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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 23 janvier 2019

Réponses – III

Ne faisons pas la « fine-bouche ».
 
« Jupiter » pose des questions. C’est qu’il ne sait même plus comment il s’appelle et encore des moins ce qu’il a à faire…
Mais rendons ce service quémandé au pays (celui qui est aussi le mien, que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
Questions suivantes :
 
– Comment rend-on les solutions concrètes accessibles à tous, par exemple pour remplacer sa vieille chaudière ou sa vieille voiture ?
 
Alors là, ce n’est pas compliqué du tout : Pas besoin d’interdit et d’une armée de contrôleurs armés d’une quantité prodigieuse d’amende et d’injonction !
Tu attends simplement qu’elle tombe en panne.
Et faute de pièces de rechange (un constructeur se doit d’en fournir pendant 10 ans), le quidam sera bien obligé de remplacer sa machine par une neuve aux normes nouvelles, ou de s’en passer.
Quant à l’idée d’accélérer le processus de remplacement par voie d’obsolescence-réglementaire, j’aimerai qu’on te vous calcule le coût du gâchis (financier mais aussi écologique) du recyclage, particulièrement énergétivore…
Y’en a qui seraient surpris.
 
Que la honte épargne donc leurs nichées pour les siècles à venir, car c’est un peu comme pour la bouffe qui est jetée par camions-bennes entiers alors qu’il existe, ne serait-ce seulement que dans votre ville, votre village (je ne parle même pas des pays lointains où la famine organisée est devenue une arme de guerre), des personnes et des gamins qui ne mangent pas à leur faim.
C’est quoi les 300 grammes qu’on jette alors que ça remplit un estomac sans sourciller pour un repas ?
Rien, mais il a fallu le faire venir jusque-là, l’emballer, le mettre en présentoir, le sortir, le reprendre pour le jeter et le faire circuler pour le détruire ou le recycler : Tu imagines la signature-carbone et les charges sociales qui vont dessus ?
Les bagnoles et les chaudières, c’est pareil !
 
– Quelles sont les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier ?
Question idiote : Je viens de le dire…
On attend que ça tombe en panne, voyons ! C’est une question de bon sens…
 
– Quelles sont les solutions pour se déplacer, se loger, se chauffer, se nourrir qui doivent être conçues plutôt au niveau local que national ?
 
Là encore, c’est une question idiote, parce que la réponse est issue du bon sens.
Toutes les questions « locales » doivent être traitées au niveau local, quitte à disposer de compétences techniques (juridiques et autres) et d’experts nationaux compétents qu’une localité ne peut pas se payer : La mutualisation des moyens et expertises, enfin quoi !
Les questions régionales doivent l’être autour des « bassins » d’intérêt, comme on l’a précédemment déterminé (mais pas les régions et territoires hérités de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » ou du Code Napoléon : On a un peu évolué depuis…)
En revanche se déplacer de ville en ville doit rester une question nationale du ressort des « plans-étatiques » issus de l’ère Gaullienne.
Si les planificateurs n’avaient pas pensé les « villes nouvelles » et les réseaux qui vont avec et qui les entourent (avec plus ou moins d’efficience), on s’entasserait tous dans des gourbis insalubres.
Et les arrêtés d’expulsion pour « périls imminents » ne feraient que mettre de pôvres gueux à la rue…
Reste qu’une décision de bâtir des logements (et les routes qui vont avec) sur telle ou telle commune, naturellement, ça doit se faire en concertation avec les élus locaux : En général, ce sont eux qui disposent du foncier nécessaire.
Et quand les élus ruraux voient là une occasion de valoriser leurs champs de luzerne, ils sautent sur l’occasion, car ils n’attendant que ça depuis des générations : Que la ville rattrape la campagne !
 
– Quelles propositions concrètes feriez-vous pour accélérer notre transition environnementale ?
C’est quoi cette lubie ?
 
