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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 24 janvier 2019

Réponses – IV

Ne faisons pas la « fine-bouche ».
 
« Jupiter » pose des questions. C’est qu’il ne sait même plus comment il s’appelle et encore des moins ce qu’il a à faire…
Mais rendons ce service quémandé au pays (celui qui est aussi le mien, que j’aime tant et qui me le rend si mal…) et finissons-en une bonne fois pour toute (avant de répondre aux questions qu’il n’a pas posé).
Questions suivantes :
 
– Faut-il, et dans quelles proportions, limiter le nombre de parlementaires ou autres catégories d’élus ?
Pas nécessairement. Ils sont certes nombreux. Et au total chacun de tous les citoyens majeurs et au casier judiciaire vierge, aujourd’hui, aurait mathématiquement une chance sur six d’exercer au moins un mandat au cours de sa vie.
Ce qui tisse des liens avec la République et ses institutions…
Un député pour 100.000 habitants, c’est une bonne dose pour permettre à l’élu d’aller au contact des 99.999 autres sur un mandat (et une campagne).
Diviser par deux le nombre de nos élus nationaux, ce serait doubler l’effectif à rencontrer au moins une fois dans un mandat ses électeurs. Ce serait doubler leur charge de travail !
Est-ce efficace quand on voit les députés « LREM-même-pas-en-rêve » totalement amateurs et déconnectés de leurs électeurs qui n’ont pas vu venir la crise des « Gilets-jaunes » ?
Je ne suis pas bien sûr…
 
En revanche, pour ma part, quand on sait qu’un député sur deux n’actualise même pas sa fiche de renseignement remise à la haute autorité pour la transparence de la vie publique, je te leur supprimerai leurs indemnités parlementaires pour leur rappeler leurs obligations légales.
Pour l’heure, il n’y a pas de sanction envisageable…
Et naturellement, « mes élus », ils ont un casier judiciaire vierge : Pas de condamnation devenue définitive, même si elle a été purgée.
Enfin quoi ? On permet aux voyous (et criminels) de voter jusque dans leurs prison, manquerait plus qu’ils prennent le pouvoir par inadvertance.
Et comme vous n’êtes pas dupes, bé même « Juppette », il n’a rien à faire à la mairie de Bordeaux, dans ces conditions.
Quant au reste, même si c’était « le meilleur d’entre nous », bé justement, il a faibli…
Exit.
 
– Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil Économique, Social et Environnemental doivent-ils jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?
Nos assemblées font, défont, refont les lois, contrôlent le gouvernement et le soutient ou le renverse.
À quoi sert le « tricaméralisme » avec le CESE ?
Lui, il ne sert à rien que de bouffer de l’impôt et rendre au moins une fois par an un rapport d’activité.
Parfois plusieurs.
Il disparaîtrait qu’on ne s’en porterait pas plus mal…
Sauf que pour ça, il faudrait modifier la constitution.
Or, je ne veux pas qu’on touche à la constitution : C’est une des meilleures depuis… soixante ans (au moins).
D’autant qu’à chaque fois, il s’agit seulement pour « le chef » de laisser sa marque.
Je note d’ailleurs pour vous que le plus grand pourfendeur de la Cinquième, « Mythe-errant », eh bien sur deux septennats (le règne le plus long), il n’a pas touché la moindre virgule !
 
Alors on garde le CESE et on le fait bosser : Il doit être consulté et rendre un avis motivé sur tous les textes à voter en matière fiscale, économique, sociale et… ayant un impact sur l’environnement.
Simple.
Et seulement ensuite, le Parlement peut voter et amender le texte proposé.
 
