Saint-Paul avait été très abîmée, mais la Tour de Londres avait été protégée par ses artilleurs qui avaient cramé de la poudre à canon pour faire des contre-feux, le seul moyen à l’époque de stopper la progression d’un incendie.
Et ils me posent la question : « Essaye donc de faire cramer les poutres d’une charpente pluriséculaire avec un chalumeau mal éteint… », à moi dont ils savent que je galère déjà avec un simple barbecue et un briquet.
 
Au « village », nos maisons sont bâties sur des murs de pierre d’un bon mètre d’épaisseur (ça garde la température intérieure), parce qu’il faut qu’ils supportent la masse des charpentes en châtaignier centenaire qui elles-mêmes supportent des toits de larges pierres plates en schiste ou de lauzes d’ardoise…
Ça ne brûle pas, ça se consume.
Et pareillement, ça finit par tomber parce que c’est devenu fragile.
 
Bon d’accord le plomb fondu sous la chaleur dégagée aura pu jouer un rôle de « conservateur » d’énergie calorifique, mais tout de même, c’était sur la fin !
En bref, on n’a pas fini d’en parler, de ça et des « Brexiters » qui se précipitent à Strasbourg.
« En-gèle-la-Mère-Quelle » n’a pas fini de se mordre les doigts d’avoir voulu se montrer généreuse, là où « Théière-Mais » espérait à peine raisonnable d’obtenir trois mois de délai supplémentaire : Mais l’une et l’autre s’en foutent déjà, elles se cassent toutes les deux !

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