S’il s’agit de loger tout le monde, soyons sérieux : Le « marché » s’adapte entre l’offre et les demandes depuis une éternité.
Pourquoi accélérer et faire des HLM à tour de bras qui ne trouveront jamais de locataires dans les déserts rurbains ?
Autant prendre des liasses de billets et les cramer dans les chaudières rénovées…
S’il s’agit de planter des arbres, les sociétés forestières y pourvoient avec bonheur.
S’il s’agit de nourrir, soigner et éduquer les populations, les « locaux » sont conscients de leurs responsabilités locales : Il ne faut pas non plus les prendre pour des bouseux toujours totalement incompétents.
L’État et ses services peuvent tout juste leur apporter leur expertise (comme il a déjà été affirmé ci-avant).
Mais en aucun cas, interdire ou contraindre : Ce serait anticonstitutionnel !
 
– Comment devons-nous garantir scientifiquement les choix que nous devons faire à cet égard (la préservation de la biodiversité) ?
Bé là, si la question est posée, c’est qu’il va de soi qu’il n’y a pas de solution « scientifique » éprouvée.
Je crois tout simplement que nous avons déjà les outils : Le principe de précaution à valeur constitutionnelle d’une part et les expérimentations d’autre part.
Et on retient ce qui fonctionne et qui ne contredit pas le premier principe de précaution.
Pour le reste, OGM ou non par exemple, désherbants nocifs ou non, le principe de précaution doit prendre le dessus, bien entendu.
Je ne comprends pas que la question soit posée : Les solutions existent déjà, élaborées par des décennies de « vie sur Terre », pas « hors-sol » comme c’est le cas des « sachants » qui font aussi « autistes-trisomiques »…
 
– Comment faire partager ces choix à l’échelon européen et international pour que nos producteurs ne soient pas pénalisés par rapport à leurs concurrents étrangers ?
Je l’ai précisé avec ma CSPM (cf. précédent billet) : Par l’exemple.
Quant à les convaincre du bienfondé du système, il suffit de l’expérimenter : Ils y viendront tous seuls !
 
Mais à noter que si une norme nationale (voire régionale ou locale) pénalise une production, c’est qu’elle n’est pas bonne. Il faut en changer ou renoncer.
Je prends un exemple : En « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », on a trois sources d’eau qui répondent aux normes de « l’eau de source » (attention, il y a une différence réglementaire entre « eaux de source » et « eaux minérales »).
Deux sont « non-pétillantes » (mais parfois ils rajoutent une référence supplémentaire avec du CO2 puisée dans la pollution généralisée) : Saint-Georges et Zilia.
Je prends de cette dernière pour faire des glaçons à mouiller avec du whisky ou de la vodka Corse (quand je suis « local »).
Ce sont des micromarchés (le transbordement coûte trop cher… le handicap de l’île).
Seule la Zilia est garantie « 100 % sans nitrate », sa « niche ». Il faut dire qu’elle est puisée dans la nappe à 800 mètres de profondeur !
Bé le jour où l’absence de nitrate sera rendue obligatoire partout, l’entreprise fera fortune, parce qu’elle sera la seule à en bénéficier.
Si les allemands préfèrent boire de la merde (les nitrates sont des dérivés d’étrons), ça les regarde.
D’ailleurs, pas kons, ils font un tabac avec leur bière fabriquée avec de l’eau pure et sans déchet, puisée également à 800 mètres de profondeur : J’ai déjà visité cette brasserie-là dans une « autre vie », mais je ne me souviens plus du nom, d’autant qu’elle est commercialisée en « Gauloisie-du-houblon » sous un nom… Danois !
 
Alors à chacun sa norme pour « son marché ».
Quelle utilité d’imposer la norme de la « banane à vache » de nos DOM quand les anglais sont capables d’aligner des dizaines d’espèces goûteuses à souhait qui n’ont rien à voir sous la langue ?
 
« Enfin, il est évident que la période que notre pays traverse montre qu’il nous faut redonner plus de force à la démocratie et la citoyenneté ».
Ça, on ne peut pas dire le contraire, surtout ces derniers temps…
 
– Faut-il reconnaître le vote blanc ?
Quel intérêt ? Ça change quoi dans le résultat d’une élection ?
On compte déjà les nuls et les blancs et ça n’est jamais qu’une « règle de trois » de plus qui ne change rien au résultat du scrutin !
 