– Faut-il les transformer et comment ?
Pour le CESE, je viens de répondre.
Pour le reste, pourquoi transformer les Sénat et Assemblée Nationale ?
Ça fonctionne plutôt bien, les rouages entre les deux chambres n’emportent pas de situation de blocage de l’appareil législatif.
Tout au plus, peut-on introduire le vote direct des sénateurs sur liste départementale (trois par circonscription ainsi définie) comme proposé plus avant, ce qui reviendrait à mettre en place un peu de proportionnelle « modérée ».
Et quant à les « tirer au sort », ce qui évitera les listes de « copinage », le risque est d’avoir à faire avec des « amateurs »…
Mais on doit justement pouvoir « enrichir » avec l’effet « œil neuf » des béotiens.
Et de toute façon, ça ne fera renforcer que le rôle politique de l’Assemblée Nationale assise elle aussi sur les territoires.
 
– Quelles évolutions souhaitez-vous pour rendre la participation citoyenne plus active, la démocratie plus participative ?
Avec des taux d’abstention proche de 50 % aux élections majeures ?
On rigole, là…
« Moâ » j’ai voté. Deux fois aux primaires de 2016 (et ce n’était pas simple) et j’ai payé pour ça.
Quatre fois en 2017, avec les mêmes problèmes d’intendance (pas plus simple).
Et je m’apprête à remettre ça en mai prochain.
Alors « moâ », j’ai le droit de la ramener et les autres ferment leurs grandes gueules !
La démocratie ne s’en portera que mieux.
 
Attends donc c’est quoi de donner la parole (et la rue) à des gens qui ne répondent pas aux exigences d’être citoyen à part entière ?
On voudrait démontrer de la sorte que les élections, ce sont des « pièges à kons » on ne ferait pas mieux !
À quoi ça sert d’aller voter si les décisions sont prises par la rue, SVP ?
En revanche, une élection, ça se prépare.
Je ne l’ai jamais vue aussi vive que dans les réunions électorales (et même dans ce questionnaire) : Peser les enjeux avant, discuter, débattre du pour et du contre, du mieux et du moins bien, même en « CoDir » (Comité de Direction) ou en réunion des services dans les entreprises, c’est comme ça qu’on commet le moins d’erreur possible, qu’on renforce la cohésion et la solidarité d’une équipe « qui arrache » et qu’on prend les meilleures décisions !
Même l’embauche d’un futur cadre, il faut frotter sa candidature à la réalité de ce qui existe déjà.
En plus, en cas « d’erreur de casting », ça dilue les responsabilités.
« Jupiter » vient d’en faire l’amère expérience : La verticalité a toujours nuit.
C’est la faiblesse des régimes d’autocrates (et autres « démocratures »), même entourés de « béni-oui-oui » compétents et fiables, ils finissent par se prendre les pieds dans le tapis et s’effondrent.
J’espère que la leçon aura été comprise, cette fois-ci, qu’on n’ait pas à revenir !
 
Et puis j’ai eu aussi l’expérience des débats de « comités de quartier », la « participation-directe ». On y perd son temps (qui est précieux…) et ça ne débouche jamais sur rien de concret.
Je me souviens encore des « furies » autour de l’aménagement de la rue de Rennes à « Paris-sur-la-plage ». Plusieurs millions d’euros de travaux pour élargir les trottoirs de cette artère commerçante plantée dans le prolongement de la gare Montparnasse.
Des années plus tard, on a enfin réussi à la parcourir sans descendre sur la chaussée : Le McDo ne fait plus « bouchon à piétons » et la circulation automobile est devenue plus fluide.
Mais ça a été dur de faire piger ça à tout le monde (que même probablement on aurait pu faire aussi bien en faisant moins cher).
En attendant, vu le coût, rien n’a changé dans le bas de la dite rue, vers Saint-Germain et c’est tant mieux…
 
– Faut-il associer davantage et directement des citoyens non élus, par exemple tirés au sort, à la décision publique ?
 
Oui, je l’ai déjà proposé ci-dessus (et avant).
Mais dans le cadre des institutions.
Et pas seulement sur le registre du bénévolat (je redoute « l’entrisme » qui vise à véroler les débats : Cf. « Ségololo », mais avant elle « De-La-Nuée » et ses réunions-piqûres dite « citoyennes ». Un désastre démocratique !)
Mais je crois qu’outre les décisions « de sociétés » qui doivent se régler au niveau national par représentants élus (toutes depuis l’IVG et l’abolition de la peine de mort en sont le fruit), les décisions locales doivent être prises localement dans la plus grande concertation… locale !
 