– Faut-il rendre le vote obligatoire ?
Pourquoi pas ?
Personnellement je ferai plutôt l’inverse. Comme pour les dernières primaires des « Républicains-démocrates », j’ai même été content-ravi d’aller payer deux fois deux euros pour voter pour « Juppette » et j’ai « subventionné » ma nichée pour qu’elle se déplace en faire autant.
Et excusez-moi si j’ai finalement enrichi « Fifi-le-souteneur » à titre personnel (je ne le supportais déjà pas…) mais j’exigerai au moins une carte d’électeur dûment tamponnée pour pouvoir accéder à un service public !
Le mek qui ne vote pas, il paye les impôts et taxes décidés par les élus de ceux qui votent, mais il n’a aucun droit de la ramener s’il n’est pas content.
Il n’avait qu’à aller voter (sauf certificat médical d’exemption).
Si en plus il paye une « contribution », là je peux dire que les scrutins auront réellement une signification supérieure à celle qu’ils ont.
 
Ce n’est d’ailleurs quand même pas croyable de défiler avec ou sans gilet-jaune, bonnet-rouge ou veste bleue avec stylo rouge sur les pavés à braver la pluie et les intempéries quand on ne se déplace pas gratuitement pour aller porter son bulletin dans une urne un dimanche férié.
Il faut être dingue, schizophrène ou grand-malade, pour refuser d’aller voter mais aller quand même protester des conséquences du résultat d’un vote.
Méfiez-vous, de là à ne plus organiser d’élection, ou la réserver à quelques-uns (préalablement « choisis ») et c’est la mort de la démocratie, LE pilier fondateur de la République !
Alors oui, participation obligatoire et même payante.
Fermer le ban.
 
– Quelle est la bonne dose de proportionnelle aux élections législatives pour une représentation plus juste de tous les projets politiques ?
Niet ! Aucune dose.
Il faut savoir ce que l’on veut.
Soit on veut une AN bordélique où aucune majorité (hors « de circonstance ») ne peut durablement soutenir l’action d’un gouvernement et ne contrôle plus rien, même pas le brouhaha de ses débats, soit on veut une AN qui soutient et contrôle l’exécutif.
 
Si proportionnelle il doit y avoir, c’est au Sénat qu’elle doit être introduite : C’est beaucoup moins nocif, même si leur élection pourrait devenir directe, directement depuis les citoyens et non pas par leurs « grands électeurs »…
Déjà un déni de démocratie (un homme = une voix).
Mais j’irai même plus loin : Un tirage au sort sur les listes électorales par tiers tous les ans des sénateurs, avec obligation de siéger pourrait être à envisager.
Trois par département, une année pour se former, une pour « rendre du jus » et une troisième pour passer le relai et former le nouveau venu.
Au moins, on n’aurait plus de problème de représentativité de toutes les « minorités » et autres « plafonds de verre » sexiste…
 
Ceci dit, la règle de la proportionnelle aboutit peu ou prou, comme en « Teutonnie » soit à bloquer l’exercice normal des institutions, soit à « voler leur vote » et leurs attentes aux électeurs à travers deux mécanismes : L’élaboration des listes et le jeu des alliances sur tapis-vert loin.
Parfaitement anti-démocratique.
Le panachage doit être autorisé. Le vote par circonscription doit être maintenu : Pas question de se retrouver avec un Lamartine élu aux quatre coins de quadrilatère hexagonal, soyons sérieux…
Et notez que ça existe en Irlande, mais que s’ils sont dix fois moins nombreux, il faut huit jours pour valider une élection tellement c’est complexe.
 
Il faut se méfier de ce mode de scrutin : On arrive comme en « Ritalie » à des mariages improbables entre la « carpe et le lapin ».
Que ça n’arrange pas nécessairement ni les affaires publiques ni le quotidien des citoyens…
Il n’y a vraiment que dans les petites communes, où tout le monde se connaît, que ça peut fonctionner. Et encore avec la règle de la majorité des sièges qui va à la liste arrivée en tête (pas vraiment une proportionnelle « intégrale »)
Probablement impossible à mettre en place dans un pays divisé en de multiples égos qui se tirent la bourre en permanence sans même être efficaces.
 
On poursuit une autre fois autour des questions institutionnelles (et autres), par exemple ?

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