– Faut-il accroître le recours aux référendums et qui doit en avoir l’initiative ?
 
Attend coco. Tu lis tes textes applicables ou tu fais l’âne pour avoir du son ?
Le RIC existe déjà dans la loi applicable. Je ne sais plus combien de députés ni combien d’électeurs. Une grosse minorité (de 10 % ?) si je ne m’abuse.
Et ils en ont fait quoi au juste ?
Rien, nada, ensemble vide.
En revanche les pétitions en ligne et les « cagnottes-citoyennes » ça fonctionne assez bien…
Ne pas confondre les serviettes et les torchons, SVP !
Utilisons déjà ce qui existe avant d’inventer une usine à gaz dont on ne sait pas quelles pourraient en être les conséquences.
Notamment si « la rue » impose de « référender » sur des textes déjà adoptés.
Elle servirait à quoi la « représentation nationale » si c’était le cas ?
Pour quelle bonne raison irions-nous l’élire, dans cette hypothèse ?
Est-ce qu’un « référendum d’initiative citoyenne » pourrait abolir la loi de finances ?
Et pourquoi non ?
Tu imagines le boxon… le « shutdown » permanent pire qu’aux USA !
 
 « Notre pays a toujours su accueillir ceux qui ont fui les guerres, les persécutions et ont cherché refuge sur notre sol : c’est le devoir de l’asile »
 
– Que proposez-vous pour améliorer l’intégration dans notre Nation ?
De reconduire ce qui existe déjà. Faire le tri entre migration clandestine et migration légale. On a des textes et même toute une administration pour les appliquer, appliquons-les.
En revanche, on pourrait utiliser les « temps de rétention administrative » pour enseigner la langue du pays et quelques notions de principes républicains avant de renvoyer tout le monde ou d’accueillir les arrivants : Ce n’est pas inutile.
Mais cette « prison bis » reste infâmante.
Les séjours doivent être les plus courts possibles, quitte à renforcer les moyens.
Et de renvoyer tous ceux qui échouent. Par ferry, pas par avion : Trop coûteux (en termes de signature carbone… !)
 
Ceci dit, j’aimerai que les « bonnes âmes » aillent faire la visite de nos prisons et maisons d’arrêt : Elles seraient surprises !
Tu renvoies toutes les « doubles-nationalités » et il n’y a plus besoin de construire de nouvelles prisons…
 
– En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?
 
Quel intérêt ?
Même la migration des compétences n’a pas à être l’objet de quota.
S’il y a des volontaires pour venir payer les pensions de retraite de nos « seniors » et les impôts et taxes du pays, c’est une excellente chose !
Ils sont même les bienvenus jusqu’en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » : Mes « cousins » et même les « natios-ultra » sont parfaitement d’accord pour accueillir jusque dans « les villages » des bras nouveaux. C’est autant de moins à faire.
 
– Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?
 
De redonner la main aux maires des territoires accueillants.
Pour mieux réguler la pression et la dépression démographique locale.
Mais aussi d’accompagner les accueillis pour qu’ils s’intègrent plus aisément en faisant sauter en premier la barrière de la langue et des usages républicains…
« La question de la laïcité est toujours en France sujet d’importants débats ».
Absolument, mais seulement depuis la loi de 1905…
Avant, c’était le règne du concordat Bonapartiste.
Bref, une question « piégeuse ».
 
– Comment renforcer les principes de la laïcité française, dans le rapport entre l’État et les religions de notre pays ?
 
Si je ne m’abuse, la laïcité c’est la liberté du culte.
Alors laissons donc tranquille cette liberté-là, également reconnue par notre constitution et la déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Quant à l’exercice des cultes, eh bien, pas de problème tant que ça n’entrave pas les libertés publiques de conscience et d’ordre public.
Les prières de rues doivent, comme tout rassemblement sur la voie publique, être déclarée et autorisée en préfecture, tout simplement.
Quant à la construction de nouveaux bâtiments dédiés, autant que je sache, ça emporte dépôt d’un permis de construire déposé en mairie.
Si ça en gêne quelques-uns (une mosquée attire une faune de quémandeurs et mendiants parfois insolite), le veto d’une délibération en conseil municipal doit pouvoir être mis en place.
L’urbanisme, c’est le domaine de compétence des « locaux » en relation avec les autorités compétentes en matière d’aménagement territorial.
À chacun son échelon local comme il a été dit précédemment.
 
– Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?
Bé là, c’est assez simple : Tu les enseignes.
À l’ékole, ou, pour les migrants, dans le cadre de ce qui existe déjà, à savoir le DILF (ou équivalent), Diplôme d’initiation à la langue francilienne (ainsi que la Marseillaise).
 
Mais j’irai plus loin encore.
Le mek qui naît sur le territoire (et peu importe son origine ou celle de ses parents), il est le bienvenu dans ce pays de dingues (qui reste le mien et que j’aime tant, même s’il me le rend si mal…).
En revanche, il ne devient citoyen à part entière qu’à la condition de le demander (et avoir un casier judiciaire vierge) à sa majorité légale.
Valable pour les « natifs », les « pures-souches » et tous les autres.
S’il ne demande rien, il n’a rien : C’est juste un résident, patride ou apatride, on s’en tape, c’est son choix. De toute façon, tant qu’il réside, il s’impose de respecter la loi du pays, dans ses frontières politiques.
 
Et il l’obtient automatiquement à deux conditions :
1/ Signer un document par lequel il s’engage solennellement à respecter l’intégralité des lois du pays et des principes fondateurs et « intangibles » de la République (notamment le « respect d’autrui et la compréhension réciproque »).
S’il viole cet engagement solennel, il se casse : Il n’a même plus droit à ma haute considération distinguée !
2/ Il s’engage à renoncer à toute autre citoyenneté et nationalité : La protection d’un drapeau, de son appareil d’État, de son corpus législatif, de sa diplomatie et de son armée, tout ce qui coûte un blinde depuis des générations et des générations étalées sur plusieurs siècles à tous ceux qui ont pu résider au pays, bé ça ne se partage pas !
C’est notre bien commun, certes, mais seulement à ceux qui s’y obligent.
 
Dans mes exils successifs, jamais je n’ai osé remettre en cause les institutions de mes « accueillants » : C’est à eux et je les remerciais de bien vouloir m’accueillir et d’en bénéficier à l’occasion de mon partage.
Même les conditions de garde-à-vue d’un pédégé gauloisiens dans un pays où il fait du business à l’autre bout de la planète, qui me choquent profondément, ou le système judiciaire d’un autre situé sur une éponge à pétrole, qui n’hésitait pas il y a encore peu à lapider la « femme adultère » et couper les mains de voleurs, qui me choquent encore plus quand il s’agit d’exécuter un « opposant » dans un consulat, je n’imaginerai même pas de pouvoir critiquer si j’y séjourne et y suis accueilli.
Quand ça ne me convient pas, je boycotte, tout simplement : Je n’y vais pas !
 
Maintenant, imaginez mon désarroi le jour où la « Corsica-Bella-Tchi-TChi » sera indépendante, effaçant ainsi la « bévue historique » de la bataille de Ponte-Nuovo, avec une règle pareille !
Ou si son altesse sérénissime Grimaldi m’octroie la nationalité monégasque ?
Notez que l’un comme l’autre, ça n’arrivera pas : Je n’ai pas demandé…
 
Je vous laisse avec ces ébauches de réponses.
Plus tard, nous aborderons toutes les questions qui n’ont pas été posées par « Jupiter ».
Elles ne sont pas moins importantes.

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